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#1
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![]() ![]() Chroniques du Royaume de Pologne C'est en l'an de grâce 1453 que Kazimierz IV, roi de Pologne et prince de Lituanie me confia a moi, Jan Leazewsk le titre d'archiduc de Pologne en charge des affaires polonaise. La Pologne était alors un petit royaume d'europe centrale. Loin de la richesse de nos voisins d'occident les revenus tirés des terres polonaise sont maigres. Seuls la cavalerie Polonaise est reputée par delà nos frontières. Ces fiers chevaliers, défenseur du Christ mandaté pour évangelisé les terres d'Orient et défaire l'héresie Orthodox et les impies Musulman forment un rempart invincible lorsqu'ils sont sur le champs de bataille. Le destin de la Pologne est d'être un grand royaume, mais tout grand royaume doit disposer d'un accés a la mer. Malheuresement au sud le Khanat de Crimée sous protection de la horde d'Or reste toujours un énemis de taille a abattre. Sans compter que l'Empire des Ottomans qui a porté la guerre jusque chez nos voisins Hongrois veille sur cette partie du monde. La seule solution residait alors a reprendre les terres que les chevaliers Teutoniques nous ont volés. ![]() Voici une carte du nord de la Pologne et des territoires Teutoniques longeant la baltique. L'armée est renforcée petit a petit, a la hauteur de nos faibles moyens, et seuls la révolte des Ruthènes en 1454 puis en 1457 viens troubler la quietude et le calme en Pologne. En 1458 le grand commandeur Teutonique va prendre une décision qui coutera trés cher a son cher ordre. Il décide d'attaquer la principauté de Pskov dans le grand Nord, ce faisant les grandes armées qui étaient massés a la frontière Polonaise remontent vers le Nord en diréction de ce nouvel énemis. Le moment était revé pour intervenir, et la guerre fut déclarée. Rapidement nos armées prennent position des terres séparant la Pologne de la baltique, et remontent vers la capitale. La Lituanie, royaume soeur nous suis dans cette guerre et envois ses armées au centre de l'ordre. ![]() Rapidement nous prenons l'avantage et la guerre n'est dés lors plus qu'une formalitée. Les armées de l'ordre sont diserpsées et vont de déroute en déroute. Tout les provinces tombent les unes aprés les autres et le commandeur acculés est obligé de signer l'offre de paix que nous lui faisons. Varmia et Danzig iront a la Pologne, offrant ainsi un large debouché sur la Baltique, la Lituanie héritera de Memel et du Courlande. L'ordre divisié en deux ne sera désormait plus une menace, mais a l'ouest et au sud grandissent des enemis bien plus redoutables.. Le roi m'a par ailleurs chargé de délivrer plusieurs messages dans ces chroniques : - Au duc d'Autriche : Votre alliance avec la Bohème est bien menaçante, de même que votre absence de remarques vis a vis de la Pologne qui forme pourtant la marche Orientale du Saint Empire, le protegeant des invasions des barbare de l'Est. - Au roi de France : L'influence Française en europe est forte et même a la cour de Pologne nous pouvons croiser des marchands et des artistes Francs. Nous aimerions connaitre un peu mieux ce brillant royaume. - Au Sultan Ottoman : Votre déclaration de ne pas vouloir vous étendre en Hongrie a était trés appreciée en Pologne, mais nous surveillons attentivement l'évolution des choses. L'avancée des mahometans a notre porte ne peut être tolérer.
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EU2 : GPO Molo, l'AAR. |
#2
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Réponses diplomatiques françaises :
A notre ancien adversaire et cousin, le roi d'angleterre : sachez qu'aucun prince dans ce monde n'a la légitimité, l'autorité ou le pouvoir de nous dicter notre politique intérieure et/ou extérieure. De ce fait, nos frontières, et leur possible évolution, ne regarde que nous et nous seul. Que diriez vous si je vous avertissais de ne pas modifier vos frontières sur votre île ? Mis à part cette faute diplomatique de votre part, nous sommes satisfait de la paix entre nos deux royaumes. A l'empereur du Saint Empire Romain Germanique : nous sommes heureux de voir que vos affaires se portent bien, ainsi que votre santé malgré votre train de vie......arrosé. Nous espérons et soutenons l'empereur dans sa politique de défense de la Chrétienté. Toutefois, cette politique ou une autre, ne justifierai en rien la disparition d'Etats indépendants allemands. Sachez que votre attaque contre la Suisse pendant notre maladie (absence IRL) ne va pas vraiment dans le sens d'un resserement des liens entre nos deux maisons. C'est malgré nous que nous sommes contraint de vous prévenir que la Suisse est dorénavant sous notre protection. Toutefois, comme vos raisons étaient peut être légitimes (nous les ignorons. HRP : je peux pas considérer au 15e siècle le rattachement de terres isolées comme une raison d'époque c'est pour ça que je dis ça) nous souhaitons maintenir le contact et vous offrons gracieusement ces 2 caisses du meilleur vin de notre royaume. A notre cousin, le roi de Pologne : c'est toujours avec plaisir que les hommes de mon royaume oeuvrent à l'essor du vôtre ou servent dans votre maison. Nous louons votre vigilance vis à vis de ces Infidèles pourfendeurs de femmes et d'enfants. Sachez que votre ambassadeur a très bien été reçu et jouit d'une bonne place lors de mes interventions. A notre féal, le duc de Bourgogne : ce n'est pas sans une certaine surprise que j'ai appris que vous aviez escompter aggrandir votre duché en terre d'Empire par la force et contre notre vouloir. Sachez, mon amé féal, que profitez de ma maladie pour passer outre mon autorité et mettre en péril l'honneur de ma maison dans le Saint Empire Romain Germanique est un grave crime contre moi, contre l'Etat. Osez prétendre que vous agissiez avec ma bénédiction n'est pas digne de mon sang ni d'un prince. En conséquence de quoi, je vous somme et commande de mettre immédiatement fin à vos entreprises belliqueuses, de restituer aux ducs, barons et comtes les terres usurpées par la force et qui ne vous ont pas été transmises par héritage ou don de ma personne. Je vous prie d'agir en toute diligence et de prendre garde de ne pas aller contre ma volonté car ainsi est mon plaisir.
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 02/07/2007 à 21h40. |
#3
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Portugal 1453- 1465
La route des Epices. ![]() La politique Portuguaise en 1453 ![]() Le budget de départ ![]() Choisir ses conseillers en début de partie : pire qu'un départ de formule 1 Les expéditions pour trouver la route des Epices sont lançées mais déjà les difficultés commencent, car Alfonso V (6/5/5), qui n’était pas un très bon monarque, était tout de même meilleur que la Régence(4/3/3) qui suit sa mort en décembre 1459. Les explorateurs sont en mer, longeant l’Afrique. Le 1er point d’ancrage est l’île de Madeire, puis l’île du Cap Vert, puis beaucoup plus loin à l’est, une île baptisée Fernando Po. Tout se déroule comme prévu jusqu’à ce que Bartolomeu Dias, cherchant à s’éloigner des rives africaines, et profiter des alizés de l’atlantique sud , essuie une tempête d’une extrême violence au large du Cap Vert. Il découvre une terre nouvelle, celle là même qui semble être indiquée sur la carte de Piri Rei. Ces terres se trouvent être très riches, et les premiers efforts de colonisations seront fait à Pernambouco, qui deviendra la 1ère ville coloniale. ![]() Pernambuc, symbole du renouveau portuguais Joao II (5/3/4), roi chétif et peu enclin à diriger, règnera à peine plus de 2 ans, de décembre 59 à février 62, avant de mourrir d’une fièvre étrange sans doute rapportée des expéditions d’Afrique ou du nouveau monde. Ainsi, de 1456 à 1462, l’administration dont j’ai besoin pour coloniser aura été particulièrement nulle. J’ai donc concentré mes efforts sur quelques colonies accueillantes, notamment en Afrique du Sud, en attendant un monarque plus compétent. ![]() Un lieu bien accueillant... ![]() Des colonies éparses en amérique du sud Le budget du royaume très faible ne donne droit ni à l’erreur, ni aux extravagances, et malgré la pression des royaumes coloniaux concurrents, je rechigne encore à engager le combat avec le richissime Empire Inca, nouvellement découvert, et ainsi passer d’une logique marchande à une logique de conquête. Il est encore trop tôt… En 1462, Alfonso VI (7/7/5) monte sur le trône. Une politique de colonisation plus audacieuse va pouvoir être mise en place, d’autant que Bartolomeu Dias vient de réussir son expédition aux Indes. Pendant ce temps, Caetano Dias au sud, et Teodosio de Sousa au nord continuent d’explorer les immenses terres de l’ouest. En Europe, les choses semblent plutôt calmes. La Castille est allée s’emparer d’un immense royaume, celui des Aztèques, et d’ailleurs à cette occasion nous n’avons pas suivit notre allié de peur que la guerre ne fusse trop longue, et ne nuise au commerce. Mais peu de temps après, je m’embarquais dans une autre guerre, avec l’Angleterre et contre l’alliance bourguignonne. Pur prétexte au départ pour imposer des impôts de guerre et accélérer la colonisation, je pourrais peut-être le regretter car l’ennemi est puissant, et le Portugal absolument pas préparé à la guerre. ![]() Pour la plaisir, une carte d'Europe en 1465
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Un AAR de Axis and Allies en jeu de plateaux: http://www.franconaute.org/forum/showthread.php?t=5248 Un AAR sur Tide of Iron : http://www.strategikon.info/forum2/v...ic.php?t=15706 Un AAR sur Europe Engulfed : http://www.franconaute.org/forum/sho...577#post142577 Dernière modification par ciirse ; 02/07/2007 à 22h53. |
#4
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Chroniques Ottomanes
La pacification des Balkans Après la chute de Byzance, il restait une lourde tâche au Sultan. Il fallait pacifier l'Ouest de l'empire ou les Principauté Chrétiennes de Serbie, de Transylvanie s'agitaient aidée par le Roi de Hongrie. Le Sultan entra en Force sur le terre Serbe et pris le commandement de l'Assaut sur Belgrad qui tomba en quelques jours devant la Puissance Ottomane. La Serbie fut vassalisée de force et le Prince Serbe reconnu l'autorité du Sultan. Les batailles qui suivirent furent plus difficiles pour le Sultan et ses troupes les terrains montagneux de Transylvanie et János Hunyadi le redoutable général Hongrois obligèrent le Sultan à de nombreux aller et retour afin de contrer les Pugnaces forces Hongroises. ![]() Le siège de Belgrade Néanmoins, en 1457, et après plusieurs défaites consécutives, le Prince de Transylvanie rejeta la Suzeraineté Hongroise. Il n'en fallu pas plus au Souverain Hongrois dont la Capitale était tenue par le Sultan, il sorti de la guerre par une paix blanche et un profond respect réciproque avec son adversaire turque. Le Prince fou de Transylvanie ne pu alors que pleurer sur les restes de son armée détruite dans la province de Banat avant de perdre définitivement la tête par le Sabre du Sultan. Son Frère fut installé sur le Trône et la Transylvanie devint a son tour vassal de l'Ottoman. A la mort de Mehmet II, son second fils, Ahmet I, monta sur le Trône Ottoman. Le fils de Memhmet s'il était moins porté sur l'art de la guerre que son père n'en était moins un redoutable diplomate et un Musulman très pratiquant. Les première années de son rêgne virent apparaître au sein de l'Empire l'idée selon laquelle l'Islam devait prédominer et les premières campagne eurent lieu avec peu de succès auprès des minorité Albanaise de la péninsule Greque. Ahmet continua l'ouvre de pacification des Principautés Belliqueuses entourant l'Empire. Il conitnua les opérations guerrières guerre contre les principauté de Karaman et Dulakir et en 1459 ces 2 principauté reconnaissaient la Suzeraineté du Sultan Ottoman et perdaient chacune la moitié de leur possession Anatoliennes. Aussitôt cette affaire conclue, Ahmet profita du désordre au sein de l'Alliance balkanique des Chevaliers De L'Hopital pour fondre sur les Principauté Chrétiennes qui avaient accueilli les descendant des Despotes Byzantins. En moins d'une année, l'Albanie et les Chevalier de l'Hopital entraient dans le giron Ottoman par la force ainsi que les Iles Ionniennes fraichement annexées par le Duché d'Athène. L'An 1460 vit ainsi s'imposer sur les régions exangues de Grêce et l'Anatolie la Paix Ottomane. Ahmet s'attelant durant les 5 années suivante à construire un Empire solide capable de résister au poid du temps.
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J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... |
#5
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Chroniques Anglaises 1466- 1474
Suite à d’habile manœuvres diplomatiques ![]() ![]() ![]() Malheureusement, le scélérat pervers, loin de devenir plus raisonnable, poursuit alors toujours plus loin sa folie : non seulement il recrute des dizaines de milliers de soldats, mais en plus il ne cesse de construire des navires de guerre ![]() ![]() La marine de guerre Anglaise est rassemblée et part affronter les Bourguignons qui se concentrent dans la manche : la bataille est violente et acharnée. Des centaines d’hommes périssent ce jour là, tout cela pour les beaux yeux de la belle Hélène… ![]() La flotte de Bourgogne est écrasée ![]() ![]() Excédé de voir les fonds Royaux mobilisés pour développer la flotte nécessaire pour contrer celle de Bourgogne, Lord Macbeth décide de se rappeler au bon souvenir de Londres en attaquant les Iroquois d’Amérique. Le rude Ecossais et ses frères balayent les sauvages, qui sont annexés pour la plus grande gloire du Royaume d’Angleterre. Mais le peuple gronde et des révoltes éclatent : la guerre de Troie n’a que trop durée ! La flotte part établir le blocus total des ports de Bourgogne, mais le Duc fou refuse toujours de négocier la paix ![]() Pendant que France et Bourgogne s’étripent joyeusement, l’Angleterre panse ses lourdes plaies et se demande qui elle pourrait bien excommunier maintenant… ![]() Déclarations diplomatiques Au Portugal. Cher ami, votre alliance fut tel un baume guérisseur pour notre cœur meurtri mais néanmoins aimant. A la Castille. Mon pauvre ami, mais avec qui donc pensez-vous faire la course ? Votre boulimie sans limite apaise t-elle au moins votre sommeil agité ? Si non, à quoi bon toutes ces conquêtes qui foulent aux pieds les droits humains les plus sacrés ? Reprenez-vous que diable, le Très Haut vous regarde et vous juge ! A l’Empire Ottoman. Nous louons votre pacifisme, continuez ainsi sans quoi nous décréterons une croisade sainte contre vous ![]() A la Suède. La tête hors de l’eau, enfin, cela vous rendra peut-être l’usage de la parole. A l’Autriche tant aimée. Santé ! ![]() A la France. Vos dernières propositions au sujet de Calais nous ont faire rire aux éclats ![]() ![]() A la Bourgogne. Misérable excommunié bâtard, l’heure de votre châtiment viendra et la belle Hélène sera amenée à Londres ![]() Dernière modification par Danton ; 07/07/2007 à 23h51. |
#6
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Histoire de France (1466 - 1474)
Cinq ans ! Cinq longues années s'écoulèrent avant que le jeune roi, Louis XI, monte sur le trône. La peur avait été grande dans le royaume de que le prince souffre souffre du même mal que son gand-père et que son père. En effet, le souvenir de la folie de Charles VI était encore bien présent dans les esprit, encore plus les malheurs que cela avait permis. Aussi, lorsque le roi Charles VII, après seulement quelques mois de règne, connu le même mal, le peuple redouta le pire. Beaucoup pensèrent que Dieu ne faisait que punir le royaume pour ses péchés. Viscéralement attaché à leur souverain, la maladie du roi ne pouvait qu'augurer une horizon noire à la France. Les Français ne furent sans doute jamais aussi pratiquant et aussi inquiet de leur avenir. C'est pourquoi l'arrivée du jeune roi Louis XI était tant attendu. Pendant toute son enfance il n'avait montré aucun signe de ce fléau qui semble s'acharner sur la dynastie royale. Son grand-père, Charles VI, n'avait eu sa première crise qu'à 24 ans ; son père a 19 ans. Personne n'était donc rassuré qu'en, à l'âge de 13 ans, Louis XI était couronné en 1470. C'est avec une certaine anxiété latente que le peuple suive la vie de leur roi. Priant chaque jour que Dieu fait pour que le Seigneur accorde son pardon au royaume et épargne leur roi. Depuis ce jour quatre année se sont écoulées sans la moindre alerte. Le jeune Louis apprend au fur et à mesure son métier de roi. Conseillé par le sage comte de Luynes, déjà au service de la monarchie au temps de Charles VII, il s'efforce de gommer les dernières années où l'absence d'une autorité souveraine s'est faite sentir. C'est dans cet esprit que le roi, en 1470, somme son oncle le duc de Bourgogne de s'acquitter de ses erreurs et de relâcher les ducs, barons et comtes emprisonnés en les restituant dans leur honneur et dans leurs biens. Pour réponse, le duc s'enferma dans ses terres et leva des troupes. Le jeune roi allait très vite apprendre ce qu'était l'art de la guerre mais aussi combien son issue est aléatoire et peut être périlleuse. Se pensant fort de son armée de 25000 hommes à pieds et 20000 cavaliers, Louis XI entra en guerre contre la Bourgogne, alliée à la Lorraine, la Cologne et Trêves. Dans les premiers temps, la déesse Guerre semblait avoir fait de la cause française la sienne. Très vite la Lorraine fut acculé à une paix blanche, le roi n'avait aucun grief contre ce seigneur. Déjà les terres françaises bourguignonnes étaient tombées sous la contrôle des armées françaises et la Picardie, Valenciennes et l'Artois étaient en état de siège. Hélas, les armées royales s'épuisaient petit à petit alors que celle de l'ennemi ne faisait que gonfler et revenir toujours plus forte en homme. Surtout, le commandement bourguignon était sans commune mesure meilleur que celui français. De fait, ils multiplièrent les exploits en infériorité numérique, là où les troupes françaises à deux contre un perdaient une fois sur deux. Très vite, plus de 50000 soldats bourguignons faisaient face aux armées royales. Le roi entreprit alors un important effort qui greva lourdement l'économie du royaume (+2 en infla). Pendant que 10000 hommes à pieds étaient démobilisés ou regroupés avec d'autres pour reformer des corps entier, 10000 cavaliers supplémentaires furent levés et équipés aux frais du roi (on avait en effet dû faire appel aux jeunes nobliaux ayant fait leurs armes mais n'ayant les moyens de se payer l'équipement du chevalier). Rien n'y fit inexorablement, progressivement, le commandement bourguignon redressait la situation. Déjà la Champagne et Caux étaient tombés, les armées royales ne faisant plus que défendre au Nord du royaume. La guerre durait depuis plus de trois ans. Conscient des souffrances de son peuple et des risques qu'il coure, le jeune roi décide alors d'accepter la paix blanche proposée par le duc. Un constat s'imposait : les armées du duc de Bourgogne ne sont plus celles d'un simple duc mais bien celle d'un empereur (le duc est empereur depuis les années 1460). Déclaration : - A la reinette d'Angleterre : Vous feriez mieux de sérieusement réfléchir à ma proposition plus qu'honorable pour Calais. Sachez que je ne payerais pas pour retrouver la possession de ma terre. - A l'archiduc : Méfiez vous de la Bourgogne ! - Au doge : Nous ne comprenons toujours pas pourquoi vous avez voulu nuire à nos bonnes relations. Prendre le Roussillon, une terre française que nous avons publiquement réclamé, a suscité énormément d'interrogation à la cour. Déjà que votre politique annexioniste suscite quelques mécontentements, nous avons très mal pris la proposition que vous nous avez faîtes. - Au roi de Castille : C'est avec tristesse que nous avons constaté que la cupidité est un trait de votre personnalité. Vous semblez penser que le nouveau monde vous appartient. Vos conquêtes brutales et indignes d'un chrétien ont jeté le trouble dans les colonies d'amérique. Puisque la raison semble aussi vous échapper, puisque vous semblez apprécier les coups sournois (en vous goinfrant quand ceux qui pourraient réagir sont occupés ailleurs), nous n'hésiterons pas à utiliser les mêmes armes que vous. Cela vous apprendra peut être qu'on ne peut montrer patte blanche d'un côté et agir comme le pire des manants sans honneur.
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 09/07/2007 à 13h49. |
#7
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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![]() ![]() Dernière modification par Marco Rale ; 12/07/2007 à 23h58. |
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Chroniques Anglaises 1475 – 1483
Acte I. Le baril de poudre explose L’Angleterre se remettait péniblement de sa trop longue guerre de Troie et n’aspirait qu’à la paix… Hélas, hélas, trois fois hélas, les actions de nos voisins allaient faire voler en éclat notre pieuse volonté pacifiste ![]() Tout commence en 1475, avec l’attaque de la France contre l’Aragon : jusque là, rien qui ne nous concerne. Mais, moins de 12 mois plus tard, la Castille entre dans la danse et ne se contente pas de voler au secours de l’Aragon : ses troupes marchent sur les colonies Françaises d’Amérique. A Londres, c’est aussitôt l’effervescence : la boulimie Espagnole serait-elle donc sans limite ? Madrid souhaite t-elle contrôler les côtes d’Amérique du Mexique au Canada ![]() ![]() Acte II. La débacle La France nous accord prestement l’accès militaire et nos régiments franchissent la frontière pour, douce ironie, défendre les colonies Françaises ![]() ![]() Malheureusement, cela ne ralentit guère les Espagnols, qui lancent 30.000 soldats sur l’empire colonial Français, défendu exclusivement par des régiments Anglais ![]() ![]() Avertie du redoutable danger, la France avoue son impuissance : elle est entièrement concentrée sur l’Europe et ne peut rien envoyer en Amérique. Lord Macbeth serre les dents et le rude Ecossais entame un combat désespéré pour défendre l’œuvre de sa vie. Déjà, deux villes coloniales Anglaises tombent, mais nos régiments se battent avec une furie incroyable et s’accrochent sans fléchir à nos colonies menacées. De nouveaux renforts arrivent d’Angleterre, où l’on dépense sans compter pour défendre la Macbethie, tout en maudissant la France qui nous a plongé dans cette situation si précaire ![]() Acte III. La contre-offensive victorieuse de Lord Macbeth Les combats incessants et les marches forcées usent de plus en plus les soldats Espagnols, qui ne sont plus que 18.000 lorsqu’ils lancent un nouvel assaut contre nos colonies : leur marche est difficile, ils doivent explorer le terrain et, derrière chaque arbre, se trouve un soldat Anglais ![]() ![]() Vaincus et traqués, les Espagnols, après la bataille de Lenape, tenteront vainement d’échapper à nos soldats victorieux : des 25.000 soldats partis pour conquérir nos colonies, aucun n’est revenu en territoire Espagnol ![]() ![]() ![]() Acte IV. La guerre reprend Cette guerre terminée, nos régiments repartent plein nord, où les Hurons ont profité de l’éloignement de nos soldats pour lancer d’incessants raids meurtriers contre la Macbethie. Ils sont châtiés et annexés, cela leur apprendra ![]() La paix, enfin ? Malheureusement non, toujours pas ![]() Dernière modification par Danton ; 14/07/2007 à 15h18. |
#10
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![]() ![]() Histoire de Frise : 1454-1483 L’histoire glorieuse de Frise débuta avec le règne de Hendrik III qui régna de 1454 à 1460, durant celui ci Frise commença son expansion territoriale, les territoires de Osnabrück et de Gueldre rejoignirent le minuscule royaume tourné alors vers la mer, un rêve tourné vers l’intérieur des terres prenait forme, ces successeurs Hendrik Casimir I (1460-64) et Albrecht II continuèrent dans la même voix, l’un en prenant Brème et Liège et le second en prenant le Lunebourg et Munster. L’agrandissement du royaume nu pas que des effets bénéfiques, ces années de guerre firent souffrirent grandement les populations soumissent aux pillages des hordes de soldats traversant la région, menant à une rancœur des populations soumissent, menaçant la paix du royaume, la force armé permirent dissuader toute Jacqueries. Le retour à la cour d’un noble revenant des grandes universités d’Espagne, Vritz Von Litenbourg, celui-ci arriva à changé la politique du pays en 1474, le retour a la prospérité devint alors une priorité pour le royaume, des conseillers furent engagé dans ce sens remplaçant les défunts conseillers militaires. Il avait amené aussi dans ses bagages ses relations avec des personnes des plus influentes a la cour d’Espagne, permettant un l’établissement d’une très grandes amitiés envers les deux pays, de très nombreux furent fait entre les deux ligné ce qui amena une alliance entre c’est deux puissances L’année 1475 fut des plus tristes avec la mort du roi le 10 aout, celle ci étant d’autant plus regrettable qu’il n’avait eu aucun héritier malgré son règne qui battait les records de longévité (11 ans de règnes), établissant une période morose pour la nation, la politique international fut des plus réduites, a par le soutien a l’allié Hessien contre Clèves, rien ne fut entreprit. Le principal problème qui se posa aux conseils fut la guerre contre la France en soutient à l’allié Castillan, les discutions furent des plus houleuse mais malgré cela rien ne fut entreprit, démoralisant les corps d’armé prêt a frappé Paris. La période du conseil se termina en 1481 avec l’arrivé sur le trône d’un nouveau suzerain, Ernest Casimir I intronisé le 2 septembre dans la plus majestueuse cérémonie qu’avait connue le pays jusqu'à lors. Le début de son règne fut marqué par la demande d’appuie militaire de la Castille contre le royaume félon de d’Aragon et ses laqués, la réponse de notre fut des plus positives, Frise voulant faire oublier sa passivité durant la guerre franco-castillane, après de couteuse transaction pour traverser la Lorraine nos troupes purent atteindre le royaume de Savoie, les combats qui se déroulèrent furent des plus éprouvant, l’armé de Frise n’étant point habitué à subir un tel relief, chacun des combats demanda un dépassement de soit pour chacun de ses combattants, le 21 aout 1483, la victoire de la coalition était déjà assuré. ![]() ![]() La suite au prochain tome Situation de Frise le 21 Aout 1483 : ![]() La situation du royaume en 1483 après de grand investissement est stabilisé, le risque de Jaquerie est encore là mais aucun de leur leader n’a encore réussit a ce que la populace se soulève. L’intégration des provinces conquise a commencé à se faire, la population voit en Frise une garantit de stabilité face aux autres nations. En économie, la situation reste des plus catastrophique, aucune amélioration notable ne vint améliorer le système productif et commercial du royaume, l’inflation galopante dut a l’entretien des moyens militaires, est des plus inquiétante, atteignant 9% cette dernière année. Lettre diplomatique : A la Castille : Très cher ami nos bonnes relations me ravisent, nous vous soutiendrons totalement dans votre unificatrice de l’Espagne, votre amitié et l’un des fondements de notre paix. Une seule chose nous grippe dans votre politique, le soutien que vous affiché à la Bourgogne, un royaume fondé sur la déloyauté, celle ci empiète sur notre sphère d’influence légitime, qu’ont ils à faire en Allemagne et en Hollande qui sont des territoires en dehors de la France ! Son alliance est elle si importante a vos yeux, nous ne requérons aux mieux votre soutien ou sinon votre passivité dans l’affaire. A la France : Nous protestons contre la capture des territoires que vous avez faite en Espagne lors de votre guerre contre l’Aragon, vous n’avez aucune légitimité à contrôler ses territoires, cela est il raisonnable de continuer sur cette voie ? A la Bourgogne : Votre politique agressive dans notre région, nous rend plus que perplexe, que a à faire la Bourgogne en dehors de France et de son royaume que celle –ci lui donner ? Quitter les territoires de Hollande et d’Allemagne que vous avez acquit par votre félonie, où sinon nous serons obliger d’agir par la force, pour les libérés ! Au Danemark : Nous vous sommons de nous céder Oldenbourg ! Ce territoire fait partie de notre nation, notre légitimité est plus grande que la votre, votre refus n’amènera que la guerre entre nous ! |
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