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Vieux 02/09/2007, 12h10
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1550 – 1561. Pour une place au soleil





Acte I. L’échec des négociations avec le Portugal



Edgar III succomba un beau matin de mars 1554, laissant derrière lui une Angleterre plus prospère que jamais. Mary II lui succéda, première Reine depuis bien longtemps. Alors qu’Edgar avait concentré toute son attention sur le commerce, elle tourna de son côté un regard nouveau et bienveillant vers l’Asie, où l’Angleterre disposait désormais de 2-3 bases suite aux exploits d’Henry VII. Ce qu’elle vit ne lui plut pas du tout : le Portugal, après s’être approprié avec la plus grande sauvagerie l’Afrique du sud et l’Amérique du sud, récidivait à présent avec l’Asie : des dizaines de provinces étaient occupées. Non pas développées, mais bien occupées. Moins de 100 colons par province, le seul but étant de priver les autres pays d’un débouché qui revenait pourtant à tous . « Plus ils en ont, plus ils en veulent dirait-on » murmura avec tristesse la Reine. Lisbonne avait visiblement pour ambition de parsemer au moins la moitié du monde de ses colons…



Cela était naturellement inacceptable et le Roi de France décida d’organiser une grande conférence regroupant toutes les nations coloniales afin que celles-ci s’engagent à respecter les valeurs chrétiennes que tous étaient censés défendre. Deux points étaient à l’ordre du jour : l’interdiction des sabotages, méthode indigne entre chrétiens, et l’interdiction de thésauriser dans le seul but de priver son voisin, ce qui est pêché selon les préceptes de notre Seigneur Jésus. Venise, la France, l’Angleterre et l’Espagne donnèrent leur accord. Le Portugal, lui, refusa tout en bloc . Son Roi hurla que les sabotages étaient légitimes pour contrer toute tentative de colonisation « dans sa zone d’influence » et qu’il colonisait comme il l’entendait « dans sa zone d’influence ». L’Angleterre pacifique et bienveillante demanda alors en quoi consistaient ces « zones d’influence ». Stupeur et indignation, la « zone Portugaise » comprenait l’intégralité de l’Amérique du sud, l’Afrique du sud et les ¾ de l’Asie . Autant pour la solidarité et la tempérance chrétienne…



Le ton commença à monter et le Roi du Portugal se vanta publiquement d’avoir envoyé les saboteurs qui avaient détruit nos colonies d’Afrique du sud et d’Argentine : il avouait enfin . Après s’être si longtemps caché dans un silence coupable, après avoir laissé son allié Espagnol subir nos foudres pour ces destructions, après avoir laissé les nations chrétiennes et coloniales s’accuser les unes les autres, il avouait, les preuves rassemblées par l’Angleterre étant de toute façon irréfutables. Mary était pacifique, elle pouvait pardonner ces actions barbares, mais encore fallait-il qu’il y ait volonté de repentir… Tel n’était pas le cas et le Portugal refusa de réviser d’un iota sa très agressive politique coloniale . Quand deux positions sont inconciliables, l’heure des discussions est terminée… Les armes allaient parler . Le Roi de France admit l’échec de la conférence et s’en retourna navré à Paris.



Acte II. Une guerre mal embarquée



La guerre fut déclarée en 1558, deux David contre un Goliath, l’Angleterre et Venise contre le très riche Portugal. Celui-ci était aussi riche à lui seul que les deux David et il disposait surtout d’une avance technologique incroyable . L’Angleterre et Venise, unis maintenant comme il y a 35 ans, ne disposaient que d’un unique avantage, en théorie en tout cas : la supériorité numérique, terrestre principalement. Restait encore à pouvoir l’utiliser et la nature même de la guerre allait en fait rendre cela impossible, raison pour laquelle le Portugal allait en fait bénéficier de tous les avantages et prouver à tous qu’il était plus puissant que l’Angleterre et Venise réunis . Néanmoins, nous vaincrons quand même car le Très Haut est avec nous .



Le plan établi était le suivant : Venise devait concentrer ses efforts en Amérique du sud uniquement, contre l’ancien royaume Inca d’une part, contre le Brésil Portugais d’autre part. L’Angleterre, elle, avait aussi deux fronts principaux à gérer : le Brésil, où 20.000 de ses soldats devaient soutenir l’offensive Vénitienne, et l’Asie, où un corps expéditionnaire de 12.000 soldats devait prendre l’offensive, en coordination avec les garnisons locales.



L’Amiral Richard Uxbridge, dès que la guerre fut déclarée, quitta nos villes d’Amérique sous les acclamations de la foule en délire : il partait pour l’Asie, remplir la mission que Londres s’était fixé . Après avoir traversé l’atlantique, il dut faire escale dans les ports Vénitiens d’Afrique de l’ouest, les navires ne pouvant supporter sans réparation une aussi longue traversée. Là, nos alliés lui apportèrent les dernières nouvelles : s’ils avançaient un peu dans l’ex-royaume Inca, c’était l’échec total au Brésil et les réserves Anglaises devaient intervenir pour relancer l’offensive.



C’est à ce moment que Londres constata que, dans son enthousiasme à envoyer en Asie son corps expéditionnaire, elle avait comme qui dirait oubliée d’envoyer les 20.000 soldats prévus au Brésil . Seuls 8.000 étaient présent et ils reçurent ordre de rallier nos alliés. Richard Uxbridge décida cependant de passer un savon aux officiers du corps expéditionnaire qu’il convoyait, partant du principe que tous les officiers de l’armée de terre étaient les mêmes. L’envoyé spécial de Mary II, l’illustre Danton , réputé pour son habileté technique avec les nouvelles technologies ( micro, hauts-parleurs et autres ) s’en alla réunir ces vétérans.



(Lord Danton) « Amiral, euh, il y a comme un problème… »

(Richard Uxbridge) « Nous n’avons débarqué que 8.000 hommes auprès de nos alliés Vénitiens, je sais, mais voyez le temps qu’il nous a fallu pour traverser l’Atlantique ! Non, nous allons remplir notre mission puis nous reviendrons, tout ira bien, vous verrez. Bon, où sont les officiers, que je les tance un peu pour cet oubli impardonnable »

(Lord Danton) « Il n’y a pas d’officier de l’armée de terre ici, pas un seul »

(Richard Uxbridge) « Comment ? Mais qui va commander les troupes alors ? Je suis un marin, moi, pas un général ! »

(Lord Danton) « Il n’y a pas de troupes non plus »

(Richard Uxbridge) « Plait-il ? »

(Lord Danton) « Nous les avons aussi oublié , elles sont toujours en Amérique »

(Richard Uxbridge) « Comment ? »

(Lord Danton) « C’est la faute de Marseillais »

(Richard Uxbridge) « Mais, mais, mais… Vous êtes certains au moins que nous sommes en guerre ? »

(Lord Danton « Oh oui, cela aucun doute ! Nous avions juste oublié qu’il fallait des soldats pour faire la guerre … Bon, on fait quoi là ? Nous retournons les chercher ? »

(Richard Uxbridge) « Surtout pas, nous serions la risée de tous ! Euh, faisons comme si tout allait très bien, cela trompera l’ennemi , vous verrez. Bon, continuons vers l’Asie et espérons que les garnisons locales suffiront »



Et c’est ainsi que la Royal Navy reprit sa route vers l’Asie, avec pas un seul soldat embarqué . Au large de l’Afrique du sud, Richard Uxbridge croisa une petite flotte Portugaise, qui s’échappa péniblement, y perdant la moitié de ses navires.







Cette victoire, toute limitée qu’elle fut, n’était pas sans importance : elle semblait prouver que le Portugal rassemblait ses navires au Brésil. La flotte Anglaise d’Asie se décida alors à quitter ses ports et convoya les troupes de garnison en Australie : ce fut un désastre, nos troupes se sont fait tailler en pièces . Au Brésil, nos soldats engageaient eux aussi les hostilités, pour un résultat identique…







Richard Uxbridge se sépara de quelques navires, qu’il envoya renforcer la flotte d’Asie et repartit pour l’Amérique : il errait comme une âme en peine depuis 18 mois, cela devait cesser et il fallait repartir sur de meilleurs bases. De fait, l’Angleterre s’était complètement fourvoyée, suite à une préparation des plus catastrophique et quelques oublis… Il fallait redresser la situation, et vite. De nouvelles garnisons locales levées en Asie nous permettent de brûler quelques colonies Portugaises en Indonésie puis, surtout, de reprendre l’avantage en Australie, où le centre de commerce d’Eoza tombe entre nos mains. Le conquistador George Blake pousse son avantage et s’enfonce à l’intérieur des terres, où il triomphe une fois encore des armées Portugaises.







Au Brésil, par contre, c’était la déroute la plus complète et les armées Portugaises, désormais trois fois plus nombreuses , étaient passées à la contre-offensive : les positions Vénitiennes tombaient les unes après les autres. Il fallait envoyer des renforts décidèrent les deux David. Mais la flotte Portugaise de l’Amiral Uriel de Queirez veillait : elle tomba à l’improviste sur les navires Vénitiens et envoyèrent par le fond les ¾ de ceux-ci. Sans navires, pas de renforts et sans renforts pas de victoire possible . La situation devenait des plus tragiques , le très riche et très puissant Portugal semblait déjà avoir, après deux ans de guerre seulement, la victoire à portée de main… Il fallait réagir ! Et commencer par ce qui aurait du être fait il y a deux ans déjà : débarquer des renforts auprès de Venise en Amérique du sud.



Alors que la Royal Navy approchait du Brésil, avec des troupes à bord cette fois, un cri d’alerte fut lancé : le pavillon d’Uriel de Queirez, le boucher des Antilles ! Hurlant et vociférant, Richard Uxbridge oublia ( c’est une habitude chez lui ) les troupes terrestres qu’il convoyait et cingla à toute allure vers le Portugais, afin de venger nos alliés de Venise. Manœuvre d’une folle audace qui sentait bon le quitte ou double : si la Royal Navy était vaincue, la guerre au Brésil était perdue et le retour d’Uriel de Queirez en Asie aurait scellé de même tout espoir de victoire sur ce front. La victoire ou la mort !



Un 9 au choc pour l’ennemi, c’est bien partis







Victoire !







Les pertes cependant ont été lourdes, supérieures même de notre côté malgré notre victoire et notre supériorité numérique : un appel est donc lancé aux débris de la flotte Vénitienne et le Doge y répond favorablement. Sa flotte nous rejoint pour une nouvelle bataille contre Uriel de Queirez .







Cette fois, la victoire est sans appel







La flotte de Venise, fortement endommagée par les combats, rentrent au port, mais pour la Royal Navy l’heure n’est pas venue de se croiser les bras : Richard Uxbridge poursuit les Portugais en déroute et les écrase deux fois de plus avant d’en terminer une fois pour toute le long des côtes du Brésil .







Uriel de Queirez parvient enfin à se replier dans un port Portugais, la flotte Anglaise, très sérieusement endommagée, se replie avant que l’usure ne la décime. Immense victoire navale pour l’Angleterre et inespérée bouffée d’oxygène pour la coalition, qui est passée de la retraite au Brésil à la déroute la plus complète . Les renforts finalement débarqués par Uxbridge sont taillés en pièce par des Portugais trois fois supérieurs en nombre aux troupes coalisées : la supériorité numérique de l’alliance n’était-elle pas son seule et unique avantage ? Où est cette supériorité ????



Néanmoins, Londres ne perd pas espoir, le moral gonflé à bloc par sa victoire navale, et le conquistador George Blake apporte une nouvelle victoire au Royaume







Victoire qui malheureusement qui lui coûte la vie





Le très riche et très puissant Portugal, malgré sa défaite navale, conserve l’avantage, après trois années de guerre, mais au Roi du Portugal nous disons ceci : la guerre ne fait que commencer.



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Vieux 02/09/2007, 13h23
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La position diplomatique française durent les années 1550-1561



Depuis la fin de sa dernière guerre contre l'Espagne, le Portugal et la Pologne, le royaume de France vivait des jours de paix. Toutefois, notre bon roi savait pertinement que la paix ne dure que le temps que se forge les novuelles ambitions. Il ne fallait donc pas se reposer sur le confort de la paix et perpétuer la tradition française d'une intense diplomatie pérenne. Auréolé de sa gloire récente suite à la libération de Jerusalem, le roi de France se senti le devoir de trouver des issues pacifiques aux problèmes de ce monde. Il s'attela d'abord à celui générateur de multiples conflits depuis 80 ans : la colonisation.

En effet, chaque pays avait sa propre politique et philosophie coloniale. L'Angleterre et la France misait sur un développement lent mais sur, l'Espagne et le Portugal avait choisi une voie opposée. Les nouveaux coloniaux, quant à eux, s'étaient contentés des restes et/ou avaient usé de la force pour aggrandir leur zone d'influence. Les deux anciens adversaires de la guerre de Cent Ans maudissaient le recours à une pratique dite de coloriage qui n'avait que pour conséquence d'attiser les envies et les rancoeurs. Les nouveaux coloniaux, principales victimes de ces coloriages par la diminution des espaces libres, portèrent crédit aux dénonciations franco-anglaise et embrassèrent leurs idéeaux.

L'autre problème colonial consistait à une pratique que l'on ne peut vraiment pas qualifier de chrétienne et qui reposait sur le péché de convoitise : le financement de révoltes autochtones dans de jeunes colonies. Ce problème fut rencontré par deux royaumes : l'Angleterre et Venise. Très vite leur soupçons portèrent sur le royaume du Portugal. Il semblerait, suite aux dernières révélations, que cela soit exact mais la prudence est de mise dans cette affaire. Quoiqu'il en soit, cette méthode attisa la rancoeur des anglo-vénitiens face aux Portugais, déjà champion du coloriage de carte depuis que l'Espagne s'était rangée, il y a quelques années, à l'idée d'une modération coloniale.

C'est ainsi qu'en 1556, le roi de France contacta les différentes cours des royaumes coloniaux pour trouver une issue pacifique et chrétienne à ces problèmes. A la table vinrent les envoyés du roi d'Angleterre, d'Espagne, de Venise, du Portugal. Le roi de Pologne dépêcha également un ambassadeur pour se tenir au courant des décisions qui seraient prises. Très vite, les participants purent se rendre compte de la tâche colossale qui les attendaient, notamment devant les ressentiments anglais et la faible volonté de modération portugaise.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est en Espagne que la France trouva son meilleur soutien pour mettre cette assemblée sur la voie du succès. Dans un trop rare esprit de sagesse, le roi d'Espagne comprit qu'il y avait tout intérêt à s'entendre. C'était une carte de la paix de l'Europe que nous jouions. L'échec fut à la hauteur des espoirs de paix.

Face à l'empressement anglais, à l'intransigeance portugaise, l'influence hispano-française ne put rien. Et c'est ainsi, avec un profond dépit, que le roi de France appris que l'Angleterre et Venise venaient de déclarer la guerre au Portugal. L'assemblée avait vécu et avait échoué.

Il nous fallut très vite savoir ce qu'il convenait de faire. Il n'était pas question pour nous d'entrer en guerre contre le Portugal, même si nous récusons sa politique coloniale, eu égard à notre volonté pacificatrice récente. La meilleure solution restait la neutralité sans cacher que nous n'étions pas défavorable à une issue qui permettrait une redistribution des terres. Dans le même temps, l'Espagne sembla hésiter quelque peu. Elle suivit après quelques jours de réflexion son allié agressée.

La France ne pouvait tolérer cela. Nous n'avions aucune envie de faire la guerre à l'Espagne, nos griefs respectifs ayant été soldés lors de la dernière guerre. Mais nous ne pouvions laisser faire la première puissance du monde. Elle aurait déséquilibrer incontestablement le conflit en faveur du Portugal. Victorieux, celui-ci n'aurait jamais eu raison de mettre fin à sa politique coloniale et de choisir la voie de la modération. D'autre part, nous savions l'Espagne dans les mêmes dispositions que nous à cet égard, aussi seul la loyauté envers son allié pouvait la guider mais sans avoir la conviction du coeur.

Contraint, le roi de France dù faire pression sur l'Espagne pour l'inciter à rester en dehors du conflit et l'obliger à signer une paix blanche immédiate avec Venise et Angleterre. Celui-ci s'y résolut sans manquer de demander l'indulgence des adversaires du Portugal et leur modération pour pouvoir construire un avenir de paix.



Diplomatie :

- Cher Empereur, nous avons été informé de la teneur de votre récente déclaration. Croyez bien que le fléau qui se répand en Europe nous préoccupe autant que vous. Malheureusement, et malgré nos actes en Jérusalem, Dieu ne semble toujours pas vouloir nous accorder son pardon. Il refuse de stopper l'hérésie sur nos terres et ne nous offre pas les moyens d'y faire face (30 de rois pourris en administration). Nous prions le Seigneur intensément pour laver nos fautes.

- Aux anciens participants de l'assemblée des Coloniaux, la France maintient sa position vis à vis des deux problèmes exposés lors de cette assemblée. Elle demeure également dans un soutien neutre vis à vis de l'Angleterre et de Venise et demande à l'Espagne d'en faire autant vis à vis du Portugal. Néanmoins, nous faisons savoir à tous que la France défend l'Angleterre et Venise parce qu'ils se sont placés comme défenseurs d'un partage colonial. Dans cette optique, la volonté de redistribution des colonies portugaises non développées est comprise et c'est en cela que nous les soutenons.

- Au roi de Pologne, nous nous réjouissons à l'idée que vous puissiez comprendre quelle folie guida vos aieux lorsque vous nous fîtes la guerre. L'ironie du sort vous a montré que vos anciens amis dispendaient plus généreusement leur or à l'Empereur qu'à vous. Nous continuerons à ignorer la Pologne sur la scène internationale. Ce n'est pas nous qui avons fait la guerre à l'autre par le passé. Ce n'est donc certainement pas à la France de faire le premier pas et le premier geste.

- Au roi D'Espagne, votre intervention malheureuse contre le Sultan peut porter préjudice à notre accord avec ce dernier sur la souveraineté de Jerusalem. Nous ne saurions tolérer que vous mettiez à nouveau en péril le tombeau du Christ par vos aventures exotiques.

- A toutes les cours du monde, la France fait savoir qu'elle vend son monopole sur le centre de commerce de la capitale.
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
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Vieux 04/09/2007, 17h00
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Diplomatie:

A toute les nations Catholique: Frise a aujourd'hui décidé de mettre fin à la liberté que le Duché avait laissé au peuple de Trève, leur passage a la religion protestante a profondèment choqué le Duchet, cela en est trop! La province de Trève sera annexé bon grès malgrès, ils insultent la couronne!
Notre position de tolérance envers nos sujets protestants continuera tant qu'ils n'intrigueront pas et qu'ils ne chercheront à répendre leur religion.
Nous demandons a toute les nations catholiques de mettre fin à ces états hérétique!
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Vieux 04/09/2007, 18h16
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Missive Impériale

Au duché de Frise
L'Empereur vous soutient dans votre démarche de lutte contre l'hérésie. Comme nous l'avons déjà dit, ce mal est profond, et il gagne du terrain d'année en année. Si nous ne faisons rien aujourd'hui, qui sait ce qu'il adviendra ?

A tous les royaumes catholiques
Notre requète n'a été que trop peu relayée, et l'Empereur le déplore vivement !! Il nous faut faire de cette lutte, la priorité des priorités !! Toute autre quête, ambition, velléité... doit être repoussée à demain !! Y compris la colonisation !! A quoi bon tenter de répendre l'évangile à des indigènes, si nous ne sommes pas capable de la défendre sur nos propores terres ???
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...
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Vieux 07/09/2007, 19h23
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Janvier 1561 – Janvier 1577 :



Une croissance économique décuplée !


Le Duché avait de grave problème de trésorerie, cela remonté déjà à plusieurs décennie mais cela devenait de plus en plus perturbant pour le développement du royaume de Frise, le duché partit donc en quête de fond pour sa révolution économique ; le duché mit donc en vente le centre de commerce de Zanzibar, celui-ci rapportait moult ressource mais sa perte était plus que nécessaire et bientôt la seconde expédition d’Enhard Bonga en rapporterait un nouveau.

Plusieurs nation envoyèrent leur diplomate à Amsterdam où se trouvait le siège de la compagnie néerlandaise des indes, les négociations entre la France, l’Angleterre et l’Espagne furent très vive, Frise avait le choix de vendre à un moindre prix à l’Angleterre soutenue par la France pour renforcer son alliance avec eux, ou le vendre à l’Espagne et en avoir un revenu plus qu’important, notre Duc décida de le vendre à l’anglais pour ne refroidir nos relations avec eux.






C’est ainsi que Frise put lancer avec l’argent franco-anglais un large plan de reforme de l’état, le duché pu se doter d’une administration plus développée avec l’établissement de prévôté dans toute les provinces du duché, l’autre secteur où le royaume investit fut les armes, avec la création de manufacture dans les provinces du Luxembourg et de Liège, permettant de renforcer les investissements frisiens dans le secteur clé des armes.

L’état aussi se dota d’une banque centrale, permettant de juguler l’inflation dans le royaume.



La conséquence de ces réformes fut une nette croissance dans le duché, la santé financière de l’état fut enfin retrouver après plusieurs décennie de calvaire financier…





A
nnexion de Berg selon le traité de Düsseldorf !



Lors du traité entre l’Autriche et nous, une clause avait été mise entre l’empereur et nous sur la terre de Berg qui appartenait à leur vassal de bohème, avec tous les morts qui se succédaient sur le trône et les affaires d’outre mer, notre duché oublia de demandé restitution de cette terre, cette affaire revint sur la scène lorsqu’un général de notre armé fit voir à notre bon duc que nous avions oublié cette affaire, et lui montra que cette terre était trop vitale pour nous, du fait du carrefour qu’elle représente entre nos différentes provinces, après missive à l’empereur ; celui-ci après vérification fut obliger de reconnaître notre bon droit…


Capture de Tombouctou :


Notre Duché dut continuer sa lutte coloniale du fait des problèmes financiers du royaume qui demandait des prises de guerre constante, le général Enhard Bonga lors du dernier conflit n’avait pas pu mettre la main sur l’un des joyaux de l’Afrique de l’Ouest, Tombouctou !

Les troupes du conquistador émérite avaient eu plus de temps qu’il n’en faut pour se préparer à cette seconde campagne du Mali, après quelque discussion nos amis français furent convier à ce safari, cette campagne ne constitua pas une épreuve pour les troupes de notre royaume face à nos cavaliers et a nos fusils aucun africain ne pouvait résister ;après avoir abandonné Zanzibar nos troupes retrouvèrent un centre de commerce pour la gloire de notre duché…







Message Ducal sur la situation religieuse européenne :



Nous avons vu de grand changement partout en Europe sur la question religieuse, deux vague religieuse se développe sur nos terres catholiques, le protestantisme et la contre réforme, c’est deux courant religion sont en réponse aux mots qui touche dans beaucoup de contré la foi de nos fidèles et auxquelles un clergé dévoyé n’arrive pas à répondre du fait de sa corruption, nous voyons en Angleterre, en France, Autriche et en Suède se rependre de nouvelle fois, certain prince d’Europe veulent combattre ces changements dans l’architecture sociale de leur état, mais ce n’est pas en punissant ceux qui quittent nos églises qu’ils retourneront dans le chemin du catholicisme !


La seul chose à faire et de réformer le clergé ! Notre duché a réussit à garder ses fidèles que de cette façon ! Sans cela aucun acte fort, même la reprise du tombeau de christ des mains des infidèles n’aura de quelconque résultat !

Les problèmes de notre église se situent à toute les échelles du clergé, ou l’ont voit le vice et l’ignorance des saintes écritures a bien des niveaux de celle-ci, le pape a démontré, il y a peu la corruption et l’indignité qui règne en son âme en attaquant Venise! Il s’occupe de faire la guerre a une nation chrétienne alors que le message du christ, est un message d’amour ! Pourquoi amène t’il la guerre dans notre royaume alors que les infidèles occupes des terres chrétiennes ? Comment reprocher à vos sujets de quitter la fois catholique en voyant ce qui la dirige ! Il ne mérite rien d’autre que la confiscation de ses terres ! Cela l’empêchera au moins de s’occuper d’autre chose que e religion ! Tache qu’il a abandonné, il y a bien longtemps..

Le duché de Frise reconnait ces religions comme chrétienne, et ne fera rien pour combattre celle-ci, l'édit de Cologne reconnait aujourd'hui la liberté religieuse de tout les sujets frisiens tant que les dites religions ne portent pas atteinte aux lois en vigueur dans le duché.
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Vieux 07/09/2007, 21h29
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1562 – 1577. L’Angleterre rattrapée par son destin tragique





L’année 1562 marqua l’apogée de l’Angleterre, juste avant que ne commence son inexorable déclin qui ne s’arrêtera probablement que lorsque nous aurons disparu complètement de la surface de la terre ( si nous avons de la chance, nous pourrons nous réfugier sous terre, afin de mener pour l’éternité une vie entière de damné qui plus jamais ne verra la chaleureuse lumière solaire). Sic transit gloria mundi.


Cette année là, en effet, à notre grande surprise, la paix avec le Portugal fut signée ! Notre allié de Venise y gagnait une province de mines d’or et deux petites colonies, l’Angleterre, de son côté, annexait le centre de commerce d’Eora et trois petites colonies, dont une, Porto Rico, fut immédiatement donnée à la France, comme nous lui avions jadis donné Calais, l’accès à nos ports pour atteindre l’Asie et 80% des gains obtenus lors de nos deux guerres communes contre l’Espagne. C’est que, pensions-nous, il y allait enfin avoir une contrepartie à nos générosités : la France allait partager avec nous une partie du lourd fardeau que constituait l’achat au royaume de Frise du centre de commerce de Zanzibar.



La vente eu lieu la même année et, à Londres, c’était l’hystérie : après des décennies de disette et de misère, nous étions enfin parvenu à sortir la tête de l’eau . Personne ne prêtait la moindre attention à l’Archevêque de Canterbury, Laocoon, qui ne cessait de s’exclamer « Timeo Massillienses, et dona ferentes » : le malheureux fut emporté par deux serpents surgis de la Manche et personne ne le revit jamais.



L’Angleterre triomphante, sans se douter un seul instant que le destin tragique qui allait s’abattre sur elle s’était déjà mis en marche et se rapprochait inexorablement de son innocente tête blonde , se lança alors dans un nouveau projet d’unification des îles britanniques. L’Irlande fut vassalisée et l’on dépensa sans compter pour inonder le Roi d’Ecosse de cadeaux, espérant ainsi le convaincre de rejoindre notre pauvre mais industrieuse nation. Tout semblait nous réussir et Mary II semblait promise à rester à jamais dans les légendes Anglaises comme la Reine qui avait élevé le pays sur son piédestal . Plus grands sont les espoirs, plus grandes seront les désillusions. Car tandis que nous nous prenions à rêver et à espérer, le Malin, lui, tissait les fils de notre destin et de notre chute : depuis l’aube des temps, la destinée de l’Angleterre était de sombrer corps et bien et, suprême cruauté, cela devait commencer au moment où elle se pensait enfin tirée d’affaire .







Le destin cruel vient frapper à notre porte en l’année de 1568 : telle la grande faucheuse, impitoyable souveraine de notre destinée, les ambassadeurs d’Ecosse et de France surgirent. Les premiers nous signifièrent leur refus brutal de joindre notre tendre nation, malgré tous les cadeaux offerts, les seçonds nous réclamèrent le remboursement intégral et immédiat des sommes avancées pour l’achat du centre de commerce de Zanzibar, sans considération aucune de tous les sacrifices consentis par l’Angleterre en faveur de la France ces dernières décennies ( Calais, Porto Rico, accès à nos ports vers la lointaine Asie etc etc). Le trésor Anglais était aussi vide à ce moment que lors de l’achat effectif et aucun espoir de le remplir sans pomper lourdement, ce qui fut fait : l’inflation s’envola, comme elle se serait envolée si nous avions payé directement nous même il y a 10 années. Pourquoi nous avoir avancé des ducats si c’était pour exiger le remboursement intégral à un moment où la situation Anglaise n’avait en rien changé ?



Le Destin tragique venait de nous frapper cruellement et le coup qui nous fut porté laissa Mary II d’Angleterre à genoux, effondrée : ainsi, notre joie n’avait durée que moins d’une décennie. Le Malin abattait sa faux au moment où nous espérions enfin pouvoir atteindre les cieux et le Paradis Céleste : l’Angleterre, foudroyée en plein vol, tomba lourdement et s’enfonça plus bas que terre, toujours plus proche des fosses démoniaques qui attendait les damnés que nous sommes depuis l’aube des temps .


Deux expéditions lancées au cœur de l’Afrique profonde disparurent corps et bien en 1570 : de partout, les éclairs diaboliques nous foudroyaient et s’acharnaient sur l’innocente brebis déjà frappée à mort par ce destin ignoble . L’inflation galopante, le retard technologique, les difficultés commerciales, la haine viscérale de nos voisins pourtant Chrétiens comme nous, l’apocalypse et la déchéance commençait.



Mais au milieu de la tempête, le front ensanglanté, les vêtements en lambeau, Mary II releva fièrement la tête et brandit un poing vengeur vers les cieux, desquels semblaient s’échapper un long ricanement sinistre, comme si les Dieux eux-mêmes riaient de notre déchéance: « Nous sommes peut-être maudits, mais nous ne nous rendrons pas sans lutter ! Noblesse oblige ! England for Ever ! ».



Ainsi, afin de faire face à la tourmente, il fut décidé les choses suivantes :


-L’Angleterre met en vente les centres de commerce d’Eora et de Zanzibar, véritables tuniques de Bessus qui nous ont étouffés et empoisonnés à petits feux là où nous espérions qu’ils nous sortent au contraire de la tourmente. Puisse les ducats retirés de la vente nous permettre de nous remettre enfin à flot .

-L’Angleterre se retire des affaires du monde, notre îlot désertique balayé par les vents glacials sera notre refuge contre ce tragique destin. Seul un cas de force majeure pourra nous en faire sortir prématurément.

-L’Angleterre va revoir la nature de ses relations avec certains pays ( Venise exceptée, ce pays restant notre allié de cœur ), son gouvernement, ses affaires religieuses et bien d’autres choses encore : le moment est venu d’extirper le cancer interne et externe qui nous ronge et qui nous a valu de subir ce coup du sort.
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  #7  
Vieux 07/09/2007, 21h57
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Réaction française suite aux omissions anglaises :


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Envoyé par Danton
Le destin cruel vient frapper à notre porte en l’année de 1568 : telle la grande faucheuse, impitoyable souveraine de notre destinée, les ambassadeurs d’Ecosse et de France surgirent. Les premiers nous signifièrent leur refus brutal de joindre notre tendre nation, malgré tous les cadeaux offerts, les seçonds nous réclamèrent le remboursement intégral et immédiat des sommes avancées pour l’achat du centre de commerce de Zanzibar, sans considération aucune de tous les sacrifices consentis par l’Angleterre en faveur de la France ces dernières décennies ( Calais, Porto Rico, accès à nos ports vers la lointaine Asie etc etc). Le trésor Anglais était aussi vide à ce moment que lors de l’achat effectif et aucun espoir de le remplir sans pomper lourdement, ce qui fut fait : l’inflation s’envola, comme elle se serait envolée si nous avions payé directement nous même il y a 10 années. Pourquoi nous avoir avancé des ducats si c’était pour exiger le remboursement intégral à un moment où la situation Anglaise n’avait en rien changé ?
Après avoir attendu 9 ans, le roi de France a envoyé un ambassadeur à Londres pour demander à la reine selon quelles modalités elle pensait rembourser la France de son prêt de 1100 ducats. Nous n'avions formulé aucun délai, aucune exigence de remboursement intégral, ni de versements annuels élevés. Nous laissions une entière liberté à l'angleterre. Nous étions même prêt à accepter un remboursement sur 11 ans pour ne pas pénaliser l'économie anglaise.
A notre ambassadeur, la reine répond : "mais je t'ai donné porto rico contre le cot". Puis plus rien, après une nouvelle relance toujours pas de réponse. Quelques années s'écoulent encore sans que nous obtenions de réponse de la part de l'Angleterre sur ses préférences (à elle pourtant). Puis un jour, l'Angleterre nous envoie 1100 ducats d'un coup sans que nous ayons jamais exigé une telle chose.

Le don de porto rico est une geste amical pour remercier la France des 2400 ducats DONNES pendant la dernière guerre des anglo-vénitiens (1200 à chacun).

Calais a été rétrocédé par l'Angleterre pour sceller notre alliance et en échange d'un accord colonial et de notre abandon de l'allié écossais.

L'accès aux ports anglais est un geste purement amical sans aucune contre-partie. C'est le seul.

Les etc, etc... n'existent pas.



De son côté, la France s'est retiré de la vente aux enchères du cot de Zanzibar (lorsqu'il était vendu par la Frise) pour soutenir l'Angleterre et nous étions même disposé à payer de notre poche une partie de la somme (l'Angleterre n'est jamais venu nous le demander).

La France a, par ses efforts diplomatiques et son abandon de la Savoie, offert à l'angleterre un allié : Venise.

La France a fait savoir lors de la dernière guerre anglaise, lors de sa période de paix récente, qu'elle était disposée à offrir de l'or que l'Angleterre n'a jamais réclamé (excepté à un seul moment pendantla guerre et elle l'a reçu).

La France ne gagne que 30 ducats de plus que l'Angleterre par mois et non le double comme on pourrait le croire lorsqu'on lit commentaires anglais. Il y a 20 ans, la France ne gagnait que 10 ducats de plus par mois que l'Angleterre....
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Dernière modification par lemarseillais ; 07/09/2007 à 22h12.
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  #8  
Vieux 07/09/2007, 22h38
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Envoyé par lemarseillais
Le don de porto rico est une geste amical pour remercier la France des 2400 ducats DONNES pendant la dernière guerre des anglo-vénitiens (1200 à chacun).
Tant que cela, vraiment?

Selon les chroniques de Don Jimbus le Sachem, ce serait plutôt 150 ducats , la preuve ici même http://www.europa3.ru/cgi-bin/mpstat...&yearsave=1561


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Envoyé par lemarseillais


Les etc, etc... n'existent pas.

Voir paragraphe 2
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  #9  
Vieux 07/09/2007, 22h56
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Envoyé par Danton
Tant que cela, vraiment?

Selon les chroniques de Don Jimbus le Sachem, ce serait plutôt 150 ducats , la preuve ici même http://www.europa3.ru/cgi-bin/mpstat...&yearsave=1561
Hum oui effetivement 10x12 ça fait pas 1200....me suis planté

Au fait j'ai oublié de rajouter tous les "etc, etc" évidemment que la France a aussi .

Pffff, isolationisme ..... ! La bonne blague ! Toi tu t'es encore fait bourré le mou par les ricains de la GPO. Je la sens poindre la trahison
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Dernière modification par lemarseillais ; 07/09/2007 à 23h05.
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Vieux 09/09/2007, 16h30
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