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Autrement, j'avais apprécié Stalingrad et Berlin du même auteur. Je trouve qu'avoir eu un accès, même restreint, aux archives soviétiques est un plus (bien que cela ne soit pas exempt de tout risque de manipulation) et a contribué au rafraichissement des connaissances concernant ces évenements.
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~EMMERDEUR [n.m.] : Personne qui vous emmerde. Vous en connaissez sûrement une... |
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Les deux seuls trucs dont je me souviens sur le coup sont l'anecdote du "ruhige Nacht" à la place du "gute Nacht" dans Stalingrad, qui n'a par la suite pas être prouvé autrement que par un rapport soviétique (hem hem)
Le 2e truc, c'est dans le même livre, le récit de l'écroulement du front roumain qui a permis le mouvement en tenaille d'encerclement. Les Roumains y sont décris comme extrêmement lâches, certaines unités entières s'enfuyant même avant d'avoir tiré un coup de feu. La recherche moderne (dernière décennie) est pourtant plutôt d'accord sur le fait que les Roumains se sont fait massacrer sur place, mais n'ont pu faire grand-chose, par manque d'équipement anti-char adapté. |
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" Citation:
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#14
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je crois qu'il y a eu un gouvernement Basque en éxil pendant de tres longues années! j'aimerais beaucoup avoir des renseignements sur son histoire ! PS:l je me suis autoquoté pour remettre le "fil" sur des rails plus conformes au sujet (et surtout plus intéressants en ce qui me concerne )
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Sol Invictus LA LIBERTE OU LA MORT Dernière modification par Griffon ; 10/09/2006 à 13h28. |
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Sol Invictus LA LIBERTE OU LA MORT |
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Pour citer le bouquin, tout simplement : "Néanmoins les Roumains se batirent avec un grand courage, surtout si l'on considére qu'ils avaient été abandonnés par la plupart de leurs officiers et sous-officiers, occupés à festoyer à l'arrière" Bref sur plusieurs pages, il rend hommage à la combativité des Roumains et pointe du doigt l'incohérence au niveau de l'Etat Major allemand. Donc il y a de grandes chances que je lise son livre sur l'Espagne (j'avais déjà lu "la guerre d'Espagne" de Guy hermet, c'était trés interessant. J'imagine que le type de narration utiisé par Beevor rendra cet évenement encore plus "vivant" ) |
#17
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III ) Proclamation de la République basque Guernica, le 7 octobre 1936 ! Des centaines de basques entourent le chêne millénaire des libertés d’Euskadi. La République espagnole vient enfin de réaliser son erreur et devant le très grand péril qui la menace, elle reconnaît, un peu tard, l’autonomie du Pays Basque.Agé de 32 ans, Aguirre forme alors le premier gouvernement basque qui sera d’unité nationale avec cinq sociaux chrétiens, trois socialistes, un communiste et deux libéraux. Il prête serment devant le chêne : “Humble devant le Seigneur d’en haut, Malgré l’occupation d’une partie de l’Euskadi par les franquistes, le gouvernement d’Aguirre va réaliser un programme économique et social très progressiste pour l’époque : assurances sociales, allocations familiales, représentants élus des salariés dans les Conseils d’Administration d’usines et de banques paritairement avec ceux des propriétaires, rapports directs entre les coopératives agricoles de production et les coopératives ouvrières de consommation.debout sur la terre basque, me souvenant des ancêtres, de bien remplir mon mandat je fais serment.” Une université et un enseignement public basque sont créés. L’Euskadi frappe sa propre monnaie, arbore son drapeau, délivre des passeports, ouvre des légations dans les pays étrangers, maîtrise les télécommunications et la radio. Sur le plan militaire, le gouvernement basque met en place une armée populaire qui va donner du fil à retordre aux armées allemandes, italiennes et franquistes. Pour mieux résister au fascisme, il transforme l’industrie du temps de paix en fabriques d’armement et il ravitaille activement la population assiégée et bombardée régulièrement par la légion Condor. Devant l’anarchie et les massacres qui ont cours de tous côtés dans le reste de l’Espagne, la jeune république basque fait l’admiration de plusieurs gouvernements étrangers, en particulier celle des Anglais comme Antony Eden le gendre de Churchill. Le 30 novembre 1936, les Basques passent à l’offensive contre les troupes franquistes du colonel Iglesias afin d’obliger Franco à desserrer l’étau autour de Madrid. Mais le 5 décembre l’aviation et l’artillerie fascistes arrêtent l’assaut basque et le général Mola pense raser rapidement la Biscaye que bombardent les avions allemands. La résistance acharnée des Basques lui coûtera plus de 20 000 morts et blessés, la perte de 18 avions, de nombreux tanks et d’un cuirassé ! Il sera lui-même tué. L’Euskadi aligne cent mille hommes sur 120 km de front avec un armement nettement inférieur à celui de l’adversaire franquiste qui bénéficie de la logistique d’Hitler et de Mussolini. Les populations civiles seront durement touchées. Un jeune ouvrier tourneur, Beldarrain, commande une armée d’ouvriers basques décidés à barrer la route au fascisme. Chaque fois que les franquistes pensent opérer une percée décisive, ils sont repoussés par les hommes de Beldarrain qui colmatent les brèches après avoir simulé un recul pour mieux préparer une nouvelle ligne de défense. Mais ce courage du désespoir est à plusieurs reprises affaibli par la défection de bataillons anarchistes qui lâchent les Basques dont ils ne partagent pas les sentiments nationaux. Les Franquistes qui ne viennent pas à bout de la résistance basque font appel à l’aviation nazie pour détruire l’Euskadi. C’est alors le massacre de la population civile de Guernika par la légion Condor le 26 avril 1937, puis la chute de Bilbao le 19 juin suivant dont les usines intactes fourniront désormais des armes pour Franco et Hitler. Le gouvernement basque et son armée se replient vers l’Ouest de la Biscaye et vont défendre Santander qui tombera le 14 août. Aguirre, le chef du gouvernement, songe à rallier le front catalan ; or le gouvernement républicain espagnol replié à Valence refuse. Le 23 août Aguirre négocie alors une reddition auprès des Italiens qui lui donnent des garanties pour son peuple, mais Franco exige qu’on lui livre les Basques. Quelques responsables, dont Aguirre, réussissent à s’enfuir pour continuer la lutte à l’extérieur.
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J'ai aussi relu ce passage...
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~EMMERDEUR [n.m.] : Personne qui vous emmerde. Vous en connaissez sûrement une... |
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Et pour revenir au sujet la république espagnole avait donnée l'autonomie aux basques , leur déclaration d'indépendance en pleine guerre a affaibli la camp républicains. (enfin tu va me dire que c'est la vision espagnole )
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Fall Gelb 1940 , un AAR Decisive Battles of WWII |
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et ce n'est pas par les méthodes ci dessus que la République Basque a obtenue son indépendance ! les représentants ,élus démocratiquement ,du peuple Basque l'ont tout simplement proclamée !
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