AAR Autriche (1646-1666)

[Dandy]

***** La campagne d'Espagne - les pyrénnées infranchissables 1660-1662 *****

Montecuccoli rencontra le general Condé durant l'été 60 à Perpignan. Les deux hommes mirent ensemble au point les grandes lignes de la campagne. La guerre sera difficile car l'Espagne etant un pays tres montagneux, le ravitaillement y est tres faibles et le relief augmente considérablement le potentiel defensif de l'armée Espagnole. De plus toute les provinces sont garnits de puissante forteresse et citadelle. Les col pyrénéens etant particulierement bien defendu aussi.
L'offensive principale sera menée par l'armée Francaise le long de la cote méditéranéenne de l'Espagne avec pour premeir objectif Barcelonne et la riche province de Catalogne dont les ressources serviront ensuite a la poursuite des opérations plus au sud. A ce titre, l'armée francaise engagera de tres lourd moyens en recherchant systématiquement le combats avec les forces principales espagnoles dans le but de les détruires. Ainsi l'armée Francaise devra avancer et realiser des batailles d'anéhentissements contres les espagnols.
L'Empire, handicapé par sa technologie militaire toujour tres en retard, se verra confier la tache de couvrir a l'Ouest l'offensive francaise en attaquant le long de la cote Atlantique. Le but etant d'occuper un maximum de forces espagnoles dans les montagnes pour permettre une progression plus facile des francais le long de la cote méditérranéenne. Le roi de france Louis XIV mettant a la disposition de l'empire ses provinces d'Aquitaine afin de pourvoir au ravitaillement des forces imperiales.

Pour son 30eme aniversaire au service de l'empire, l'Empereur Leopold I nomma le général Montecuccoli à la dignité de Maréchal. De plus les probleme de stabilité interieur etant résolu, l'armée imperial se vit offrir l'ensemble des ressources de l'empire pour cette ultime campagne qui devait etre decisive. C'est ainsi 100.000h par an qui prirent la route de la France et de l'Espagne...Autrichiens, bavarois, hongrois , tcheques, saxons, hessois et Italiens etant les principals peuples a être mobilisés

Le maréchal Montecuccoli etabli son etat major de campagne dans la ville Française de Bordeaux. Durant la fin de l'année 1660, les arrivées de troupes en provenances de l'empire se poursuivit sans interuptions. Ainsi se furent 60.000h qui furent en Garnison a Bordeaux et 40.000 à Toulouse prendant l'hivers 60-61.

Au printemps 61 le Maréchal Montecuccoli prit la route du Sud avec 40.000h et 200 canons. les forces Francaise du Bearn ayant deja prit la route de Gerone, Montecuccoli put terminer son ravitaillement à PAu avant d'entreprendre la traversé du col de Roncevaux en direction de San -Sabastien la capitale de la Navarre. Pendant ce temps une autre colone de forces Tcheques traversa le col du somport pour deboucher dans l'est de la navarre avec pour objestif Pampelune et Vitoria.
Le siege de San-Sebastian etait a peine commencé qu'une forte armée Espagnole remontais la vallée de l'Elbre en provenance de Saragosse en Aragon. En effet, les Francais en retard dans leur prise de Gerone n'avait pu penetrer en catalogne rendant les 70.000 Espagnols d'Aragon disponible pour une offensive de degagement de la Navarre.
Le Combat fut execivement bref et les Imperiaux lacherent pied. La Retraite se transformant en deroute, Montecuccoli ne parvint a Pau qu'avec 5.000 survivant et encore une centaine de Canons. Quand aux regiments tcheques, ils avaient été anéhanties quelques jours plus tot par la cavalerie castillane. Ce n'etait plus des conscrits Siciliens au moral faible qui nous faisaient desormais face, Mais des Castillans, aragonais, catalans, andalous, galiciens, basques et autres qui se battaient pour leur terre avec l'energie du desepoir.

A Pau, le Maréchal Montecuccoli re-rganisa ses forces et fit venir des renforts de Bordeaux et Toulouse tandis que de l'artillerie et des hommes etaient recruté dans tout l'empire prenant inlassablement les même routes pour renforcer l'armée imperiale. Ainsi dans la ville de Bordeaux le francais devint même minoritaire pendant 5 ans devant la multitude de langues parlée par les troupes imperiales de multiples nationalités.

Printemps 62, de bonnes nouvelles nous parvienient de l'Est. Les Francais ont prit Gerone et marchent desormais sur Barcelone. Nous sommes cependant fort triste d'apprendre la mort du général Condé qui rejoint alors Turenne au paradis des heros francais
Le Maréchal Montecuccoli reprit alors la route de la Navarre avec cette fois 50.000h et 250 Canons. La Navarre sans protection vue bientot toutes ses forteresses assiégés par les forces imperiales. Mais helas elles etaient si puissante qu'aucun assualt ne pouvait etre tenté. La navarre etant si pauvre et les ravitaillement ne pouvant venir de France que par des routes difficile empruntant de haut col et etant toujour a la merci d'attaque et d'embuscade par les basques..... l'armée de Mntecuccoli vit ses effectifs reduits de moitié en 6 mois rendant la prise de San-Sabastian toujour plus difficile. En Septembre 61, Montecuccoli adressa une demmande de renfort de 35.000h aux troupes autrichiennes de Gascogne et du Bearn qui terminaient de recevoir leur equipement.

Helas les renforts ne devaient pas avoir le temps de nous parvenir car une nouvelle armée Espagnole venait de Salamanque et se portait a marche rapide vers les forces imperiales de Montecuccoli. Cette armée avait été confiée au brillant mais aussi renegat Juan de austria l'année précedente.
Le combats fut intense et les charges de cavaleries castillane devastatrices. Les regiments Italiens et Hongrois de l'empire menaçcant de s'effondre d'un instant à l'autre, Montecuccoli fit sonner la retraite laissant les bavarois et les tcheques couvrir la retraite de l'armée. Montecuccoli avait espéré pouvoir gagner quelques heures mais en moins d'une heure les regiments tcheques et bavarois se dispereserent sous le choc de la charge de cavalerie de castille. Montecucoli fut ainsi rejoind en pleine retraite au debut du col de Roncevaux. l'Artillerie imperiale fut abandonné ainsi que tout les bagages et charios. Chacun courant le plus vite possible avant de se voir la tête tranché par le sabre d'un cavalier Espagnol. La déroute se transformait en carnage. Jamais les imperiaux n'arriveraient a franchir le col vivant! Montecuccoli, constatant que tout etait perdu, decida de se lancer dans un ultime baroud d'honneur. Réunissant quelques centaines de cavaliers tous d'origines de Styrie et de Carinthie, il decida une ultime charge contre la cavalerie espagnoles pour permettre de proteger la fuite du reste de l'armée...
Le colonel Von Dringberg se vit confier le commandement de la retraite et parvint au col de Roncevaux peut avant la nuit.....Les 35.000 imperiaux venant du Bearn arrivant juste alerté par les bruits de cannonade. Mais helas c'était deja trop tard, Montecuccoli etait deja mort a la tete de ses hommes dans ce combats perdu d'avance.
3 jours plus tard, une petite troupe d'Espagnol vint a Pau pour nous remettre le corp du vaillant maréchal en reconaissance de sa valeur au combat. Le corp fut imediatement rapatrié à Vienne ou l'Empereur Leopold vint s'agenouiller devant le corp de son plus illustre serviteur.

"Le Maréchal Raimondo prince de Montécuccoli etait né à Modene au chateau de Montecuccolo en 1609. Nommé general de l'empire des 1630 à seulement 21 ans, il devait succedé a la mort de general Hatzelfelt en 1646 au poste de chef de l'armée imperiale à l'age de 36 ans. De toutes les campagnes, il dirigeait l'effort de guerre depuis 15 ans malgrés des moyens notamment technologiques systematiquement inferieurs aux Espagnols. Il devait mourir le 4 décembre 1662 au col de Roncevaux devant une charge de cavalerie espagnole mené par Juan de Austria"
L'Empereur autorisa alors, pour la premiere fois de l'histoire, que son illustre serviteur vint rejoindre sa famille dans le caveau personnel de la famille Habsbourg.


*****1663 La resistance Espagnole s'effrite.... *****

Sur le front Ouest tout etait a refaire, La navarre n'avait put etre conquise.... mais à l'Est le General Luxembourg venait d'enlever Barcelonne. L'armée francaise, protégé en partie par le sacrifice des imperiaux sur leur flanc droit , pouvait maintenant s'avancer vers Valence ainsi que remonter l'Elbre pour penetre en aragon et prendre zaragosse. Le potentiel de recrutement espagnol commencant visiblement a s'essoufler, l'Espagne avait de plus en plus de mal a remplacer ses pertes. Ainsi les effectifs espagnols en Espagne s'amenuisait de semaine en semaine et de bataille en bataille. Cependant la couronne Espagnole etant toujour aussi riche, le recrutement espagnol reposait desormais essentiellement sur de la cavalerie qui donnerent a l'espagne un suplement de mobilité lui permettant de faire des allé-retour incessant entre l'est et l'ouest lui permettant de livre bataille alternativement avec les imperiaux et les francais empechant les alliés de pouvoir s'engoufrer dans les breches.
En 1663 100.000 imperiaux reprirent la route de pyrennée. 50.000 avait objectif de prendre enfin la Navarre alors que 50.000 autres devait longer la cote Atlantique jjusqu'a la galice afin de detruire les centre de recrutement espagnoles ainsi que les jeunes armées de conscrits rencotré en chemin. Vers la mi-63 35.000 imperiaux était arrivé à la Corogne apres avoir pillé Bilbao et Burgos. mais du sud de la Galice vint une mauvaise nouvelle. 40.000 espagnol en formation à Porto risue de se mettre en route contre nos forces. le replis vers les Asturie et Burgos est alors décidé. L'armée Epagnol prit en fait la route de l'Est et affronta les francais en Aragon devant les mur de Saragosse. Victoire francaise les Espagnols durent se replier vers le Leon et Salamanque. L'occasion etait trop belle et les 35.000 imperiaux de Burgos tenterent de leur bloquer la retraite. Le combat s'engagea devant la ville castillane de Segovie au pied des montagnes. Le combat sembla longtemps en faveurs des imperiaux et le moral espagnol commencait a s'effondrer. Mais une charge de cavalerie Espagnol renversa la situation devant des imperiaux totalement depourvu de cavalerie.... ce fut un enieme massacre. Dans les plaines de Castille, la cavalerie espagnoles put a loisir poursuivre les imperiaux a pied et aucun ne reussit a s'enfuir. L'empire pertit ce jour la l'integralité de son armée soit 35.000h.
Pendant ce temps en Navarre, l'armée imperiale recut un renfort de 50.000 imperiaux suplementaire portant nos effectif a 85.000h. L'hivers approchant de nouveaux, le colonel autrichiens decida de tenter de monter a l'assault de la forteresse. A la fin de la journée 55.000 imperiaux gisaient mort devant les murailles de San-Sebastian a peine entamé. Nouveau revers qui voyait les efforts imperiaux pour l'année 63 reduit à néant.