Janvier / Février 1943. La bataille de l’Atlantique reprend
5 impulses seulement, temps exécrable.
La guerre en Europe
Un blizzard s’abat sur l’URSS, le Reich reste sur la défensive, mais lance sa flotte et ses sous-marins à l’assaut des convois alliés : 250.000 tonnes de navires marchands sont coulés, ainsi que le Libertad, un croiseur Espagnol qui a jadis rallié l’Angleterre. Les Alliés ripostent, coulant le Pinguin, mais seuls les Soviétiques obtiennent de réels succès : leur flotte de Baltique disperse les croiseurs allemands et coule 100.000 tonnes de convois. Des renforts partent pour l’Espagne et l’URSS, où Manstein s’empare de Stalino sous la neige.
La guerre du Pacifique
Des renforts nippons débarquent en Chine, les usines de Lan-Chow sont à nouveau bombardées et l’US Navy est chassées des Mariannes, perdant le Phoenix et le Minneapolis : le périmètre défensif Japonais se met en place.
Un deuxième partisan apparaît en Chine, privant Tokyo d’une ressource supplémentaire.
Les productions Américaines et Soviétiques explosent littéralement, l’Axe s’interroge : la balance risque de pencher de plus en plus du côté des Alliés, qui vont désormais produire comme des malades. Une solution pour réduire un peu la production Soviétique : s’emparer de Léningrad, Moscou ou Stalingrad. L’OKH doit cependant admettre que cela n’est guère réaliste, l’heure est peut-être venue de passer sur la défensive généralisée à l’est… A l’ouest, une seule solution : frapper sans relâche les convois alliés. Mais ceux-ci ont été considérablement protégés, le temps béni du tir aux pigeons semble révolu. L’avenir est incertain…
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