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Et qu'est-ce qui arrive si on me file plus de sursis ?
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Je sais pas ... enkazhakation, avatar d'un bisounours, on enverra Coelio dans regarder si tout fonctionne bien dans le compte d'un certain Von Aasen, on fait tout pleins de topics à modérer dans le forum histoire, etc
Pourquoi ca te brancherais ?
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Veni, vidi, loosi - Akmar Nibelung |
#23
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Pour manquement à la parole ? J'en connais un dont le nom commence avec A... qui serait incriminé aussi
Et l'AAR HOMM IV de Coelio , vous vous en souvenez ? Campagne de la nature tout ça hin Faites gaffe les gars, la dissuasion nucléaire est là |
#24
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C'est Noël !
« Consors Regni » Les femmes avaient d'après le droit germanique et l'ancien droit allemand une position juridique totalement différente et beaucoup plus faible que celle des hommes. Elles étaient en bas-âge exclues de pratiquement toutes les affaires juridiques, et n'avaient plus tard que peu de possibilités d'action, et étaient formellement en tant que personnes juridiques représentées par un proche masculin ou leur époux. Mais elles n'étaient nullement sans droit, et participaient au statut juridique et social de leur représentant. Les femmes nobles du Moyen-Âge étaient bien mieux loties que les autres. Elles pouvaient également participer au pouvoir. Cette participation a néanmoins changée d'aspect au cours du Haut Moyen-Âge. Les premières sources indiquant des femmes dotées de propriété, mais aussi de participation formelle au pouvoir datent de la deuxième moitié du 6e siècle. Depuis Brunichild (morte en 613), le modèle de la régence féminine s'était imposé. Cependant, seuls les hommes avaient droit à l'héritage. Une plus forte position politique ne devient évidente qu'avec les femmes de Louis le Pieux. Dans les années de la « Renaissance carolingienne », l'idée de la fin de l'antiquité chrétienne, celle de « Consors Regni », est renouvellée. Angilberga, l'épouse du carolingien Louis II, est appellée « consors imperii nostri ». Jusqu'au milieu du 10e siècle, l'utilisation de l'expression « consors » est limitée à l'Italie impériale. Dans les pays francs de l'Ouest, les couronnements indiquent une montée en signification croissante du rôle des femmes, tandis que dans ceux de l'Est, les sources nous manquent. Dans l'empire « allemand » des Ottons, une ascenscion remarquable des femmes, reines et nobles, s'opère. En 962, Adelheid, la deuxième femme d'Otton le Grand, est qualifiée de « consors regni », et entre ainsi dans le vocabulaire écrit et parlé de la chancellerie impériale allemande. De plus, Adelheid suit les traditions juridiques langobardo-romaines, et dispose librement de son héritage en d'Italie / Bourgogne. En 972, Theophanu, princesse byzantine et femme d'Otton II, est acceptée au sein du « consortium imperii ». Après la mort d'Otton II, elle obtient la régence le temps qu'Otton III soit majeur, donne elle même des ordres impériaux et signe en partie avec la variante masculine de son nom, Theophanos. Dans la première moitié des temps saliens, la formule « consors regni » a acquis une signification universelle. On s'adresse souvent à Gisela, femme de Konrad II, pour des demandes de toutes sortes, sa grande influence en est la cause. Son évocation fréquente dans les délibérations sur une action témoignent de sa participation au pouvoir. Agnès, épouse d'Henri III, dirige la régence après la mort de ce dernier en 1056 jusqu'a la majorité de son seul fils, Henri IV. Après 1075 cependant, les sources évoquent de moins en moins le titre de « consors ». Richenza, femme de Lothar von Süpplingenburg (1125-37), est la dernière personne d'importance ayant porté le nom de « consors regni » dans l'histoire du SERG. L'époque des Stauffer est caractérisée par la diminution croissante de la position politique des reines ; une exception cependant existe en la personne de Béatrice de Bourgogne, deuxième femme de l'empereur Frédéric Ier Barberousse. Des régences féminines n'eurent plus lieu. Une position un peu plus indépendant pour une femme n'était possible plus que pour une veuve, ou alors dans le cadre du domaine dont elle avait hérité elle-même et qu'elle apportait avec elle au mariage. Les femmes veuves et non-mariées étaient elles prises en charge par des institutions et monastères. |
#25
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Question bete : ça veut dire quoi "Consors Regni" ?
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Fall Gelb 1940 , un AAR Decisive Battles of WWII |
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co-régnant pour autant que je sache (mais c'est vrai qu'on l'a pas évoqué une seule fois dans le cours )
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#27
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C'est marrant car ça me fait penser à "prince-consort" mais dans ce cas il n'as aucun pouvoir (genre le mari de la reine d'angeterre).
PS: tu veut faire coelio comme boulot ?
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Fall Gelb 1940 , un AAR Decisive Battles of WWII |
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Gné ? Coelio au boulot ? Raconte moi ça !
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#29
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Effectivement c'est tout à fait dans mon domaine de recherche ca, et c'est intéressant
A noter que la "Brunichild" dont il parle (+ 613) est plus connue en France, si je ne m'abuse, sous le nom de Brunehaut
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[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#30
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Possible, et possible aussi pour bien d'autres noms, comme je n'étudie qu'en Allemagne, je ne me donne pas la peine d'apprendre toutes les variantes en langue française
(c'est d'ailleurs parfois difficile de parler avec un geek sciences po français qui ne veut pas qu'on utilise de termes anglais ) |
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