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Vieux 17/04/2007, 14h35
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Période du 11 au 17 mai 1942

Après quelques escarmouches mineures, c’est le 15 mai que les choses sérieuses commencent.
Alors que ma 32e DI US est en route pour Port Moresby, un « Catalina » repère, en début d’après-midi, une grosse escadre japonaise faisant route à l’Ouest. Longeant la côte nord de la Nouvelle-Bretagne, elle se dirige vraisemblablement vers Lae pour y acheminer des renforts. Mes pilotes pensent identifier au moins 1 CA (croiseur lourd) et 1 CL (croiseur léger).
Ils sont encore à plus de 800km de Port Moresby, hors d’atteinte de mes bombardiers, sauf les B17, mais je préfère les laisser au repos. En effet, je suppose que les Japs ont organisé des patrouilles de chasseurs couvrant leur escadre (une mission LCAP : Long Range Combat Air Patrol ). Envoyer sans escorte mes lourds quadrimoteurs à l’attaque serait suicidaire, tout ça pour un résultat très incertain, les bombardiers en palier à haute altitude ne sont pas réputés pour leur précision.

En attendant, je double le nombre d’avions en patrouille maritime, espérant avoir un rapport plus complet.

Précipitant aussi mon calendrier, je rebase à Port Moresby 1 escadrille de B-25 « Mitchell » qui ont des bras un peu plus long que les « Boston » et à fortiori que les « Beaufighter ». J’amène aussi mon autre escadrille de B17 présent sur le théâtre Sud ouest, qui fait le trajet de Nouméa à PM au prix d’une grosse fatigue. Mais c’est pour la bonne cause, j’ai une petite idée de surprise en tête.

Quoi qu’il en soit, le 15 se passe surtout en mise en alerte de mes forces aériennes.


Le soleil se lève sur le 16 mai 1942, et l’excitation est palpable. Chacun, de l’amiral au simple mécano, comprend qu’il va se passer des choses dans les heures qui viennent.

Déjà, la journée commence sous de bons auspices.

En effet, loin au nord, à moins de 500km de Tokyo, le sous-marin « Fisher » place deux torpilles dans le flanc d’un gros transport de troupes ennemi. Pour une fois, les détonateurs de nos torpilles n’ont pas flanché !
Mortellement touché, le bateau japonais sombrera dans la soirée.

Mes premières patrouilles rentrent vers midi.

Et là, le ton est donné. Ce n’est pas 1 mais bien 3 grosses escadres japonaises qui filent à moyenne vitesse vers l’Ouest.

La première, devançant les deux autres d’une centaine de miles, compte au moins 2 cuirassés, dont l’un a été identifié comme étant l’ « Ise ». Plusieurs CA et CL les accompagnent. Mais pas trace de transports.
Tout ça ressemble fort à une escadre de bombardement. Et de fait, les deux autres escadres sont composées, selon les rapports de mes aviateurs, d’au moins plusieurs transports de troupes et de ravitaillement escortés de destroyers et d’au moins un CL. Apparemment, pas de CV, ce qui va parfaitement collé avec mon petit plan.

En y regardant de plus près, les cuirassés de Yamamoto devraient dépasser dans la nuit le rayon d’action des chasseurs basés à Rabaul. Si le commandement nippon veut assurer une couverture aérienne à ses navires, ce sont les appareils de Lae qui prendront le relais. Les photos aériennes nous ont permis de compter 24 chasseurs « Zéro » sur l’aérodrome.

Or, c’est bien ce que j’escomptais la veille, et c’est dans cette optique que j’ai préparé un raid massif de bombardement sur la base aérienne de Lae.
En début d’après-midi, mes deux escadrilles de B17, totalisant 28 appareils (quelques-uns sont cloués au sol pour des raisons mécaniques), escortés par une dizaine de chasseurs « Kittyhawk » s’envolent en direction de Lae. Il n’y rencontre qu’une faible opposition. 2 « Zéro » sont abattus alors qu’1 chasseurs et plusieurs B17 sont endommagés et doivent faire demi-tour. Larguées à 16.000 pieds, les bombes de 250kgs font des ravages. Selon les observations de mes aviateurs, qu’évidemment je ne prends pas pour argent comptant, pas moins de 12 avions japonais auraient été détruit au sol, et la piste est jonchée de trou ( 31 « runway hits » ).
Même si il faut vraisemblablement rabaisser ce chiffre, je pense néanmoins avoir fortement réduit l’activité aérienne japonaise à Lae pour au moins quelques jours.


La journée s’achève sur une autre bonne nouvelle. Un gros raid aérien japonais, lancé à partir de Mandalay, c’est cassé les dents contre les « Hurricane », au-dessus d’Imphal. Plus d'une vingtaine d'appareils ennemis sont au tapis.



Ainsi, tout est près pour porter un coup puissant à la flotte japonaise qui s'avance.
Il aura lieu le lendemain 17 mai.


Tôt dans la matinée, un message radio parvient au centre de commandement de la 32ème US Division à Port Moresby. C'est un observateur côtier, colon blanc issu de la population locale et laissé en arrière dans les îles occupées, qui nous envoie son rapport : une forte escadre japonaise comprennant plusieur grosses unités, mais aussi des transports de troupes, fait route au Sud, direction : Buna !

Mince, moi qui étais persuadé que ce déploiement de force n'était dans là que dans le but de renforcer Lae, je suis totalement pris de cours. Buna est un petit port à 100km au Nord de Port Moresby, la route la plus direct pour atteindre la capitale de la province papoue.
Même si la petitesse des installations portuaires ne permettront pas l'acheminement de nombreuses troupes, la garnison n'est composée que d'un détachement du génie, qui était en train de construire une piste d'atterissage. Un seul bataillon d'infanterie japonaise suffirait à prendre la ville.

Mais si je ne peux, c'est presque certain, empecher la capture de Buna, je peux au moins la faire payer très cher !

Dans la brume matinale se dissipant, une puissante force aérienne décolle de Port Moresby, direction plein Nord. Le temps passe dans l'angoisse et l'impatience, lorsque soudain, la voie du capitaine Baldwin, commandant le 6th RAAF Squadron (sur bombardiers "Hudson") se fait entendre, forte et clair :
"Navires ennemis repérés, au moins 2 BB et 2 CA, plusieurs autres bâtiments : pas d'opposition aérienne, commençons l'attaque ! "

Le "pas d'opposition aérienne" était un peu prématuré, mais avec le raid de la veille sur Lae, le nombre de chasseurs nippons était réduit, et en tout cas largement supportable pour mes 28 chasseurs ("Kittyhawk" et P-39 "Airacobra"). A l'issu d'un bref engagement, l'intégralité de mes bombardiers pouvait fondre sur la flotte japonaise, pour le prix de 3 chasseurs perdus.

Et ce fut l'allali !!!


Au total, pas moins de 62 bombardiers attaquèrent les navires japonais. Parmis eux, des bombardiers en palier A-26 "Avoc" , B-26 "Martin" ou encore B-25 "Mitchell", des bombardiers en piqués "Beaufighter" ou "Hudson" et des torpilleurs "Beaufort". Le BB "Ise" fut le premier visé : en quelques instant, il recevait pas moins de 14 bombes de différents calibres. Mais le mastodonte d'acier ne semblait pas troublé outre mesure par les incendies ravageant sa superstructure. Ce qui pouvait vraiment le mettre à mal, c'était les torpilles. Et heureusement, 2 touchèrent le flanc du cuirassé; qui commença à donner de la bande. Puis vint le tour du BB "Mutsu", qui reçu pas moins de 26 coup au but, mais pas une seul torpille, hélas. Les derniers bombardier s'acharnèrent sur les autres grosses unités qu"ils trouvèrent.


Au total, le résultat du raid avait été plus qu'encourageant :

- BB "Ise" : 14 bomb hits, 2 torpedoes hits,
- BB "Mutsu" : 26 bomb hits,
- CA "Myoko" : 7 bomb hits,
-CA "Chokaï" : 3 bomb hits,
- CL "Sendaï" : 3 bomb hits, 2 torpedoes hits;
- DD "Yakutake" : 1 bomb hits.


Seul le "Sendaï" était reconnu par mes aviateurs comme coulé. Néanmoins, l'issu fatale pour le "Ise" ne faisait guère de doute, il faudrait juste attendre que l' OSS me procure l'information via leur réseau d'espionnage au Japon. Par contre, l'absence de torpille au but sur le "Kongo" rendait le "coulage" du cuirassé plus qu'improbable. Ces monstres d'acier sont capable d'encaisser une quantité de coup sur la superstructure hallucinante. Seul les frappe sous la ligne de flottaison peuvent vraiment les faire sombrer. Malgrès tout, le "Kongo", le "Myoko" et dans une moindre mesure le "Chokaï" se voyaient mis hors de combat pour un moment.
Nul doute ke l'Etat-Major Impérial se verrait contraint de renvoyer le "Kongo" à Osaka pour réparation. Voilà un cuirassé japonais retiré du théâtre d'opérations pour plusieurs mois.
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Dernière modification par RoyalQuiche ; 08/05/2007 à 16h42.
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Vieux 24/04/2007, 12h49
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Chouette AAR, cela me donne envie d'acheter le jeu tiens (J'hésite encore avec Pacific Storm)
Juste une remarque......
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Envoyé par RoyalQuiche
des bombardiers en piqués "Beaufighter" ou "Hudson"
...le Beaufighter n'est pas un bombardier en piqué, mais un torpileur. Mais ce n'est pas grave cela n'enlève rien au charmes de l'AAR.
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  #3  
Vieux 24/04/2007, 15h20
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Citation:
Envoyé par Gilou
...le Beaufighter n'est pas un bombardier en piqué, mais un torpileur. Mais ce n'est pas grave cela n'enlève rien au charmes de l'AAR.
sur ce point je serais d'accord, sauf que l'emport "standard" pour mes "Beaufighter", ce sont des bombes de 250kgs (de mémoire).
Je pose un screen des caractéristique de cet avion ce soir, promis !

En fait, il est considéré par WiTP comme un FB, Fighter-Bomber.


chose promise, chose due :

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Dernière modification par RoyalQuiche ; 25/04/2007 à 00h33.
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  #4  
Vieux 24/04/2007, 15h26
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Période du 17 mai au 22 mai 1942 : le calvaire des destroyers japonais.




Après le malmenage des grosse pièces de la force navale ennemie, il restait à s’occuper des 2 autres escadres en route pour Buna. De nouveau, mes bombardiers furent mis à contribution, mais malheureusement, lorsque mes appareils arrivèrent au point d’attaque prévu, les navires japonais s’étaient opportunément abrités dans un grain, si bien que la plupart des avions alliés ne trouvèrent leur cible. Les rares qui firent le contact avec la flotte ennemie se trouvèrent dans un ciel bouché, et aucun impact ne fut recensé.



Damned, voilà une belle occasion qui s’envolait !





La nuit fut calme, hormis quelques tentatives de mes sous-mariniers, mais hélas, une fois de plus, le peu de mordant des commandants du Silent Service, allié à des torpilles défectueuses, faisait échouer toutes les attaques. Par contre, un de mes cargos à destination de Nouméa était touché par 2 torpilles tirées du I-122. Sévèrement endommagé, il était dérouté vers la base de Baker Island avec ses 6.000 tonnes de ravitaillement.



Le 18 au matin, les aviateurs de Port Moresby reprenaient leurs patrouilles. Avec un peu de chance, devant les pertes subit la veille par leur escadre d’avant-garde, l’Amirauté Impériale avait décidé d’annuler le débarquement sur Buna.



Mais c’était sans compter sur la légendaire opiniâtreté des Japonais. Très vite, la flotte nippone est repéré, toujours plus proche de Buna, quelle devait, selon mes prévisions, atteindre en fin de journée.

Avec les opérations de la veille, mes connaissances sur l’escadre ennemie se faisaient plus précises. Une flotte comptant plusieurs transports de troupes et fortement encadrée par au moins une demi-douzaine de DD et 2 CL. Et une flotte vraisemblablement de soutien, avec quelques cargos et 1 tanker, escortée par 4 DD.



Malgré la fatigue, j’ordonnais à mes aviateurs de se préparer à une nouvelle série de raid.



Ceux-ci décollent vers midi. J’ai volontairement laissé 2 escadrilles de A-26 « Havoc » au repos, car je risque d’avoir besoin d’eux pour soutenir mes maigres forces terrestres à buna.



Mes bombardiers arrivent en vue de leur objectif sans rencontrer d’oppositions, mais les pilotes, obnubilés par la présence de croiseurs, en oublie leur cible principale : les transports.

Le « Tenryu » est le premier visé, mais aucun coup au but n’est reporté.
Par contre, le « Yura » est lui touché à trois reprise par des bombes de 250kgs qui allume un incendie sur sa superstructure, mais sans remettre en cause sa flottabilité. Mais quelques minutes plus tard, les avions torpilleurs « Beaufort » de la Royal Australian Air Force placent deux torpilles sur le bâbord du CL. Une épaisse fumée se détache du navire blessé, malgrès celà celui-ci semble pouvoir continuer sa route.

Pour finir, c’est avec plaisir que je vois 4 « Beaufighter » fondrent sur un transport de troupe et lui « coller » 3 coups au but.



Le bilan s’avère toutefois maigre à la vue de l’énergie et des munitions dépensées. Un CL gravement endommagé et un transport de troupe incendié (les « After Action Reports » de WitP permettent de savoir les pertes infligées aux troupes embarquées ; ici 76 hommes et 1 canons)



Un deuxième raid est planifié pour l’après-midi, mais entre-temps, un changement dans la tactique japonaise va intervenir.



Peu après le retour de mes bombardiers, les sirènes d’alarme retentissent à Port Moresby. Des avions japonais sont en approche.

Guidés avec efficacité par nos radars, mes chasseurs en patrouille fondent vers le raid japonais.

Mais lorsque le contact est établi, la surprise est mauvaise.

Il s’agit bel et bien d’un raid « majeur » que nous proposent les Japs. 56 chasseurs « Zéro » de l’ IJA ( Imperial Japanese Army), reconnaissables à leur livrée camouflage, 26 bombardiers lourdsG3M2 « Nell » et 32 G4M1 « Betty ».

Mes chasseurs ont fort à faire, et même si la qualité des pilotes de l’armée de terre nippone est moindre que celle de la marine, ils sont vite dépassés.

Une escadrilles néanmoins parvient à échapper aux « Zéros » et fond sur les bombardiers.



Finalement, 8 chasseurs et 11 bombardiers nippons seront envoyés au tapis, mais la moitié de mes chasseurs sont perdus. La perte en pilote en quelque peu limité par le fait de combattre au dessus des lignes amies, mais devant une telle « déculotté » le moral de ma chasse risque d’en prendre un coup !





Le résultat du bombardement n’est pas trop préjudiciable pour la suite des opérations. Quelques trous dans la piste, quelques citerne de fuel détruites et une vedette lance-torpilles touchée. Pas d’avion détruit au sol ( J ), pas de dommage aux bâtiments de l’aérodrome, bref, tout devrait être ok pour le lendemain. Par contre, ce raid, outre les pertes en chasseurs, aura pour méfait d’annuler la plupart des décollages prévu en fin d’après-midi.


Finalement, pour clôturer cette journée déjà bien chargée, une dizaine de bombardier « Mitchell » s’envole pour frapper de nouveau la force d’invasion nippone. Arrivés au dessus de leur cible, ils lâchent une cinquantaine de bombes. Cette fois-ci, le CL « Tenryu » est touché de 2 bombes, pas de quoi le coulé, mais ça ne peut pas faire de mal ( enfin parlez-en aux marins japonais …. ). Le DD « Tachikaze » en prend aussi 2, mais une fois de plus, mes aviateurs délaissent les transports de troupes.

Il va y avoir du recadrage ce soir !!!



Dans la soirée justement, j’apprends avec tristesse que le S-47, vieux sous-marin opérant au large des Philippines, a rencontré son destin. Nous pleurons tous la perte de ces vaillant marins.



Mais la guerre continue …

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Dernière modification par RoyalQuiche ; 24/04/2007 à 15h33.
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  #5  
Vieux 24/04/2007, 16h44
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Le 19 mai, une nouvelle fois les regards vont se tourner vers les cieux.

2 nouveaux raids japonais s'abattent sur Port-Moresby.
Mais mes forces aériennes sont mieux préparées que la veille. Un premier raid, au levé du soleil, venant de Rabaul, se heurte à mes chasseurs en patrouille. Les pilotes de chasses japonais ont dû être énormément fatigués par les combats du 18, car les "Zéro" à point rouge sont nettement moins nombreux aujourd'hui. Et mes chasseurs eux, plus nombreux !

Malgrés celà, ils proposent encore une formidable opposition à mes pilotes, et grâce à leur aggressivité, une bonne partie des bombardiers nippons passent mes CAP.
Néanmoins, mes pertes en chasseurs se révèlent tout de même moins lourdes que la veille.

Le résultat du bombardement fut identique au précédent. Quelques dégâts, mais rien de bien méchant. Cette fois cependant, 3 B17-E furent incendiés au sol ... mais comme ceux-ci étaient déjà dépassés par le modèle B17-G, ça ne me gênait pas plus que ça.

Mais alors que je pensais que les Japs avaient leur compte, un nouveau raid, en provenance de Lae cette fois, se présentat au dessus de la base de Port-Moresby.

Cependant, Lae est un aérodrome de seconde importance, abritant seulement 2 escadrilles japonaises : 1 de chasse et 1 de bombardiers "Helen".

C'est donc un raid "mineur" qui vient se heurter à la cinquantaine de chasseurs alliés dans le ciel de Nouvelle-Guinée.



Et le résultat ne se fait pas attendre : pas un seul des bombardiers ennemis ne rentrera à sa base, un véritable massacre !!!


Galvanisés par cette brillante victoire, mes équipages de bombardiers sautent dans leur machine et partent pour porter le coup de grâce à la flotte d'invasion japonaise.

Celle-ci a fini par accoster à Buna, en dépit de mes attaques incessantes et dans la nuit, plusieurs centaines de Japs ont pû débarquer, mais sans avoir le temps de lancer un assaut sur les quelques défenseurs australiens.

L'attaque aérienne va se poursuivre toute la journée, à coup de bombardiers en paliers, de bombardiers en piqué, de torpilleurs et même de P-39 "Airacobra", dont le canon de 37mm fait des ravages sur les navires peu blindés.

Au total, 1 AP (transport de troupes), 2 AK (cargos) et 1 APD (Destroyer reconverti en transport rapide) sont coulés. Plusieurs autres AK et DD sont incendiés.

Cette fructueuse journée s'achève malheureusement par plusieurs attaques sous-marines reportées sur mes cargos en provenance de Brisbane et Sydney. L'un d'eux, " l'Empire Steel", est touché à mort et sombre en quelques minutes.

Mais mes sous-marins ne laissent pas leur part au chiens, et c'est également un "Maru" japonais qui est gravement endommagé par le " KXVII", soum hollandais bqsé à Colombo après la chute des Indes Néerlandaises.



Après les pertes en avions enregistrés en 2 jours, les Japonais renoncent (pour un temps ...) aux attaques sur Port-Moresby.

Mes pilotes eux-aussi auraient bien besoin de repos, mais la proximité d'une flotte japonaise encore conséquente à moins de 300 km me pousse à leur demander encore un effort.
Je renonce à soutenir mes faibles forces terrestres à buna, car quoi que je fasse, elles n'auront pas les moyens de se défendre.

Ainsi, du 20 au 22 mai, les attaques aériennes vont se succéder sur la flotte nipponne en retraite. Les principales victimes seront les DD d'escorte.

En deux jours, 4 DD vont être envoyés par le fond ( dont le "Fubuki", un "gros" destroyer) et au moins 2 autres sévèrement endommagés.

Si les DD se remplacent facilement, ce sont tout de même des pertes qui affaiblissent la puissance japonaise dans le secteur, au moins pour quelques jours. Et les bâtiments endommagés représentent autant de travail pour les chantiers de réparation nippon (réparer un navire coute du ravitaillement, plus ou moins important selon la taille du navire et les dommages de celui-ci. La taille du port de 1 à 10 permet de réduire la durée des travaux, ainsi que la présence ou non de navire AR, soit navire-atelier).

Mes pilotes, à bout de force, ont réussi une belle semaine.

Pour les récompenser, je décide de suspendre pour plusieurs jours les opérations aériennes, afin de réparer les avions endommagés, de reconstituer les escadrilles et de reposer mes hommes. Seule une vingtaine de chasseurs et mes Patmars resteront en alerte, même si j'ai des doutes quant-à la capacité des Japonais à relancer une offensive aérienne dans les jours qui vont venir.


Le reste du Pacifique est relativement calme. Les attaques sous-marines se succèdent à rythme régulier, 2 ou 3 parjours, mais je note tout de même une plus grande réussite de mes commandants, qui mettent plusieurs cargos ennemis à leur actif.

Pour aguerir les pilotes de bombardiers chinois, particulièrement "bleus", je lance quelques attaques sur des navires à destination de Hong-Kong. Avec 3 ou 4 bombardiers par raid je ne m'attendais pas à des résultats, mais les braves pilotes chinois réussirent le tour de force, malgrés des paramètres très désavantageux (nuages bas, bombardiers en palier d'origine russes déjà obsolètes), à placer 2 bombes sur un cargo japonais, le 21 mai.


Enfin, très loin des combats acharnés de Nouvelle-Guinée, une petite flotte alliée débarque un bataillon de "Base Forces" sur l'îlot d'Attu, à l'extrémité ouest des Aléoutiennes. Un AVD (ravitailleur d'hydravion) y est posté à demeure. Le but est de construire une piste afin d'y établir une force de reconnaissance (avec une ou deux escadrille de PBY "Catalina") qui aura pour mission de repérer tout mouvement ennemi suspect dans cette zone. Ce n'est pas vraiment un secteur sensible, mais je préfère prévenir tout risque de mauvaise surprise.

EDIT : corrections de qlq fautes, parce que j'ai dû poster mon AAR en vitesse ....
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Dernière modification par RoyalQuiche ; 24/04/2007 à 23h25.
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  #6  
Vieux 24/04/2007, 20h32
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je me demande ce que font tes portes avions ?

si la flotte combinée Jap appuie les tentatives

de débarquement tu ne pourras pas

les arreter ! ?
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  #7  
Vieux 25/04/2007, 00h18
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Citation:
Envoyé par Griffon
je me demande ce que font tes portes avions ?

si la flotte combinée Jap appuie les tentatives

de débarquement tu ne pourras pas

les arreter ! ?

Je rajoute juste un petit détail.

Les Japs disposent, à Rabaul, de près de 100 chasseurs et presque 70 bombardiers. Or ces appareils (des "Zéro" et des "Betty" pour l'essentiel) ont un rayon d'action largement supérieur à tout mes appareils embarqués.
A titre de comparaison, un "Zéro" à un rayon d'action d'une douzaine d'hexagones,et un "Betty" peut voler sur 20 hexagones lorsqu'un chasseur "Wildcat" et un bombardier en piqué "Dauntless" n'en parcours que 5 ... et les torpilleurs embarqués "Dévastator" .... .... 2 (les bombardiers et torpilleurs embarqués de l'aéronavale japonaise ont quant-à eux un RA plus ou moins équivalent au mien)


Ce qui fait que si je voulais intercepter une flotte qui tenterai de débarquer à Port-Moresby ou à Gili-Gili (petite base à l'extrémité Est de la Nouvelle-Guinée), mes CV se trouveraient dans le rayon d'action des appareils nippon (y compris les chasseurs d'escortes) bien avant que mon aviation embarquée ne puissent attaquer la flotte nippone. Je subirais alors des raids incessant venant des bases japonaises, qui fatalement finiraient par toucher l'un de mes CV.

Tant que je suis en infériorité numérique sur le plan du nombre de porte-avions, et sur la qualité et le RA de mes appareils, je ne lance mes CV que sur des cibles sûres, ou lorsque c'est vital.
Evidemment, si je détecte une forte TF nippone voulant débarquer des troupes sur Port-Moresby, j'interviendrais, je ne suis pas lâche non plus ... mais je prierai pour que mes CV arrivent sans encombre près de PM ... à ce moment, les chasseurs basé à terre assureront une couverture aériennes puissantes sur ma TF.

... .... mais tout ceci est une autre histoire ...

Et encore, en tant que joueur US, j'ai la chance de pouvoir "sacrifier" quelques CV, sachant que le Victory Programm de Roosevelt m'en garantie une trentaine avant 1946 (sans compter les presque 50 CVE et CVL ... )
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  #8  
Vieux 26/04/2007, 13h41
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Période du 23 mai au 12 juin 1942 : l’entrée en scène des CV japonais.



Après le calvaire des DD nippons, les jours suivant furent plutôt calme. Dans le Pacifique Centre, je lançais bien un raid en profondeur, mené par le CL « Helena » et 3 DD, afin de frapper les convois de ravitaillement en route pour Wake. Mais ma petite task-force fit choux blanc, et après 1 semaine de ronds dans l’eau, elle rentrât bredouille à Midway.



En Nouvelle-Guinée, les deux camps reprenaient leur souffle. Quelques attaques sur des cargos japonais isolés, avec pas mal de résultats, mais seul 2 navires confirmés coulés (2 « Maru »). Un gros convoi, escorté par le CL HMAS « Hobart » et plusieurs DD arrivent le 2 juin à Port-Moresby, amenant plusieurs unités du génie et presque 100.000 tonnes de ravitaillement et de carburant.

Par contre, les sous-marins japonais se faisaient de plus en plus présent le long de la côte Est de l’Australie, sans conséquence trop génantes jusqu’à présent . Mais après plusieurs patrouille ASM approfondies (j’ai passé l’ensemble des bombardiers et patmars de « l’Australian Command » en ASW, avec 50% des effectifs envoyés chaque jours), le commandement australien nous envoyait un rapport alarmant : pas moins de 14 sous-marin japonais avaient été repéré en Mer de Corail.

Je détachais 8 destroyers de Nouméas, qui devaient rejoindre les 4 MSW (Mine Sweeper, dragueur de mine) des gardes-côte australiens, qui luttaient seul depuis 1 mois contre la menace sous-marine nippone.



Enfin, loin à l’Ouest, plusieurs raids japonais se brisaient sur l’efficace défense des pilotes britanniques. En l’espace d’une semaine, les Japonais perdaient au-dessus d’Imphal près de 60 appareils, quand dans le même temps la RAF ne comptait que 11 appareils … endommagés !!! J



Pour finir, le « China command » notait une légère activité chez l’ennemi, plusieurs divisions ayant été repérées montant en ligne vers Nanning (Sud de la Chine).





7 juin 1942 : 11h30



Les sirènes retentissent dans toute la zone de Port-Moresby. Tiens, après presque 2 semaines sans aucune activité aérienne japonaise, les voilà qui pointent le bout de leur nez. Confiant dans la puissant CAP de chasseurs couvrant la ville, les artilleurs AA et le personnel de la base ne se hâte pas … et pourtant, les haut-parleurs de la base crépitent soudains :

« attention, attention, raid majeur en approche, je répète, raid majeur en approche ».



Les opérateurs radar ont vu leur écran littéralement pulluler de point verts en approche, et ont décidé de lancer l’alerte.

En effet, c'est une énorme surprise de voir arriver des « Zéro » par dizaines escortant des « Val » et des « Kate » ….

Pas moins de 224 avion japonais dans les airs, des appareils de l’aéronavale ! Ils sont sûrement partis d’au-moins 5 ou 6 CV !

Et pourtant, mes patrouilleurs n’ont rien vu … il va y avoir enquête sur ce disfonctionnement !



Entre les 88 chasseurs nippon et mes 58, le choc est titanesque. Nos pilotes accomplissent des prouesses, et ce d’autant plus que certains de mes chasseurs sont totalement dépassés (comme les « Wirraway »). Pourtant il arriveront à tenir la dragée haute à la fine fleur de l’aéronavale japonaise, des pilotes d’élite.

Mieux même, l'une de mes escadrilles australiennes feinte l'escorte de "Zéro" et fonce sur les bombardiers. Ils réalisent une belle performance, plus de 20 "Kate" et "Val" sont au tapis, mais malgrès tout, le nombre impressionnant d'avions japonais fait que ces pertes n'auront guère d'influence sur le bombardement.

Une fois passé le rideau de mes chasseurs, les pilotes nippons piquent sur mes navires à quai. Ils font un carnage, s'acharnant sur la moindre coque encore flottante.
Au total, le CL "Hobart" sera touché de 28 bombes et 7 torpilles, le pulvérisant littéralement. Plusieurs AP sont touchés à mort, d'autres, ainsi que des AK, sont gravement endommagés.
L'attaque sur l'aérodrome sera également assez violente, avec plusieurs appareils détruits au sol.

Au final, ce monstreux raid aéronaval sur Port-Moresby aura eu pour résultat :

Alliés :
Avions perdus :
- 27 chasseurs abattus,
-15 bombardiers détruits au sol.

Navires perdus :
- CL "Hobart"
- DD "Cassin"
- 2 AP, 2 AK et 1 TK.

Navires endommagés :
-2 DD, 2 AP, 6 AK et 1 MSW.

Dégâts aux infrastructures :

- 24 "port hit", 6 "port supply hit", 9 "port fuel hit",
- 43 "runway hit", 22 "supply hit", 9 "fuel hit",
- et 32 hommes tués.

Japon:
Avions perdus :
- 16 chasseurs,
- 21 bombardiers.



Ce raid est une grosse claque pour le Haut-Commandement Allié.

Le fait de ne pas avoir repéré la flotte japonaise me reste en travers de la gorge.

Si les pertes sont sommes toutes acceptables, et en tout cas largement remplaçable, il pourrait être extrêmement dommageable que les CV nippons puissent se balader au large de la Nouvelle-Guinée sans être inquiétés. La quasi-destruction de l'un de mes convoi (heureusement, tous les hommes et une grande partie du ravitaillement était déjà à terre) en est le signe fort.
Si les Japs parviennent à couper mon unique voie de communication entre Port-Moresby et l'Australie, celà risque de largement compliquer la situation sur cette zone.
Il me serait notemment impossible d'organiser une contre-attaue sur Buna, alors que la 32 USDI est là pour ça.


Bref, après cette terrible attaque bien peu de bombardiers peuvent décoller l'après-midi pour prendre en chasse les CV japonais.
Ceux-ci ont enfin été découverts (ah ben il était temps !!! ) croisant au large de Gili-Gili ( pointe Est de l'Ile), et actuellement sur le retour à Rabaul.

Quelques "Hudson" vont bien s'essayer à l'attaque contre porte-avions, mais, outre une CAP de "Zéro" conséquente, aucun ne fera mouche.


Finalement, je décide de suspendre "sine-die" toute opération aérienne, pour concentrer les efforts immédiats sur la réparations des dégâts et la gestion délicate de mes navires endommagés.
Les plus touchés vont rester quelques jours à quai à PM, histoire de colmater les voies d'eau et éteindre les incendies. Une fois en état de reprendre la mer, ils partiront pour Sydney.
Les moins avariés repartent tant bien que mal vers l'Australie, escortés par l' unique DD encore intact. Malheureusment, 2 jours après leur départ, un sous-marin japonais profitera lâchement de l'état de faiblesse de l'un de mes AP pour lui placer 2 torpilles, et l'achever prématurément.

Pendant 3 jours, mes attaques aériennes vont ainsi pratiquement disparaitre.
Port-Moresby pense ses plaies et tout le monde est au turbin.
Seul un sous-marin est touché par un "Catalina", mais aucune confirmation quand à son status.


L'opinion publique américaine, ébranlée par l'attaque de Port-Moresby doit être remotivée par des actions offensives !

Mais les choix, comme les moyens, sont limités, l'essentielle de mes forces étant à Nouméa.

Néanmoins, j'opte pour 3 petites opérations séparées.

La première consiste à mobiliser les vieux cuirassés encore àPearl Harbor, pour effectuer un bombardement sur Wake. D'après les recos, l'ile n'abrite qu'une faible garnison et qu'une seule escadrille de patrouilleurs maritimes. Bombarder l'ile remontera un peu le moral de mes marins, et testera la capaité de réaction des Japonais dans le Pacifique Centre.

Ensuite, je décide de débarquer sur l'atoll d'Apamma, dans les Gilberts, un bataillon du génie (les fameux "SeaBees"). En effet, depuis l'occupation de l'atoll par un commando des Marines, aucune réaction, pas même aérienne, n'est venue de la part des Japs.
Etablir discrètement un aérodrome sur Apammama me facilitera les choses lors de la future attaque de Tarawa (selon les prévisions de l'Etat-Major, prévue pour la fin 1942).

Enfin, un peu plus ambitieux, un TF aéronavale britannique, partant de Colombo, doit aller frapper Akyab, port au main des Japonais le plus au nord de la Birmanie. J'escompte également que les pilotes de la Royal Navy attaquent les quelques navires isolés qui ravitaillent la base depuis Rangoon.
Cette TF est articulée autours des 2 CV "Illustrious" et "Formidable", puissamment escorté par le BB "Ramilies" et plusieurs croiseurs.


La fin du moi de mai est donc très calme. Préparation de mes attaques et réorganisation de mes forces.

Les renforts commencent à affluer. La 1ere USMC Division arrive à Nouméa, alors que la 2ème USMC Div. elle, est enfin opérationnelle à San Diego.

Jusqu'au 12 juin, la principale activité sera la lutte anti sous-marine en Mer de Corail.

Depuis l'arrivée de mes renforts ASW à Cooktown (NE de l'Australie), ont sent que la roue tourne.

Alors que 2 semaines auparavant, les sous-marins japonais faisaient presque une victime par jour, et ce sans grand risque, les marines US et australienne combinées inscrivaient plusieurs soum à leur tableau de chasse, en subissant toutefois quelques pertes dans leur rang.
Ainsi, en l'espace de 3 semaines, 7 sous-marins japonais étaient confirmés coulés dans la zone, alors que 2 DD et 1 MSW étaient perdus. Les frappes sur mes convois de ravitaillement pour Port-Moresby se faiseient plus rares (2 seulement).
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L'année 2010 sera dantonique ou ne sera pas !

Dernière modification par RoyalQuiche ; 26/04/2007 à 15h58.
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  #9  
Vieux 26/04/2007, 15h07
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Envoyé par RoyalQuiche
Pas moins de 224 avion japonais dans les airs, des appareils de l’aéronavale ! Ils sont sûrement partis d’au-moins 5 ou 6 CV !
pas forcement autant ... a midway avec seulement 4 PA les japonais avait 226 avions ... tout depend des portes avions utilisé ... mais comme tu a pu les repéré tu sais p-t maintenant combien ils étais ...

je pense a moins que tu est fait de gros degat dans la chasse emporté par les CV que les attaqué avec des escadrilles sans escorte ne soit qu'envoyé des equipage a une mort cais certaine pour un resultat proche du néant ...

autrement si le jeu est bien simulé avant de touché en masse des hellcat tu as assez peu de chance en 1 contre en bataille aeronavale ...
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citation de boris vian : Le jour où personne ne reviendra de la guerre, ce sera parce que la guerre aura été bien organisée.

Dernière modification par yboompook ; 26/04/2007 à 15h12.
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  #10  
Vieux 26/04/2007, 15h20
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De mémoire, il me semble que le premier rapport de reconnaissance faisait état de 4 CV ... mais ensuite, un "Catalina" a identifié le CVL "Shoho" ... qui n'a que 30 appareils je crois ... j'en conclue qu'il y avait au moins 6 CV et CVL Japs !!!


De toute façon, je suis en train de rédiger mes 2 dernieres "sessions" ... et tu verras qu'il y a pas mal de porte-avions nippos dans le coin.

PS : en effet, les quelques "Hudson" qui sont parti à la chasse ont été gentiment accueillis pas les chasseurs de défense ... y'a du en avoir que 3 sur 11 qui sont passés.
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