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I. Rome en danger
![]() Comme on peut le constater, Rome n'est que bien peu de chose face à ses voisins. Mais en attendant la menace vient du sud, à Tarente, où Pyrrhus a débarqué et semble prêt à fondre sur Rome. ![]() Des élections bien peu passionantes ont par ailleurs eu lieu : 4 candidats, 4 postes... Autant dire que le choix a été facile. Les candidats ne sont pas de grands personnages, mais Rome devra compter sur eux, sa survie en dépend. Tout d'abord les deux consuls : Caius Quintus Granpiedus, le plus âgé et le plus expérimenté de tous... même si son expérience a des limites peu relevées... et Publius Laevinus Thrawnus, excellent gestionnaire. ![]() Et les deux prêteurs, presque inconnus dans la vie publique romaine : Tiberius Coruncanius Splinterus et Lucius Aemilius Leazus. ![]() (le calcul de l'influence au Sénat n'a guère d'intérêt actuellement... il n'y a que 4 personnages, et 4 factions représentées... on tiendra compte de l'influence si besoin est) Les deux consuls seront à la tête de toutes les troupes romaines disponibles, soit 4 légions. Le sort de Rome repose entre leurs mains, une défaite militaire et il n'y aura plus personne pour défendre Rome. L'objectif fixé par le Sénat est tout d'abord de vaincre Pyrrhus, que ce soit par la mort ou en le forcant à évacuer la Grande Grèce. Ensuite il leur faudra punir les cités grecques de leur affront contre Rome et occuper tout le sud de l'Italie. Le prêteur Lucius Aemilius Leazus quant à lui restera à Rome, détenteur de l'Impérium qu'il pourra utiliser afin de convoquer le Sénat. Quant à Tiberius Coruncanius Splinterus, lui ira à Capoue, aux frontières de la République afin de protéger tant que faire se peut la République. Il pourra lever des légions en cas d'extrême nécessité... s'il y parvient... Face à ces magistrats peu expérimentés se trouve Pyrrhus, Roi d'Epire et stratège militaire émérite. Il dispose certes moins de soldats que les consuls, mais son génie sur le terrain annule notre avantage numérique... ![]()
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#2
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II. La bataille de Corfinium
Certain de sa force Pyrrhus s'avance vers Corfinium et en fait le siège, son second resté à Tarente le rejoint aux portes de la ville. Les consuls Granpiedus et Thrawnus tentent de prendre ce dernier par revers afin de l'éliminer et éviter qu'il ne vienne en renfort auprès de son Roi. Le pari est manqué, il se retire au nord des positions de Pyrrhus, les consuls se retrouvent devant le Roi, ils sont obligés de livrer bataille. S'engage alors l'importante bataille de Corfinium qui décidera du sort de Rome. (La bataille qui va suivre étant très importante, elle sera forcément plus détaillée et avec plus de screens que d'autres à venir) Nous avons un avantage numérique assez intéressant mais bien contrebalancé par la valeur militaire du Roi d'Epire. La bataille rapidement engagée, le lieutenant de Pyrrhus est pris au dépourvu, éloigné de son Roi il tente de le rejoindre rapidement. Malheureusement les hoplites ne sont pas reconnus pour leur rapidité... Les consuls à la tête de la cavalerie vont tenter d'anéantir les renforts et ainsi avoir un avantage numérique conséquent. (en rouge Pyrrhus, en bleu les renforts). Si les renforts avancaient en ordre, la cavalerie aurait bien du mal à les anéantir, même avec de nombreuses manoeuvres. Cela aurait suffit pour que les consuls renoncent à une charge suicidaire. Fort heureusement pour eux tel ne fut pas le cas : tout un groupe d'hoplites restait à l'arrière, et suffisament esseulé pour que les autres ne puissent réagir rapidement. Pendant ce temps, les légions avancaient sur la crête de la colline, en son point le plus élevé pour en retirer le plus d'avantage possible. Après de laborieuses manoeuvres les consuls parviennent à mettre en déroute les renforts, cela leur suffit, voyant les grecs de Pyrrhus avancer sur leurs légions ils reviennent rapidement afin de prendre le contrôle de bataille. Arrivés quelle ne fut pas leur surprise que de voir une bataille fort bien engagée avec tous les éléphants grecs au sol, n'ayant pas su résister à nos pilums (cercle bleu), et l'essentiel de leur cavalerie en déroute (vert). Ne restait alors plus que la garde personnelle du Roi (noir). (les éléphants dans ce mod sont terribles... limite intuables et fichtrement efficaces... autant dire que j'était éttoné mais très ravi de les voir tous morts ![]() Décidément la bataille était vraiment très bien engagée, Pyrrhus le sentait peut-être, ce qui l'aurait poussé à charger sur nos lignes... et de face... suicidaire... Voulait il donner du courage à ses hommes de cette façon ? Sentait-il déjà la bataille perdu et voulait sortir au moins digne avec une charge héroïque ? Toujours est-il que la charge ne dura pas, la violence du choc fut telle que ses pertes furent importantes et les cavaliers partirent en retraite et laissent les hoplites poursuivrent la bataille. Ainsi les hoplites avancèrent sur nos lignes, nous avions certes un avantage numérique évident et un léger avantage du terrain, mais tout n'était pas encore fait. Alors que les consuls poursuivent des archers crétois en déroute ils voient arriver sur eux le reste de la garde personnelle du Roi... avec le Roi en personne qui fonce dans leur direction ! La valeur des grecs était bien plus importante que celle des cavaliers romains, mais une telle occasion ne se représentera peut-être plus jamais. Tuez Pyrrhus et c'en est fini de la menace qui plane sur Rome. Pendant ce temps les hoplites avancent sur nos lignes. Après un long combat indécis entre Pyrrhus et le consul Granpiedus, Thrawnus qui continuait à poursuivre les archers en déroute arrive en renfort et charge de plein fouet sur le Roi... une charge qui sera meurtrière... Pyrrhus est mort, Rome est sauvée ! Maintenant il ne reste plus qu'à anéantir ce qu'il reste de l'armée grecque et c'en sera fini de l'invasion. Désormais en infériorité numérique écrasante, les hoplites grecs sont pris en étau. Le combat fut rude, et les hoplites résistants malgré la mort de leur chef, mais cela ne suffira pas. Le lieutenant de Pyrrhus en fuite est rattrapé et aussitôt tué, la bataille est terminée ! Grâce à ces manoeuvres et une chance incroyable les romains ont subis des pertes légères, et l'armée grecque est totalement anéantie. C'est une victoire héroïque, que nul n'osait imaginer. De manière habile, grâce à son influence Granpiedus parvient à faire retomber toute la gloire sur ses épaules, il en ressort grandit. Il reste à soumettre les cités de la Grande Grèce, s'il y parvient il restera à jamais dans la mémoire des romains. Mais cette victoire a un goût amère pour Thrawnus qui ne récolte pas autant de gloire que son confrère... pourtant c'est sa charge qui a eu raison de Pyrrhus ! L'entente entre les deux consuls risque d'en pâtir... Quoi qu'il en soit l'invasion grecque est déjà terminée ! (très rapide la fin de l'invasion... j'ai eu une chance énorme ![]() ![]() Ha et aussi... n'ayez crainte en voyant la victoire héroïque... autant c'est chose courante dans la vanilla, autant dans ce mod c'est pas fréquent... surtout avec la difficulté choisie. Aussi éttonant que cela puisse paraître vu le résultat, j'aurais très bien pu me rétamer complètement dans cette bataille).
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#3
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![]() Acte II : La fin de la Grande Grèce ? La Grande Grèce a perdu son héros, son sauveur, désormais elle ne peut plus compter que sur elle-même. Les cités grecques s'allient entre elles, espérants ainsi repousser les romains. Les grecs sont encore puissants, selon nos espions les armées grecques totaliseraient deux fois plus d'hommes que nous. Fort heureusement pour nous, les grecs sont assaillis de toutes parts : la Macédoine en Grèce même, l'Egypte dans les îles de la mer Egée, et enfin nous en Grande Grèce. Avec cette aide de circonstance des macédoniens et des égyptiens nous avons toutes les raisons d'espérer pouvoir sortir vainqueur de ce conflit : la Grande Grèce a perdu son protecteur et ne peut espérer des renforts d'autres cités. Malgré cela Rome traverse une crise, le Trésor est vide, totalement vide ! Rome a encore bien du mal à supporter le ravitaillement de tant de légions pour un si petit territoire.
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I. Rome aux prises avec les difficultés économiques
La République a certes bien grandi ces dernières décennies, mais même si nos soldats sont des citoyens se pourvoyants eux-mêmes leur équipement, maintenir tant de légions mobilisées coûte extremement cher. Pour ne rien arranger le préteur Splinterus, certain de la victoire de Pyrrhus, a réussi à mobiliser malgré tout une légion supplémentaire, ce qui ne manquera pas de coûter cher à Rome qui dispose désormais de 5 légions. Trop cher pour les sénateurs, ceux-ci ne manqueraient pas de protester et de demander la démobilisation de cette dernière légion à la prochaine convocation. Ils furent en effet convoqués, mais tout n'allait pas se dérouler ainsi... Le consul Granpiedus a retiré énormément de gloire de la défaite de Pyrrhus, et le voilà qui se lance dans le siège de la cité qu'il a forcé Pyrrhus à abandonner... Corfinium est assiégée. Trawnus quant à lui ne trouve pas cela à son goût, non seulement il n'a récolté aucun honneur dans cette bataille, mais en plus il ne risque plus d'en récolter en restant avec Granpiedus. La décision est prise : dans la nuit Trawnus quitte le camp en direction de Rome en vue de convoquer le Sénat. Arrivé à Rome, quelle ne fut pas sa déception que de voir la plèbe encensser à chaque rue le consul Granpiedus... certains n'hésitants pas à franchir le pas et à l'appeller le sauveur de Rome... Rien, il n'y a absolument rien qui relate la charge héroïque de Trawnus, rien d'ettonant après tout quand on sait que cette charge se fit loin des légions occupés contre les hoplites. Toujours est-il que Trawnus savait exactement ce qu'il souhaitait et comment l'obtenir. Devant le Sénat il demandera le contrôle de 2 des 4 légions de la république, ceci afin d'accroître plus rapidement la main mise de Rome sur le sud de la péninsule et ainsi mettre fin à la crise économique. Idée séduisante, et le Sénat savait que cela permettrait de renflouer le Trésor qui en avait bien besoin, le danger militaire quant à lui restant minime du fait du manque de cohésion entre les cités grecques. Mais le danger militaire minime et la réputation de Granpiedus, sur le point de faire tomber Corfinium, joueront en défaveur de Trawnus... celui-ci ignorait l'existance de cette fameuse cinquième légion... De ce fait le Sénat accorde le contrôle de cette légion au consul et lui permet de mener les opérations que bons lui semble dans le sud de l'Italie, après tout devant la faible menace militaire une légion lui sera bien suffisante ! Alors qu'il ne souhaitait que partager un peu de la gloire de Granpiedus, Trawnus se retrouva finalement pris à son propre jeu et n'aura qu'une maigre légion sous ses ordres... autant dire que les sièges et batailles à venir seront ardus... Il prendra néanmoins sous son aile l'un des jeunes romains les plus prometteurs de son temps : Luca Mamilius Curtisus. Il semble être promis à un grand avenir, excellent sur le champ de bataille il deviendra forcément un homme politique puissant. Quant au consul Granpiedus, lui aussi prendra un jeune romain en tant que second : Asinius Domitius Hoaxus. De la même génération que Curtisus, et même s'il semble moins bon militaire, son avenir peut-être tout aussi intéressant... mais cela dépendra surtout des succès militaires à venir ! Alors que Trawnus est en route pour le sud, un nouveau coup lui est porté par Granpiedus : Corfinium est tombée ! Voilà qui va encore augmenter considérablement le prestige de Granpiedus... non pas tant que la ville soit tombée, même si cela reste un bel exploit, mais parce que la prise de la ville signifie l'amélioration de l'économie romaine ! Certes le Trésor est encore vide, et la république a même dû lourdement s'endetter, mais désormais on peut voir l'avenir avec sérennité, la tendance s'inverse. Un nouveau territoire et des milliers d'esclaves en plus : que pouvait-on espérer de mieux ? Il faudra néanmoins encore des années avant que Rome n'entreprenne à nouveau des travaux publics... En attendant, et pour la plus grande gloire de Rome, Granpiedus continue sa marche vers le sud et fonce directement sur la cité qui est la cause de tous nos soucis : Tarente. La prise de cette cité serait également d'une grande valeur pour le prestige du consul, et Trawnus le sait, enragé à l'idée de s'être encore fait doubler. Il se rabat alors sur Paestum, ville d'importance bien moindre, mais qui sait, c'est peut-être le début de grandes conquêtes ?!
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Veni, vidi, loosi - Akmar Nibelung Dernière modification par Akmar Nibelung ; 18/08/2007 à 12h34. |
#5
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II. La punition de l'alliance des cités grecques
Tout semble se présenter au mieux à la fin de l'an -278 av JC (en théorie je devrais compter depuis la fondation de Rome... mais ça risque de vite devenir chiant alors tant pis ![]() Mais la nouvelle tombe : la Macédoine et l'Egypte cessent les hostilités contre les cités grecques... même si cette paix est très précaire cela donnera la possibilité aux grecs de mettre tous leurs moyens militaires contre nous... Toujours est-il que pour le moment les vents nous sont largement favorables, les dettes se réduisent, des accords commerciaux sont signés avec les carthaginois, gaulois et illyriens, et nous avons une supériorité militaire manifeste sur les grecs. Bref tout va pour le mieux, et la chute de Tarente avec des pertes romaines se comptant sur les doigts d'une seule main vient le prouver. La chute de cette cité responsable du conflit donne lieu à une liesse populaire, comme si la guerre venait de s'achever... mais en fait elle ne fesait que commencer ! Toujours est-il que Granpiedus est au fait de sa puissance, il devient le romain le plus influent de son temps, et l'un des plus influents depuis la fondation de Rome. Vainqueur de Pyrrhus, sauveur de Rome, punisseur de Tarente, il ne lui reste plus qu'à conquérir le reste de la Grande Grèce ! La population de Tarente est massivement asservie, et il en sera de même pour toutes les autres cités qui auront eu l'audace de s'opposer un jour à Rome ! Pendant que Trawnus n'a d'autre choix, vu le peu de soldats à sa disposition, que d'assiéger Praetum aussi longtemps que nécessaire pour affamer ses habitants... Autant dire que cela risque d'être long, et vu le succès fulgurant de la campagne de Granpiedus, la gloire semble lui échapper petit à petit... Pendant ce temps c'est la cité de Croton qui est assiégée. Fin -277 Croton est également capturée sans trop de heurts, Granpiedus continue vers Rhegium, une cité stratégique pour le contrôle du détroit de Messine... avec la cité de Messine bien sûr. A part par la mer, Rhegium est un passage obligé, et les campaniens semblent l'avoir compris, ils ont concentré un nombre importants d'hommes dans la cité. En plus de cela les grecs l'ont bien compris aussi : ils sont en embuscade juste derrière la cité, prêts à bondir à la moindre occasion. Granpiedus continue donc sa campagne, mais ne dispose plus que de 3 légions avec lui, il a dû se séparer de plusieurs milliers de soldats à Tarente et Croton afin d'y maintenir l'ordre. La chute de Croton marque également la fin de l'assainissement des finances, les dettes sont réglées, dès l'an prochain le Sénat pourra autoriser à nouveau certains travaux publics. Pour l'instant le but est de renforcer l'économie de la république. Ne disposant que de 3 légions devant Rhegium, le consul prend le pari d'affamer les nombreux occupants de la cité, en espérant qu'ils ne tentent pas une sortie dès maintenant, les pertes risqueraient d'être importantes... Enlisé devant Paestum, le consul Trawnus semble parvenir bientôt à ses fins, la cité semble à bout de souffle. Il pourrait bien profiter de la situation de son confrère pour lui griller la politesse à Rhegium.
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#6
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III. L'émergence d'un jeune romain
Les défenseurs de Paestum, poussés par le désespoir, tentent une sortie qui déterminera de leur sort. Le résultat, bien que légèrement en notre faveur, semblait incertain, mais la réalité fut tout autre. Trawnus remportait là enfin sa première victoire sans son collègue... mais il semble qu'il ne parviendra jamais à se hisser au rang auquel il aspire, dans cette bataille il fut reléguer en second plan par rapport à son jeune protégé qui apparaissait être un excellent chef militaire. Certes le consul c'est bien lui et non ce Curtisus, mais ce dernier avait un charisme qu'il n'avait pas, les soldats lui fesait plus confiance qu'à un consul plus politicien que militaire... or tout le monde le sait : le meilleur chemin vers la politique à Rome est le champ de bataille. Trawnus le sait bien... mais il est toujours éclipsé par un autre, ce n'est décidément pas un guerrier. Toujours est-il que la ville tombée, le consul s'empresse vers le sud afin de parvenir à Rhegium à temps... mais l'adversaire ne semble pas de cet avis et effectue une sortie avant que le consul ne parvienne à destination. Une fois de plus Granpiedus en profite et prend Rhegium dans une bataille qu'il remporte avec une facilité déconcertante... (vraiment déconcertante... j'ai mis bataille niveau difficile pourtant j'ai l'impression d'y arriver 100 fois mieux que dans la dernière partie où je me prenais parfois des branlées au niveau normal... enfin on verra ça quand j'aurais un adversaire un peu plus sérieux) Suite à cette victoire, Granpiedus poursuit encore son chemin vers l'assimilation de la Grande Grèce à Rome, il ne reste en travers de son chemin plus que deux cités majeures : Messine et Syracuse. La prochaine étape sera Messine. En -275 la liste sénatoriale est renouvellée, et l'on assiste à quelques boulversements, notamment venant de l'entrée dans la vie publique du jeune curtisus. Ce dernier est en effet non seulement talentueux sur le champ de bataille, mais aussi redoutable orateur. Si personne ne saurait remettre en doute l'influence incroyable dont dispose Granpiedus au Sénat (27 points), Trawnus quant à lui est même désormais moins reconnu au Sénat que son protégé (8 points contre 12). La question que tout le monde se pose est quelle réaction aura bien Trawnus à son égard ? Après tout il est encore consul pour 5 ans, et Curtisus n'est même pas magistrat... Il pourrait se débarasser de lui et espérer ainsi acquérir assez de renommée dans la fin de la campagne en Sicile, ou bien au contraire le garder auprès de lui afin de garder ses faveurs et profiter ainsi à son propre compte l'influence dont Curtisus dispose au Sénat...
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#7
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IV. Veni, vidi, loosi
Bien qu'à contrecoeur, Trawnus garde Curtusus près de lui... d'une part sans son soutien il risque de perdre les faveurs du Sénat très rapidement, et d'autre part ses hommes ne comprendraient pas une telle décision et pourraient bien au pire refuser de suivre le consul, au mieux perdre de leur combativité. Toujours sur le chemin de Rhegium, Trawnus trouve au sol une petite boîte fort étrange, ne ressemblant à rien de connu. Sur celle-ci est écrit en grand "NE PAS APPUYER SUR LE BOUTON"... malheureusement le consul ne saura résister à la tentation d'appuyer dessus quand tout à coup la boîte émet des sons bizarres... "TUTUTUTUTU MISE A JOUR TUTUTUTUTUTU PARTIE PERDUE TUTUTUTUTUTUTU RETOUR 5 ANS EN ARRIERE TUTUTUTUTUTU". Le consul se retrouve comme aspiré dans une spirale et se retrouve tout à coup quelques secondes après à Rome, prise dans une agitation inhabituelle. Les crieurs publics annoncaient le débarquement de Pyrrhus à Rome, Rome doit se défendre, les centuries doivent se rendre au champ de Mars afin de lever les légions nécessaires pour repousser l'ennemi ! C'est à ce moment que Trawnus compris enfin... tout était à refaire ![]() ![]() (quel looser ce Trawnus ![]() (pour ceux qui n'auraient pas tout saisi : j'ai patché le jeu et ho malheur... la sauvegarde ne fonctionne plus avec le nouveau patch ![]()
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Veni, vidi, loosi - Akmar Nibelung Dernière modification par Akmar Nibelung ; 22/08/2007 à 18h20. |
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