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Je suis encore blessé moi ?
Sinon je demande ma mutation dans la marine ![]() |
#2
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Non, mais suite au traité de paix avec l'Autriche et la Russie, il s'est plus passé grand chose dans ton secteur ... mais ça va repartir en sucette avec la délcaration de guerre de la Prusse, t'inquiétes pas
![]() Face aux forces papales, Davout a décidé d’un plan simple – et donc imparable. Il positionne ses 3 régiments d’artillerie sur le flanc droit, accompagné de nombreux régiments d’infanterie qui auront pour tâche de recevoir le gros des forces italienne. 30 piéces d’artillerie, 12 bataillons d’infanterie, assez pour jouer le rôle de l’enclume. Au centre, 5 bataillons devront avancer progressivement afin d’assurer la jonction entre les 2 ailes du dispositif et éviter toute rupture de la ligne. Sur la droite, Davout place la totalité de la cavalerie française, qui devra suivre les 15 bataillons français – principalement des grenadiers, afin de jouer le rôle du marteau. 900 cavaliers et 5.000 fantassins, qui auront pour tâche de progresser le plus en avant possible avant de se rabattre sur l’aile droite italienne. Une fois celle-ci brisée, la masse française continuera sa manœuvre d’enveloppement afin d’enferrer l’ennemi dans une nasse où il n’y aurait aucune issue : soldats et canons d’un côté, fantassins et cavaliers de l’autre. Au son des tambours, les lignes italiennes s'élancent et progressent en direction des pièces d’artillerie françaises. ![]() Le dispositif français se met en place rapidement et toute l’aile gauche française commence sa progression. Làs, le haut commandement italien y répond en déroutant une partie, puis finalement la totalité de ses troupes sur l’axe de progression français ![]() Du côté de Davout, on se frotte les yeux – la stratégie française semblait adaptée pour un ennemi qui aurait progressé d’est en ouest, ce qui n’est désormais plus le cas. Rapidement, le flanc droit français constate son inutilité sur le terrain, seul l’artillerie ayant des cibles à plusieurs centaines de mètres de là. Le flanc gauche ayant continué sa progression, il commence à se frotter aux premières forces italiennes qu’on espère culbuter rapidement afin de provoquer l’encerclement. ![]() Les tirs sont échangés alors que la nappe de brouillard s’étend sur tout le champ de bataille. Les premiéres lignes lâchent des salves sur les unités italiennes tandis qu’on accentue la progression des unités de tête, qui finissent de traverser le champ avant de se rabattre pour dépasser l’ennemi et le prendre à revers. ![]() Mais là où l’on tablait sur un 10aine de bataillons italiens, on en découvre rapidement le double, tandis que des renforts viennent plus loin, au fur et à mesure que tout le dispositif ennemi bascule sur la seule aile gauche française. ![]() Du côté de l’Etat Major de Davout, on commence à sérieusement s’alarmer devant cette masse ennemie qui s’en prend à une force bien inférieure en nombre. On fait avancer les unités du centre, afin de distraire un peu l’Italien de la seule aile gauche française. Sur le flanc droit, cependant, les armées continuent à rester l’arme au pied, désormais bien trop distantes de l’axe d’attaque italien pour pouvoir intervenir rapidement. D’autant plus qu’avancer aurait nécessiter de bloquer les axes de tir de la totalité de notre artillerie afin de faire progresser nos troupes... A la pointe de l’attaque française, tout au bout de l’axe d’offensive, les unités impériales parviennent enfin à contourner la défense italienne et se rabattent en pensant l’encerclement aboutis. Grosse désillusion ! Car dans le secteur plus à l'ouest, la pression italienne s’est faite de plus en plus forte, pour un grenadier français, on a pas loin de 3 Italiens. Le 4éme bataillon tente de résister … ![]() … avant de s’effondrer. Les deux bataillons à ses côtés se délitent, un vent de panique traverse les lignes françaises. On tente de colmater la brêche en envoyant la cavalerie pour juguler la percée de l’infanterie italienne. ![]() Les résultats sont plutôt bons, et les positions françaises sont rétablies. Temporairement … car les forces papales lancent la totalité de leur propre cavalerie dans cet espace étroit ou réside la plus grande faiblesse du plan de Davout. ![]() Plus de 1500 cavaliers se jettent en un même point, bousculant, contournant et écrasant les positions françaises. Les unités de fantassin les plus avancées, côté français, découvrent alors qu’ils sont elles-même encerclées tandis que le mince cordon ombilical les reliant au reste de l’armée s’effondre. Toute l’aile gauche bascule dans la terreur et perd son sang froid. Chaque homme ne combat plus pour son unité, mais fuit pour sa vie. Les 3 bataillons en pointe sont encore les seuls à tenir, tandis que les 12 bataillons auparavant à leur côté sont en déroute. Commence alors une terrible course pour la survie, chaque homme espérant rejoindre les sous-bois afin de s’y cacher. Tandis que la plus grande partie de l’armée italienne se détourne maintenant en direction du flanc droit français, la cavalerie se jette sur les restes éparses de fuyards afin d’en sabrer le plus grand nombre. Devant la catastrophe qui s’annonce, Davout n’a d’autre choix que de sonner la retraite générale. Quand un essieu casse, on abandonne dés lors sur place la pièce d’artillerie. Ecoeuré, tout le flanc droit français abandonne le terrain tandis que le flanc gauche continue de se faire massacrer. Se refusant à un tel abandon, le jeune lieutenant Adam d’Ygnes mène tout son escadron de chasseurs à cheval sur l’extrémité de la pointe française, afin de permettre aux 3 derniers bataillons de grenadiers sur place de se désengager et de prendre la fuite. Les hommes à cheval attirent sur eux toute l’attention des Italiens, en les fusillant copieusement… ![]() ... et en évoluant à proximité des forces italiennes, donnant ainsi de précieuses minutes aux grenadiers pour quitter le terrain et se mettre à couvert. Trois bataillons sauvés de plus … mais à quel prix ! Du jeune lieutenant Adam d’Ygnes et de son escadron, on n’aura plus de nouvelles, si ce n’est les poèmes qui fleurirent en France pour célébrer son abnégation. ![]() C'est la premiére défaite française en Italie depuis l'intervention en 1797. Avec prés de 6.000 morts, la retraite de Davout menace désormais de se transformer en déroute complète. Les forces papales ont certes eu de nombreuses pertes, mais rien qui ne soit définitif. De son côté, Davout a perdu la quasi-totalité de sa cavalerie, 5 bataillons d’infanterie ont tout simplement péris corps et bien, et 10 autres ne sont plus que l’ombre de ce qu’ils étaient. Reste à Davout à franchir 400 km en plein territoire ennemi, avec sur les épaules la menace conjointe des armées vaticanes et des troupes milanaises… ![]() La Vénitie, Nice et la Savoie, qui tablaient sur une victoire rapide de Davout, se retrouvent désemparées en l'absence de troupes françaises au sein des plus grosses cités, et sous la nouvelle menace portée par le Royaume d'Italie ... |
#3
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Coup dur.
![]() Davout va se retrouver gouverneur de la place de Besançon après ça. ![]()
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#4
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![]() La qualité des troupes qui avaient débarqué en Sicile avaient permis de combler le déficit d'expérience par rapport à l'adversaire. Mais dans l'armée de Davout, il n'y a (avait ?) finalement que de l'infanterie de ligne et des grenadiers moyennement motivés. Avec un gros défaut chez les grenadiers que j'ai envoyé en 1ére ligne : seulement 300 hommes (contre 400 dans un bataillon d'infanterie classique) et j'ai pu constater l'effet désastreux sur cette bataille. Et ça n'a pas manqué : les troupes françaises ont commencé à flancher quand en face, le même nombre de pertes permettaient encore aux unités d'être seulement à moitié liquidées. Et quand les premiéres unités ont craqué, il était trop tard pour rétablir le front, ça c'est alors joué trés vite (à partir de là, en 5mn aprés la percée italienne réussie -ingame- mon aile gauche a été éventrée, encerclée et liquidée) J'ai un peu perdu de ma superbe ![]() |
#5
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C'est sûr que ça fait mal au prestige.
Mais de toute manière, là à mon goût, il y'a trop de fronts à gérer. Difficile de se concentrer de façon efficace. ![]() Mais bon j'ai confiance en l'Empereur pour simplifier la situation ! ![]()
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#6
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#7
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C'est vrai qu'on sent bien le côté "Nous contre le reste de l'Europe (bon à quelques exceptions près)."
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#8
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La situation dans l'Empire en 1807-1808 était florissante ... aucun nuage à l'horizon ...
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"In war, truth is the first casualty" - Eschyle. "You know, in this world, there's two kind of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..." ![]() |
#9
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Ah oui un peu comme la situation du Royaume de France en 1788 selon Palpatounet.
![]() Tout va bien madame la Marquise. ![]()
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#10
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"In war, truth is the first casualty" - Eschyle. "You know, in this world, there's two kind of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..." ![]() |
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