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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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![]() ![]() Chroniques d'Espagne : 1515-1549 La 3e guerre franco-espagnole (1523-1526) Cela faisait longtemps que la France et son ambitieux souverain Henri III souhaitaient mettre la main sur nos possessions coloniales du quart sud-est du Nouveau continent. Consciente de sa force, suite à ses conquêtes sur la Bourgogne, la France, pays le plus peuplé d'Europe, et de loin, pouvait compter sur son incroyable gisement humain pour recruter des troupes en quantité. Le Roi de France souhaitait assuremment la guerre. Pour faire croire du contraire il envoya ses diplomates à Madrid pour y effecteur des simulacres de négociation. En effet ceux ci proposaient de racheter le très riche centre de commerce de Pensacola pour une bouchée de pain, et ne souhaitait pas faire de compensations autres qu’en argent. Et les sommes proposées étaient franchement scandaleuses et insultantes, La diplomatie française s’était assuré du soutien de l’Angleterre et de Venise, ce que nous ne savions. En effet, il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais. Nous pouvons soupçonner ceci car le roi du Portugal nous assura et nous donna les preuves qu’il n’était absolument pour rien dans ses rébellions. Et donc les soupçons se portent évidemment sur la nation qui avait tout intérêt à ainsi former une lâche coalition contre nous, à savoir la France. Inquiète de la montée en puissance de la France, nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne, déclarer deux fois la guerre à l’Espagne, et dont la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable, la reine Isabel II, unificatrice de l’Espagne, ne pouvait ainsi céder aux exigences françaises, sous peine de donner le leadership à ce pays qui comme on l’a vu était loin de souhaiter un monde en paix et en équilibre. Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre. On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne, et les évènements qui vont suivre donneront raison à ceci. Ainsi, après avoir préparé la guerre depuis longtemps en grand secret, la France nous déclare la guerre sans aucun ultimatum, d’une façon à la fois barbare et complètement lâche, en automne 1523. Disposant de plus de 45 000 cavaliers, et de 35 000 hommes à pieds, les français culbutent nos premières armées dans les pyrennées, en infériorité numérique écrasante et mal équipées. La situation devient rapidement préoccupante quand les trois provinces frontalières avec la France sont assiégées par les troupes françaises. Le souvenir de la première guerre franco-castillane refait surface : si les pyrénnées sont prises, la France pourra facilement avancer au cœur de l’Espagne et dévaster les très riches terres d’Aragon, en profitant du terrain favorable. Il est donc décidé de reprendre les pyrénnées à tout prix, quelqu’en soit le prix, afin d’y installer des positions défensives, bloquer les vallées et les passages. Appuyées par nos amis portugais, les troupes espagnoles vont alors reprendre les montagnes après des combat absolument terribles et meurtriers. Des victoires à la Pyrus dans les deux camps, ainsi que de lourdes défaites. La boucherie de Gérone en est un exemple flagrant : 13 000 espagnols tomberont pour reprendre la province, alors que la France n’en perdra que 2 000. Dès l’hiver 1523, partout dans l’Empire espagnol, colonies et métropole, le recrutement est massif. L’effort financier et humain à consentire pour reformer les 3 armées des pyrénnées est colossal. Mais il est fructeux puisque une à une les 3 provinces sont reprises, l’armées française sérieusement entamée doit se replier, et nos troupes peuvent même mettre le siège du Roussillon, pendant que la cavalerie portugaise fait des ravages. Au même moment, nos fidèles alliés polonais (10 000), après un long périple à travers l’Autriche, arrivent en Champagne et commence à piller et prendre le nord-est de la France. Intelligemment, Isabel II avait noué des liens d’amitié avec ce lointain royaume, comprenant des accords secrets. La reconquète des Pyrennées : ![]() ![]() ![]() ![]() Cependant en hiver 1525, anglais et vénitiens nous tombent dessus dans l’espoir probable de récupérer quelques miettes de notre Empire de la part de leur suzerain français. Venise profite de l’absence de notre flotte en méditerranée, mobilisée aux amériques, pour débarquer des troupes dans notre dos en Andalousie et à Gibraltar. Le Portugal neutre dans le conflit entre nous et les anglo-vénitien ne peut rien faire. Dans les colonies, la situation est plus grave : par deux fois De Cardona réussit à repousser les français et anglais à Pensacola, grâce à des maneuvres de défenses géniales. Il met même un pied en Floride, mais doit vite refluer vers Pensacola face aux masses anglo-françaises bien plus nombreuses. Des corsaires anglais pendant ce temps brûlent et pillent nos colonies non-fortifiées des caraïbes, notamment Cuba. Notre flotte les fait fuir, et détruit une escadre vénitienne forte de plus de 20 navires au large de Maracaïbo. Plus au sud, la situation est stabilisée : en Colombie, les troupes de Venise et d’Angleterre sont contenues suite à l’arrivées de 4000 hommes en renforts. Mais ces renforts si ils sont au sud, ne sont plus au nord à défendre le verrou de Pensacola. Des forces colossales de plus de 30 000 hommes menacent en effet les 10 000 hommes qui défendent héroïquement cette zone. Si Pensacola venait à céder, alors les français prendraient facilement le Mexique puis la Californie. ![]() De Cardona félicite son lieutenant Merera d'avoir tenu le flanc droit héroïquement La défense de Pensacola : ![]() ![]() Il fallait se rendre à l’évidence, les campagnes étaient vides et l’Espagne ne pouvait plus recruter. Le Portugal nous informa qu’il ne pouvait envoyer ses troupes à la fois dans les pyrénnées et en Amérique. Or nos troupes en Espagne, fortemment entamées devaient faire face à Venise au sud, et aux troupes françaises en intense campagne de recrutement au nord. De plus, les mercenaires avaient déjà été tellement recrutés qu’on en trouvait plus aucun dans toute l’Europe, ou bien à des prix prohibitifs ( 120 000 Ducats pour 1000 cavaliers). Si la guerre continuait, soit nous perdions nos colonies, soit nous perdions l’Espagne, mais nous ne pouvions défendre les deux face à une telle coalition. Un léger espoir arriva à Madrid en hiver 1524, quand un émissairs de la lointaine Novgorod, Aedanovski, offrit les services de ses féroces mercenaires à la couronne d’Espagne. En effet l’Espagne avait récemment aidé financièrement la cité du Nord pour l’aider à poursuivre l’expulsion des musulmans des plaines de l’est. Un premier contrat amena 10 000 cavaliers russes à ravager l’Italie, avant d’être stoppé par des troupes vénitiennes. Un second contrat bien plus imposant de 1 000 000 de ducats d’or devait amener plus de 30 000 cavaliers russes à traverser le Baltique pour débarquer dans le nord de la France. Mais devant la situation dramatique dans les colonies, dont la défense pouvait d’un moment à l’autre craquer, nous fûmes amené à négocier. Après 3 semaines d’intenses négociations dans le château de Beynac en France, la paix de Beynac fut signée. L’Espagne cédait Pensacola, ainsi que 3 colonies de 100 colons à la France. L’Angleterre recevait Cuba ( du moins ce qu’il en restait après les pillages) ainsi que deux colonies de 100 habitants en Asie du Sud-est. Venise reçut également 4 colonies en Amérique du Sud. Le Portugal du aussi céder quelques colonies ainsi que de l’or. La paix était enfin signée. Afin de mettre un terme aux disputes depuis 50 ans entre la France et l’Espagne, le traité de Carthagène fut signée pour se partager le sud-est de l’Amérique. ![]() Les mercenaires russes ravagent le nord de l'Italie. |
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Chroniques Ottomanes 1526-1549
L’An 1529 vit la seconde régence Ottomane prendre fin avec la Majorité d’Alam premier. Ce dernier de santé fragile comme un bonne partie de ses frères fut sous la complète influence du Vizir Bobakum qui avait précédemment dirigé la régence. Ce dernier dirigea le Sultan vers la Perse alors durement éprouvée par une longue guerre avec le Mamelouk accomplir l’unification de la péninsule Anatolienne sous l’étendard Ottoman. La Karamanie fut annexée à la Perse après une courte guerre qui montra la supériorité dans tous les domaine des Janissaires Ottomans. Alam eut à peine le temps de se marier avant de décéder d’une infection oculaire en 1532 cédant ainsi le trône à son frère Selim II lui aussi très jeune. Ce dernier subit à son tour l’influence du puissant Vizir et lui laissa pratiquement le contrôle de l’Empire. Ce furent donc sans surprise que voisins de l’Empire virent les ambitions territoriales de l’Ottoman perdurer. Le grand Vizir Bobakum avait le projet de faire de l’Ottoman la tête de file des Royaumes Musulmans, il avait donc besoins pour cela de mettre à bas le principal concurrent Sunnite de L’Ottoman : Le puissant Mamelouk et ses 65000 Hommes en armes. Le Vizir n’était pas dupe quant à la difficulté de l’affaire, les déserts de Syrie d’Egypte et de Palestine étaient de redoutables mangeurs d’hommes pour une armée conséquente et les Mamelouk nombreux. Il lui fallait donc s’assurer de ses arrières et si possible trouver un soutien extérieur lui permettant de ne pas laisser le conflit s’embourber. La préparation Il mit donc sur pied un plan afin de mettre un terme aux menaces larvaire qui pesaient sur le Nord et l’ouest de L’empire et de trouver l’appui d’un autre ambitieux seigneur. Pour résoudre les problèmes posés par l’agitation Albanaise, le Vizir annexa par la force l’Albanie et la riche province Athénienne à l’Hongrois et fonda un nouvel Etat Albanais à qui il fit don de Janina. Cet acte plein de générosité attira la sympathie des Chrétiens de l’Empire qui voyaient là un signe de la fin des conversions forcée de citoyens de l’Empire. Une fois cette formalité réalisée, le Vizir négocia avec le Russe qui Cherchait à fixer des frontières stables dans le grand Nord, un échange de terre fut convenu ainsi qu’un accord de non agression jusqu’en 1555. Cet échange de terre vit l’Empire renoncer au terre Tartars les plus aux nord et récupérer la riche Crimée ainsi que les Terres Russe enclavée a l’Est de l’Oural. L’accord de non agression permit au Vizir d’avoir les main libre au Sud de façon a ne pas avoir à se battre sur 2 fronts importants. L’affaire de Jérusalem Le Vizir finit par trouver un allié qu’il ne soupçonnait pas, le très chrétiens Roi de France s’inquiétait des nombreux massacres de chrétiens sur la Route de Jerusalem. Malgré ses nombreux missives au Sultan Mamelouk, ce dernier ne fit jamais signe de prendre en compte les demandes Françaises. Le Vizir eut vent de ce désaccord et proposa au Roi de France de lui faire don de la Palestine lui permettant d’assurer lui-même la sécurité des pélerins, il demandait en échange une petite aide militaire contre le Mamelouk afin d’en finir le plus vite possible. Les Roi de France fut enthousiasmé par ce glorieux projet et, en 1537, les armée Ottomanes et Française entraient en Syrie en force. Les combats pour la Palestine et l’entrée en Egypte furent sanglants mais tournèrent rapidement au profit des Coallisés, même la mort du Sultan en 1537 ne put permettre au Mamelouk de se redresser. IL finit par céder aux exigences du Nouveau Sultan Amhet II et du Roi de France, cédant ainsi les provinces de Judée, Alep, Damas, Harwan et Badyiat Ash Sham. Le Mamelouk était blessé mais pas encore à terre. Enfin la paix En attendant d’avoir l’occasion d’en finir avec le Mamelouk, le nouveau Sultan mit un terme au contrôle quasi-total du Vizir sur l’Empire. Il reprit en main les affaires attenantes à la politique laissant le Vizir gérer l’Armée. Il mit ainsi fin à la campagne de conversion nationale des Ortodox, Il reconnu leur foi et décida d’utiliser les précieux deniers jusqu’alors utilisés à la conversion des infidèles pour mettre en place une instruction militaire efficace des Janissaire. D’autre part, il décida de la création d’une banque d’état afin de contrer les effets de l’inflation dans l’Empire. Ces mesures bien que peu populaires au sein de la population Musulmanes, permirent de renforcer efficacement l’empire sur ses fondations. Tout comme ses frères Amhet II ne vécu pas assez longtemps pour influer durablement sur l’Empire, il décéda en 1543 laissant le pouvoir à son fils et au Vizir bien décidé de regagner l’influence perdue. Il parvint sans trop de peine à prendre l’ascendant sur le médiocre souverain qu’était Abdulhamhid Ier. La chute de la puissance Egyptienne L’Empire retrouva donc rapidement ses habitudes expansionniste et n’hésita pas longtemps à achevé le Mamelouk sortant d’un long conflit avec la Perse, lui arrachant de force 4 nouvelles provinces : Gaza, Alexandrie, Sinai et Al Karak. Le Mamelouk était désormais cantonné à l’Afrique et le Vizir avait réussit son grand projet, L’Empire Ottoman prédominait désormais sur les autres puissances Musulmane un nouvel âge allait commencer. ![]() La Situation au Nord de l'Empire en 1549, la Russie y est notre principale voisin. ![]() La Situation au Sud de l'Empire en 1549, Le Mamelouk est cantonné à l'Afrique ![]() Un aperçu démographique et economique de L'empire Ottoman en 1459
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J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... Dernière modification par jimbo ; 28/08/2007 à 10h32. |
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Un développement en paix ( 1526-1549)
Après la mort de la reine Isabel II en 1527, un conseil de régence prit temporairement les affaires en main jusqu’en 1533 où Carlos Ier, petit fils d’Isabel atteignit sa majorité pour gouverner. Jusqu’à sa mort à la suite d’un accident malheureux avec une courtisane en 1539, il développa le commerce et les colonies. Vis à vis des colonies, il décida de cesser de coloniser de plus en plus de terres, tant que des bases solides, à savoir des villes fortifiées n’étaient pas mis en chantier. Mais c’est sous le règne de son oncle Carlos II, que l’Espagne connut, parallèlement au Portugal, une explosion des revenus, notamment grâce au commerce. Les monopoles dans les centres de commerce du monde nous rapportent en effet des sommes considérables. Ceci d’autant plus que quasiment tout ces centres sont connus de l’institut de cartographie de Madrid. Du point du vue militaire, l’Espagne prit de l’avance vis à vis des autres nations d’Europe, suite à la mise en place des Tercios par De Cardona à son retour d’Amérique. Formés d’un complexe assemblage de piquiers, de mousquetaires et d’arquebusiers, ces formations solides sont capables de terribles dommage à l’ennemi. ![]() Diplomatie : A la France : -suite à l’accord de Mexico, nous espérons gagner votre amitié et l’alliance des deux sangs pourrait être envisagé. Néanmoins, pour gagner notre confiance et celle de toute l’Europe, plus de transparence dans vos actions seraient souhaitables:Nous vous félicitons pour la prise de Jérusalem. Toute la chrétienté est derrière vous et applaudis le Roi de France pour cet acte de Foi. Mais toute l’Europe souhaiterait sans doute connaître le contenu des tractations secrètes entre vous et le Sultan pour aboutir à cet accord. -De même, suite aux conversions massives à l’hérésie protestante en France, notamment à l’Est et surtout à Paris, quelle sera la politique religieuse de la France ? On parle d’une conversion à l’hérésie mais il s’agit probablement de rumeurs car nous ne saurions croire à une telle infamie de la part d’un si grand royaume. Comme l’a montré l’Empereur, seule l’envoie de missionnaires, mais aussi et surtout d’inquisiteurs permettra d’extirper de vos provinces ce culte infâme. A l’Empereur: l’alliance signée entre nos deux pays est un gage de paix et d’équilibre en Europe. Nous sommes prêt à servir de médiateur entre vous et notre ami polonais suite aux divergences qui vous ont opposées et qui pourraient toujours vous opposer. ![]() ![]() ![]() La stabilisation de l'inflation grâce à un système moderne de banque (3e valeur) Dernière modification par comeon ; 27/08/2007 à 21h02. |
#6
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Diplomatie française :
Au roi d'Espagne : Cher cousin, nous venons de prendre connaissance d'un passage de l'histoire officielle espagnole sur le contexte qui entourait la 3e guerre franco-espagnole. Sachez que certains passages nous ont profondément outré et révolté. Certaines atteintes à notre honneur ne nous permettent plus d'entretenir de quelconque rapport cordiaux avec vous sans que notre honneur soit lavé. Pour ce faire il n'existe que deux solutions : le combat singulier ou le pardon. Je ne saurais souffrir de vivre dans la honte dans laquelle vous m'avez plongé. Je vous somme donc de choisir entre la guerre ou les excuses diplomatiques pour les accusations ou mensonges suivants : Citation:
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Nous avons moins passé d'années en guerre que vous et contre un nombre d'ennemis plus restreint que vous. Sinon vous pouvez me rappeler quel sort vous avez réservé au royaume d'Aragon ? Citation:
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On ne peut mesurer la puissance d'une nation à son seul manpower qui en effet est très important pour la France Citation:
Si l'équilibre veut dire le contrôle par un même Etat de l'ensemble des richesses orifères et commerciales du continent nord et centre américain au détriment des autres Etats présents et en usant de la force si nécessaire, alors dans ce cas oui nous pouvons dire que l'Espagne défend l'équilibre... Pour notre part, nous nous sommes plaint de l'absence d'équilibre au sens traditionnel du terme, c'est-à-dire : état d'un espace territorial dominé par des forces qui se contrebalancent. Nous n'avions pas connaissance de la définition espagnole à l'époque.A titre purement informatif, il est stupéfiant de constater que l'Espagne qui défend une valeur si noble et humaine de partage équitable du monde soit obligée de "payer" ses alliés (pologne, russie) tandis que la France, qui ne cherche que le déséquilibre du monde à son seul profit, parvient sans difficulté à rallier Anglais et Vénitiens sans dépenser le moindre centime.
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#7
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Précision Russe relative au protocole:
Certaines communications qui nous parviennent sont adressées au "Tsar" Il n'y a pas de Tsar en Russie. Il n'y a qu'un Kniaz, Grand Prince Marchand élu, qui représente l'alliance éternelle de la noblesse, des guildes et du peuple au seing du Grand Velche de toutes les Russie, à Novgorod. Actuellement le pouvoir est délégué au grand Prince de Moscou Aedanski qui siège à Novgorod avec sa grande horde pour toute la durée de son mandat. Merci
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![]() Citation:
Malheureusement nous pensons que si : en effet, dans notre dernière guerre malheureuse contre vous, nous avions énormément de liquidités, et nous pensons que la France également puisqu'elle a pu recruter en masse dans ses campagnes en permanence. Seulement la différence flagrante de population mobilisable a apporté l'avantage décisif et structurel à la France. Ajoutons à cela les terres de France continentale extrèmement riches et facilement défendables. Tout cela fait de la France probablement la nation la plus puissante de ce temps. Mais il n'y là aucune honte à avoir, tout au contraire nous saluons la puissance de ce grand Royaume qui a pu libérer Jérusalem. Il faut seulement assumer les quelques critiques inévitables que peuvent faire telle ou telle nation à votre encontre. Critiques qui vous le conviendrez certainement ne sont guères insultantes ou menaçantes surtout maintenant que tout contentieux entre nos deux pays est réglé. Il ne s'agit que de demandes de précisions auquel vous n'avez toujours pas répondu d'ailleurs. Concernant vos alliés Venise et Angleterre,surtout Venise il faut dire, cette nation n'a jamais fait montre d'un grand courage, et l'appater d'une proie facile en difficulté n'a pas du être très difficile. |
#9
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Diplomatie française :
C'est votre opinion. Nous avons la nôtre. Cela n'était pas ce que nous appelons des accusations à tords dont nous demandons toujours des excuses, qu'il nous faudra aller chercher si vous n'y êtes disposé. Lorsque vous nous accusez d'avoir lever les indigènes contre dans les comptoirs anglais, par exemple, vous ne formulez pas une critique mais une accusation infondée et erronée. Nous avons parfaitement conscience de ne pas répondre à vos questions. Rassurez vous, elles ne nous ont pas échappé.
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#10
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![]() Citation:
Venise a eu le courage de TOUJOURS, et ce depuis le début de la GPO de respecter ses engagements quoiqu'il arrive, c'est peut etre pour cela qu'aujourd'hui l'Espagne se trouve isolée et non pas Venise... Venise, elle, a toujours oeuvré pour la Paix contrairement à l'espagne et ces sbires qui n'ont cessé d'etre belliqueux et qui n'ont cessé de regarder les autres de haut. Sachez Roitelet, que jamais plus vous ne pourrez avoir notre pardon, car en effet il est SI simple de stigmatiser venise, qui est faible et dont tout le monde peut avoir une rancoeur... En effet le Portgual, vous meme et l'Autriche ont une ''raison'' d'en vouloir à venise, cette raison c'est le fait qu'on ai gagné la guerre et vous ne l'avez jamais digérer cela, comme vous n'avez jamais pu digérer le fait que l'on s'installe en amérique. L'Autriche et Venise sont parvenues à un accord raisonable pour les deux parties, certes qui ne garantit pas que nous nous entendrons toujours très bien mais au moins qui va permettre à nos deux nations de reprendre des relations diplomatiques saines et neutres. L'Espagne n'a jamais cherché cela avec personne car son roi est cupide et lache, l'Espagne à toujours tenté d'avoir le dessus meme par la parole, l'Espagne n'acceptera jamais d'avouer qu'elle a eu tort a tels ou tels endroit, lorsque l'Espagne se dit vouloir l'équilibre de l'Europe et des collonies .... entendez Roitelet: les cours de toutes l'Europe ricannent. Jamais l'Espagne n'a cherché a rééquilibrer quoique ce soit en Europe. Et le soit disant équilibre que vous souhaitiez en amérique est l'équilibre de "l'hégémonie espagnole", pour vous : équilibre = tout possèder. Que l'Espagne soit prete a faire des concessions et à redescendre de son piedestal sur lequel elle ne se trouve plus depuis la dernière guerre ! En effet, vous ne ferez plus que courir après votre gloire passée que jamais vous ne pourrez récupèré tellement votre arrogance et votre dédain des autres vous perdra.
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Pedrolane Town, une ville ou il fait bon vivre ! Dernière modification par Pedrolane ; 28/08/2007 à 15h13. |
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