Les aventures de la GPO 2008

[Danton]

Déclaration Impériale




Qui sonne ici le tocsin des menaces, de la guerre et de la division? L’Empereur appèle immédiatement à la Raison : protestants et catholiques vénèrent le même Dieu, le seul, l’unique . Sa religion est amour : aime ton prochain comme toi-même. Il ne peut, il ne saurait y avoir guerre religieuse au nom d’une différence de culte : la chrétienté est une malgré ses multitudes.


Au nom du Christ Sauveur, que ces querelles absurdes cessent et que tous les chrétiens se réunissent pour s’unir contre la menace Mahométane qui pèse sur le monde : c’est ensembles que nous pourrons triompher de l’Infidèle, qui attise les feux de la discorde . Ne le laissons pas réussir et montrons lui que la chrétienté, qui est bonté et amour, ne saurait accepter que ses fils se déchirent.




Catholiques et Protestants sont nos prénoms, Chrétiens est notre nom de famille.

[TCAO]

Réponse à la déclaration impérial.

Comment osé vous nous jugez! Nos actions sont légitime, l'aristocratie anglaise écrasant les gens de notre foi, qui sont profondément pour l'égalité, dans un pays comme le notre où nous sommes arrivé à la pur égalité, cette tyrannie nous a profondément choqué, nous étions obligé d'agir pour obliger le roi de Grande Bretagne de s'établir en protecteur du bas peuple opprimé contre sa noblesse. Cette querelle n'était point "absurde" comme vous l'affirmez!
Pour ce qui est de la croisade, nos théologiens discutent des fondements de celle-ci, pour voir si elle respecte bien le message du Christ qui est comme vous le dites "bonté et amour", nous vous ferrons part de leur réponse dès qu'ils aurront fini.

Cordialement Frederik IV.

[SnoopyNap]

Epopées mamlouks (1541 - 1557) - ou Le Grand Eveil de l'Oryx


Nous avons un joyau dans nos déserts, une gazelle qui a su s'adapter au désert, vivre là où d'autres ne peuvent survivre, à force d'économie d'eau, de patience, et de persévérance : l'oryx. Tels sont nos souverains, qui règne après règne, bâtissent une voie à travers le désert. Parmi ceux-ci notre actuel souverain se distingue particulièrement. Certains déjà le vénèrent sous le nom Muad'Dib et prédisent le retour de l'eau au pied des dunes ; mais je m'égare ; ces prophéties ne sont sans-doute pas de notre temps. Reste que Jaqmaq III, notre vénéré souverain, est en passe de réussir l'unification de la péninsule arabique.
Ce souverain, doté de solides compétences (Administration +7, Diplomatie +8) est à l'image du pays, à savoir des promesses à l'écrit , et des lacunes désespérantes en pratique (Guerre +0) , tel un mirage du désert.

Après un début de règne éclipsé par la guerre austro-danoise-ottomane à laquelle il décida sans se démonter de participer, notre souverain s'illustra par des coups de génie diplomatique. Conséquences de la dite guerre qui se termina en 1541, sa première action fut de garantir la liberté des nations maghrébines, Maroc, Algers, Tunisie, marquant concrètement pour la première fois l'emprise mamelouk dans cette région. Ainsi envoya t-il des garnisons au Maroc , lointaines mais présentes sentinelles. Après quoi il oeuvra au bien intérieur du royaume : il convainquit le Hedjaz de nous rejoindre enfin en 922 (1544). La Mecque désormais, nous appartient, et nous défendrons. Gloire à Allah ! Dans la foulée, le Qara Qoyunlu, après une juste période de probation décennale fut accepté en notre sein en 924 (1546). Voilà une carte qui commençait à avoir de la gueule :

Jaqmaq III paracheva son travail en diplo-vassalisant la Tunisie - 927 (1549) -, afin de sécuriser la frontière occidentale, ainsi que le Yémen - 930 (1552) -, petit pays à la dérive dont la capitale était aux mains de rebelles depuis 15 ans. Déjà âgé , 22 ans de règne, Jaqmaq III est encore vaillant et oeuvrera jusqu'au bout au réveil de l'oryx du désert.
A preuve nos revenus qui poursuivent leur progression, dans le sillage des plus grands.

(Nous saluons au passage la belle progression anglaise !)
Ah , ainsi guidés, si nos ducats ne s'évaporaient pas sous le soleil de plomb du désert, quelles aventures scientifiques ne mènerions-nous pas !

SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

[SnoopyNap]

Notre cour se félicite des lumières qui se sont embrasées au nord, par dessus tant d'obscurantisme. Manifestement , malgré vos errements passés, vos nouvelles approches de la foi vous assagissent. Que nous l'appelions Jahvé, Dieu, ou Allah, nous honorons tous le dieu d'Abraham, d'où il découle que des guerres entre nos nations sont en effet injustifiées. Puissiez-vous bientôt mener votre bonne parole en terre barbaro-germaine.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

*****Chroniques du royaume de Grande-Bretagne*****

Un nouveau monde, une nouvelle vie.

La 2ème guerre contre la France s'était terminée en desastre. Le roi Arthur I d'York pris la décision de se désengager définitivement du continent au début du XVIeme siècle.

Les frères Cabots proposèrent une expédition originale à la cour de Grande-Bretagne: rejoindre la Chine et les Inde par la route de l'Ouest. La terre serait peut-être ronde comme le prétendait déjà d'anciens mathématiciens grecs... cela pouvait être tenté. Les frères Cabots n'atégnirent jamais la Chine mais un nouveau rivage vierge de toute présence d'états organisés qui fut baptisé Virginie.

Les premiers contacts avec les indigenes furent prometeurs mais une révolte détrusit le 1er établissement britanique en Virginie. Le roi réagit prestement et décida d'envoyer 2000 cavaliers anglais dans ce nouveau monde. Rapidement els autochtones éfrrayé par les chevaux abandonnèrent toute resistance et abandonna la cote à aux premiers colons partis d'Angleterre.

La colonisation de la Virginie commençait. La découverte d'une plante appelé tabac qui une fois seché pouvait se fumer fut importé en Angleterre et connu immédiatement un grand succé. La Virginie ne contenait pas d'or mais de grandes promesses pour l'avenir. Cependant toutes les exportations devait passer par le centre de commerce portugais de Lisbonne car ce nouveau marché virginien était encore trop limité... la couronne devait prendre patience et continuer les investissements dans cette nouvelle terre promise.

La guerre Veneto-Castillane

Les fièvres du continent devait à nouveau atteindre le royaume. La république de Venize cherchait desepérement un port sur l'Atlantique afin de lui permettre d'exploiter les terres autrefois découverte par un certain Colomb. La guerre éclata entre la Castille et Venize au sujet du Maroc. Malgré une supériorité navale incontestable de la part de Venise, les armées de Castille rempotèrent de grandes victoires et dégagea complement le Maroc de l'influence Venitienne.

La Grande-Bretagne avait honnoré son alliance avec la Castille. Mais cela était un grand creve-coeur car depuis longtemps, Venize était une république amie de la couronne. La Grande Bretagne bien qu'en guerre ne participa aucune à cette preimière phase de la guerre qui se déroula sur le sol marocain.

Apres son echec au Maroc, Venize changea ses projets et jeta son dévolu sur les iles portugaises des açores et déclara la guerre au Portugal. La coupe devenait pleine pour la Grande Bretagne. En effet Notre royaume n'avait que deux alliances officielles, une avec la Castille et l'autre avec le Portugal... et voila nos deux alliés attaqué par Venise.

Venise exploita habilement sa suprématie maritime en bloquant l'armada real dans ses ports andalous pendant que l'invasion des Açores commençait. Le roi de castille et celui du Portugal pressèrent le roi Arthur d'intervenir directement. Ordre fut donné à la royal Navy d'appareiler de Plymouth pour rejoindre la flotte Castillane.

La Royal Navy n'avait pas été reconstituée depuis sot desastre dans le Pas-de-calais devant la Royale Française. C'est ainsi 6 caraques et 5 galères qui aprés avoir fait escale à la Corogne parvient à Cadix pour se placer sous le commandement de l'amiral Castillan.

La flotte vénitienne avait entamé le debarquement de troupes italiennes aux Açores... il était peut etre le moment d'essayer de la suprendre. L'Amiral Castillan ordonna d'appareil à la flotte combinée et se porter vers l'Ouest... vers les navires vénitiens. La Bataille débuta au sud des Açores...elle ne dura que fort peu longtemps... les navires anglo-castillans furent dispersés et coullé jusqu'au dernier. Il n'y eu aucun survivant coté britannique et la royal Navy connu à nouveau son plus grand desastre de son histoire.

Les caisses du trésor étaient vides mais cependant la Grande Bretagne était décidé à soutenir son allié castillan coute que coute. En urgence, 20 caravelles modernes furent commandées aux chantiers navaux de toute la Grande-Bretagne. Pour cela le roi Artgur porta les impots au maximum et emprunta aux grandes banques.
Mais La castille devait subir dans l'intervalle un nouveau desastre naval... une paix fut alors signé avec Venize. Les nouvelles caravelles ne sortir en mer que bien des smaines apres la signature de la paix.

Le décollage du commerce du Tabac

Le Commerce du tabac pris rapidement une grande ampleur et la Grande-Bretagne estima que le commerce ne devait plus se faire par le centre de commerce de Lisbonne mais directement en Virginie. Le Centre de commerce du tabac ouvrit à Powatan et connu rapidement un grand succé. En l'espace de 10 années, les revenus commerciaux explosèrent et ceux de la couronne également. En une décenie à peine, le produit nationale de la Grande-Bretagne devait doubler...

[TCAO]

Chronique de Scandinavie. 1541-1557.



-Libération du royaume de Pologne de son lien de vassalité avec la sublime porte :


En 1541, grâce à la médiation du royaume de Castille qui offrit la libération du Maroc, la sublime porte et son infidèle souverain acceptèrent nos conditions, mettant fin à ce conflit sanglant entre nos deux parties, gloire à l'Empereur et au roi de Scandinavie, les défenseurs de l'Europe face au Barbare!



-Construction de la première flotte mondiale.


Après le conflit, le feu roi Frederik III, ordonne le sabordage de la flotte de méditerranée constituée que de Galéasse, vaisseaux ne pouvant tenir la haute mer comme l’avait demandé l’état major, pour constitué une flotte de vaisseau lourd. Pendant plusieurs année nos arsenaux attendirent la version finale d’un navire devant nous donner la suprématie maritime Le navire ainsi crée prit le nom commun de Galion, il est vrai qu’il est moins rapide que la caravelle, mais ce premier emporte un armement supérieur, nos talents de marin devraient compenser cette perte de vitesse. Frederik III lança un effort d’envergure national pour la construction de cette flotte, en deux ans furent construit 50 de ces navires lourds, la plus grande flotte au monde !



-Guerre de succession du Salzburg.



Au mois d’octobre 1541, une missive de l’Empereur nous arriva, celui-ci nous demandé de l’aide contre la succession en cour au Salzburg avec le roi de Bavière. Notre roi devait entamer l’année qui suivait dans l’empire jusqu'à Vienne, voulant en profiter pour rencontrer les seigneurs protestant du saint empire romain germanique pour les assurer de son aide.

Les discussions furent houleuses pour décidé si on devait aider ce seigneur catholique, l’argument qui mit fin à la discussion fut le fait que cette guerre n’était qu’entre catholique et que nous combattrions aucun frère et qu’on pourrait même en profiter pour évangéliser la région en amenant un très grand nombre de pasteur à notre suite.

Notre souverain prit la tête d’une armée de 7000 milles fantassin et marcha à travers l’empire arrivant en Bavière en 1542, notre armé participant au siège des places fortes de la région, et amenant nourriture et protection à la faible communauté réformé de Bavière qui sous l’effet de nos pasteurs croissait de jour en jour, la transformant en principale communauté de cet état en 1551.

La paix de 1543 installa l’autorité de Vienne sur la région, renforçant son pré-carré, après deux mois de repos à Vienne notre souverain put revenir en notre capitale.





-La guerre de conversion de la Grande Bretagne.



Depuis l’installation d’une communauté réformée sur les terres britannique, nos souverains surveillés la situation de cet état, et sa politique envers nos frères britanniques converti, cet état de Grande Bretagne par sa politique de soutien au puissant féodaux, participait aux brimades que nos communautés égalitaristes subissaient de ceci, ne pouvant supporter toute rébellion contre leur pouvoir, notre état engagé dans des réformes de dissolution de tout privilège, combat réussit juste après la guerre, cela ne pouvait être qu’intolérable !

Après plusieurs demande, un ultimatum fut lancé en 1548 mais fut totalement refusé par le roi des iles Britannique poussé par sa noblesse malgré ses sympathies pour les idées réformés.

Le 16 octobre 1548, la guerre fut déclarée, rejoint par nos alliés protestant allemand, notre marine royal partit à la recherche de la Royal Navy, qui s’échappa vers un port irlandais et y resta protéger en attendant le départ de notre armada pour s’enfuir dans les indes de l’ouest.

La décision fut prise de la construction d’une flotte de blocus pour empêcher tout commerce extérieur et pousser la Royal Navy à l’action. La flotte britannique réapparut en mars 1550 fonçant dans la manche, frappant notre marine de galère, notre flotte principal ne pouvant agir du fait d’une tempête la bloquant en rade de Cherbourg assez de temps pour que notre blocus tombe à l’eau. A partir de ce moment une course poursuite fut engager avec la Royal Navy fuyant vers ses colonies en faisant le tour de l’Ecosse, de jour en jour notre marine prit de l’avance, engageant le combat sur les cotes écossaises le 21 avril 1550, face à nos 53 galions, 37 caravelles, et un meilleur commandement de notre cotés, à la fin du mois, la flotte britannique avait totalement disparu, notre marine rentrant groupé au port d’Orkney sans perte.

Avec cette victoire terrible, les Britanniques engagèrent des pourparlers de paix, leur souverain s’engageant à se convertir et à abandonner toute prétention sur les iles Orkney, contre 1000 ducas.


Aujourd'hui le royaume de Scandinavie et le royame de Grande Bretagne marche ensemble dans la défense de la relgion réformé, et de leur peuple.



Bataille de la mer d'écosse.

-La fin de tout privilège.



Le fils de Frederik IV, aussi tourné que son père dans la religion réformé, mit fin au privilège qui étouffait la société, acceptant par deux fois les pétitions des bourgeois et du bas peuples.




-Engagement dans la guerre de Brunswick.

En septembre 1550, nos états prirent part à cette guerre de défense, selon nos engagements de défendre la Bohème, celle-ci connue une fin rapide, la France vassalisant ce pays en mars 1551.

-Une concurrence international de plus en plus forte.

Avec l'ouverture de nous nouveaux marché avec la colonisation du nouveau monde, notre niveau de richesse est rejoint par la France, Venise et la Grande Bretagne, mais cela n'est que conjoncturelle selon les avis de nos spécialiste économique, qui prone une offensive commercial rapide pour recuperer une avance en ce domaine et garantir notre avance technologique sur la plupart des secteurs.

[Danton]

Déclaration Impériale



Nous faisons savoir au monde que nous sommes menacé par la France, de loin la première puissance mondiale, qui ose exiger l'abandon des Flandres , notre province la plus riche, de laquelle nous tirons près de 20% de nos revenus ( centre de commerce, manufacture, impôts monstrueusement élevés etc etc).

Si nous perdons ce joyaux, nous retomberons à l'âge de la pierre et l'équilibre européen sera rompu à jamais. Aussi, nous annonçons au monde notre décision de lutter avec vaillance et courage: les armées Impériales accompliront des miracles pour sauver l'Empire et l'Europe.

Si le Roi de France ne renonce pas, de partout nos hordes surgiront et le Saint Empire Romain Germanique se lèvera unanimement derrière l'Empereur Dieu pour faire échouer cet acte ignoble

Si le Très Haut nous donne la victoire, nous exigerons la libération des vassaux français de Lorraine, de Suisse et de Liège, ainsi que l'abandon du core Français sur la Franche-Comté, paix d'une valeur équivalente à l'abandon des Flandres.

Ainsi, une fois de plus, l'Empire va combattre pour la liberté des peuples.


Nous lutterons et nous vaincrons!

[comeon]

Chroniques vénitiennes

La conquète de la Sicile

Alors que la France venait de rompre ses liens de vassalité avec l'Aragon par quelques sombres maneuvres pour s'engager dans une guerre contre son ancien vassal afin de récupérer le Roussillon, la République de Venise préparait ses plans pour obtenir quelques territoires dans le sud de l'Italie. En effet cete zone était la seule encore libre de l'influence française, et était pour Venise une zone extrèmement importante afin de renforcer notre ridicule armée de terre à l'époque encore moins fournie en hommes que le Portugal.

Nous attendions pour intervenir sur ces terres, alors aragonaises, que le Roi de France en finisse avec le Roussillon, afin que tous puissent voir que la République n'attaque jamais aucune nation dans le dos.

Seulement, une fois la paix faite entre Paris et Barcelone, la Castille, sans doute inquiète injustement de nos plans, attaqua immédiatement l'Aragon afin de forcer la création de l'unité espagne par la force. Nous ne reviendrons pas sur cette affaire castillo-aragonaise, puisque Venise reconnait tout à fait la légitimé de la future nation espagnole sur l'est de l'Ibérie. En revanche, il ne pouvait pas être accepté pour nous que l'Espagne mette un pied en Italie, comme jadis la Castille avait refusé que nous mettions le pied au Maroc.
Or, l'Aragon venait de façon étrange de se créer un royaume vassal sur toute l'italie du Sud ainsi que la Sicile. En abandonnant ainsi le contrôle directe sur ses terres, tous pourront considérer qu'il s'agissait d'une reconnaisse de fait par l'Aragon des prétentions vénitiennes. Nous laissant ainsi assumer le contrôle sur ces terres, pendant que les troupes aragonaises se battraient en Ibérie.

La guerre fut relativement rapide et une bonne partie des terres furent offertes à Venise par Naples.


La colonisation des Antilles.

Après ces évènements s'ensuivit une période sombre d'instabilité pour Venise pendant environ 10 ans où des révoltes religieuses, des chutes répétées de stabilité, une épidémie de Peste débutante à Rhodes (jugulée fort heureusement par notre expérience acquise lors de la récente peste française).
Puis la république sortie la tête de l'eau pour se lancer à la conquète des Antilles, décourtes depuis fort longtemps, mais ne pouvant pas encore être colonisé jusqu'alors par la faute de navires non-adaptés. C'est ainsi 2 comptoirs vénitiens qui se sont déjà ouverts.


Diplomatie

Nous nous inquiétons des guerres de religion qui commencent à secouer l'Europe. Nous condamnons l'agression Kalmarienne sur la Grande-Bretagne la forçant à changer de religion officielle par la force.
Nous irons même plus loin en craignant que ne se développe au nord une puissance maritime terrifiante pouvant rivaliser avec nous. En effet, Kalmar, favorisé honteusement par la géographie de sa région, est loin de toute puissance étrangère à ses frontières, et peut donc tranquillement imposer sa loi aux autres nations commerçantes d'Europe. La menace de guerre que Kalmar nous a envoyés suite à un embargo temporaire contre elle en est la preuve.
Si d'autres nations commerciales se sentent menacé par l'hégémonie commerciale et maritime Kalmarienne, qu'elles nous contactent pour que nous puissions discuter de ce problème.
Il a en outre été décidé par le Grand Conseil et le Sénat de dépenser dès maintenant des sommes colossales dans le domaine naval afin de rattraper le retard que nous avons sur Kalmar. Suite aux victoires sur la Castille et l'Angleterre, en effet, le domaine maritime avait été temporairement négligé au profit de la colonisation. Les grandes victoires apportent toujours leur lot de dangers, et se reposer sur ses lauriers en est le principal.

Dernier motif d'inquiétude, il est pour nous celui de l' "alliance protestante" qui réunit à l'heure actuelle l'Angleterre, la France, et Kalmar (soit les 3 nations les plus riches du monde).
Nous ne doutons pas qu'il existe entre ces nations une certaine amitié, certe pas encore une alliance officielle, comme les capitales protestantes l'ont dit, mais ce rapprochement est dangereux à terme pour l'Europe si il continue sur la même voie. Déjà les mers sont entre les mains des kalmariens et de leur vassal anglais.

Venise n'a pas d'autre choix que de se rapprocher de l'Empereur, dernière grande puissance catholique d'Europe, tant que l'Espagne n'est pas crée. Nous nous sentons en effet menacé de toute part : par la france en Italie qui peut si elle souhaite nous écraser en quelques jours si nous lui déplaisons, et par les flottes protestantes sur les mers qui nous menacent de plus en plus clairement. Tout comme l'Empereur le danger est partout pour nous.
Nous ne ferons de langue de bois : les relations entre Venise et l'Autriche, ainsi que les relations entre Venise et la Castille ne sont pas excellentes, mais au lieu de nous battre pour savoir qui à raison ou non, nous devons absolument trouver un terran d'entente, sinon quoi la chrétient divisée comme elle est verra de sombres jours se dessiner devant elle.

[SnoopyNap]

Face à tant de déchirements dans la chrétienté nous ne pouvons que faire religieusement silence. Entre-déchirez-vous ; nous nous occupons de bouter hors Méditerranée les pirates musulmans.

[Danton]

Chroniques Impériales. 1541 – 1556. La marche vers la guerre



En 1541, immense succès Impérial , le Sultan libère la Pologne de sa sombre emprise. La Chrétienté unanime se relève pour applaudir à tout rompre l’Empereur Dieu victorieux, Bras Armée du Christ, et son allié de Scandinavie. Cette Sainte Croisade avait cependant été mises à profit par certains comploteurs pour semer le trouble dans le Saint Empire : ainsi, l’alliance Wurtemberg, Bavière et Anspach, tenta d’annexer Salzburg. La réaction Impériale ne se fit pas attendre et bon ordre a été rétablis au sein de l’Empire, avec le soutien du Roi de Scandinavie, notre valeureux allié.


C’est alors que Venise, profitant honteusement d’une vacance du pouvoir en Castille , attaqua sauvagement l’Aragon, avec la complicité Française. Les droits des peuples étaient bafoués de la façon la plus ignoble possible et c’est tout naturellement que les malheureuses victimes firent appel à l’Empereur Dieu, garant de la Justice, de la paix et de la stabilité dans le monde .


La France déclara publiquement ne pas se soucier de cette histoire et l’Empereur lança alors un ultimatum à Venise, qui ne prit même pas la peine de répondre. Par contre, quand Vienne entra dans la guerre, pour protéger un Royaume chrétien attaqué, quelle ne fut pas notre surprise de nous retrouver aussi en guerre avec la France…


Avec une rare couardise , Paris et Venise s’étaient en effet rapidement alliés dès l’annonce de l’ultimatum Impérial et ce en dépit de l’engagement public de la France à ne pas intervenir . Vexé, et surtout absolument pas préparé pour mener une guerre contre la première puissance mondiale, l’Empereur Dieu signa une paix blanche et prophétisa que Paris allait regretter, tôt ou tard, d’avoir ainsi soutenu le renforcement de Venise…


En attendant, la France, qui n’avait pas été consultée pour la signature de la paix ( Venise étant le chef d’alliance), commença à nous menacer de plus en plus ouvertement et finit par nous lancer un véritable ultimatum : la libération des Flandres ou la guerre. A Vienne, ce fut la consternation… Les Flandres ? Là où se trouvait notre unique centre de commerce ? Là où se trouvait une de nos deux manufactures ? Là où les impôts rapportaient plus que dans aucune autre province de l’Empire ? La France ne pouvait pas être sérieuse… Et pourtant, elle l’était .


Menacé, violenté, harcelé de partout ( le Sultan nous menaçait aussi de guerre, et Venise de représailles), l’Empereur Dieu retroussa ses manches et ordonna la mobilisation générale : la France voulait la guerre et l’immense fortune des Flandres ? Qu’elle vienne donc… Et si le Très Haut nous donne la victoire, nous réclamerons légitimement la libération de la Lorraine, de Liège et de la Suisse. Il est grand temps que la France aux milliers d’alliés cède du terrain, l’Europe a besoin de retrouver un certain équilibre.


Préoccupé lui aussi par le déséquilibre total qui minait l’Europe, le Doge repris contact avec Vienne, non pour menacer, mais pour discuter de certains soucis communs. Des ambassadeurs Impériaux partirent aussi pour Madrid et même Constantinople ( où ils furent d’ailleurs tellement mal reçu qu’ils se sont empressés de retourner à Vienne : l’Infidèle n’est qu’un grossier malpoli ), sans oublier notre allié de Scandinavie. Des heures sombres s’annonçaient, nos armées se massaient dans les Flandres, nos arsenaux vomissaient nuit et jour de nouveaux canons et arquebuses : si la France persiste, elle trouvera à qui parler…