04/11/2009, 21h16
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Franconaute
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Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
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La guerre du Pacifique
Le Japon s’empare de l’Indochine juste avant la dissolution du gouvernement de Vichy (+ 1 Us entry) puis expédie en Chine un de ses plus brillants officier : le Général Morisson . Ce dernier détient le commandement en chef des armées nippones en Chine et ne vient pas les mains vides, il a une stratégie qu’on pourrait résumer en un mot : Chungking. Sous ses directives, le général Umezu lance l’assaut dans les montagnes et arrive au nord de la capitale chinoise (18 aux dés…), Yamamoto obtient le même succès au sud et prend position dans les montagnes au sud de la capitale. Dans l’extrême-sud, Nanning tombe à son tour (+1 Us entry), ce qui permet de sécuriser la nouvelle conquête Indochinoise, mais le général Morisson ne perd pas son objectif majeur de vue : ordre est donné à Terauchi de quitter la Manchourie et de rejoindre Umezu, dont le ravitaillement devient difficile suite à sa poussée vers l’ouest.
Pris en tenaille et menacés d’encerclement, les nationalistes se replient et tentent de sauver les meubles : en vain, le Japon perce une fois encore et ses troupes arrivent dans les plaines au nord de Chungking ! Incapables de réagir, les Chinois ne peuvent qu’assister impuissants à la chute de leur pays, qui s’effondre sous l’indifférence générale du monde occidentale : les villes de Chang-Ta et Cheng-Tu tombent (pas d’Us entry !), Yamamoto arrive dans les montagnes au sud de la capitale, c’est la déroute, le général Morisson triomphe et Tokyo se met à rêver : une conquête totale serait-elle possible ?
Les Alliés tentent de réagir : des bombardiers Russes partent pour la Sibérie, Timoshenko rejoint Joukov et les Chinois Nationalistes lancent leur première contre-offensive depuis 1939, ce qui isole cependant définitivement Tchang Kai Tchec, mais il faut isoler les Japonais retranchés dans Cheng-Tu et récupérer la riche vallée industrielle autour de Chungking. L’assaut se solde par de lourdes pertes, bien que Cheng-Tu soit isolée. Les communistes chinois effrayés se replient à leur tour, ils sont peut-être le dernier espoir de la Chine. Chungking reste à portée de main du général Morisson, la Chine est à genoux.
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