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Pour el slapper as tu simplement une idée de ce que représente une banquise ?
ou plus exactement un territoire comme la belgique et les pays bas réunis se mélangant a de l'eau tempéré avec une adjonction des fleuves nordiques , ton golf stream ne serait vraiment pas de taille et par adduction plomgerais dans les abysses , ben voilà c'est ce qui est entrain de se passer que l'on le veuille ou non . |
#22
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J'hésite entre les bottes en cahoutchouc ou le manteau polaire, vous me conseillez quoi ? Les deux peut être.
Certains ont déjà anticipé d'ailleurs, ils attendent avec impatience la disparition de la banquise, en effet cela permettrait d'ouvrir de nouvelles routes commerciales. Les cons !
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My name is Jag. |
#23
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il faut positiver !
tout cela ne sera un problème que pour ceux qui ne claqueront pas de la Grippe cet hiver !
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Sol Invictus LA LIBERTE OU LA MORT |
#24
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cepalui je ne nie pas le réchauffement , ni qu'il va avoir des conséquences désastreuses , je dit juste que les prévisions précises me paraissent pas trop sérieuses (Rien que dans ce topic on prévoit : +3° en France et -6° en Europe...)
Qu'est ce que tu veut dire pour la Sibérie ? ça va devenir plus habitable ou un gigantesque marécage ?
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Fall Gelb 1940 , un AAR Decisive Battles of WWII |
#25
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Ben la France ne fait jamais comme tout le monde hein
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#26
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Dans 100 ans, la siberie sera le grenier a blé du monde, des terres riches qui n'ont encore jamais ete exploité par l'homme, et par dessus tout vide de population. Vous savez ce que ca veut dire ? Conflit majeur avec des populations de pays pauvres qui devront bien survivre en emmigrant massivement vers le nord, de gré ou de force.
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#27
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Pour JMLO
c'est le réchauffement climatique qui vas entrainer la brusque dimunition de celle ci . ce ne seras évidement pas en même temps . c'est compris dans une fourchette d'une centaine d'années sauf si il arrivait que les modes informatiques soient incomplets donc faux . pour les tempèraturesun petit extrait de radio France Plus nombreux et plus vieux ? © Radio France Courts extraits Des effets notamment sur le climat. Selon Tim Dyson, cette croissance va tout de même entraîner une hausse de 27% des émissions de CO2, cause directe d'après les scientifiques du réchauffement climatique, après une précédente hausse de 400% entre 1950 et 2000. Et avec un réchauffement "de 1,6 à 6,6 degrés celsius d'ici 2100", "les changements défavorables pourraient arriver sur plusieurs fronts avec des effets négatifs cumulatifs", poursuit le professeur de la LSE. "Par exemple, l'inondation des zones côtières, qui pourrait résulter en partie de la hausse du niveau de la mer et en partie de chutes de pluie plus importantes, pourrait conduire à une perte de terres cultivées et d'infrastructures urbaines, entraînant une hausse du prix de la nourriture, une émigration à grande échelle, et probablement des troubles socio-politiques". |
#28
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quand au "petit incident" dont katrine est la cause voilà à quoi cele aboutit , que dire quand les cyclones feront pratiquement tous force 5 ( ce qui est d'aprés les scientiques est fort probable)
Edito du Monde Il aura fallu quatre jours après le passage du cyclone Katrina pour que George W. Bush prenne conscience de l'ampleur de la catastrophe qui frappe le sud des Etats-Unis. Visitant enfin la région, vendredi 2 septembre, le président a eu une phrase qui en dit long sur son impuissance : "C'est pire que ce qu'on pouvait imaginer." Les Américains et avec eux le monde entier découvrent sur leurs écrans de télévision des villes dévastées, des réfugiés hagards et souvent livrés à eux-mêmes, des bandes pillant les magasins, des gangs armés se disputant les dépouilles, des cadavres jonchant encore les rues, des plates-formes pétrolières encastrées sous des ponts... Le nombre des victimes est impossible à évaluer mais se chiffrera sans doute par milliers. Un sénateur de la région parle même de 10 000 morts. Les images venues de Louisiane rappellent le tsunami qui a frappé l'Asie du Sud-Est en décembre 2004. On avait peine à imaginer que le même spectacle de destruction et de désolation, la même tragédie humaine, pouvait advenir dans un pays développé, a fortiori dans le plus puissant du monde. Or justement, à cette occasion, l'Amérique découvre ou redécouvre qu'elle abrite le tiers-monde en son sein. Comme toujours, cette catastrophe naturelle a aussi des causes humaines et politiques. Dans ce Sud américain oùles divisions et les tensions raciales restent encore très vives, les Noirs et les plus pauvres * bien souvent les mêmes personnes * sont les premières victimes de l'ouragan et des inondations qui ont suivi. Ce sont eux qui vivaient dans les zones les plus exposées et qui n'ont pas pu fuir à temps, faute de moyens. Ce sont eux qui, aujourd'hui, sont confrontés à la détresse la plus profonde, qui ont le plus besoin de secours immédiats et qui, les premiers, subiront les conséquences de ce que le New York Times appelle justement "l'effondrement total de toute société organisée". Car c'est une autre leçon de cette tragédie américaine : "l'hyperpuissance", comme disait un ancien ministre français des affaires étrangères, malgré son potentiel économique et militaire qu'elle est parfois prompte à déployer à l'extérieur, est incapable de faire face à une catastrophe intérieure de cette dimension. Les structures de l'Etat sont inadaptées, les services de secours insuffisants, le maintien de l'ordre mal organisé... Des études officielles avaient, en vain, attiré l'attention sur la fragilité des digues qui protégeaient La Nouvelle-Orléans. Alors que George W. Bush battait déjà depuis quelques semaines des records d'impopularité pour un président en début de second mandat, le débat commence à monter aux Etats-Unis : est-il bien raisonnable de dépenser des centaines de millions de dollars pour guerroyer en Irak quand l'Amérique est incapable de protéger ses propres citoyens ? De la réponse à cette question dépendra la politique américaine dans les prochains mois. Katrina pourrait marquer dans l'histoire une rupture comparable au 11 septembre 2001. Article paru dans l'édition du 04.09.05 |
#29
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C'est pas 10'000 morts qui vont changer la politique US , Est-ce les 15'000 morts de la canicule ont changé quelque chose à la politique de santé , d'environnement en France ...
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Fall Gelb 1940 , un AAR Decisive Battles of WWII |
#30
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La France est un vieux pays qui a subit bien plus d'épreuves que la nation Américaine il est normal qu'ils ne réagissent pas de la même façon .
Un coup fatal à Bush C’est une catastrophe qui risque de porter un coup fatal à Georges Bush. Car ce cataclysme est à l’image de ce pays où tout est plus grand, les grattes ciels comme les cyclones. C’est en effet l’équivalent de la moitié de la France qui se trouve sous les eaux. Dans la première puissance du monde, à la pointe des nouvelles technologies, des centaines de milliers de gens sont en proie à la faim, à la soif, au manque d’abri, agrippés à des toits, sans électricité, sans toilettes dans une situation de dénuement qui semble les faire revenir à l’état animal. Car dans ce chaos, c’est chacun pour soi. Les magasins d’armes ont été dévalisés, alors que l’insécurité alimente la panique des réfugiés et que l’anarchie nourrit l’anarchie. Mais surtout ce malheur incommensurable touche essentiellement les pauvres et les très pauvres, comme si cette pauvreté avait été le marqueur silencieux qui a déterminé qui est parti et qui est resté : ceux qui étaient sans voiture et sans argent pour quitter la Nouvelle Orléans où deux tiers des habitants sont noirs et où un quart de vit dans la pauvreté. L’Amérique sera-t-elle « encore plus forte », lorsqu’elle aura supporté cette crise, comme Georges Bush a cherché à persuader son opinion ? Violemment critiqué pour son absence de gestion de cette crise, Georges Bush a lui-même reconnu que les résultats du dispositif de secours n’étaient pas « acceptables », même si l’aide promise par le Congrès est la plus importante de l’histoire américaine. Si les plus faibles meurent du manque d’eau, de médicaments et de secours, c’est qu’une bonne partie de la garde nationale est immobilisée en Irak : un tiers des effectifs de la Louisiane, plus encore pour le Tennessee. Selon un responsable de la sécurité locale, le manque d’argent pour achever des digues s’explique par les coupes budgétaires dues aux dépenses pour la guerre en Irak. Mais surtout le réchauffement climatique global pourrait à l’avenir augmenter l’intensité des futurs ouragans, alors même que l’administration Bush n’est même pas prête à reconnaître l’existence de ce réchauffement. Les répercussions de cette catastrophe seront profondes et multiformes, humaines, économiques et, bien sûr, politiques. par Jean-Marcel Bouguereau, rédacteur en chef au Nouvel Observateur et éditorialiste à la République des Pyrénées, pour laquelle a été rédigé cet article |
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