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![]() L'Empire Ottoman 1457-1487 I - Une défaite au goût amer En 1457, chrétiens et Musulmans s'affrontaient depuis quelques années. Si jusqu'à maintenant le sultan avait dù abandonné les terres hongroises, il ne cédait pas un pouce de terrain et infligeait régulièrement de sévères défaites à ses adversaires dans les Etats balkaniques frontaliers de l'Empire. Voyant qu'il leur était impossible de passer, de nous vaincre. Les chrétiens choisirent de frapper dans la partie orientale de l'Empire en bloquant soigneusement le Bosphore. Leur débarquement grossier failli même échouer, la cavalerie ottomane étant à 2 doigts de franchir le Bosphore à temps. Evidemment, ils leur étaient beaucoup plus facile de faire des sièges là où il n'y avait pas d'adversaires. Des quantités importantes d'hommes débarquèrent ce qui nous laisse penser que plus aucune troupe ne se trouvait à Venise ou en Autriche. Pendant ce temps, étant dans l'impossibilité d'atteindre leur royaume pour les frapper au coeur, le sultan choisit de tenter de dégager la partie orientale de l'Empire. Une longue et difficile traversée commença, allant de la Crimée aux Mamelouks en passant par le Caucase. Ce choix eu des conséquences importantes sur les effectifs déjà atteints de l'armée. Un jour, les 8000 cavaliers (du moins en théorie) arrivèrent en Anatolie. Malheureusement, pendant ce temps, les chrétiens vomissaient de plus en plus de troupes sur nos côtes. Avec un grand étonnement nous constations que la petite puissance militaire vénitienne était la plus représentée ce qui n'avait pas de sens vu son poids démographique. Cet Etat faisait en fait grimper son inflation dans des proportions folles et assurément sans aucun respect pour le peuple vénitien qui allait en subir les conséquences. Ce qui devait arrivé arriva. Malgré quelques victoires initiales, l'usure de nos troupes et surtout l'impossibilité de renouveller les effectifs perdus nous obligèrent à signer la paix. Ce n'était pas une victoire chrétienne mais une défaite ottomane, en ce sens où ce ne sont pas les chrétiens qui nous ont privé de nos ressources en hommes par leur victoire mais nous-même par les épuisantes traversées qu'il fallait faire. Karaman, dans notre dos, fut vassalisé de force par l'Autriche. La Morée fut cédé à Venise et Athènes retrouva son indépendance. Enfin la Serbie fut libéré de sa vassalité envers nous mais préféra rester notre allié. Ce qui en dit long sur le besoin de liberté et la haine qu'étaient censés nourrir les peuples chrétiens au sein de l'Empire turc. II - L'affirmation de la souveraineté ottomane Nullement abattu par ce contre-temps, le sultan décida de poursuivre ses projets comme si de rien n'était. Il était temps d'affirmer la supériorité ottomane sur les petits Etats orientaux comme Dukadir et autres. Si certains ne posèrent guère de difficultés et ce rangèrent sous notre autorité, d'autres furent plus réticent. C'est le cas du Qara Koyunlu. La guerre devenait inévitable. Elle ne fut pas évité mais provoqué. Le sultan prit préxtexte d'une énième attaque des Qaraéns contre un de ses voisins pour intervenir. Le Mamelouk, qui avait noué peu de temps auparavant une alliance avec l'Empire Ottoman, en fit autant. La campagne ne fut que démonstration de l'art militaire ottoman. Car rapidement les Mamelouks se retirèrent de la guerre. 3 provinces : Ajam, Gilan et Manzadarin tombèrent dans notre giron, pendant que notre vassal Ak Koyunlu récupérait l'Azerbaïdjan. Malheureusement, peu de temps après, la région connu de graves troubles et de nombreuses provinces entrèrent en révolte. Notre ancien adversaire, le Qara Koyunlu, incapable de faire face fut divisé en 2 avec la création d'un royaume perse indépendant. 2 des provinces que nous venions de conquérir dans la région choisirent de se rallier à cet Etat perse naissant. Cela était inadmissible. Le Qara Koyunlu fut placé sous notre protection car ce jeune Etat perse semblait particulièrement vorace et irrespectueux des plus puissants que lui. Nous ne nous étions point trompés. Très vite une guerre éclata entre anciens sujets d'un même Etat. Nous étions appelé à l'aide. Le sultan choisit d'intervenir. Il assura d'abord l'indépendance du Qara Koyunlu, écrasa les armées perses et les traita en vaincu. L'Etat perse devait restituer les 2 provinces turques qui l'avait rejoint et une 3e en dédommagement. De plus, il devenait un vassal de l'Empire Ottoman. Alors qu'à l'est la paix et le calme reprenait leurs droits. Le guide des Turcs tourna son regard vers l'Occident. Les 5 années du traité de paix d'avec les chrétiens s'étaient écoulées, notre guide frappa alors d'embargo Venise et, au passage, l'Union de Kalmar. Les marchands des 2 royaumes étaient si présent dans notre cot qu'il nous étaient impossible d'envoyer nos marchands. De plus Venise payait également la dernière guerre. Le sultan leur fit savoir que notre cot ne serait rouvert à leur marchands que contre un dédommagement pécunier. Bien sur, il demanda nettement plus à Venise qu'à l'Union de Kalmar qui n'avait rien à se reprocher. D'ailleurs, à ce jour, cette dernière peut de nouveau commercer en Thrace. Le duché d'athènes que le sultan avait dù relacher fut annexé en qlq jours après démonstration de sa puissance militaire. Aucun chrétien ne broncha. Cette activité incessante du chef des Turcs avaient été récompensé par un développement économique et militaire certain. Les revenus de l'Etat augmentèrent de plus de 50%. La puissance militaire s'est accrue : plus d'hommes, un ravitaillement meilleur, un entrainement plus performant. D'autre part, l'absence d'une flotte ottomane sera compensé très probablement par le traité de non prolifération chrétienne en Orient en pourpaler avec les Mamelouks qui assurerait ainsi une protection sur les bases arrières de l'Empire. La puissance ottomane monte indiscutablement. Progresse t-elle aussi vite à Venise et en Autriche ? Il vaudrait mieux pour eux... DIPLOMATIE : - aux Etats chrétiens : tous ceux qui commerceront dans nos cots seront susceptibles d'être frappé d'embargo s'il ne s'acquittent pas d'un droit de commerce. Dans notre grande sagesse, nous savons faire la différence entre les commerçants voraces, ceux qui nuisent à nos propres marchands et les autres qui ont bien du mal à maintenir 2 marchands. - à la Castille : nous n'oublierons pas de si tôt ce que vous avez fait subir à nos frères musulmans de Grenade. Si Allah nous en donne la force, vous le paierez un jour.
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1458 – 1475. La dixième Croisade
La Sainte Croisade reprenait de plus belle ![]() ![]() ![]() ![]() Le but de l’Empereur était cependant plus vaste, plus rusé ![]() ![]() ![]() Le Sultan ne capitula cependant pas et fit appel à ses formidables ressources humaines pour lever une nouvelle armée directement en Anatolie. Ces troupes lui permirent très rapidement de passer à la contre-offensive, d’autant que l’usure était terrible pour les croisés ![]() ![]() Formidable puissance navale et dirigée par un souverain Juste et Bon ![]() ![]() Les Janissaires cependant trouvèrent refuge dans les royaumes musulmans voisins et, après de longs mois pour reconstituer leurs forces, alors que l’usure décimait toujours les croisés, les Infidèles contre-attaquèrent à nouveau : la vague emporta tout sur son passage ![]() ![]() Le gain semblait cependant bien dérisoire en comparé des formidables moyens engagés. C’est alors que le Doge et l’Empereur, sans concertation aucune mais animés par la même nécessité, lancèrent un nouvel et puissant effort : le Doge se ruina pour lever de nouvelles troupes, l’Empereur prit la terrible décision d’abandonner complètement le continent européen ![]() ![]() Cet afflux de troupes permit, en 1464, de repartir de l’avant et les deux chrétiens se partagèrent cette fois les rôles : l’Empereur retournait vers l’est de l’Anatolie, le Doge remontait directement vers Constantinople. ![]() Cette fois, les Janissaires échouèrent complètement à refouler l’invasion et toutes les provinces du Sultan tombaient les unes après les autres ![]() ![]() Désespéré, le Sultan concentra ses meilleurs troupes pour une ultime contre-offensive : en décembre 1464, il lança ses Janissaires contre les Croisés qui assiégeaient Constantinople ![]() ![]() ![]() Pulvérisés, les Janissaires offrirent enfin leur reddition : les conditions de paix Chrétiennes furent TRES généreuses, que le Sultan ne l’oublie pas ![]() Ainsi s’acheva la dixième Croisade : elle avait duré 10 ans et se soldait par une victoire indiscutable de la Chrétienté :epee: … Représentée malheureusement uniquement par ses deux champions : le Doge de Venise et l’Empereur d’Autriche. Dernière modification par Danton ; 09/02/2008 à 13h31. |
#3
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1476 – 1487. L’Empereur sauve une fois encore la Hongrie
La situation en Hongrie sombre dans le chaos le plus complet : partout, des agents Infidèles sèment le trouble et poussent à la révolte, afin de permettre au Sultan des Infidèles de cueillir ce joyau de la chrétienté comme un fruit mûr ![]() « Ainsi, l’Infidèle, après sa tentative de conquérir militairement la Hongrie, essaye désormais de s’en emparer par des moyens plus subversifs ![]() ![]() ![]() ![]() Brisés, les Autrichiens doivent reculer sans cesse et les pertes sont terribles, mais l’Empereur garde son calme : ses réserves sont inépuisables. De plus, le Sultan des Infidèles, Osman II, décède enfin et son âme perverse est précipitée en enfer ![]() ![]() Le Roi Janos I de Hongrie est sauvé et peut reprendre les rennes du pouvoir mais, très vite, il réalise que les saboteurs Infidèles n’ont pas désarmés : ils se sont juste repliés et concentrent désormais tous leurs efforts non pas sur la totalité du royaume Hongrois, mais uniquement sur les provinces de Pecs, Serton et Ersekujvar. Débordé, le Roi Janos I sent son pouvoir vaciller et il fait à nouveau appel à l’Empereur, lui offrant ces trois provinces ![]() Cette œuvre libératrice terminée, l’Empereur peut enfin tourner son regard éclairé et bienveillant vers d’autres cieux. Ce qu’il vit ne lui plut pas toujours : certains avaient honteusement profité de sa Sainte Lutte contre les Infidèles pour se remplir les poches et violer tous les préceptes Chrétiens. Que ceux là prennent garde car qui pactise avec l’Infidèle, qui frappe dans le dos un Chrétien en croisade, celui là sera excommunié par le Saint Père et promit aux tourments éternels ![]() Dantonus Magnus, Historiographe officiel de l’Empereur Danton I, Roi d’Autriche, Rempart de la Chrétienté, Empereur du Saint Empire Romain Germanique et descendant de Pierre ![]() |
#4
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Quand la Sublime Porte parle tout le monde se tait
L'empereur d'un empire décadent et inexistant ferait mieux d'apprendre son histoire. En aucune façon, nous signâmes une paix blanche avec la Hongrie c'est un affâme complot du dieu des chrétiens, EUesque, qui imposa une paix pour des raisons futiles et pleines de mauvaise foi. D'autre part, l'annexion du duché d'Athènes, terres légitimes de l'Empire Ottoman successeur de l'Empire byzantin s'est produite bien avant l'année 1464. Au contraire de vous qui agissait dans le dos, cette annexion fut faite à la vue de tous et en représaille suite au débarquement dans nos terres orientales ![]() N'est ce pas étonnant que des chrétiens qui remportent une victoire laissent des conseillers musulmans, soit disant, autour du roi de Hongrie ? De même, quelle surprise que de voir que les troupes hongroises se sont ardemment battues pour préserver l'indépendance de leur royaume contre les troupes impériales censées être venu les sauver. Enfin, il est fort étonnant de constater que malgré le fait que le roi de Hongrie en personne, soit disant, vous ai confié 3 des terres hongroises vous ayez subi une réprobation d'une partie du monde chrétien (les ia parce que les joueurs humains, à part un, s'en foutent) à l'origine de votre mauvaise réputation ![]()
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#5
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Chroniques vénitiennes
La guerre venéto-turque (1454-1464) : la Victoire Alors que la guerre s’enlisait de plus en plus dans les Balkans, où, profitant du terrain favorable à la défense, les deux camps se neutralisaient réciproquement, la République de Venise, profitant de l’anéantissement de la flotte turque suite à l’écrasante victoire de Loredan à Naxos, proposa à l’Empereur un projet d’une audace inouïe : l’invasion de l’Anatolie turque par le blocus du Bosphore. On ne narrera pas ici les évènements de cette campagne victorieuse ayant amené le Sultan à céder, ces évènements ayant été brillamment exposés par les historiens de Vienne. On notera juste les difficiles batailles près d’Ankara où les janissaires faillirent remporter une victoire remettant en question toute l’expédition, mais qui fort heureusement n’eut pas lieu. Notons également le siège de Constantinople par les troupes vénitiennes pendant plusieurs mois. La ville ayant pu être prise si la Sultan n’avait pas sagement décidé de négocier avec les Croisés. La force de nuisance des blocus ayant amené le trésor turc à la quasi-faillite, fut une expèrience très intéressante. Cet accord de paix apporta à Venise le contrôle direct de la Morée, restaurant ainsi la grandeur et la puissance républicaine des anciens temps que nos ancêtres avaient construit. La Serbie fut exemptée de tribut envers le Turc, tout comme la principauté d’Athènes qui fut libérée. L’Alliance entre Venise et l’Empereur avait parfaitement réussie dans son objectif : mettre un point d’arrêt à l’expansionnisme mahométans en Europe. Félicitons nous également des succès des rois de Castille qui ont à cœur de se débarrasser définitivement de la verrue que représente Cordoue en Andalousie. Néanmoins, cette victoire aussi éclatante qu’elle fusse, eut de sérieuses répercussions sur le trésor républicain : bien que le commerce eut été peu touché malgré les raids de pirates incessants, le Doge dut ordonner la frappe de nouvelles monnaies durant la guerre, l’inflation, bien que contenue augmenta donc sensiblement. L’avertissement français. Alors que plusieurs s’était écoulées de relative paix en Europe, voilà que la Royaume de France se retrouve en guerre contre la Bourgogne, et menace très clairement d’annexer le Brabant, le Valenciennois, l’Artois, et la Bourgogne. Ceci faisant suite à l’annexion de la Bretagne, de la Provence et de l’Anjou… A cette longue liste s’ajoute les prétentions françaises en Gascogne toujours anglaise (et probablement après la Flandres annexée, Calais…). Non seulement le Roi de France ne daigna faire aucune diplomatie, aucune déclaration, aucune concertation, aucun avertissement… mais encore il osa se déclarer choqué quand l’Angleterre, Venise, Castille et Aragon réagirent promptement en déclarant la guerre à la France. Fort heureusement pour l’Europe, le Roi se décida à traiter et fit paix blanche avec la Bourgogne et la Coalition. Néanmoins, ce même Roi toujours jaloux des richesses vénitiennes et de son implication diplomatique pour l’équilibre européen, se lança dans des guerres d’Italie inconsidérée : non seulement la Savoie fut vassalisée, mais encore notre voisin Milanais ! Mais ça n’est pas fini : non content de cela, la France fut engagée dans une guerre contre Rome et le Pape lui-même ! A cette heure, Avignon, terre papale est occupée par la France ! Mais ça n’est toujours pas fini : la France est également en guerre contre la Toscane ! Nous n’avons nulle envie de défendre la Toscane, puisque celle-ci n’a pas hésité à annexer Ancône au pape. Pour protéger l’Italie et le Pape des appétits français, les troupes vénitiennes ont été obligées d’intervenir en Toscane avant que les français n’arrivent… Dès que celle-ci sera sous notre contrôle, nous rendrons Ancône au Pape, nous annexerons Ravenne, et nous ne vassaliseront pas la Toscane, qui sera ainsi remise à ces frontières de 1453. Ainsi toute l’Europe est témoin que Venise affiche et communique ses intentions très clairement contrairement à d’autres… Mais bien sûr cela ne sera possible que lorsque la France aura fait paix blanche avec la Toscane ET avec le Pape : une annexion d’Avignon serait tout à fait intolérable et déclencherait immédiatement une 2e coalition contre la France. Nous prévenons la France : Venise sera toute prête à ouvrir de nouvelles relations uniquement quand un certains nombre d’exigences, entièrement partagées par nos amis et alliés seront remplies : -La libération de la Savoie et du milanais, terres d’Empire -La paix blanche avec la Toscane et le Pape -Le renoncement des prétentions françaises en Bourgogne et en gascogne et à Calais -La levée de l'embargo à Paris Suite à venir.. Dernière modification par comeon ; 09/02/2008 à 19h53. |
#6
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![]() ![]() Histoires Moscovites 1453 – 1487 Naissance d’une puissance Nos diplomates ont su se montrer convaincant, et les principautés de Tver et Yaroslav ont rapidement rejoint le destin du Grand Duché de Moscovie. Mais, cette puissance naissante a effrayé les hordes tartares de Kazan et de Crimée, qui s’allièrent dans le but avoué de détruire la civilisation chrétienne dans cette partie du monde. Les premières vagues submergèrent les armées moscovites en large infériorité numérique. Mais les batailles successives démontrèrent à l’ennemi notre farouche volonté et entamèrent leur détermination avec le temps. Au bout de 3 ans de guerre sans succès, les Tartares décidèrent alors qu’il était temps de rentrer dans leurs steppes. Le Grand Duché de Moscovie avait survécu A l’Ouest, la puissance de Novgorod était sur le déclin. Ils n’avaient pas su défendre leurs provinces orientales, dont les populations russes et orthodoxes avaient été abandonnées au joug tartares de Kazan. Le temps était donc venu pour la Moscovie de devenir le Champion des populations russes. Le Grand Duc Vassily II décida donc d’envoyer des milliers de diplomates moscovites, soutenus par notre allié et vassal Khanate jusqu’aux rives de la Baltique. Une nouvelles fois, notre diplomatie fut concluante et Novgorod décida volontairement de renoncer à sa souveraineté sous la pression de sa population. Les frontières du Grand Duché de Moscovie furent donc repoussées, nous octroyant un nouvel accès à la mer. ![]() Diplomates moscovites CARTE DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE : 1487 ![]() Tout aurait pu aller pour le mieux du monde, si ce funeste jour du 3 Septembre 1483 n'avait pas vu la mort de notre bien aimé Grand Duc Vassily II emporté par un mal soudain. Rapidement, la rumeur d'empoisonement fit son apparition car sans descendant direct, plusieurs familles avaient des vues directes sur le trône. Un conseil de Régence pris donc les affaires en mains, mais l'instabilité atteignait son paroxysme, et plusieurs nobles affichaient ouvertement leur opposition. ![]() Les diplomates moscovites portaient donc dorénavant toute leur attention sur la restauration de la paix à l'intérieur de nos frontières. Fort à faire avec toutes ces préoccupations, luttant pour sa propre survie, le grand Duché n'a pas pu porter grande attention aux restes des affaires du Monde. Nous saluons cependant les efforts de l'Empereur du Saint Empire Germanique à lutter contre les velléités impérialistes ottomanes, comme nous l'avons fait contre les Tartares. Nous apportons également notre plus profonde estime au Roi du Danemark. Nous sommes tous deux concernés par les tribulations des rebelles suédois, et espérons que votre Royaume saura imposer son pouvoir dans ces contrées nordiques. Nous sommes également fort contrits par l'arrogance de marchands vénitiens, à qui nous avons ouvert les portes de nos centres de Commerces, mais qui visiblement n'ont donc d'autres volonté que de s'enrichir sans porter la moindre considération au pays hôte. |
#7
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Banlieue de Moscou Fevrier 2008
Dans l'appartement du 83 rue de Potnyova à Moscou, la famille Charkovski est réunie pour feter l'anniversaire du grand pere Vassily Charkovski, 81 ans. Pendant que les femmes prépare le repas dans la cuisine, le vieil homme regarde la télé accompagné de son petit fils, Piotr. C'est l'heure de la grande messe de l'information, avec la très médiatique Clairshaya Chazalanova. ![]() 'Mesdames, Messieurs, Bonsoir et longue vie à notre président Poutine bien aimé. Hier, les forces du FSB ont arreté une bande de terroristes qui préparait une vague d'attentats à travers la Russie. Les terroristes qui se nomment les Fils des Cavaliers Mongols se disent vouloir combattre pour la liberation des territoires tartares, mais selon de sources sures, il s'agit certainement d'agitateurs politiques payés par l'opposition à notre bien aimé Président qui ne veulent que provoquer de l'instabilité afin de discrediter le gouvernement, pourtant reconnu comme le meilleur du monde et qui est plebiscité par toute la population russe.. Longue vie à notre bien aimé Président Poutine' Le petit Piotr se retoune alors vers son grand père 'Dit, Grand Papa c'est quoi les Tartares ?' Mon petit Piotr, il y a bien longtemps, la Russie n'existait pas encore. En fait il n'y avait que des champs et des fortes autour de Moscou. Et à cette époque, les paysans vivaient dans la crainte des attaques mongoles qui venaient tel des essaims de sauterelles piller les récoltes. Mais un jour, alors que la guerre civile sevissait, un nouveau Tasr est arrivé Dimitry VII (16 Octobre 1588). Dimitry mit d'abord de l'ordre en rallaint tous les nobles et les obligeant à faire allégeance. Le Tsar avait ausi de grandes ambitions, il décida alors de créer la Sainte Russie en 1492 revendiquant toutes les terres aux alentours ![]() Mais il restait toujours la menaces des mongols etTartares : Ils étaient réunis autour de 5 tribus principales : Les Khanates, Les Crimée, les Kazan, les Sibirs et les Kazakhs. Dimitry parvint à convainctre pacifiquement les Khanates de rejoindre la Sainte Russie, mais les 4 autres s'etaient réunis pour faire une large alliance, continuant de menacer la vie de nos paysans. Ce danger ne pouvait pas durer, et le Tsar prit les armes pour chatier les Tartares. Les armées russes menées par de valeureux generaux réussirent à défaire les cavaliers ennemis, prenant leur territoires et les obligeant à se soumettre à son autorité... A la mort de Dimitry en 1510 la Russie avait doublé de taille.... ![]() |
#8
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Chronique de Scandinavie : 1487-1510.
En avant vers la réunification ! Après des années de paix entre la Suède et nous, notre grand souverain, Philippe II brisa la glace, alors que la grande guerre du Nord venait de se terminer, les belligérants totalement essoufflés par ce long conflit. La population du royaume de Suède avait grandement souffert de cette guerre, et n’attendait que le retour que du souverain légitime pour rétablir la prospérité perdue par les tyrans de Stockholm. Les opérations militaires de reconquête de la péninsule scandinave furent lancer en 1489, l’opération fut rondement menée, et ne durèrent qu’un an, le chétif « roi de suède » ne fit guère de résistance, n’arrivant à mobiliser qu’un millier ce chevalier pour le soutenir. La trêve fut signer au bout d’un an, nous reprîmes l’autorité sur la Finlande, ajoutant la couronne de ce royaume à celle du Danemark dans la grande cathédral de Copenhague. Ce fut à ce moment que la crise diplomatique nous frappe, un noble étranger venait de mourir sur nos terres, nous ouvrâmes des investigations sur son meurtre mais celle-ci furent infructueuse. Quatre mois plus tard, notre grand diplomate Torbald Moth, s’éteignit d’un vilain rhume ! (5 étoiles !) En avant pour 15 ans d’attente ! Les opérations furent reprise en 1505, permettant la prise des 3 places au Nord de nos états danois, aucun troupe ne se leva pour nous empêcher en moins de 6 moins notre autorité était établit sur la région. Mais un bonheur n’arrive jamais seul! Quelques mois après le 22 avril 1506, Philippe II mourra après 23 ans de règne. Son fils pris sa suite malgré ses qualités de bon militaire et administrateur, il n’hérita pas des capacités diplomatiques de son père. Mais relativisons la mort de Philippe II, celle-ci amena, définitivement la Norvège en notre sein, la couronne de ce royaume quittant la Basilique d’Oslo pour Copenhague. Les opérations militaires furent reprise dès le début du règne de Vilhelm I, limitant le pouvoir de la dynastie félonne, à la seule province autour de Stockolm, aujourd’hui les opérations militaires sont au point mort, vu notre réputation nous empêchant tout mouvement international. Le règne de Vilhelm I aura pour but le développement de nos provinces. ![]() Missive diplomatique : A la France : Nous avons apprit par le Doge de Venise que vous nourrissiez des prétentions sur les Flandres, notre amitié vous est perdue tant que vous ne renoncerez pas à annexer la province ! A Venise : Nous sommes heureux d’avoir réussit à mettre fin au conflit entre nos deux états, nous espérons pouvoir continuer une coexistence pacifique entre nos peuples. A l’Ottomans : Abandonné toute pensé d’embargo ou de tribut, si vous ne voulez pas voir notre flotte faire le blocus de vos cotes !
Cordialement l'Empereur de Scandinavie.
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire ) On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche ) Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche ) |
#9
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La 2e guerre de Hongrie (ou l'art de raconter une guerre quand on a aucun screen, aucun souvenir des dates et de grands faits)
Aux temps où l'OM renaissait de ses cendres, tel le phénix, pour entamer un nouvel envol, aux temps où Danton feignait la maladie pour éviter mon courroux, le souvenir de la 2e guerre de Hongrie était passé. Rares étaient ceux qui en connaissaient même l'existence. C'est pourquoi, moi descendant d'un des acteurs de cette guerre, j'ai décidé de vous raconter ce que mon père m'avait raconté qu'il tenait de son père, qui lui-même le tenait de sa mère (c'est pour changer un peu) qui le tenait de.....etc. Cette guerre mis aux prises une nouvelle fois les forces impériales, commandés par le redoutablement mauvais archiduc d'Autriche, et les forces ottomanes guidées par la sagesse et la bonté du Sultan. D'aucuns disent que d'autres nations s'en mêlèrent, mais dans notre famille on n'y a jamais cru. En tout cas, sur le champ de théâtre hongrois on ne trouvait qu'impériaux, turcs et un peu de hongrois. Plus personne ne sait aujourd'hui quand se déroula précisément ce conflit. Certains historiens le font débuter à la fin des années 1470 et finir au début des années 1480. D'autres évoquent des bornes chronologiques plus tardives d'une dizaine d'années environ. Par contre ce que l'on sait bien, c'est pourquoi ce conflit éclata et qui le remporta. A cette époque, un brutal et cruel barbare régnait en Autriche. L'envie était son pain et la jalousie son eau. Pas un seul jour que Dieu faisait sans que ce prince fasse parler de lui en mal. Même ses sujets le maudissaient mais sa cruauté n'avait d'égale que sa force et il ne faisait donc pas bon d'afficher publiquement ses pensées. Un jour, alors qu'il voyageait dans l'ancienne province hongroise de Pëcs (prise de force quelques décennies auparavant par son père), il aperçut un petit château fort cossu avec climatisation, ascenseur, chauffage central et eau courante. Son palais de Vienne fait de torchis, de bois et de paille paraissait bien fade à côté. Il décida donc qu'il passerait la nuit dans ce petit château. Evidemment, les occupants château furent exécutés car ce cruel despote avait décidé de s'approprier cette demeure. Or, cette malheureuse famille était, comme tout le peuple hongrois d'ailleurs, de fidèle patriote. Jamais ils n'avaient abandonnés leur allégence au roi de Hongrie et à la famille royale hongroise. Parmi elle, plus que nul autre, plus que le roi même, une princesse hongroise suscitait l'admiration et l'amour de tous. Sa beauté n'était concurrencé que par sa bonté de coeur. Chez beaucoup de hongrois, une véritable dévotion s'étaient instaurée pour cette princesse dont les représentations se multipliaient. C'est ainsi, alors qu'il déambulait dans le grand couloir de ce petit château, que le méchant archiduc tomba nez à nez avec un portrait de la princesse : ![]() Evidemment, même le plus noir des coeurs ne pouvait rester indifférent à tant de beauté. Aussi fou que cela puisse paraître, le coeur de ce prince noir se mit à frémir. Malheureusement, Envie et Jalousie veillaient et étouffèrent dans l'oeuf ce qui aurait pu être de l'amour dans ce coeur de méchant homme. Elles ne laissèrent subsister que Convoitise. Et c'est guidée par elle, que l'archiduc exigea de son intendant qu'il aille immédiatement au village le plus proche demandait qui est cette personne. Qu'il tue tous les villageois si cela est nécessaire pour obtenir une réponse. Il n'eut pas à attendre longtemps. Quelques heures plus tard il connaissait son nom, son origine et sa situation présente. Elle s'appelait Eva Mendes et était fille du roi de Hongrie. Lorsque l'intendant annonça où se trouvait actuellement cette beauté, ce fut ses dernières paroles avant que l'abominable archiduc le transperce avec son épée ivre qu'il était, de colère, à la nouvelle. Car la sublime princesse Eva Mendes était tout simplement la 1er épouse du Sultan. On dit même que le Sultan n'aima et ne connut charnellement aucune autre femme à partir du jour où il l'épousa. C'est ainsi que tout commença...à cause d'un tableau. Dans sa convoitise, l'archiduc ne recula devant rien. N'ayant aucun honneur, il envoya de nombreux hommes à la cour ottomane pour déclarer ses intentions à la belle. Il la courtisait publiquement et à travers ses ambassadeurs. Il exigeait du sultan qu'il la lui donne comme si celle-ci était un objet. La princesse resta évidemment indifférente aux avances peu élégantes de ce prince à la réputation si noire. Le sultan, qui au début se gaussait assez de la situation, commença petit à petit à perdre patience. Chez les chrétiens aussi il était interdit de convoiter la femme de son prochain, le sultan ne comprenez pas ce comportement outrancié. Il voulait vivre en paix avec sa femme, mais n'hésiterez pas à récourir à la force si c'était le seul moyen d'atteindre cette paix. A chacun de ses (nombreux) échecs, l'archiduc entrait dans une rage folle, cassant tout ce qu'il avait sous la main, tuant même parfois ses domestiques. Il comprit qu'il ne pouvait gagner le coeur de cette femme mais ne renonça pas pour autant à la faire sienne. Il ourdit alors une sombre machination. Il fit réunir son état-major et son armée pour préparer la guerre contre la Hongrie... Personne dans son Etat major n'osa lui faire quelconque remarque même si tous n'y voyait que folie. L'objectif de ce vil prince était de capturer la famille de la princesse. Ainsi il escomptait obtenir du père qu'il dénonce le mariage de sa fille d'avec le sultan et la promette à l'archiduc. Son autre espoir était de lancer un ultimatum à la princesse Eva Mendes : soit elle se livrait soit sa famille serait exécutée. La guerre éclata. Heureusement pour le camp des gentils, le sultan et la princesse, dont l'intelligence égalait la beauté, se méfiaient depuis longtemps de ce tyrannique prince et faisait attentivement surveiller les frontières de la Hongrie. Car depuis que la princesse avait apporté la paix dans le coeur du sultan, celui-ci avait reconnu son erreur et ne convoitait plus le royaume de Hongrie qu'il souhaitait voir prospérer. A la nouvelle de l'avancée des troupes impériales vers la frontière hongroise, le sultan ordonna à son armée de pénétrer en Hongrie et de défendre son peuple et la famille royale. C'est ainsi qu'une situation pour le moins originale se constitua : un musulman défendait un royaume chrétien contre un chrétien. La guerre dura plusieurs années. Les troupes ottomanes fortes du bon droit de leur côté, encouragées par le peuple hongrois et remarquablement commandées par un sultan qui en avait fait une affaire personnelle, écrasèrent les troupes impériales et les firent décamper des terres hongroises. Progressivement, les troupes ottomanes pénétrèrent en Autriche et s'approchèrent de Vienne. Certaines troupes entamèrent même un siège de la capitale impériale mais ne purent si maintenir assez longtemps. De toute façon cela n'était plus nécessaire. L'archiduc, abandonné de tous et vaincu, se résolut à la paix. Le sultan exigea qu'il cesse de convoiter sa femme, qu'il laisse à l'avenir tranquille la Hongrie et libère le petit peuple de Karaman anciens vassaux des autrichiens. Une fois de plus l'amour triomphait du mal et la princesse, rayonnante, fit grande fête à son héros à son retour ![]()
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VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant ![]() Dernière modification par lemarseillais ; 17/02/2008 à 17h12. |
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Quand la Sublime Porte parle on se tait
Quelle surprise que de voir une manifestation d'hostilité à notre encontre de la part de l'Union de Kalmar. Il m'est d'avis que vous vous êtes concertés à un moment ou un autre avec un autre prince. Comme nous l'avons dit au doge de Venise, qui a signé avec nous un accord lui ouvrant de nouveau l'accès à notre cot, personne ne peut et doit penser pouvoir nous dicter nos actes. Jusqu'à preuve du contraire, le centre de commerce de Thrace est nôtre et non vôtre. Nous en sommes donc les maîtres absolus et ce n'est certainement pas par la menace que vous obtiendrez quelque chose. Si vous ne revenez pas très rapidemment sur vos propos, nous vous traiterons exactement comme la république de Venise, cad qu'au lieu de vous demander 50 ducats pour 3 ans de commerce dans notre cot nous en demanderons 50 pour 2 ans. Si cela vous pose un quelconque problème libre à vous de ne pas commercer chez nous, nous n'obligeons personne. Ayez recours à la force si votre courage est aussi grand que votre folie.
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