
03/01/2010, 00h28
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Franconaute
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Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
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Septembre / Octobre 1943. L’accalmie
5 impulses seulement, 4 de très mauvais temps, une de beau temps.
Le front de l’ouest
Des tempêtes s’abattent sur l’Europe, à la grande joie de Berlin qui n’en demandait pas tant, qui clouent au sol les avions et immobilisent les troupes terrestres. Seules les flottes prennent courageusement la mer : des hordes de transports de troupes traversent l’Atlantique et déversent des flots de renforts Anglo-Saxons en France. La flotte Italienne profite de ce temps de cochon pour prendre le large et attaquer au canon les forces Anglo-Saxonnes dispersées : deux sanglantes batailles navales se concluent par la perte de 5 croiseurs Italiens contre pas moins de 10 croiseurs alliés coulés ! Le succès est réel, mais mitigé : ni les lignes de ravitaillement, ni les navires de transport alliés n’ont été réellement menacés.
L’ampleur des pertes va cependant restreindre les moyens alliés pour protéger leurs convois car l’Axe ne renonce pas à la bataille de l’Atlantique : des hordes de sous-marins quittent Lisbonne et fondent en Atlantique nord, où ils torpillent l’Orion, mais ratent, là encore, le gros des convois . Le retour du beau temps permet à la Royal Navy de sortir ses porte-avions : les chasseurs Germano-Italiens se portent alors en protection de la marine Italienne et une titanesque bataille aérienne commence. Les forces aériennes de l’Axe sont repoussées et les intrépides cuirassés Italiens, qui viennent de prouver leur supériorité lors des combats au canon, sont bombardés sans pitié : trois croiseurs sont coulés, Rome ordonne le repli de la flotte.
Sur terre, un symbole de taille : Guderian, le père de la Blitzkrieg, et la 9° Panzer SS, l’unité qui a pris Gorki, c’est-à-dire la conquête la plus orientale de la Wehrmacht, quittent le front de l’Est et arrivent en France ! Berlin prend en effet très au sérieux ce seçond front qui vient de s’ouvrir à l’ouest : les Alliés ne peuvent plus être rejetés à la mer ! Ils doivent donc être contenus et l’OKW va révéler tout son talent pour cette tâche : une offensive majeure de Mac Arthur, qui profite du retour du beau temps, se termine en désastre sans précédent malgré l’ampleur des moyens engagé (offensive chit joué par les USA, mais un superbe « 2 » aux dés, le deuxième de la partie). Saint-Nazaire tombe par contre entre les mains Anglo-Saxonnes, mais après une farouche résistance qui fait trembler les alliés : chaque kilomètre gagné se payera par des milliers de tués. Les Alliés renonceront sous peu et offriront leur reddition, nul doute à ce sujet !
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