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#20
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N'hésite plus, tu ne le regretteras pas
![]() Perso, je suis conquis par cette nouvelle carte... Et je le prouve avec l'épisode suivant: la qualité est peut-être médiocre mais niveau quantité et rapidité, je suis vraiment imbattable ![]() ![]() 1555 – 1572. Guerre sur guerre ! ![]() L’Empire Ottoman allait secouer le nid de crabes vénitiens : il attaqua brutalement, une fois encore, notre allié et vassal le Montenegro ![]() ![]() Marseillais contre Dragut ![]() Le pirate tenta bien de fuir et il avait une chance : la flotte vénitienne convoyait vers Byzance la fameuse réserve stratégique qui stationnait à Venise. Manque de chance pour lui, la flotte qu’il avait croisé, et qui l’avait décimé, ne représentait qu’une ‘infime’ partie de l’armada vénitienne ![]() Marseillais tombe sur Dragut avec le gros de la flotte ![]() Les renforts arrivés à bon port, l’on prit l’offensive mais, conscient de ses limites, l’Abbé Coelio se contenta, sournoisement, d’appliquer les plans bien établis d’un maître en la matière : le fameux général De Danton ![]() La bataille de Thrace ![]() Le Sultan fut rapidement battu et forcé de céder la Macédoine à notre vassal du Monténégro. Mais, au sein de l’armée, le mécontentement s’amplifiait : la guerre avait été conduite avec un amateurisme évident ![]() Plus pragmatique, le Baron Akmar comprit qu’il fallait, pour affermir son pouvoir, continuer ce qu’ils faisaient si bien et qui les avaient amené au pouvoir : trouver de nouveaux marchés pour nos négociants. Il offrit 100 pizzas à celui qui pourrait lui apporter la connaissance de centres de commerces supplémentaires et il eu la surprise d’être contacté par l’Amiral Marseillais : celui-ci proposait non pas de la diplomatie, mais un raid brutal et efficace, qui aurait l’avantage d’ouvrir l’aventure colonial à la Sérénissime ![]() Le conseil était bon et Akmar envoya un déluge de marchands à Lisbonne et à Madrid : Venise se retrouva finalement seule et encaissait 100% des revenus de ces deux centres de commerce… Mais les Ibériques, qui tremblaient de peur devant notre toute puissance, n’osèrent pas réagir et n’émirent pas la moindre protestation… Voilà qui ne faisait pas nos affaires ![]() ![]() Et l’armada très chrétienne partit châtier le Portugal Très Chrétien qui avait osé annexer Grenade la Musulmane ![]() ![]() ![]() L’assaut contre Lisbonne ![]() La chute de la capitale Lusitanienne offrit les cartes tant convoitées : des premiers colons partirent aussitôt pour l’Indonésie, l’Amérique du nord et du sud ![]() ![]() L’Amiral Marseillais écrase la flotte Portugaise ![]() Le Portugal n’insista pas et offrit sa capitulation : l’armée repartit aussitôt vers l’est, où nos garnisons luttaient vaillamment contre les Janissaires. L’Abbé Coelio, cependant, était clairement dépassé par les événements et l’on supplia bien vite les généraux De Vincel et De Danton d’accepter un retour hâtif à la tête des armées. Ceux-ci acceptèrent car ils étaient nobles et purs ![]() ![]() La titanesque bataille de Thrace ![]() Ce fut une sublime victoire et, alors que Marseillais bloquait les détroits, vieille tactique éprouvée, les deux généraux déferlèrent : pas question de laisser l’ottoman s’en sortir avec une nouvelle pirouette, cette fois il allait payer et cher. La menace permanente qu’il faisait peser sur le monde occidental et sur notre allié du Montenegro en particulier devait et allait être diminuée considérablement ![]() ![]() Le Baron Akmar sentit son œuvre s’effondrer et il se précipita à Paris : cet embargo était inacceptable, la France possédait en effet pas moins de trois centres de commerce. C’était un comble, il avait tout fait, et Leaz avant lui, pour obtenir un casus belli via un embargo de ce type, en vain malgré une politique commerciale d’une rare agressivité, et voilà que Paris nous embargotait alors que Venise n’avait rien demandé, ni dépassé les bornes avec ses marchands ![]() ![]() Après un dernier ultimatum, resté sans réponse, le Doge donna son feu vert et les armées fondirent sur la France, qui s’était bien préparée au choc. La boucherie du Piemont ![]() Ce fut une lourde défaite et l’on se replia en bon ordre, la France tenta d’en profiter et marcha sur Brescia, mais De Danton les attendait de pied ferme et l’ennemi fut balayé. Les chevaliers de Rhodes, alliés à la France, tentèrent sottement de lettre Venise sous blocus : leur flotte fut complètement anéantie en moins de 30 seçondes par l’Amiral Marseillais et ses 140 galères ![]() La deuxième bataille du Piemont ![]() Cette fois, ce fut un vrai triomphe et on pressa l’ennemi avec violence, la province fut arrachée de haute lutte et certains poussaient pour que l’on pousse jusqu’à Marseilles, mais la France préféra reconnaître sa faute avant d’en arriver là : l’embargo injuste fut levé et la province italienne du Piemont fut cédé à Venise à titre de réparation pour les pertes subies. La victoire était totale, une fois de plus, mais Venise commençait décidément à se faire beaucoup d’ennemis ![]() Dernière modification par Danton ; 10/09/2006 à 20h15. |
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