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Portugal,
Guerre des Pyrénées 1524- 1526 Pour l’instant, c’est la France qui a déclaré la guerre à l’Espagne et à son allié le Portugal. Juillet 24, les armées françaises arrivent en masse du Béarn, et se placent en Navarre, à Gérone après un combat gagné, et à Barcelone, et sur les Pyrénées qu’ils prendront aussi par la force. ![]() De l’autre côté de la mer, l’espagnol va tenter de protéger la province de Pensacola, qui sera la zone essentielle des combats pendant les 1 an et demi de guerre. ![]() Septembre 24, la Navarre est reprise, l’armée de Mendoça est en route pour aider l’armée espagnole à déloger les français qui assiégent les Pyrénées. La bataille commence vers la fin du mois d’octobre, et ce ne pas moins de 40 000 hommes au final de chaque côté qui vont s’affronter dans les montagnes. ![]() ![]() ![]() 1 mois plus tard la bataille est gagnée mais à quel prix ! C’est un vrais carnage, et c’est déjà le résumé de la guerre qui est dans notre première grande bataille : notre armée aura souvent l’avantage au moral, de nombreuses batailles seront gagnées, mais toujours au prix de pertes trop nombreuses, mais surtout beaucoup plus nombreuses que celles infligées au francais, qui a déjà un énorme avantage de manpower, et qui bénéficie de 3 nouveaux alliés : L’Angleterre, et Venise, venus profiter de l’occasion pour tenter de prendre une part d’un butin facile. Le Portugal ne suivra d’ailleurs pas cette nouvelle déclaration de guerre contre l’Espagne. Le choix a été, à vrais dire, extrêmement difficile. Nos colonies sont toutes protégées et fortifiées, nous n’aurions eu aucun mal à les repousser, mais surtout à pulvériser leur flotte, et à brûler ou capturer les colonies de Venise, grâce à l’Amérique du sud qui aurait permis de lever une énorme armée en peu de temps, sans avoir à renflouer par la mer. Tout cela était tentant, mais cela voulait dire aussi faire partir mes 35 mille hommes protégeant l’Espagne. Le choix était donc, soit se concentrer sur l’ennemi principal, alors que la défense des Pyrénées était encore faible, soit partir protéger nos colonies et attaquer les leurs. Je choisis donc de rester concentré sur le Français. A partir de janvier la 1ère armée reste en garnison dans les montagnes, tandis que l’Espagnol tente des offensives sur la côte barcelonaise. A Cuba, la 3ème armée de cavalerie venue d’Afrique du Sud déloge une armée française qui venait de brûler 2 colonies espagnoles. ![]() ![]() En mai 25, les efforts se portent à présent en Navarre, où il faut repousser une nouvelle armée française. Au sud Gérone a été capturé, mais l’espagnol semble gagner du terrain, et finira même par libérer cette province en août. ![]() Pendant ce temps, au Brésil, les garnisons de police commencent à être réquisitionnées pour remplacer les pertes du continent. La 2ème armée, de Sebastiao de Vasconcelos, ramène ses 11 milles cavaliers à la frontières des zones de combat. Juillet 1525, c’est la 2ème batille des Pyrénées, gagnée ; nous enchaînons sur l’armée française en Navarre qui sera également repoussée, malgré un premier échec. ![]() ![]() ![]() Septembre 1525, Pensacola tient toujours, malgré l’arrivé en renfort des armées anglais, venues seconder le français. ![]() Avec la fin de l’été, le front s’est stabilisé. La côte Méditerranéenne a été sécurisée, et l’espagnol commence à rentrer dans le territoire ennemi. Malgré tout, aucune offensive sérieuse n’est à envisager, nous avons perdu trop d’hommes, et surtout, les alliés du français ont réussit à créer de nouveaux fronts, dont il va falloir s’occuper. Enfin, Pensacola a tenu, mais pour combien de temps encore ? Une fois ce verrou sauté, c’est toutes les colonies aztèques qui sont en danger, sans parler de Venise qui met sérieusement la pression du côté de la Colombie. Notre dernier combat, et victoire sera au Béarn, pour sauver l’armée de Vasconcelos, qui restait piégée dans le territoire français depuis 2 mois. ![]() ![]() La guerre s’arrêtait en février 1526, alors que la 3ème armée de cavalerie débarquait en Bretagne pour foutre le bordel à l’arrière et exterminer les armées isolées… ![]() L’Espagne, n’avait plus de manpower, et préférait perdre maintenant la guerre plutôt que de s’enfoncer dans une défense vaine, qui ruinerait son pays à moyen terme.
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Portugal 1526-1549
Les négociations furent longues, avant de trouver l’accord qui mettait fin à cette guerre. L’Espagne perdit un nombre conséquent de territoires, quant à nous, nous cédions 3 colonies : Grand Para (Brésil) à Venise, Bourbon et Sumba à l’Angleterre, et enfin 300 ducats à l’Angleterre, que nous payeront en totalité, considérant que l’Espagne avait largement payé son tribut. ![]() ![]() ![]() A présent nous étions 3 à nous partager l’Amérique du sud. Venise possédait maintenant toute la très riche zone à café, encore plus lucrative que le sucre, et nous partagions une frontière à la fois du côté des terres Incas, et du Brésil. La jungle impénétrable au centre du continent se chargeait du reste. ![]() Une armée fantôme à la frontière de Caqueta ( bug des bateaux) Malgré le calme revenu, le Roi Pedro V fut extrêmement affecté par cette défaite, et, oubliant ses devoirs conjugaux, il mourrait soudainement en octobre 1526 sans laisser de descendance. La Régence (4/3/6) dura jusqu’en 1531, date à laquelle Sebastiao I monta sur le trône, heureuse nouvelle en vérité car ce monarque compétent (7/7/3) allait régner bien plus longtemps que ses prédécesseurs bien trop pressés de rejoindre l’Eternel, et toujours parmi les vivants en cette année 1549. Vers 1531, c’était aussi le début d’un nouveau conflit, entre l’Autriche et l’alliance Polono-Vénitienne. D’après les renseignements que nous pûmes recueillir, l’armée de l’Empereur, pris en étau, finit par ne plus avoir de territoire où pouvoir retraiter, afin de réorganiser ses troupes démoralisées. Venise sortait une nouvelle fois grandie d’un conflit armé, il fallait donc à présent voir en elle un ennemi à prendre en considération, et en l’Empereur un compagnon dans la défaite… en attendant que Justice se fasse. ![]() C'est Mussolini qui serait content... Mais au Portugal, c’était à présent une période de calme et de prospérité, et pour longtemps encore. L’heure était à la colonisation, et à la construction d’une université à Lisbonne. Ce fut en résumé des années bien tranquilles, à part une curieuse activité militaire de Frise, du côté de l’Inde et de l’Indonésie, vassalisant à tour de bras les royaumes locaux de Ceylan, Macassar, Atjeh et Oman. Autant dire que, tranquillement, Frise avançait ses poins. ![]() Frise expliquant gentilment à Atjeh qu'il est de leur interêt de devenir vassal De 1536 à 1549, c’est l’éminent Senhor Kerbec qui pris les rennes du pouvoir, pendant que Ciirse passait la soirée en URSS. En voiçi le résumé : Session assez calme pour le portugal. La guerre commerciale fait rage j'ai grosso modo concentré mes forces sur 3 centres commerciaux: amérique du sud, Pakistan et chine. Les revenus commerciaux sont très satisfaisants je pense. Point de vu technologique l'effort à été porté sur le commerce et le Portugal est maintenant a la pointe de la technologique dans ce domaine et quasiment dans tout les autres. Point de vue investissement j'ai lancer la construction de distillerie (2 ou 3 je sais plus) Point de vue conseillers : le meilleur conseiller à rendu l'âme, j'ai mis la mains sur un explorateur spé colonisation +8% de réussite pour le remplacer. Pas trop mal ma fois. point sur les colonies : quelques révoltes de locaux retissant à payer l'impôt mater de ci de la (une réduction d'impôt et puis quoi encore!). Sinon le Portugal possède maintenant une bonne base d'île dans le pacifique jusqu'a Hawaï avec quelques colonies transformée en villes. point sur la religion : quelques provinces d'amériques du sud on pu entendre raison et se sont convertie à la vraie foi catholique. (contrairement à certains hérétique qui contrôle actuellement le tombeau du christ) Sinon pour passer un peu le temps j'ai recruter un explorateur mais bon j'ai pas trouver grand chose. J'ai pas pu trouver notamment le centre commercial du japon que je cherchais. Au final économique je fini à 1 ducat derrière l'espagne. Je suis pas mécontent de moi. Voila un peu près tout.
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![]() Chronique Frisienne : 1526 –1540 L’océan indien comme ères de jeux. La fin de la campagne d’Oman : Après de rude combat, et avec la capture de la capitale du royaume, Musca, le général de Frise tenta d’entamer les négociations avec les musulmans de la région, la première délégation envoyée fut renvoyer sur-le-champ par le cheik, celui-ci trop barbare pour savoir les conséquences de ses actes, les massacres continuèrent donc durant 1 mois, le cheik face au mécontentement de plus en plus grand a son égard, dut enfin signer l’armistice en mai 1526, il céda l’indépendance de son royaume aux européens. L’expédition sur Ceylan : Après Oman, les généraux Frisiens durent trouver une nouvelle cible pour agrandir la puissance de la compagnie néerlandaise des indes, une cible retint leur attention par la facilité militaire de son écrasement, et par sa position insulaire la coupant des affaires continentales. Les forces se mirent en route durant l’hivers 1527 pour échapper à la terrible mousson, que les explorateurs leur avaient dit d’éviter. Face au canon Frisiens et leur tactique, les indiens furent très vite défaits et signèrent la paix en avril 1528, même chose que pour Oman vassalisation. Vassalisation de l’iles de Atjeh et de Macassar. Après la réussite de Ceylan, les généraux Frisiens trop content de leur succès s’élancèrent après une année de repos, et avec le renfort de 4 mille cavaliers, sur le royaume de Atjeh et de Macassar, les navires partirent de l’Afrique pendant l’hiver 1530, après avoir pris la pointe sud de Sumatra pour accueillir les navires, l’infanterie et l’artillerie partirent vers Macassar, seul cité fortifier de la région, l’armé de ce royaume tena admirablement face à nos forces, obligeant le commandement Frisiens à appeler sa cavalerie, a son arrivé le combat fut vite expédier. Après plusieurs moi de siège la ville fortifier accepta la vassalisation, l’armé néerlandaise put repartir sur Sumatra pour en finir une bonne fois pour toute ! La remonté vers la capitale au nord de l’ile fut difficile face aux conditions climatique déplorable amenant de multiple maladie affectant la marche de nos hommes, et a la résistance opiniâtre de l’ennemie dans les jungles de l’iles. Mais malgré cela l’inévitable arriva, Atjeh fut vassaliser en 1532. Cette vassalisation des petites puissances régionales permit à Frise de gagner des fonds non négligeables, par les indemnités verser dans les traités et par leurs tributs annuels a Frise, amenant 40 ducas aux royaumes. Conflit pour Oman : En 1534, arriva un fait surprenant le royaume de Hedjaz attaqua le royaume d’Oman, son roi trop fier d’avoir réussit à avoir l’alliance des Mamelouks et de l’Ottomans voulait connaître une croissance rapide, nos forces n’étaient pas prête à un tel conflit, après envoyer quelques troupes en soutien, notre marine fut surprise par les navires Mamelouk au nombre de 40, bloqué au milieu de la mer rouge, sans grande possibilité de retraite, le Duc décida de signer la paix, abandonnant la province de Nedj. Ce conflit servit de leçon au duc, son armé resterait loin des conflits régionaux, ne pouvant soutenir ses vassaux moyen-orientaux, c’est ainsi qu’il abandonna le royaume d’Al Hasa en 1538 face à l’assaut du fourbe souverain de Hedjaz. Le duché vit quand même cet affront vengé, ce pauvre royaume fut renvoyé dans les limbes avec les conflits entre les Mamelouks et les forces perses et Ottomanes Retour en Afrique : Prise des mines d’or : Après des années de préparation, Frise eu enfin la possibilité en mars 1541 de recruter un explorateur, Frise pouvait enfin poussait son avancer vers l’intérieur des riches terres d’Afrique de l’Est, après réunion du corps militaire coloniales, l’attaque sur le royaume du Monomotapas fut lancée, Frise se lancer vers l’inconnue, aucun explorateur n’avait poussait avant eux vers ces terres barbares, les terres découvertes montrèrent une richesse étonnante, prêt de 3 mines se trouvait dans le royaume, les conquistadors Frisiens excité par cet or, continuèrent le conflit jusqu'à destruction totale des forces africaines, après 1 ans et demi de guerre, l’annexion totale du royaume fut fait. Avec cette afflue d’or, le budget du royaume connut une augmentation fulgurante de 50 pourcent, l’état pouvait lutter contre l’inflation tout en faisant des bénéfices ! ![]() Novembre 1541 avancé dans les terres sans opposition. ![]() Mars 1542 Grande bataille de Barwé. Première guerre d’Afrique de l’Ouest. Suite au demande d’appuie de Venise, la guerre fut lancer contre Haousa, cette guerre entraina aussi les états du Songhai mais aussi du Swahili en Afrique de l’ouest, Frise lors de ce conflit ne perdit pas un soldat l’effort principal ayant était fourni par Venise en Afrique de l’ouest, et à l’est, notre Duché ne vit aucune résistance. La guerre se solda par l’annexion du Bénin par Venise, et par la conquête en Afrique de l’Est par Frise de Mombasa et du Malindi et la vassalisation du pauvre royaume. Pour Songhai, le duché fit une grande découverte, ce royaume avait des réserves en ducas, très importante pour un royaume africain, 300 ducas furent extorquer aux indigènes, cette somme fut bien entendu partager avec le Doge. Situation du Royaume en 1549. Le royaume en cette belle année a vu ces revenue de 50 pourcent, ce qui permettra dans l’avenir de faire des bénéfices tout en contrôlant l’inflation. Les coffres du royaume contiennent aujourd’hui deux fois plus d’or qu’auparavant, permettant à Frise un pouvoir de construction important pour ces futurs projets…. Au niveau de la stabilité, elle est passé de 1526 à 1549, de 1 à 3. Pour le prestige, Frise reste encore aujourd'hui la nation la plus prestigieuse du Globe. |
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Venise 1515-1549
![]() C'est en 1515 que sera signé le célèbre traité de Dusseldorf entre l'Autriche et Frise, ce traité fut accueilli avec beaucoup de soulagement à Venise, en effet cette nouvelle permetait à Venise d'éloigner l'idée d'une guerre contre le voisin Autrichien et ainsi de se concentrer sur son nouvel objectif qui est celui de la collonisation. Mais la collonisation se voit freinée par d'étranges rébellions d'indigènes, en effet c es indigènes avec qui nous entretenions d'amicales relations semblaient du jour au lendemain nous hair, Venise ne put jamais prouver par A + B qui fut le coupable mais nos soupcons se posèrent sur le Portugal, en effet, l'angleterre nous avait déja avertit que le portugal tentatait d'exiter les indigènes locaux. Nous ne pouvions nous laissé faire et nous nous préparions donc à la Guerre conjointement avec l'Angleterre. Cependant, la guerre explosa entre la France et l'Espagne, la France avec qui nous avions toujours entretenu de bonnes relations nous demanda notre aide et comme le Portugal était allié à l'Espagne, nous acceptâmes. Mais le Portugal réussi à échapper aux griffes de l'Anglais et de Venise en refusant d'aider son allié espagnol lorsque nous lui déclarâmes la guerre. Au bout de quelques années et de nombreuses négociations, un accord fut trouvé entre les différentes Nations: L'espagne assumait sa défaite et c'est ainsi que nous recûmes les collonies espagnoles du nord de l'amérique du sud ainsi que Gran Para (du portugal). Le portugal ayant réparé ces faits vis a vis de l'Angleterre et de nous meme l'histoire des collonies brulées était donc règlée. ![]() Après cette guerre, Venise en sortit grandie et la collonisation repris de manière intensive, mais un grand malheur touc ha notre nation, en effet les meilleurs conseillers de Notre cours et le Doge en place moururent tous d'une mystèrieuse maladie, c'est ainsi que toute la cours fut remaniée et la collonisation ralentie par le manque de talent admministratif de la nouvelle équipe. mais Venise ne comptait pas se laissée abattre pour autant et cobntinua a collonisé les terres ou nous étions déja implantés afin d'en faire des villes. Cepandant une sombre nouvelle nous arriva de Pologne, l'Autriche lui avait déclarée la Guerre, deux solutions s'offraient à nous, soit rentrer en guerre une fois pour toute ou refuser d'aider notre allié et ainsi nous permettre de relancer notre croissance... Le choix fut rapidement fait, nous ne pouvions laissé tombé notre allié et nous suivîmes notre allié. La guerre fut tout d'abord difficile car l'Autriche réussit à percer notre territoire et a menée un siège. Ensuite, après avoir réussi à repousser l'offensive Autrichienne et brisé le siège, nous suivimes les troupes autrichienne en déroute et fimes la jonction avec les troupes Polonaises ce qui nous permit de détruire les divisions Autrichienne. L'Autriche était abttue et l'admit, c'est ainsi que Trentin et la Croatie devinrent terres Venitienne. Après cette guerre, venise aspirait a la Paix et lanca immédiatement des pourparlers avec l'Autriche afin de signer enfin, un traité de non -agression et de reconaissance territoriale, pour prouver sa Bonne foie, Venise remit meme Trentin à l'Autriche, qui après mure réflexion se rendit compte que là était le salut de nos deux peuples. Vers la Fin des années 40 l'économie Venitienne déclibna, en effet le manque de Prestige faiblissait notre commerce et le peu de talent administratif de notre Doge n'arranga rien, de plus nosu fumes obligé d'emprunter deux cents ducats suite aux erreurs d'un comptable (emrpunt automatique). Le Défit pour Venise est de redorée son blason Commercial et relancer son économie en stoppant définitivement l'inflation.
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Pedrolane Town, une ville ou il fait bon vivre ! |
#5
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1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France ![]() L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature ![]() ![]() ![]() ![]() Henry VII décéda trois années plus tard, l’histoire retiendra de lui qu’il fut un grand Roi pour l’Angleterre ![]() ![]() ![]() Les choses commencèrent enfin à changer avec l’arrivée d’Edgar III, monarque compétent et très dynamique. Sa fougue gagna le pays tout entier et, en l’espace de quelques années seulement, le pays était métamorphosé : la stabilité était au sommet, comme elle ne l’avait jamais été depuis un siècle (première fois depuis le début de la GPO que je dépasse +1 en stabilité ![]() ![]() |
#6
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Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre
Préambule nécessaire : le royaume de France entre 1515 et 1526 Les préparatifs de guerre A cette époque le royaume de France prospérait dans la paix. Depuis sa dernière guerre contre l'Espagne qui lui avait coûté la Californie, Français et Espagnols n'étaient pas parvenus à s'entendre sur une reconnaissance mutuelle de zone coloniale en Amérique du Nord. Cupides et avides de richesses, les ibères demandaient que la France reconnaisse la souveraineté espagnole sur la Californie et n'entretienne pas un espoir de reconquête. La France, en contre-partie d'un tel sacrifice, demandait la reconnaissance du quart sud-est de l'Amérique du nord par l'Espagne, ce qui impliquait un désengagement espagnol du centre de commerce de Pensacola, de 4 villes coloniales, de 5 colonies et l'abandon de son vassal indien Creek. Evidemment, la France proposait de dédommager l'Espagne à un prix équitable. Le roi espagnol d'alors, Cupide III, refusa s'estimant probablement en position de force. La nouvelle parvint à notre bon roi Henri III le 27 janvier 1515 alors que celui-ci se trouvait au château de Plessis-lès-Tours. Il fit réunir ses proches conseillers et là, nous tint exposa son opinion : "puisque mon cousin d'Espagne ne juge pas nécessaire de trouver un arrangement diplomatique avec moi, nous allons lui faire prendre conscience qu'il faut aimer la diplomatie, surtout quand on traite avec nous !". Conscient des lacunes qu'avait révélé la dernière guerre, notre roi promulga un certain nombre d'édits touchant à l'organisation de l'armée. Pendant 5 ans, une bonne part de la recette des impôts servis à recruter, former et équiper les armées royales. Tous ces efforts coûteux ne furent pas infructueux. La qualité et la quantité des troupes augmenta significativement (moral en hausse), l'instauration d'un contrôleur des approvisionnements permis au royaume de gerer à moindre cout l'approvisionnement auprès des marchands de guerre toujours prompt à faire des bénéfices espagnoliques* (*terme entré dans le langage courant en France dont le sens est synonyme de cupide mais en plus fort). Une active diplomatie française Parallèlement à cette préparation des hommes et du matériel, notre roi ne ménagea pas sa peine sur la scène diplomatique. Cet art n'est pas né en France par hasard. L'Empereur fut contacté pour lui renouveler nos bonnes dispositions à son égard ; démarche à laquelle il répondit avec une courtoisie et une félicité identique. Nos ambassadeurs avaient assuré le roi que le duc de Frise ne serait pas un ennemi de la France en cas d'intervention contre l'Espagne. Ils avaient raison. Par contre, ils se fourvoyèrent complètement avec le roi de Pologne comme nous le verrons plus tard. Vis à vis du Portugal, la situation était dans le fou. Depuis toujours Français et Portugais avaient pris soin de ne pas se gèner et n'avaient jamais pris les armes les uns contre les autres, même quand la folle espagne agressa la France. De fait, les conseillers du roi étaient partagés entre une intervention portugaise aux côtés de l'Espagne ou la poursuite d'une relative neutralité à notre égard. Les brillants succès diplomatiques furent obtenus auprès des cours vénitiennes et anglaises. Le roi de France envoya discrètement ses meilleurs diplomates auprès de ces deux princes avec pour mission de remporter la neutralité, à défaut d'adhésion, de ces deux royaumes. Henri III n'était pas sans connaître les relations qu'entretenaient ces deux maisons avec les ibériques. Il savait y trouver des oreilles prêtes à écouter et des esprits prêts à rêver à un monde différent. Les diplomates ne dissimulèrent pas les intentions du roi. Il préparait la guerre à l'Espagne, mais à l'Espagne seule et il ne demandait l'aide de personne. Non sans ruse, notre roi faisait donc savoir à ces princes que l'Espagne serait occupée. Il n'avait pas besoin de leur rappeler que le Portugal avait pratiqué une politique coloniale extrémement agressive (coloriage de carte et achat de révoltes) au détriment, étonnement, de l'Angleterre et de Venise. Ces deux maisons informèrent alors leur homologue française qu'ils allaient s'allier entre eux pour attaquer le Portugal d'ici quelques années. Par amitié, la France leur indiqua ses intentions d'entrer en guerre contre l'Espagne dès l'automne 1523. Eux-mêmes décidérent alors d'attaquer le Portugal en hiver 1525. Cela montre bien l'infondé de certains propos ibériques qui soutiennent que ces deux guerres furent concertées et organisées dans leurs tenants et aboutissants. On ne peut imaginer des "alliés" entrer en guerre 2 ans après le premier (car en fait anglais et vénitiens n'entrèrent en guerre qu'à l'été 1525). Néanmoins, l'attitude du roi du Portugal modifia les plans initiaux et transforma ces deux guerres imaginées en une guerre de fait, ce qui explique que la paix fut négocier après des concertations globales entre Français, Anglais et Vénitiens. La guerre La guerre éclata à l'automne 1523. Le roi disposait alors de 6 corps armées en France, 3 de sièges et 3 de combats. Précisément, les 3 corps de sièges étaient constitués de 7000 Lancastre pour encercler les places fortes, appuyés par 4000 artificiers, enfin 1000 cavaliers faisaient office d'éclaireurs et de troupes rapides pour colmater les brêches. Les 3 autres corps, ceux destinés aux batailles, comprenaient entre 12000 et 16000 cavaliers ; ils devaient soutenir et donc rester à proximité des troupes de sièges. Cette armée était commandée par les meilleurs généraux français de l'époque, supérieur en qualité à ceux de l'Espagne. L'objectif était simple : une conquête lente mais irréversible de l'Espagne du nord et du sud-est jusqu'à la capitale. En Amérique, le roi avait fait massé 5000 Lancastres appuyés par 2000 artificiers et 15000 cavaliers dont l'objectif était de bousculer les 10000 espagnols stationnés à Pensacola pour assièger la ville. La cavalerie, elle, poursuivrait les troupes en déroute en redescendant sur le Mexique et en brulant ou capturant des colonies espagnoles au passage. En Europe, la guerre évolua selon les plans des généraux français, les troupes espagnoles furent chassées des Pyrénées et les troupes français entamèrent alors de nombreux sièges jusqu'à Barcelone même. En Amérique, les 15000 cavaliers et les 5000 Lancastres réussirent l'exploit de perdre une bataille à 2 vs 1. Les renforts espagnols arrivèrent et prirent par surprise 4000 cavaliers français en déroute qui se débamdèrent complètement. Les choses ne tournaient pas vraiment comme il fallait. Maigre compensation, les petites unités débarquées un peu partout dans l'empire colonial espagnol réussirent en majorité à détruire plusieurs colonies. sur le champ pyrénéen, l'arrivée du Portugais et un effort colossal de recrutement de la part de l'Espagne, leur permis de générer à nouveau suffisament une masse armée pour tenter de nous déloger. Les combats furent acharnés et particulièrement sanglants. Hélas, Dieu n'était pas avec nous à ce moment. Plusieurs armées furent vaincus dans des conditions particulièrement étranges. Comment des troupes françaises en position défensive, avec un moral éprouvé (meilleur que ceux ibériques), mieux commandé que ses ennemis, à égalité numérique voir même en supériorité au début du combat, pouvaient elles connaître autant de défaites successives. De facto, l'année 1525 fut une longue et lente période de reflue des troupes françaises. Les troupes étaient complètement démoralisées. Non pas par peur de l'ennemi mais par incompréhension et fatigue. Dans maintes batailles, pour 1000 français tués plusieurs milliers d'ibériques étaient tombés. Quel était donc ce prodige qui permettait aux troupes ibériques mortes de remporter les batailles ? L'opposition près du petit village de Bueno Pella dans les Pyrénées est à ce titre éloquente : plus de 30000 ibériques, par vagues, furent concentrés dans cette bataille contre environ 25000 français. Un peu plus de 1000 de nos frères périrent alors que 10000 ibériques étaient tombés..........et pourtant c'était les troupes à la fleur de lys qui battaient en retraite. Dans le même temps, le roi du Portugal, qui avait manifestement décidé que le temps de la neutralité vis à vis de la France était fini, débarqua un petit corps de troupes dans le nord de la France pour tenter de piller et semer le désorder dans nos régions nords mal défendues. C'est à ce moment que nous primes conscience que le roi polonais avait envoyé 10000 cavaliers dans l'Est du royaume. Lorsqu'Henri III fut informé de cette nouvelle, il entra dans une extrème colère (que sentit passer le service en porcelaine de ma dame de Beauvoie, duchesse du Béarn, qui hébergeait en son château le roi. La pauvre fut toute effondrée par la perte d'un trésor familial présent depuis plus de 100 ans dans la famille. Si le roi avait mis la main à ce moment sur le grand vase de cristal au fond de la pièce, je crois que la duchesse se pamaît sur place). Comment le roi de Pologne pouvait prendre les armes contre le royaume de France ? Quels motifs conduisaient ses troupes ? Il n'était pas idiot au point de suivre son "allié" sans autres raisons ? La Pologne et la France, qui n'avait jusqu'alors eu que peu de contacts mais toujours en termes amicaux, devenaient ennemis par la force des promesses espagnoles. Il y a chez certains rois une facilité à se vendre quitte à se comporte avec le plus grand déshonneur et un manque flagrant de clairvoyance. Il était sur en effet que le roi d'Espagne aurait pris le partie de l'Autriche contre la Pologne plus tard si un conflit venait à éclater (ce qui est arrivé depuis et a donné raison à tous les conseillers français). Quoiqu'il en soit, avec un extrême courage, les 10000 cavaliers polonais attaquèrent les unités dispersées de cavalerie français, tout récemment armée pour partir à la guerre. Le deuxième motif de la colère mémorable du roi fut l'Empereur. Car si la Pologne envoyait des troupes en France c'était par le biais des terres de la maison d'Autriche. Or, cette dernière entretenait depuis presque 100 ans de très bons rapports avec la maison de France. A maintes reprises, les princes de ces deux maisons avaient pu constater les nombreux points d'accord qu'ils avaient. Une diplomatie régulière et fréquente fut entretenue de tout temps depuis la fin de la guerre de Cent Ans. Chacun n'empiéta jamais sur les intérêts de l'autre. A peine quelques mois avant la guerre, l'Empereur nous assurait encore n'avoir aucun grief envers la France et ne pas prêtait oreille aux sirénes espagnoles. Alors pourquoi donnait il l'accès à notre ennemi ? Le roi fit dépêcher aussitôt son meilleur diplomate à la cour de Vienne. Celui-ci chevaucha avec grande célérité pour atteindre la capitale autrichienne en moins de 2 semaines. Le roi lui avait donné des consignes claires : obtenir de l'Empereur la fin du passage des troupes polonaises sur ses terres. La France le demandait en tant que service et en vertu de l'amitié de nos deux maisons. Le roi faisait aussi savoir qu'il ne pouvait que s'étonner qu'indirectement l'Autriche prenne le parti de nos ennemis. Encore une fois la sagesse impériale s'illustra. L'Empereur ne pensant pas trahir sa neutralité en accordant cet accès nous assura qu'il était disposé à nous donner également un accès pour faire route vers la Pologne. Notre diplomate lui fit savoir que la France n'avait aucunement l'intention de faire la guerre au peuple polonais, car, contrairement au roi de Pologne, le royaume de France n'a pas cette faculté à transformer un Etat ami ou neutre en ennemi simplement sur agitation d'une carotte, quelque quelle soit. L'honneur et la parole valent plus que l'or aztèque de l'Espagne pour nous Français. Se retrouvant dans notre déclaration et ayant entendu la demande de geste à notre égard par amitié, l'Empereur, sans hésiter, fit envoyé un diplomate à la cour de Varsovie pour les informer de la fin de l'accès terrestre. Notre roi ne manqua pas de remercier l'Empereur par la suite. Suite à venir....
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#7
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Traité de Gênes
L'Autriche et Venise sont arrivées à l'accord suivant: -Signature d'un pacte de non-agression mutuelle -Reconaissance de la souveraineté Venitienne sur l'Italie actuelle et du droit de vassalisé Rome. -Restitution de Trentin à l'Autriche et cession de l'ile de Barbade __________________ Par cet accord les deux parties entendent ne plus se chamailler et enfin offrir aux peuples Venitien et Autrichien la Paix entre ces deux nations.
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Pedrolane Town, une ville ou il fait bon vivre ! |
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() |
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![]() ![]() Chroniques d'Espagne : 1515-1549 La 3e guerre franco-espagnole (1523-1526) Cela faisait longtemps que la France et son ambitieux souverain Henri III souhaitaient mettre la main sur nos possessions coloniales du quart sud-est du Nouveau continent. Consciente de sa force, suite à ses conquêtes sur la Bourgogne, la France, pays le plus peuplé d'Europe, et de loin, pouvait compter sur son incroyable gisement humain pour recruter des troupes en quantité. Le Roi de France souhaitait assuremment la guerre. Pour faire croire du contraire il envoya ses diplomates à Madrid pour y effecteur des simulacres de négociation. En effet ceux ci proposaient de racheter le très riche centre de commerce de Pensacola pour une bouchée de pain, et ne souhaitait pas faire de compensations autres qu’en argent. Et les sommes proposées étaient franchement scandaleuses et insultantes, La diplomatie française s’était assuré du soutien de l’Angleterre et de Venise, ce que nous ne savions. En effet, il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais. Nous pouvons soupçonner ceci car le roi du Portugal nous assura et nous donna les preuves qu’il n’était absolument pour rien dans ses rébellions. Et donc les soupçons se portent évidemment sur la nation qui avait tout intérêt à ainsi former une lâche coalition contre nous, à savoir la France. Inquiète de la montée en puissance de la France, nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne, déclarer deux fois la guerre à l’Espagne, et dont la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable, la reine Isabel II, unificatrice de l’Espagne, ne pouvait ainsi céder aux exigences françaises, sous peine de donner le leadership à ce pays qui comme on l’a vu était loin de souhaiter un monde en paix et en équilibre. Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre. On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne, et les évènements qui vont suivre donneront raison à ceci. Ainsi, après avoir préparé la guerre depuis longtemps en grand secret, la France nous déclare la guerre sans aucun ultimatum, d’une façon à la fois barbare et complètement lâche, en automne 1523. Disposant de plus de 45 000 cavaliers, et de 35 000 hommes à pieds, les français culbutent nos premières armées dans les pyrennées, en infériorité numérique écrasante et mal équipées. La situation devient rapidement préoccupante quand les trois provinces frontalières avec la France sont assiégées par les troupes françaises. Le souvenir de la première guerre franco-castillane refait surface : si les pyrénnées sont prises, la France pourra facilement avancer au cœur de l’Espagne et dévaster les très riches terres d’Aragon, en profitant du terrain favorable. Il est donc décidé de reprendre les pyrénnées à tout prix, quelqu’en soit le prix, afin d’y installer des positions défensives, bloquer les vallées et les passages. Appuyées par nos amis portugais, les troupes espagnoles vont alors reprendre les montagnes après des combat absolument terribles et meurtriers. Des victoires à la Pyrus dans les deux camps, ainsi que de lourdes défaites. La boucherie de Gérone en est un exemple flagrant : 13 000 espagnols tomberont pour reprendre la province, alors que la France n’en perdra que 2 000. Dès l’hiver 1523, partout dans l’Empire espagnol, colonies et métropole, le recrutement est massif. L’effort financier et humain à consentire pour reformer les 3 armées des pyrénnées est colossal. Mais il est fructeux puisque une à une les 3 provinces sont reprises, l’armées française sérieusement entamée doit se replier, et nos troupes peuvent même mettre le siège du Roussillon, pendant que la cavalerie portugaise fait des ravages. Au même moment, nos fidèles alliés polonais (10 000), après un long périple à travers l’Autriche, arrivent en Champagne et commence à piller et prendre le nord-est de la France. Intelligemment, Isabel II avait noué des liens d’amitié avec ce lointain royaume, comprenant des accords secrets. La reconquète des Pyrennées : ![]() ![]() ![]() ![]() Cependant en hiver 1525, anglais et vénitiens nous tombent dessus dans l’espoir probable de récupérer quelques miettes de notre Empire de la part de leur suzerain français. Venise profite de l’absence de notre flotte en méditerranée, mobilisée aux amériques, pour débarquer des troupes dans notre dos en Andalousie et à Gibraltar. Le Portugal neutre dans le conflit entre nous et les anglo-vénitien ne peut rien faire. Dans les colonies, la situation est plus grave : par deux fois De Cardona réussit à repousser les français et anglais à Pensacola, grâce à des maneuvres de défenses géniales. Il met même un pied en Floride, mais doit vite refluer vers Pensacola face aux masses anglo-françaises bien plus nombreuses. Des corsaires anglais pendant ce temps brûlent et pillent nos colonies non-fortifiées des caraïbes, notamment Cuba. Notre flotte les fait fuir, et détruit une escadre vénitienne forte de plus de 20 navires au large de Maracaïbo. Plus au sud, la situation est stabilisée : en Colombie, les troupes de Venise et d’Angleterre sont contenues suite à l’arrivées de 4000 hommes en renforts. Mais ces renforts si ils sont au sud, ne sont plus au nord à défendre le verrou de Pensacola. Des forces colossales de plus de 30 000 hommes menacent en effet les 10 000 hommes qui défendent héroïquement cette zone. Si Pensacola venait à céder, alors les français prendraient facilement le Mexique puis la Californie. ![]() De Cardona félicite son lieutenant Merera d'avoir tenu le flanc droit héroïquement La défense de Pensacola : ![]() ![]() Il fallait se rendre à l’évidence, les campagnes étaient vides et l’Espagne ne pouvait plus recruter. Le Portugal nous informa qu’il ne pouvait envoyer ses troupes à la fois dans les pyrénnées et en Amérique. Or nos troupes en Espagne, fortemment entamées devaient faire face à Venise au sud, et aux troupes françaises en intense campagne de recrutement au nord. De plus, les mercenaires avaient déjà été tellement recrutés qu’on en trouvait plus aucun dans toute l’Europe, ou bien à des prix prohibitifs ( 120 000 Ducats pour 1000 cavaliers). Si la guerre continuait, soit nous perdions nos colonies, soit nous perdions l’Espagne, mais nous ne pouvions défendre les deux face à une telle coalition. Un léger espoir arriva à Madrid en hiver 1524, quand un émissairs de la lointaine Novgorod, Aedanovski, offrit les services de ses féroces mercenaires à la couronne d’Espagne. En effet l’Espagne avait récemment aidé financièrement la cité du Nord pour l’aider à poursuivre l’expulsion des musulmans des plaines de l’est. Un premier contrat amena 10 000 cavaliers russes à ravager l’Italie, avant d’être stoppé par des troupes vénitiennes. Un second contrat bien plus imposant de 1 000 000 de ducats d’or devait amener plus de 30 000 cavaliers russes à traverser le Baltique pour débarquer dans le nord de la France. Mais devant la situation dramatique dans les colonies, dont la défense pouvait d’un moment à l’autre craquer, nous fûmes amené à négocier. Après 3 semaines d’intenses négociations dans le château de Beynac en France, la paix de Beynac fut signée. L’Espagne cédait Pensacola, ainsi que 3 colonies de 100 colons à la France. L’Angleterre recevait Cuba ( du moins ce qu’il en restait après les pillages) ainsi que deux colonies de 100 habitants en Asie du Sud-est. Venise reçut également 4 colonies en Amérique du Sud. Le Portugal du aussi céder quelques colonies ainsi que de l’or. La paix était enfin signée. Afin de mettre un terme aux disputes depuis 50 ans entre la France et l’Espagne, le traité de Carthagène fut signée pour se partager le sud-est de l’Amérique. ![]() Les mercenaires russes ravagent le nord de l'Italie. |
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