![]() |
|
#1
|
||||
|
||||
![]()
Si erreur il y a
![]() |
#2
|
||||
|
||||
![]() Citation:
Même la tête décollée, je continuerais à vous juger de toute ma hauteur. Nous, les vrais magistrats, sommes tout. Vous, vous n'êtes rien, que du vent, une clameur lointaine que le temps aura vite fait d'enlaidir, d'oublier. Mais je ne suis pas haineux, je ne vous enverrais pas au diable - car par votre aveuglement, vous y allez de vous même. Enfin ... vous ne méritez même pas que j'use mes derniéres minutes à salir mes lévres de votre nom, aussi je crierais jusqu'au dernier instant : "Locke, Locke !" Monsieur, je ne vous salue pas ![]() |
#3
|
||||
|
||||
![]()
(Sors sa montre gousset)
Et bien quoi ?! Qu'on fasse venir Anatole ! Je veux voir une derniére fois mon âme dans le reflet de la Veuve ! C'est chose plus respectable à admirer que le fronts bas des juges et assassins qui ont élu domicile dans ce Palais ![]() ![]() Le juge Marlouf assisté de son greffier Gabi, écoutant le réquisitoire du juge d'instruction Vonck sous le regard débonnaire d'Anatole Marius Debler "Que voilà un tissu de salardaises !" aurait lancé Marlouf aux Attendus de Vonck (apocryphe) |
![]() |
|
|