AAR Autriche BOURRIN

[von Aasen]

Von Aasen : c'est fou ce qu'on a l'air gentils, diiiingue
Schnick : oui ben au moins les popovs les annexent et se tapent plein de bélligérance. Ptête même que les Ricains vont leur déclarer la guerre et ...
von Aasen : calme-toi tu me rappelles Adolf. On va se faire laminer un point c'est tout. Maintenant, faut juste encore tenir le temps que Palpat' ait le temps de bouffer son balais.
Chazam : je fais passer ca à la radio ?
Von Aasen : si ca te chante, de toutes facons au point où on est hein ... 'fin bon les méchants vont quand même avoir du mal à nous débusquer avec nos mécas 44 et nos dizaines d'alpins hein.

Schnick : oui on est même pas trop mauvais en fait.
Von Aasen : pourquoi ces blaireaux à Graz y se battent ?
Schnick : parce qu'on démolit du russe par là-bas. En fait à Graz et à Györ on tombe que sur quelques divisions, alors régulièrement on leur dessoude la gueule avec 25 divs à la fois pour qu'ils pigent qu'ils ont intérêt à amener toute l'armée Rouge pour nous déloger.
Von Aasen : ah, on s'amuse alors. Allez hop faites cuire des croissants.
Schnick : on fait quoi de notre div en Crète ?
Von Aasen : on la file aux Grecs en corps expéditionnaire, zont qu'a se démerder avec.

Schnick : en fait les Allemands se font même pas trop enfoncer ...
von Aasen : ca va pas tarder, ne pense même pas à une contre-offensive, on a rien pour couvrir les flancs.
Cinglant : et si on créait une armée de cavalerie blindée ? Ca bouffe pas de pétrole et c'est super-rapide !

Von Aasen : pourquoi y tournent au Colza peut-être les blindés ?
Cinglant : bah heu oui, nos ingénieurs se sont donnés de la peine vous savez hin.
Von Aasen : ok on essaye d'en construire un max, mais c'est pour défendre.
En choeur :