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Il faut sauver le soldat Ney ! Mais comment ?
On ne ne peut intervenir contre les Prussiens dans l’intervalle, alors l’adjudant-commandant Moradim, proche de Talleyrand, suggère d’isoler les Prussiens afin de leur faire croire à une défaite imminente et de précipiter leur retrait du conflit. Une intoxication grandeur nature, mais qui nécessite un geste fort. Ce qu’on tient du côté de Rodo, puisque l’Empereur se lance à l’assaut de Prague, bien décidé à emporter la ville et briser ainsi toute vélléité autrichienne en Europe. Le risque est d’autant moins grand que les forces de Rodo sont deux fois plus fortes que les régiments autrichiens. Certes il y a un soldat notable en face, le colonel Maximilien Reborn et ses dragons-à-pied, mais la tactique est éprouvée et devrait facilement briser l’adversaire. Rodo place tous ses canons sur un même axe, afin d’accentuer les effets des obus sur un même secteur donné – certes réduit, mais ou les Autrichiens devraient comprendre ce qu’ait la terreur face à des déflagrations en chaine. De fait, le général de brigade Boudi et le colonel Jmlo, tout juste rétabli, s’en donnent à cœur joie. ![]() Les 30 pièces françaises voient leur tir méthodiquement concentré sur les groupements ennemis les plus dangereux. Tout d’abord l’artillerie et les Howitzers adverses, dont on fait taire une grande partie dés l’engagement des hostilités… ![]() Et alors que les chariots ennemis sont détruits par les tirs et que les chevaux autrichiens s’enfuient, refusant de tirer plus longtemps les affuts de canons, on passe aux cibles suivantes. Sur la ligne d’assaut, néanmoins, c’est la compagnie de William Locke, promu colonel du 5éme d’Infanterie de Ligne depuis peu, qui essuie la vindicte des derniers artilleurs autrichiens encore à leurs piéces. ![]() Les obus encadrent l’unité, avant de finir par fracasser la ligne française. Mais l’Empereur n’est pas loin, la supériorité du commandement avérée, l’unité tient bon. ![]() Du haut d'un talus, Rodo contemple les lieux et l'organisation adverse à l'aide d'une lunette. Tous les corps de cavalerie seront associés pour cette bataille, plus de 750 cavaliers menés par Otto, Jag, Griffon, Maximus et Bravlyon. La cavalerie se glissera sur notre flanc gauche, afin de menacer par la suite le flanc droit autrichien ![]() Les unités les plus aguerries, côté français, seront celles qui supporteront le feu autrichien. Principalement le 5éme régiment d’infanterie de ligne de Locke, le 6éme régiment de Bébert et les Grenadiers de la vieille Garde d’Urial. On tient le bataillon de Grenadiers du 5éme de ligne de Druss d'Haran légèrement en retrait, il avancera par la suite pour relever les unités au front et donner l’ultime poussée. Pour l’instant, après les pertes du côté de Locke, c’est le régiment de Bébert qui doit faire face à un assaut de la cavalerie autrichienne. ![]() Un cavalier traverse le carré, et menace directement le colonel Bébert, son ordonnance et le tambour-major. Des soldats viennent à la rescousse et abattent l’insolent, tandis qu’à l’extérieur du carré, l’assaut autrichien échoue. On fait alors avancer l’infanterie en lignes, chaque compagnie ouvrant le feu et protégeant ainsi la progression de la ligne suivante, jusqu’à être au contact direct avec les Autrichiens … ![]() Et la cavalerie déboule sur son flanc et ses arrières, taillant, fusillant et écrasant la piétaille ennemie. ![]() Chasseurs à cheval de Hubert de Jagermeister et Dragons d’Auvergne d’Otto Amable Grandpieds mettant en déroute 2 lignes autrichiennes Quand l’ennemi semble résister au choc initial, on le déborde et on lance le corps dans son intégralité. A plusieurs centaines de mètres, avant même que la charge ne soit lancée, les Autrichiens entendent le sol gronder sous la multitude des sabots français. ![]() Les unités autrichiennes qui tentent de se mettre en carré sont anéanties par les salves de l’infanterie, qui accompagne la progression de la cavalerie. Les unités qui tentent de garder la ligne sont, elles, enfoncées et démembrées par les assauts des dragons, puis des grenadiers-à-cheval de la Garde du colonel-major Bravlyon. ![]() La défaite autrichienne est consommée, l’ennemi laisse sur le terrain des milliers de morts – outre les soldats de l’Empereur d’Autriche, les milices levées en catastrophe à Prague quelques semaines avant la bataille. ![]() Le colonel Maximilien Reborn n’a d’autre choix que de laisser les drapeaux de ses unités au Français, tandis que l’on compte les morts : 1.500 pour Rodo, 6.500 pour l’Autriche. Les artilleurs de Boudi et Jmlo se sont illustré, même si les plus gros efforts ont été consentis par Bébert, Locke, et l’ensemble de la cavalerie française. En face, les femmes de Prague défilent dans les champs, cherchant ici un mari, là un frére. Et de l’Autriche, d’ailleurs, que reste-t-il ? Plus grand-chose, 3 provinces limitrophes jouxtant l’Empire français et l’Empire Ottoman. Pour la 1ére fois, l’Empereur François II se met à la table des négociations pour valider la victoire française. Après 2 ans de guerre continue, l’Autriche signe la paix tandis que les demandes françaises s’imposent : fin de la Coalition, fin des accords et alliances avec la Russie, la Suéde, la Prusse, l’Angleterre et plus généralement avec tous ceux qui ont, à un moment ou un autre, levé la main contre la France. Puis mise en place d’un embargo des produits anglais, et ouverture des derniers marchés autrichiens aux produits manufacturés français. Les Français ^pourront également faire circuler leur armée sur le territoire autrichien. Vienne, Prague ? Rodo est intraitable, l’Autriche n’aura rien. Au loin, déjà, on entend les soldats français faire de Prague un exemple, pour que plus jamais l’Autriche ne se mette en travers de notre route sans en comprendre les conséquences. Les soldats fracassent les portes, pillent les maisons, abattent ceux qui tentent de protéger ici un poulailler, là un veau. On dérobe plus de 12.000 piéces d’or à la ville, ce qui permettra de continuer à construire des routes à travers un Empire toujours plus grand. François II quitte Prague les larmes aux yeux, tandis qu’ostensiblement, les Français proposent désormais de laisser la province aux alliés bavarois. Ceux-ci rechignent : on a tout brulé, la Confédération du Rhin, tout juste naissante, ne doit pas être composée uniquement de cadavres, de ruines et de saboteurs … On leur laisse donc le Tyrol en attendant, puis on leur donnera Prague quand la paix civile sera rétablie. La nouvelle fait grand bruit, et arrive aux oreilles des forces prussiennes. Pourquoi se jeter sur Ney désormais, si en retour Rodo peut déchainer toutes ses forces et faire disparaître le Royaume ? Côté français, on envoie Moradim à Varsovie, pour discuter avec von Palpatine. Moradim reviendra avec un traité de paix et, dans sa besace, le grade de colonel. Les Prussiens lâchent également leurs derniers alliés, instaurant ainsi ce que souhaitait l’Empereur depuis le début : la paix en Europe ! ![]() Oh, certes, ce ne sera que transitoire, on le sait. L’Angleterre est toujours l'ennemi à abattre, la Suède ne veut rien entendre et la Sicile continue inlassablement cette drôle de guerre dans laquelle elle n’a jamais combattue … quant à l’Autriche et la Russie, elles grignotent peu à peu les régions européennes de l’empire ottoman. Reste que le continent est en paix. Rodo rentre à Paris pour l’inauguration de l’Arc de Triomphe, pour le 2 décembre 1806, tandis que Ney peut quitter la Prusse sans avoir subi l’ultime assaut prussien qui l’aurait détruit. Quant au colonel Moradim, il ne peut que remâcher les paroles que lui a glissé von Palpatine lors de la signature du Traité de paix : « Monsieur, avant le printemps, nous serons amenés à nous revoir. Ceci n’étant pas une menace, mais une promesse » |
#3
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En voilà une paix juste et équilibrée.
Il est bien regrettable que certains s'obstinent à vouloir plonger l'Europe dans les affres de la guerre. Mais je pense qu'ils recevront sans délai un juste châtiment ! Vive l'Empereur ! ![]()
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
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J'ai quelques objectifs sympathiques en tête (qui devraient, je l'espére, me compliquer un peu la tâche) que je vais pouvoir développer aprés, le temps que la Coalition me foute la paix : Etendre la Confédération du Rhin, rétablir le Duché de Varsovie, aller me frotter aux Royaumes d'Italie et au Pape pour mettre en place sur le trône des généraux français méritant...
Ah, et puis ce statut assez batard de l'Espagne alliée ne me convient pas. Ceux qui combattront le mieux à Gibraltar pourront, je pense, accéder au trône madriléne ![]() Et si avec ça je ne perds pas en 1812, une petite expédition jusqu'à Moscou sera envisageable. Bref le but c'est de faire de l'Europe un vaste terrain de jeu, mais qu'avec des Français - et pas avec des alliés timorés qui pourraient retourner leur veste. Et si tout se passe bien, on aura les Coalisés à Paris en 1814 et la Restauration ![]() Faut que je vois comment simuler ça, au cas ou ... car si les Prussiens sont trés vindicatifs et combattifs, les armées russes elles, sont effroyablement mauvaises. Or des provinces prussiennes, il n'y en a plus que 3, tandis que des Russes, il y en a encore plus qu'avant ... Ah oui, bien sur ... désormais toutes les villes seront pillées, puisqu'il faut bien développer le sentiment anti-français un peu partout dans l'Empire ... |
#5
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![]() ![]() ![]() ![]() Citation:
![]() ![]() ![]() ![]() J'approuve totalement la motion !! Ceux qui combattront le mieux à Gibraltar auront ainsi démontré qu'ils sont les plus à même de défendre L'Empereur et la France sur ses marches du Sud !! ![]() ![]() ![]() Citation:
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![]() "L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre." Ar Sparfell ( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? ![]() |
#6
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teaser :
"Colonel d'Aspar, votre maitrise de l'espagnol et vos succès sur place vous appellent à une hautes destinée ! Moi, Rodo 1er, vous couronne Prince du Rocher et Roi d'Andalousie ! Vive la France, et vive l'Empire ! " l'Empereur se tourne vers le colonel Gaspard Sentenza, le colonel Guerrand Amédé Thrawn et le général Elvis Gérard "Et bien messieurs ! les royaumes de Sardaigne, de Lusitanie et de Madrid vous attendent, que diable ! Action, on se bouge ! Faites votre devoir pour la grandeur de la France !" et un coup d'oeil vers le capitaine Kara d'Iskan d'Ar "Capitaine, pour ce qui suit, vous aurez bien besoin du grade de colonel. Roi de Sicile, ou Prince d'Istambul, quel sera votre choix ?" Et les hommes de Rodo de louer l'absence de fréres et soeurs de l'Empereur, ce qui leur permettra un avancement inesperé qui fera défaillir toutes les vieilles monarchies d'Europe. Rodo revient vers ses troupes et s'écrie "Ah oui, j'oubliais ... vu comme c'est parti, il va nous falloir, à un moment ou à un autre, un nouveau Pape ... personne n'est intéressé ?" ![]() Dernière modification par marlouf ; 28/02/2012 à 09h02. |
#7
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Ha mon Empereur, quel honeur! moi qui ait pris des cours de castagnettes dans ma prime jeunesse, vous me voyez pret a m'en foutre plein les poches la bas ... je veux dire, propager les idées de Liberté à ces rudes Hibères
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There are two kinds of people in the world my friend, those with a rope around their neck and the people who have the job of doing the cutting |
#8
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L'ibère est rude, mais le printemps sera doux ... Colonel, vous trônerez bientôt ! C'est décidé !
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#9
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Pax Rodoïa !
La fin de l'année 1806 s'écoule tandis que l'Empire fête la paix retrouvée dans ses frontiéres. Certes, l'Angleterre continue la guerre, mais elle est uniquement navale pour l'instant. Quelques corvettes anglaises mettent à mal le commerce français en Afrique du Nord, aussi l'escadre de Villeneuve, renforcée désormais par 6 imposants vaisseaux de ligne, quitte la Bretagne à destination de la Méditerranée. Les prochains combats les plus importants pour l'Empire se feront là, et un support naval ne sera pas de trop. Les Suédois accepteront rapidement par la suite un traité de paix avec la france, puisqu'ils ne comptent plus d'allié d'importance en EUrope continentale. Quant à la Sicile, elle refuse obstinément de se rendre et agite l'idée d'indépendance italienne, poussé en cela par le Pape. Masséna quitte donc Venise pour la frontiére avec le Vatican, histoire de montrer que si la France est la fille ainée de l'Eglise, elle n'hésitera pas à gifler un parent considéré comme désormais trop intrusif. Des mots s'échangent, les armées françaises font le blocus de l'Etat papal, mais la guerre n'est officiellement pas entamée. Rodo en profite, aprés l'inauguration de l'Arc de Triomphe, pour réorganiser économiquement l'Empire. Les bases sont saines, l'armée peut facilement recruter le double des effectifs actuels, la seule ombre au tableau étant les raids anglais qui, d'un mois sur l'autre, peuvent nous couter la bagatelle de 4.000 piéces d'or ![]() Bilan financier au 1er décembre 1806, avant la paix avec l'Autriche et la Suéde On lance aussi les premiéres etapes d'une véritable révolution industrielle en Europe : les mineurs sont envoyés par dizaines de milliers extraire les richesses du sol pour apporter un nouvel élan à l'Empire. Partout également, on répare ce qui a été détruit par 2 ans de guerres et de sabotages. Et on décide de ne plus laisser aucune impunité face à ces actes de terrorisme. ![]() Il ne s'agit finalement que de continuer la guerre, mais par d'autres moyens, tout en évitant de relancer une nouvelle coalition. La Prusse peut sembler affaiblie territorialement, mais sa force est encore surprenante et c'est surtout, actuellement, la seule nation capable de rivaliser sur le terrain avec nos généraux. On tue donc en sourdine, de chaque côté de la frontiére. La Prusse perd deux espions, on en perd un et une mine d'or est "accidentellement" détruite en Moravie. Rodo ne peut cependant rester en place et quitte de nouveau Paris. Ney est à Berlin, Murat en Silésie, Rodo arrive à Vienne, trois armées vigoureuses qui agiront selon les circonstances. L'Europe semble effectivement entrer dans une nouvelle phase de déconstruction, où les choses se font sous le regard de l'Empereur. Le général Reygnier et les troupes françaises, renommées "armée d'Espagne", sont reçues à Madrid par le monarque Charles IV, qui monnaye durement le passage de Reygnier jusqu'à Gibraltar. On apprend que l'Espagne a de nouveau déclaré la guerre au Portugal, malgré l'arbitrage qu'avait fait Rodo lors de la paix d'Amiens en 1802. Le roi d'Espagne demande des gages de l'amitié française, on l'assure qu'on l'aidera peut être par la suite. une action victorieuse française, pourquoi pas, voilà qui permettrait de mettre un monarque ami sur le trône portugais, et pourquoi pas un Français ... Reygnier poursuit sa route jusqu'à Gibraltar, caressant des rêves d'extension dans la région, quand la nouvelle tombe : les armées portugaises, malgré le financement de Londres, sont tombées ! Le Portugal est rattaché à l'Espagne, ce qui fera éclater de fureur l'Empereur. ![]() La couronne du Portugal échappe à la France. Il faudra corriger cela ! L'Etat Major devra mettre en place un projet pour l'Espagne. Des dates ? Il y a temps à faire au sud ... quelques mois, un semestre, fin 1807 au plus tard ... le temps de s'occuper de Gibraltar, des Royaumes d'Italie et de sécuriser toute la Méditerranée ... L'autre nouvelle d'importance, en ce mois de février 1807, c'est l'effondrement annoncée de l'Empire ottoman. La poussée austro-russe est trop forte pour les Ottomans, qui peu à peu doivent reculer face à François II et au Tsar Alexandre. Des émissaires dans la région annoncent la situation perdue, les provinces tombent les unes aprés les autres, les armées russes s'emparent même d'Athénes, faiblement défendue ... La ville de Salonique résiste vaillement, on s'étonne du courage des autorités locales alors que les armées ottomanes refluent. On annonce qu'un Français a remotivé les milices de la ville tandis que les troupes réguliéres, elles, cavalaient à l'est pour protéger Constantinople. L'affaire fait grand bruit, la Russie menace de former une nouvelle coalition avec l'Angleterre, la Prusse et l'Autriche si on n'exfiltre pas ce diable d'homme qui n'a rien à faire dans les affaires grecques. Des émissaires de Paris sont envoyés en pourparlers à Salonique et on découvre la vérité : Homére J. Bartimeus ! Le capitaine a miraculeusement survécu au naufrage de son navire et, avec 2 autres marins, a pu rejoindre les côtes de Capadoce. Rembarquant pour l'Europe a bord d'un navire de commerce faisant escale en Grêce, il s'est retrouvé en plein assaut des Russes et trouvé sur terre la même hargne qu'il montrait déjà sur les Mers. Les journaux font leurs grands titres sur le héros, qui refuse d'abandonner Salonique aux Russes. La médiation française permet d'évacuer les Turcs qui le souhaitent, tandis que les Grecs se demandent ce qu'ils vont bien pouvoir gagner à une occupation non plus ottomane, mais russe. Quant à Bartimeus, c'est à coup de menaces et de cajoleries qu'on arrive enfin à le faire quitter la ville, à bord d'un navire qui devra rejoindre l'escadre de Villeneuve, où le capitaine pourra prendre le commandement d'un trois-ponts, au côté de Bob Terrius et Patrick de Whatman. ![]() Salonique, célébrant le héros français Enfin, fin février, l'armée de Reignier arrive à proximité de Gibraltar. Pour motiver ses troupes, le général s'écrie "Ce soir, le premier qui entrera dans la ville sera Roi !" Les navires anglais quittent le port tandis que les Anglais en garnison acceptent le combat. Même si elle n'est pas encore totalement aguerrie au feu, les Français disposent de l'armée la plus solide actuellement disponible : 60 canons lourds, 750 cavaliers d'élite, 2800 chasseurs et autres flanqueurs, 4800 infanterie de ligne (qui vient tout juste de finir ses classes) et 2400 grenadiers. il y a certes beaucoup de bleu, mais aussi nombre de grognards et d'unités de la Garde. Les Anglais, eux, ne disposent pas de canons, mais d'une cavalerie nombreuse (2100 hommes) et d'une puissante infanterie (10.000 hommes) comptant en son sein certaines des meilleures compagnies du Royaume d'Angleterre... ![]() Plan général de la bataille de Gibraltar, 28 février 1807 |
#10
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![]() ![]() ![]() Je jure de continuer à défendre mon Empereur et mon pays, la France, dans mes nouvelles fonctions et avec mes nouveaux titres !! ![]() Et aussi, je remercie la mère de notre si noble Empereur pour n'avoir enfanté qu'un seul mâle. ![]() ![]() ![]() ![]()
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![]() "L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre." Ar Sparfell ( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? ![]() |
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