Mais comme c'est beau
Je vois que tu as parfaitement compris la psychologie du petit marseillais. Il a encore beaucoup à apprendre, mais un jour il comprendra et grandira: il deviendra un fervent partisan du Dantonisme, telle est sa destinée
En attendant, je le laisse à sa révolte absurde d'adolescent pré-pubère ou plutôt non, je te le confie un moment, je sens qu'il gagnera beaucoup à t'écouter et méditer longuement sur tes sages paroles
Citation:
Envoyé par RoyalQuiche
Sinon je propose une solution alternative, qui consisterait à ce que je t'envoie par la poste mes pions WiF Axe, afin de renflouer ton "Force Pool", notamment avec de belles unités blindées SS ...
|
Cela me va, l'ennemi n'y verra que du feu et je ne ferai qu'accélérer l'inévitable victoire du Dantonisme
Citation:
Envoyé par RoyalQuiche
L'avantage de la pression nippone sur l'Extrême-Orient est qu'elle mobilise l'attention, autant que les troupes, du Camarade Staline,et ce me semble-t'il, à moindre frais, puisque la puissance terrestre japonaise n'a que peu d'utilité dans le Pacifique (surtout si ta navigation est devenue dangereuse). Alors autant occuper les soldats nippons quelque part.
|
Je suis convaincu, mais le temps ne m'aide pas
Dès le retour du beau temps, l'Armée Impériale va déferler et venger l'affront de 1941
Citation:
Envoyé par RoyalQuiche
Où en es-tu en Egypte ? As-tu moyen de forcer la route vers Bagdad et le Caucase ? Où serais-ce à ton désavantage d'ouvrir un 3eme front contre les Soviétiques ?
Rassures-moi, tu tiens encore Moscou ? Les hordes marseillo-bolcheviques ne pourront envisager autre chose que reprendre leur capitale !
|
Les sympathisants du Dantonisme, loués soient-ils, contrôlent Bagdad depuis plusieurs mois
et idem pour l'Egypte. Mais, pour des raisons de ravitaillement, un front du caucase est assez illusoire. Il faudrait pour cela un accès en Turquie et ces sauvages refusent de joindre le grand mouvement Dantonien
Pour Moscou, les hordes marseillo-bolcheviques se heurteront en vain à mon mur de fer, de feu et d'acier: j'y suis, j'y reste