Alicia Valdanan

[Danton]

Chapitre IV. Plaisirs champêtres



C’est donc à quatre que nous partons pour les montagnes noires, où nicherait le dragon. Nous passons dès lors nos journées à parcourir celles-ci tout en lançant des miettes de pain et en criant haut et fort : » Petit, petit, petit, petit, viens manger, dragon, allons montre toi, n’aie donc pas si peur ». C’est une technique infaillible qui m’a été suggérée par ma tendre et douce Pia : « Quand j’étais petite, j’ai toujours procédé ainsi avec les poules. Il n’y a pas de raison que cela ne marche pas avec un gros et gras dragon rouge ». Succès ou pas, je m’en moque : nos nuits sont merveilleuses et Pia déborde d’idées toutes plus amusantes les unes que les autres .



Vico le ténébreux, lui, s’irrite de plus en plus et son agressivité devient sans limite. Aussi, quand un beau jour, je reçois un violent coup sur la tête par derrière qui me fait perdre connaissance, je n’ai pas à m’interroger sur qui me l’a donné : le scélérat va payer . Je reprends connaissance en haut d’un pic inaccessible à plusieurs centaines de mètres de la terre ferme. Mais que fais-je donc ici ? Pia et moi atteignons très souvent le septième ciel, mais là je suis seule et il fait si froid. « Alors, humaine, heureuse ? »







Szith, le dragon rouge que je cherchais, accompagné du vil Screek, son valet de pied kobold.


Alicia « Mais pa… pas du tout, joli dragon, je ne faisais que passer dans cette belle forêt et d’ailleurs je partais justement… Euh si vous pouviez m’aider à descendre et j’aurai quitté la région dans moins de 5 minutes »

Dragon rouge riant « Trop tard, humaine. Sais-tu que des Dorniens offrent une coquette somme pour ta capture ? »

Alicia « Je ne suis qu’une fermière, moi je nourris les poules, voilà tout. Je ne suis pas celle que vous chercher »

Dragon rouge sceptique « Je ne me trompe jamais. Un peu d’or de plus pour mon lit douillet ».


Et la bête s’envole majestueusement, me laissant seule et abandonnée de tous . Bon, Alicia, reste calme, tu vas une fois de plus t’en sortir. Tiens, tiens, un passage secret, mais quelle chance ! ». Je me faufile et tombe sur Shreek, qui passe de vie en trépas, puis passe de caverne en caverne et finit par tomber sur un trésor colossal : l’antre de Szith ! Mais comme ce dragon est donc aimable : il m’offre une petite virée dans le ciel bleu puis me fait don de ses biens. S’il pouvait encore se séparer de sa tête, cela m’arrangerait bien . Oh, mais, j’entends des bruits : c’est lui ! Et il négocie avec des Dorniens le prix de ma capture. Mais pourquoi tant de haine ? Bon, je préfère ne pas les déranger, politesse oblige, et m’éclipse gracieusement.


De retour au sol, je retrouve Pia, qui bondit de joie en me revoyant, mais que je calme aussitôt : « Il ne faut pas traîner ici… Euh, il y a une grosse poule dans l’arbre qui pourrait tomber de sa branche et comme nous sommes juste en-dessous ». Je file ventre à terre chez les nains et tape du poing sur leur table : « J’AI trouvé VOTRE dragon et JE peux vous indiquer où il se terre comme un gros lâche… Ainsi, VOUS pourrez aller le trucider . Merci qui ? ». Mais les nains ne veulent rien entendre : le dragon, c’est notre affaire, pas la leur .

« Ok, bande de gros lâches, j’ai compris : vous avec donc peur des poules »



Courageusement, nous repartons, non sans avoir dépensé une bonne partie du butin ramassé chez le dragon : amulettes de protection contre le feu, parchemins de froid etc etc. Tout est dans la préparation : la bête est dix fois plus puissante que n’importe lequel d’entre nous, mais je suis une stratège hors pair . Retour dans l’antre du monstre, que je taquine avec des tempêtes de grêles lancées via des parchemins achetés chez les nains : Szith riposte avec ses propres sorts, mais avec peu de résultats. Il finit par se décider à quitter son perchoir et marche vers moi, en me promettant milles morts et tortures. Je lui tire la langue et file dans le couloir, souriant toujours plus chaque fois qu’un de mes pièges de givre se déclenche derrière moi , à la grande fureur du dragon.







Cela ne le ralentit cependant pas et j’accélère pour le dernier cent mètre tout en hurlant : « Chante, Amour, chante ! Andren, feu ! Vico, maintenant ! ». Puis je me retourne et invoque un Seigneur Elementaire du feu, pendant que Pia et Andren font pleuvoir des flèches de foudre sur Szith, bloqué par Vico qui le défie au corps et corps. Je fais ensuite pour la première fois usage de tout mon arsenal de sorts : pour booster Vico et, surtout, frapper sans relâche la grosse poule avec des cônes de froid. Pour la faire enrager, je ne manque pas de souligner à chaque fois la vérité : « Et 4000 ducats partis chez les nains pour ce parchemin… Ne vous inquiétez pas, c’est Szith qui a payé ». Le dragon finit par s’étrangler de fureur et j’en profiter pour lui trancher la tête une fois pour toute. Quel triomphe !

[jmlo]

Tiens ! un épisode non suggestif Bizarre ça !

[Danton]

Les nuits restent très torrides , mais c'est vrai qu'en journée c'est plus calme ( mais ce sont les exploits d'Alicia qui captivent les foules, n'est-ce pas? Rassurez moi, dites? ). Sinon, il y a quand même eu un moment amusant, lors du dialogue avec le dragon, 20 mètres de lond, plusieurs tonnes: " Vous êtes ici pour mon plaisir, humaine" " Ah bon, vous voulez du sexe alors? Euh, vous êtes un dragon mâle ou femelle au fait? Tention, c'est important pour moi "




ChapitreV. L’ombreterre




Les nains nous ouvrent enfin leurs tunnels et nous indiquent vaguement le chemin : il suffit de suivre les pièges , puis la rivière, pas moyen de se tromper. Ils omettent cependant de prévenir le concierge et il nous faut nous expliquer longuement avec lui.







Ah, voilà la rivière… Euh, le courant a l’air assez fort et elle s’enfonce sous terre . Bon, ben, on y va, si les nains nous disent que c’est sans danger… Agonisante, je me traine sur la berge et reprend péniblement mon souffle. Non loin, Vico est en aussi piteux état, je lui donne un bon coup de pied dans les côtes pour le réveiller : « Debout, feignasse ! Où est ma tendre et douce ? ». Nulle part ! Elle a purement et simplement disparue : des empreintes suspectes me laissent penser qu’elle a été kidnappée.


Alicia « Encore ? Mais cela devient une habitude ici ! Je vais finir par croire que je vais passer les vingt prochaines années à lui courir après »

Vico « Marrant, elle a dit la même chose à ton sujet… »

Alicia « Que ? Comment ? Elle a osé ? »

Vico « Oui, quand tu avais été enlevée par le dragon, ou par les Dorniens avant, ou… Y a pas à dire, vous attirez les ennuis vous deux »

Alicia « Veux pas le savoir . Andren ! J’ai besoin d’un bon pisteur, au boulot ! Andren ? ».


Mort . Bon sang, il ne va pas me faire ce coup là ! Bon, tant pis, on viole peut-être Pia en ce moment : je sors mon sceptre de résurrection et ramène le rôdeur à la vie. La traque commence et nous allons tellement vite que nous tombons dans une grande embuscade kobolds. Ces sales petites pestes, cousins de Shreek, apprennent ce qu’ils en coûtent de me séparer de ma douce et tendre . Ces sales petites teignes s’accrochent cependant.







Ce problème réglé, je retrouve Pia dans une cellule.

Pia « Enfin ! Je t’attendais plus tôt ! »

Alicia « J’ai été retardée »



Bon, allez, ce n’est pas bien grave, continuons. Un commando d’elfes noirs nous tombe dessus et le stock de potions commence à baisser dangereusement. Plus inquiétant, nous sommes désormais tous quasi certains que les nains nous ont trompés . A cause d’eux, nous voilà perdu dans les tréfonds obscurs, entourés de monstres tous plus belliqueux les uns que les autres. Une caverne étrange attire notre attention : vaste et très peuplée .







Un bruit sourd se fait entendre, qui nous rappelle vaguement un pas déjà entendu quelque part. Tiens, mais qui voilà ?







Une grosse poule de la même famille que Szith, mais déjà mort une fois ( c’est un dragon mort-vivant). J’ordonne un repli stratégique sur des positions défensives préparées à l’avance puis retourne voir le marchand Duergar rencontré précédemment : on ne combat pas un dragon mort de la même façon qu’un dragon rouge. La bourse plus légère, mais le cœur confiant, nous repartons affronter la bête. Obstinée, elle nous posera de sérieux problèmes mais nous finissons par en venir à bout.



Pas de trésor, rien .

Pia « Oh, regardez, un bouton ici ! Si j’appuie dessus, peut-être qu’un trésor nous tombera dessus ». BOUM


Et me….











A suivre : vendue !

[Danton]

Chapitre VI. Maeralssin ou l’enfer drow



Rualtor, le flagelleur mental, me donne à un de ses plus riches clients habituels : une puissante Maison drow de la cité de Maeralssin. La Mère Matrone ordonne de me donner comme dîner à leur ravageur, une bête immonde avide de sang, et me voilà balancée dans la fosse entièrement nue, comme un vulgaire sac de viande. Est-ce ainsi qu’on traite une Princesse ?







Je terrasse la bête à mains nues , à la grande surprise des drows venus assister au spectacle, qui décident de me trouver une nouvelle place.







Nue et en cage sur la place du marché de la grande cité drow . Des heures durant, les badauds défilent et le marchand Duergar essaye de me vendre : « Une catin de la surface, une vraie professionnelle : plaisir garantis entre ses cuisses. Venez l’admirer de plus près et vous serez conquis ». Vais-je terminer ma glorieuse existence dans un bordel d’une cité d’elfes noirs ?







Seul un flagelleur mental manque de peu de m’acheter, mais il a finit par trouver le prix demandé vraiment trop excessif pour un simple repas ( ces monstres dévorent les cerveaux ) et le Duergar tente alors de me vendre comme gladiateur. Rizzen de la Maison Do’Vrinn finit par m’acheter et me teste rapidement en m’envoyant combattre, toujours nue, un orque gladiateur, que je décapite d’un maitre coup. Satisfait, mon maître me lance alors dans l’arène de la ville, combattre le nouveau champion de la Maison rivale Noqu’tar. Cette fois, il me donne gracieusement quelques sous-vêtements. J’entre dans l’arène par les portes ouest et la foule applaudit aussitôt, me sifflant, mon corps superbe attire tous les regards , puis les portes est s’ouvrent à leur tour et le champion des Noqu’tar fait à son tour son entrée triomphale : le chevalier Noire, victorieux déjà 17 fois en seulement deux jours !



Alicia « Vico ! «

Vico « C’est toi petite oiseau ? Eh bien, tu seras ma 18° victime. A 50, j’aurai regagné ma liberté et, crois moi, 50 meurtres de plus, cela n’est rien pour moi. Car il s’agit bien de meurtre naturellement : tu n’as aucune chance contre moi, tu le sais et je le sais. Je suis un authentique guerrier moi, pas une voleuse des ombres »

Alicia « Alors c’est ainsi que tout ca se terminer ? Et les autres, tu les as assassinés aussi ? »

Vico « Andren a eu le cerveau dévoré par un flagelleur mental et, à l’heure qu’il est, ta salope d’amante a déjà du ouvrir ses cuisses à la moitié de la ville. J’irai la retrouver après ma victoire : l’entendre pleurer en apprenant ta mort m’excitera tout particulièrement. Puis je la prendrai brutalement en lui racontant dans les moindres détails toutes les blessures que je t’aura infligée »

Alicia « Piaaaaaaaaaaaa ! Meurs, créature du diable ! »







La rage décuple mon ardeur et ma rapière s’abat avec une vigueur insoupçonnée sur la canaille, qui riposte aves haine : l’heure de régler nos comptes a enfin sonnée . Malheureusement, la canaille avait dit vrai : je n’ai aucune chance contre lui… De mon délicat soutien-gorge offert par mon maître sort alors une étrange et diffuse lumière verte qui m’enveloppe le corps et absorbe les coups du tueur comme une éponge. Il ouvre les yeux ronds et, désormais assurée de ma victoire, je prends tout mon temps pour le larder de multiples petites blessures : « Celle-ci c’est pour m’avoir violée, celle là pour avoir couché avec ma douce Pia, celle là pour tout le mal que tu lui as fait, et 100 de plus pour les mêmes raisons ». Paniqué, perdant des flots de sang, Vico tente un dernier effort et me porte des coups d’une puissance rare : il abandonne en effet sa dague et saisit son épée à deux mains pour me frapper comme un bucheron. Le spectacle a assez duré, je lui enfonce ma rapière dans le ventre et il tombe lourdement, crachant du sang et incapable de se relever.


Alicia « Met donc des heures à mourir, scélérat!" Je l’avais prévenu que je me vengerais un jour .


La foule applaudit mollement à ma victoire, mais celle-ci attire néanmoins sur moi l’attention d’Akordia, la sœur de Rizzen, qui me fait descendre dans la salle de torture pour tout apprendre à mon sujet ( elle ne pouvait pas le demander poliment tout simplement ).







Aux 2/3 brûlées et crachant sans cesse des flots ininterrompus de sang, je suis jetée dans une cellule après des « aveux « complets, où j’essaye vainement de récupérer : la douleur est telle que même un repos salvateur ne m’est plus possible. Heures après heures, les dernières étincelles de vie quittent mon corps martyrisé : tant d’exploits pour terminer ainsi, dans une geôle d’elfes noirs. Rizzen passe me voir et je tente vainement de me relever à son arrivée, mais glisse dans mon propre sang et m’effondre lourdement. Mes dernières paroles seront naturellement pour Pia : « Une humaine, jolie comme une rose, blonde comme le soleil… Le flagelleur mental l’a capturée en même temps que moi… Elle aurait été vendue dans un bordel... Retrouvez la, sauvez la! ? Respectez le dernier voeux d'une mourante! » « Vous m’intriguez, humaine. Votre vie vous quitte à jamais et vous vous souciez encore du sort d’une autre… Comme c’est étonnant. Vous m’intriguez vraiment. Restez encore en vie, le temps de satisfaire ma curiosité ». L’ignoble me fait boire une potion de soin, la douleur reflue enfin, puis m’interroge longuement.


L’irruption de mercenaires gnolls met fin à son interrogatoire. Rizzen les massacre jusqu’au dernier puis se tourne vers moi : « Ma présence est requise ailleurs, la Maison est visiblement attaquée. Restez encore en vie, je n’en ai pas finis avec vous ». Il se précipite alors vers la sortie, non sans faire tomber près de la porte de ma cellule les clefs de celle-ci. La liberté !


Furtivement, je me glisse de pièce en pièce et constate que Rizzen n’avait pas menti : la Maison est attaquée par les Noqu’tar. Les elfes noirs s’entretuent, qu’ils continuent et surtout qu’ils ne fassent pas attention à moi .







Au dernier étage de la maison, j’arrive dans la chapelle dédiée à Loth, où Rizzen et la Mère Matrone sont retenus captifs par la grâce d’un miroir magique. Des soldats Noqu’tar veillent sur eux. Surtout ne les dérangeons pas, leurs affaires ne me regardent pas. Moi, ce que je cherche, c’est la sortie, voilà tout. Et mon équipement. : se prend les pieds dans la moquette : « Et meeeeerde… ». : trébuche au plus mauvais moment : . Les gardes se rapprochent de moi, l’œil mauvais ou lubrique.


Alicia « Euh, attendez, pas de précipitation, je ne faisais que passer de toute façon ». Les épées s’abattent, vais-je donc périr aux pieds de mon maître paralysé ? Mon instinct de conservation prend une fois de plus le dessus et, de toutes mes forces, je lance ma dague : les drows ricanent devant ma maladresse, la lame est passée bien loin d’eux, puis se retournent et pâlissent… J’ai en effet parfaitement atteint ma VRAI cible et le miroir se brise en milles morceaux. La Mère Matrone et Rizzen se précipitent au combat, je me mets sur le côté pour ne pas les gêner et cherche vainement la sortie. Il y a quand même bien une issue ici ? Les Noqu’tar terrassés, la Mère Matrone part sauver sa maison tandis que Rizzen reste assis.



Alicia « Eh bien, « maître », pourquoi rester assis ? »

Rizzen « Pourquoi combattre quand la mort est la seule issue ? Si les Noqu’tar triomphent, ils me mettront à mort. Si c’est ma maison, ce sera ma mère qui le fera car je fus témoin de son envoutement, un moment de faiblesse impardonnable qui montre que notre ennemie avait plus qu’elle la faveur de Loth. Tu subiras le même sort »


Je finis par convaincre ce gros pleutre de se lever et de venir avec moi : il faut quitter la ville et rejoindre la surface. Il accepte, mais sous certaines conditions…







Je promets… Et tiendrai parole tant qu’il me sera utile . Mon Maître de toute façon a des arguments pour imposer ses volontés, surtout que je suis toujours quasi nue et dépouillée de tout bien.







Rizzen « Naturellement, je pourrai disposer de toi à ma guise, mais de ton côté ne t’avise pas d’avoir des relations avec un mâle sans mon accord »

Alicia « Je note que les femmes ne me sont pas interdites »

Rizzen, me regardant d’un œil froid « Tu penses à cette humaine, n’est-ce pas ? Oublie la, un flagelleur mental l’a prise et s’est délecté de son cerveau ramollis »





Piaaaaa

[vince]

SUPERBE !!! (comme d'hab)


Mais où peut-on trouver ce jeuuuuuuuuu ???

[Tahiti bob]

C'est le 1, le 2 ou autre ? (et vive Deekin, meilleur PNJ de tout le 1 je trouve)

[jmlo]

C'est le 1 (j'avoue que j'accroche pas trop au 2 )

[Danton]

Envoyé par vince

SUPERBE !!! (comme d'hab)


Mais où peut-on trouver ce jeuuuuuuuuu ???

Choupineeeeeete! Toi ici! J'ignorais que tu suivais tout cela. C'est Marseillais qui t'a amené jusqu'ici?

Envoyé par Tahiti bob

C'est le 1, le 2 ou autre ? (et vive Deekin, meilleur PNJ de tout le 1 je trouve)

Le meilleur PNJ de NWN 1 et 2, c'est Pia

Pas plus tard que hier soir, Alicia Valdanan l'a d'ailleurs demandée en mariage ( mais j'y reviendrai dans le chapitre suivant)

[lemarseillais]

Envoyé par Danton

Choupineeeeeete! Toi ici! J'ignorais que tu suivais tout cela. C'est Marseillais qui t'a amené jusqu'ici?

Non mais tu me prends pour une agence matrimoniale ou quoi ?
Et puis je te rappelle que moi je suis contraint et forcer de fréquenter ce topic pour te surveiller. Ce n'est certainement pas par plaisir

En plus, je suis sur que mon perso de Morrowind (un vrai jeu) écrabouille ta Pia and co

[Danton]

Envoyé par lemarseillais

En plus, je suis sur que mon perso de Morrowind (un vrai jeu) écrabouille ta Pia and co

Une fois de plus, tu laisses exprimer toute ta bestialité sauvage de rustre mal dégrossis


Quand Tahiti Bob et moi même comparons, entre parfaits gentlemans, les meilleurs PNJ de NWN, nous ne nous basons pas du tout sur la force brutale bête et sans aucune finesse, mais sur d'autres paramètres qui te dépassent complètement : le raffinement, le charme, l'humour, la culture etc etc

Deekin est un barde hilarant, mais d'une utilité plus que discutable au combat ( Barde étant la classe pourrie à NWN, surtout en IA)

Ma douce Pia est voleuse/barde ( même remarque): si j'avais voulu en faire un monstre de combat, je lui aurais poliment demandé de développer plutôt quelques niveaux de guerrier. Mais Alicia la préfère, et de loin, telle qu'elle est actuellement: la grâce, la beauté, l'humour, la séduction... Et quelle merveille au lit


Retourne jouer tes barbares sans cervelle, espèce de Rambo sans aucune finesse

Et si Morrowind est si bien que cela ( moi, il me donne mal à la tête après 2 minutes), fais nous un AAR et plus vite que cela, éternel feignasse


M'en vais te le mater moi ce padawan ingrat qui n'a rien retenu de mes sages leçons