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Vieux 31/10/2007, 02h30
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I. L'émergence de Dantonius





Hiver -230/-229


Suite aux élections, tous doivent se préparer à remplir la tâche qui leur a été donnée. Tous ? Non, certains sont déjà sur le terrain comme Ricus qui se trouve aux portes de la Macédoine, ou encore d'autres se sont préparés déjà avant les élections comme c'est le cas pour Dantonius.

Lever des troupes étant une tâche longue et fastidieuse, le jeune préteur a là un avantage non négligeable sur les autres. Ainsi il part rapidement vers l'Epire en compagnie d'un nouveau venu qui sera son légat : Marcellus Ofonius Pumbus.

Pumbus était issu d'une petite famille patricienne sans grande envergure ni sans grande richesse. S'il est présent aux côtés de Dantonius c'est tout simplement parce qu'il présente des qualités rares de commandement, il sait très bien se faire apprécier de ses hommes. Fort heureusement c'est bien la seule chose qu'on lui demande, il n'a sinon aucune compétence particulière.







Alors que Dantonius embarque avec ses hommes dans le port d'Ostie au sud de Rome, Ricus lui a déjà commencé sa campagne en Macédoine et commence à se diriger vers Thessalonique. Il y bat facilement une petite armée macédonienne avant de commencer le siège de la cité.






Mais elle ne résistera pas longtemps au consul qui va s'en emparer après à peine 3 semaines de siège. La cité sera pillée et la population en grande partie envoyée à Rome. Notre cité n'a d'ailleurs jamais reçu plus d'esclaves que lors de cette guerre... pourtant elle ne fait que commencer !



Printemps -229


Pendant ce temps à Rome on se prépare pour l'organisation des plus grandes fesitivités que la cité n'ait jamais connu. Avec l'aide de Coelius, Yboomus obtient l'autorisation du Sénat d'effectuer un triomphe pour ses succès ayant mis fin à la guerre contre l'Illyrie.

En réalité son action en Epire était relativement limité, et il aurait dû se contenter logiquement de l'ovatio, sorte de petit triomphe. Mais les conditions étaient réunies pour célébrer la gloire de Rome : fin de la guerre en Illyrie, rapprochement de Yboomus avec Coelius, élection au consulat de Yboomus, capture du dernier Roi d'Illyrie par ce dernier et le sac de Pella par Jmlus qui a rapporté énormément de richessses à Rome. Bref tout était là pour montrer au peuple la grandeur de la République.

Si lors du triomphe l'on confond les trésors amassés par Ricus avec ceux d'Yboomus ainsi que le fabuleux trésor de Pella de Jmlus, tout est là pour impressioner n'importe quel citoyen : les chars comportant les butins sont incroyablement nombreux, et il faudra attendre longtemps avant de voir défiler finalement Yboomus et ses hommes avec une couronne de lauriers suivis enfin du Roi Illyrien vaincu qui sera ensuite étranglé au Tullianum (prison de Rome). La fête est grandiose et ravit tout le peuple émerveillé par la toute puissance de la République.

Mais les festivités prennent fin, et Yboomus est attendu en Macédoine pour de nouveaux exploits. Mais avant de partir il réunit une dernière fois le Sénat pour créer une seconde flotte pour protéger les côtes de Gaule cisalpine constamment menacées par les pirates et les Gaulois qui s'en prennent aux navires marchands. Le Sénat autorise la construction de 200 quinquérèmes, ce qui en fera la plus grande flotte de la République, et peut-être même de la mer Méditerranée !







Printemps -228


De l'autre côté de l'Adriatique on est moins festif : Ricus quitte Thessalonique et se dirige vers l'est, rencontrant l'armée qui a vaincu Jmlus. Les légionnaires déferlent sur eux comme s'ils vengeaient leurs frères morts au combat et font preuve d'une violence rare. Mais le principal est atteint : l'armée ennemie est vaincue et leur général capturé puis exécuté : Jmlus est vengé !

Pris dans l'euphorie de leur victoire ils poursuivent plus loin, plus à l'est, vers la cité de Philippi. Ricus va tomber là nez à nez contre une imposante armée macédonienne.






Très tôt, certains de leur avantage numérique, les macédoniens tentent de déborder nos lignes déjà très étirées.




Mais en même temps que les macédoniens tentent de déborder, ils s'attaquer violement à nos lignes. De ce fait ils immobilisent la plupart de nos soldats et Ricus est rapidement dans l'incapacité de manoeuvrer efficacement. Il fait replier les ailes de manière à protéger les flancs, mais l'entreprise ne connait guère de succès : l'ennemi avancant toujours plus loin finit par se retrouver juste derrière nous... et la trop faible cavalerie de Ricus ne peut rien faire pour l'en en empêcher.





Le combat se déroule par la suite dans un chaos total, Ricus ne peut plus manoeuvrer ses troupes, et les pertes romains sont effroyables. Alors que la bataille n'était pas encore proche de son issue, Ricus craignant pour sa vie s'enfuit et laisse ses hommes abandonnés à un triste sort. Jamais encore un commandant romain n'avait fuit aussi lâchement en laissant ses hommes derrière lui !



La bataille semblait déjà perdue et Ricus s'éloigne avec quelques uns de ses cavaliers vers Thessalonique. Aucun autre romain ne sortira vivant de cette bataille : l'ennemi n'aura aucune pitié envers ceux qui asservissent, tuent et pillent sans vergogne les leurs.







Ricus rentrera finalement à Thessalonique où la situation est tendue avec les légionnaires restés dans la cité pour maintenir l'ordre durant l'absence du consul. La population elle même est agitée car elle voit là l'occasion rêvée de chasser un ennemi désormais complètement démunit.

Mais pas si démunit que ça finalement, Dantonius débarque enfin avec ses troupes en Epire. Encore peu connu, il est pourtant très attendu des soldats coincés en Macédoine, plus que déçus de l'attitude de Ricus, et confiants envers le fils adoptif d'un des plus grands généraux de Rome : Coelius !

Alors que Dantonius se dirige vers Thessalonique l'innatendu se produit : Ricus est découvert mort avec un glaive planté dans le coeur ! Si cela ressemble fortement à un suicide, il est étonnant que le consul ait voulu mettre fin à sa vie alors qu'il y tenait tant quelques semaines auparavant ! Qu'importe s'il s'agit vraiment d'un suicide, ou s'il a été forcé de le faire, ou voire même un assassinat masqué, l'important est qu'un consul est mort et que la campagne de la Macédoine est une véritable catastrophe qui a vu la perte de nombreuses légions et de deux consuls.

La population de Thessalonique l'apprend vite et profite de l'occasion pour tenter de chasser les légionnaires de la cité. Il règne dans la cité un chaos total et les soldats se retranchent dans l'ancien palais Royal des Rois de Macédoine.





La situation est presque désespérée mais les quelques soldats romains tiennent bon jusqu'à l'arrivée de Dantonius avec ses 3 légions qui va ramener rapidement l'ordre... dans le sang...
Dantonius, très proche et apprécié des soldats, se fait acclamer par la poignée de soldats de Ricus encore vivants et qui vont désormais rejoindre ses rangs.

Mais la situation est quelque peu bloquée pendant quelques temps : Dantonius n'est que préteur, et ses ordres sont clairs : il doit maintenir l'ordre dans les récentes conquêtes de Rome, pas plus !
Ainsi il reste quelques temps dans la cité de Thessalonique fortement endommagée par la guerre et les révoltes avant de recevoir des nouvelles de Rome : avec la mort de Ricus, de nouvelles élections ont eu lieu, et vu les circonstances Dantonius n'a eu aucun problème pour se faire élire consul suffect ! Il remplace ainsi Ricus dans ses prérogatives et peut poursuivre la difficile conquête de la Macédoine.


Mais la guerre se complique fortement malgré l'arrivée d'Yboomus qui débarque au sud de Scodra : la Macédoine dispose encore de nombreuses ressourses et assiègent Pella avant que Dantonius ne les repousse vers l'est, mais dans le même temps le sud de l'Epire est prise, avec notamment la cité d'Apollonia. Ils ont profité de la faible garnison de la ville pour la prendre très rapidement... ce qui sera moins aisément le cas pour nous : le frère de Ricus, Cyphus, est obligé d'assiéger la cité. Ce dernier était encore à Antigonea lors de l'arrivée de Dantonius en Macédoine, et était le légat de son propre frère avec une légion sous son commandement. Mais la mort de Ricus a changé la donne, et Cyphus se retrouve donc à servir son remplacant : le consul suffect Dantonius.






Mais si la situation en Macédoine est compliquée, Rome ne semble pas remettre en cause le plan de conquête du sud de la Gaule transalpine par le proconsul Palpatus. Ce dernier va devoir faire face à des armées nombreuses et la volonté d'un homme qui se rebellera contre Rome : Lemarseillix.
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II. Les Gaulois attaquent !






Printemps -228


Lemarseillix pendant sa traversée des Alpes pour rejoindre ses frères, fesait savoir à tous que les Romains se préparaient à les envahir. Il espérait trouver du soutien pour repousser les Romains hors de Gaule... de toutes les Gaules ! Mais la tâche sera bien plus ardue qu'il ne le pensait : les Gaulois sont divisés en de très nombreux peuples avec aucune unité politique. Bref, leurs origines sont peut-être leurs seuls points communs. Ce sera très certainement le principal obstacle que Lemarseillix va rencontrer : une unification des peuples Gaulois contre Rome.

En traversant les Alpes, Lemarseillix va d'abord rencontrer les Allobroges, peuplant le nord des Alpes (en Savoie grosso modo), parmi les plus puissants des peuples Gaulois. Il les prévient des intentions des Romains et tente de les rallier à sa cause. Si les Allobroges ne restent pas insensibles aux dires du cisalpin, ils refusent pour autant de se laisser commander par quiconque, et encore moins par un jeune parvenu inconnu de tous de ce côté des Alpes.

Ainsi les Allobroges vont rapidement rassembler leurs hommes et s'attaquer eux même aux Romains. C'est ainsi qu'ils se dirigent en printemps -228 vers la cité de Jenuensis.





Lemarseillix se rend compte de la folie de leur entreprise, et n'a plus qu'une autre solution pour éviter que tous ne se jettent isoléments sur les Romains : poursuivre plus en avant en Gaule en exhorter tous les autres peuples à fondre sur la Gaule cisalpine !

En attendant c'est Palpatus alerté qui fond sur les Allobroges depuis Mediolanum et leur inflige une défaite sanglante devant Jenuensis. Le proconsul est presque prêt pour sa campagne transalpine, il laisse la grande Mediolanum sous le contrôle de Florianus pendant que Tahitus est sur le terrain, aux côtés de son père.





L'énorme cité, avec le départ de Palpatus et de la quasi totalité de ses légions, est enfin devenue vulnérable. Mais la moindre révolte et ce serait le retour de Palpatus avec ses conséquences implacables : confiscation des terres, exécutions, persécutions encore plus fortes sur la population celtique.

Et le salut viendra bel et bien de Lemarseillix, qui s'il ne parvient toujours pas à fédérer les divers peuples Gaulois, réussit à les convaincre de s'en prendre à Rome.

C'est ainsi que des dizaines de milliers de Gaulois marchent vers la Gaule cisalpine, traversant le Rhône et longeant la Durance avant de passer le fleuve dans les Alpes.

S'il s'agit là d'un merveilleux spectacle, tous ne participent pas encore au mouvement, c'est pourquoi Lemarseillix se dirige vers Gergovie, capitale du plus puissant peuple de Gaule : les Arvernes.

Cependant cette formidable marche ne peut passer inaperçue et rapidement Palpatus est tenu au courant de l'avancée gauloise et entend pour la première fois le nom de Lemarseillix... Bien qu'il espérait rentrer à Mediolanum pour y passer l'hiver avant de commencer réellement sa campagne, les évènements l'obligent à réagir. Ainsi malgré le froid et la neige Palpatus doit se diriger vers les Alpes pour barrer la route aux Gaulois au moins 5 fois plus nombreux selon ses renseignements.

Dans de telles conditions une victoire semble improbable, voire même impossible à emporter si le terrain n'est pas extrêmement favorable au proconsul. C'est pourquoi Palpatus va se positionner au niveau du seul accès possible vers la Gaule cisalpine par la voie qu'ont emprunté les Gaulois : un pont enjambant la Durance, fleuve déchainé qui n'offre aucun autre point de passage.




Si le bruit de l'avancée des Gaulois se propage aux oreilles de Palpatus, la nouvelle se répand également un peu partout dans la République et très rapidement.

Le Sénat lui même s'inquiète des conséquences d'une victoire celte. Rome peine déjà à s'imposer en Macédoine contre toute attente. Si les Gaulois parviennent à forcer la position de Palpatus, la République risque de connaître des années difficiles.

La nouvelle arrive également aux oreilles des populations celtes de Gaule cisalpine, et plus particulièrement à Mediolanum où la population mécontente voit là le moment idéal pour chasser les Romains de la cité, Palpatus étant trop occupé dans les Alpes. De plus, cela facilitera grandement la tâche des transalpins qui obtiendront du soutien : Palpatus serait pris en étau.

C'est ainsi qu'à la faveur de la nuit, plusieurs groupes d'habitants armés avancent en silence vers les casernes de la cité et le palais du proconsul où réside Florianus qui gère la province en l'absence de son père.

Le palais est rapidement pénétré par les agitateurs, qui se sont rapidement débarassés des gardes qui n'ont pu réagir à temps, pris par surprise. Ils progressent d'abord rapidement de salle en salle, prenant au dépourvu tous les soldats qui s'y trouvent. Mais le bruit fracassant des armes et les cris des émeutiers rassembleront rapidement tous les gardes qui vont protéger autant que possible ce qu'il reste du palais, et surtout les quartiers de Florianus. Les Romains sont encerclés et ne peuvent s'échapper. Bien que leur défense soit efficace, ils reculent petit à petit, devant même s'aider au maximum des ornements du palais pour barrer le passage aux révoltés. Si personne ne vient à leur aide, ils sont perdus.

Pendant ce temps l'autre groupe d'insurgés s'attaque directement à la caserne. Les habitants, bien que nombreux et fesant face à une garnison Romaine réduite, craignent les légionnaires et préfèrent autant que possible éviter le combat. C'est pour cela qu'ils vont tenter de bloquer toutes les issues et mettre le feu à la caserne dans le plus grand silence, tentant de prendre les soldats Romains au dépourvu. S'ils parviennent à se charger de la garde, bloquer les issues et mettre le feu au bâtiment, ils peinent à tenir leur position face à la volonté des légionnaires, pour la plupart se réveillant en sursaut durant leur sommeil.

Alors que le bâtiment prend feu de toute part, les Romains parviennent enfin à enfoncer les barricades et repousser les révoltés qui tentent de résister. Malheureusement pour eux cette tentative restera vaine : d'autres soldats venants des portes de la cité arrivent dans leur dos, tous s'enfuient pour sauver leur vie. Les révoltés se dispersent dans toutes les ruelles que compte la cité, les légionnaires, eux, traquent tout ce qui s'apparente à un des leurs et les massacre sans aucune autre forme de procès. Tant pis si au final il s'agissait d'un innocent, au moins cela fera un celte de moins qui risque de se rebeller à l'avenir.

Alors que la panique gagne la cité, et tandis que certains traquent les rebelles, que d'autres tentent de garder les portes de la cité pour ne pas se retrouver assiégés, que d'autres encore tentent d'éteindre l'incendie de la caserne, un groupe se dirige vers le palais proconsulaire pour porter assistance aux soldats piégés.

Malheureusement les renforts arrivent bien tard, les soldats du palais ont combattu vaillamment certes, mais trop de temps s'est écoulé et les assaillants ont eu raison des gardes... ainsi que de Florianus lui même retrouvé sans vie dans ses appartements...




Le chaos règne dans la cité, les Romains privés de commandement sont complètement désorientés, et les contre ordres entre les différents officiers sont courants, la situation est à terme intenable.

Et la population le savait bien et harcelait sans cesse les troupes Romaines en vue de les épuiser et de prendre le dessus afin de libérer enfin la cité de ces envahisseurs. Si les exécutions sommaires se multipliaient à l'encontre de présumés rebelles, cela n'entachait pas la volonté de fer qui anime la population celtique, petit à petit le nombre de soldats Romains baissait, souvent pris en embuscade ou en traitre lorsqu'ils sont trop isolés du groupe.

Pour autant les soldats ne quittaient pas encore la ville, même si avec les jours qui passent, l'idée venait à l'esprit de certains. La situation allait se décanter lorsque la nouvelle venait que Stratcomus se dirigeait vers la cité pour y rétablir l'ordre. Venant de Rome, sa destination initiale était Luvavum, en Norique (tracé vert sur le screen) qui était menacée par des invasions germaines. Apprenant les évènements il déroute ses 2 légions pour se diriger vers Mediolanum et porter assistance aux troupes de Palpatus qui se réduisent de jour en jour. Cette action sauvera peut-être Mediolanum, mais la Norique, elle, est quasiment condamnée à tomber son le contrôle des peuplades germaniques.

Stratcomus arrive enfin à Mediolanum, portant secours à une garnison exsangue. Le chaos s'achève enfin et l'ordre est rétabli par le préteur dans les règles de l'art romain : dans les larmes et le sang. Pour autant la population ne perdait pas espoir, leurs frères transalpins approchent et sont bien trop nombreux pour que Palpatus, même avec 5 légions (ce qui est énorme !), ne puisse les arrêter dans les Alpes.






Les Gaulois approchent de Palpatus, et un combat dantesque devient imminent, mais la guerre se poursuit en Macédoine où Dantonius et Yboomus progressent tant bien que mal, face à une armée ennemie imprévisible et une population presque intenable.
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