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La guerre sera finie et Provence sera remis sur le Trone avant l'heure du thé
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![]() [20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#2
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Ma cavalerie va tailler en pièces cette bande de gueux, chargez !
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My name is Jag. ![]() |
#3
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Au centre droit, le bataillon de Darthmath doit reculer sous la pression adverse. Le colonel Bebert fait avancer une partie du 6éme régiment d’infanterie pour éviter toute percée ennemie et que notre flanc droit soit isolé du gros de l’armée. Des chevau-légers autrichiens, qui n’attendaient que cela, foncent sur l’unité de Bébert, qui n’a pas le temps de se mettre en carré.
L’action du bataillon de Darthmath sera néanmoins déterminante : les pieux placés en début de bataille brisent net l’offensive de la cavalerie, hommes et chevaux vont s’empaler sur les perches en bois tandis que l’infanterie, à coup de baïonnettes, fait reculer les Autrichiens tentant de se faufiler entre les pièges. L’unité est anéantie et entame une piteuse retraite. ![]() Centre gauche, c’est tout le 5éme régiment de ligne qui est aux prises avec l’infanterie autrichienne. Aux salves de mousquets, les Autrichiens rajoutent désormais tous les tirs de leur artillerie. Ils ne se soucient désormais plus de notre flanc droit : le 1er régiment d’artillerie du colonel Boudi a été quasiment détruit, les hommes du 2éme régiment ont, eux, pris la fuite et seule la cavalerie de Jag continue d’y exercer une défense réelle face aux assauts des Autrichiens. L’infanterie française n’a, quant à elle, plus de munition et doit se contenter d’effrayer l’adversaire en poussant des hurlements et en agitant bien haut les baïonnettes. Mais l’ennemi ne peut pas vraiment y pousser son effort suite à ses pertes et concentre désormais tout au centre. Si les Français font bonne figure, le 5éme bataillon du lieutenant Urial commence à éprouver des pertes importantes. ![]() Urial, locke et Druss d’Haran font front commun Seule liaison entre eux et le centre droit de Bébert, l’unité de Darthmath remonte au front et fusille au tout venant les incursions de la soldatesque autrichienne. Les pertes sont catastrophiques dans nos rangs, les hommes tombent les uns après les autres, mais l’infanterie autrichienne fuit devant ces Français enragés. Ivre de colére, l’un des deux généraux autrichien tente de passer en force … et y perd la vie. Lorsqu’on découvrira le corps, on s’apercevra qu’il s’agissait de Karl Mack von Leiberich, le commandant en chef de l’armée Autrichienne. Beau succés, mais que les voltigeurs paient au prix fort : l’offensive autrichienne s’est épuisée à la jointure des 2 corps français, mais les voltigeurs auront été décimés. On ne compte que 28 survivants sur les 200 hommes engagés initialement. Le sergent Darthmath, qui était resté aux avant postes, git dans l’herbe, 3 balles dans le corps. Entre les dents, un reste de carton de la cartouche qu’il était en train de déchirer quand la dernière balle l’a atteint mortellement. Sur notre flanc droit, belle charge du colonel Jag, qui finit de rompre les derniers espoirs autrichiens dans ce secteur. ![]() Un général mort, l’armée autrichienne accuse le coup. Le flanc droit français a tenu, le centre également, ne reste principalement de la cavalerie qui fonce sur le 5éme d’infanterie. On forme les carrés à la hate, en attente du choc … ![]() Le grand carré du 6éme de ligne de Bébert, les grenadiers de Druss et, à tout à droite, le 5éme bataillon d’Urial Les salves déciment l’adversaire, les rares cavaliers gardant le contrôle de leurs montures viennent se fracasser sur les carrés. 5 escadrons y passent, prés de 700 hommes. La défaite autrichienne est consommée. L’artillerie de Jmlo, qui a fait merveille depuis sa position surélevée, continue de pilonner l’Etat Major adverse. Les pièces d’artillerie autrichienne font chorus et rasent le village ou les Français étaient protégés. Une poutre lâche et un mur s’effondre sur une partie de l’Etat Major. Rodo 1er, qui était resté au plus prés de ses troupes, est blessé et ramené au campement. La rage s’empare du cœur des Français. Le 2nd régiment de chasseurs (sans Maximus Ney, toujours en convalescence) fonce sur les pièces d’artillerie adverses, fusille les servants, et sabre ceux qui tentent de s’enfuir. Le Haut commandement tente de résister mais n’en a désormais plus les moyens. Charles Louis d’Autriche, cousin de l’Empereur et second général autrichien, est blessé et doit fuir également le terrain avec ce qui lui reste d’armée. ![]() Ce qui aurait pu être une terrible défaite se transforme en victoire éclatante. Rodo 1er sera certes absent des combats quelques semaines, mais l’armée Autrichienne a été amputée de ses meilleures troupes. Nos espions quittent aussitôt Prague pour Vienne, pour voir si le chemin vers la capitale a été libéré. Masséna rejoint les troupes à Salzbourg afin d’en prendre momentanément le commandement, apportant avec lui ses recrues encore fraiches. Les restes de l’armée autrichienne se sont retiré à quelques kilométres et l’occasion est trop belle pour les laisser s’enfuir : pour prix du sang, la France réclame désormais la tête du cousin de l’Empereur d’Autriche. Faits remarquables notés sur le journal de Rodo 1er : - Le colonel Boudi a vaillamment défendu le flanc droit et décimé, avec les seules pièces de son régiment d’artillerie, prés de 950 Autrichiens. Le colonel Boudi est fait chevalier dans l’ordre de la Légion d’Honneur et passe Général de brigade, prenant en charge les 1er et 2éme régiment d’artillerie. Nous espérons le retour rapide de Boudi « bras d’bois » et lui souhaitons un prompt rétablissement. - Nous sommes très affectés par la mort du sergent DartMath, qui a combattu loyalement pour l’Empire et préféré donné sa vie plutôt que de lâcher prise. Envoyons regrets, fleurs et pension à sa femme. Et voyez si vous pouvez lui donner un titre quelconque aussi. Baronne de Salzburg, par exemple, ou un truc approchant … |
#4
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Chiffres notables sur la Bataille de Salzbourg
![]() (par ordre décroissant du nombre de morts infligés à l'adversaire) Boudi, 52 pertes, 8 survivants, 926 tués Jmlo , 0 perte, 51 survivants, 686 tués Urial, 335 pertes, 65 survivants, 389 tués Jag, 120 pertes, 30 survivants, 333 tués Druss d’Haran, 128 pertes, 159 survivants, 306 tués Darthmath, 172 pertes, 28 survivants, 274 tués Locke, 211 pertes, 289 survivants, 220 tués Bébert, 135 pertes, 265 survivants, 135 tués Maximus, 99 pertes, 36 survivants, 115 tués Dés blessure et mort joués sur Boudi (blessure de 3 à 6 mois - résultat 4 mois), Darth (mort ![]() ![]() Lancer automatique dés que le bataillon/escadron a 75% de pertes (au dessous, vous n'êtes même pas inquiété) :magnanime: :impérial: :Danton: |
#5
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zero perte, tous le monde ne peut en dire autant...
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#6
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Caché en haut d'une bute, tout le monde ne peut pas en dire autant
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#7
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En même temps au niveau des biffins c'est eux qui prennent tout dans la gueule...
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#8
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Ma cavalerie à sauvée l'armée française.
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My name is Jag. ![]() |
#9
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C'est limite si elle n'a pas sauvé l'Empire ,tiens
![]() ![]() Après la bataille de Salzbourg, les unités autrichiennes, vaincues, s’enfuient dans les bois environnant. L’Etat-Major français suppose quel’ennemi est toujours commandé par Charles Louis d’Autriche, stratége émérite qui ferait un excellent otage. Rodo 1er en route pour Paris après une légére foulure du poignet, c’est Masséna qui prend donc le commandement et, avec les unités les plus solides, lance l’assaut 36 heures seulement après le premier carnage. ![]() Très peu de morts côté Français, le moral côté autrichien étant lui très faible : l’adversaire se délite, les troupes sont hachées et réduites à néant, ça fera toujours ça de moins pour Vienne. 38 unités et un général auront donc été éliminées successivement, mais la deception est grande, le cousin de l’Empereur d’Autriche a preferé fuir à Vienne. Vienne, d’ailleurs, cela devrait être la prochaine cible. Nos espions arrivent dans la région et constatent que la ville n’a plus de réelle protection. Masséna ne peut néanmoins donner l’ordre d’avancer, les Français, après ces 2 combats, sont épuisés. On recrute donc à tour de bras en France, pas loin de 3.000 hommes de plus pour la seule région parisienne, et on continue les avancées dans le secteur économique. ![]() Nos premiers navires marchands sortent enfin de la rade de Toulon, et iront successivement mettre en place des routes commerciales avec Oran puis Alger. On agrandit également les routes de la France historique, on développe les fermes, et la construction d’une université est lancée à Bruxelles afin de pouvoir rechercher deux technologies en même temps. Un grand dépôt de ravitaillement est également en cours de construction à Innsbruck afin de lancer la campagne sur Vienne. Notre espion, qui a lié langue avec quelques maitresses de généraux à Vienne, apporte alors des informations navrantes : la marche sur Vienne ne pourra se faire tout de suite, l’ennemi s’est considérablement renforcé. La fenêtre de tir n’a duré que quelques jours, trop peu pour que l’on puisse agir. ![]() La garnison de Vienne comporte apparemment une partie des troupes présentes auparavant aux confins de l’empire autrichien. Si l’on rajoute les milices qui se lèveront automatiquement en cas d’attaque, cela fait une défense d’au moins 15.000 hommes. Sans compter les unités adjacentes, et la présence des premières forces russes que nous observons dans la région, en la personne du Maréchal Koutouzov. Rodo 1er revient enfin de Paris, où il ne sera resté qu’une nuit « Je préfère aller combattre jusqu’à Moscou que rester une heure de plus à la Malmaison avec Josephine » l'Autriche va prendre pour Joséphine. L'Empereur reprend le commandement de ses unités, désormais entièrement soignées, en y rajoutant de nombreux renforts arrivés de France : les grenadiers-à-cheval de la Garde du colonel-major Bravlyon, les dragons d’Auvergne du capitaine Otto Amable Grandpieds, le 2éme escadron des dragons du colonel Griffon, ainsi que pléthore d’infanterie de ligne. Masséna garde 5.000 hommes dans le Tyrol tandis que l’armée de Rodo, forte (enfin !) de prés de 10.000 hommes, commence le siège de Venise. ![]() La ville tombe rapidement avec des pertes plutôt minimes côté français (1.500 morts) tandis que, outre de la milice, l’Autriche aura encore perdu de la cavalerie. Viendra bien un moment où ils n’en auront plus, à ce rythme ! Les Vénitiens demandent la mise en place d'un Protectorat, l'Empereur fait encore mieux : Venise est adjointe à notre Empire. La nationalité française, ça n'a pas de prix. On dispose dés lors de plusieurs possibilités. Soit les Autrichiens réagissent et tentent de reprendre Venise, où ils se casseraient les dents. Cela permettrait à Masséna (même s’il nécessite encore des forces supplémentaires) de traverser le Tyrol au nord et de se diriger vers Vienne de nouveau dégagée. Soit les Autrichiens tentent un coup de main sur Innsbruck, et cette fois c’est Rodo lui-même qui pourra traverser la Vénitie pour assiéger la capitale. Et bien sur, une troisième solution envisagée : des Autrichiens ne réagissant pas. Cela permettrait alors de distraire un certain nombre de troupes pour, enfin, s’emparer de Prague. L’idée étant de ramener le maximum de provinces à l’Empire avant que les Autrichiens ne demandent des négociations lorsque leur capitale, logiquement, tombera. Pour distraire un peu leurs forces, on signe des accords d’échange avec les Ottomans, à prix d’or qui plus est. Dans la foulée, on signe une alliance militaire avec eux – l’Autriche devra donc protéger toutes ses régions sud contre une éventuelle invasion ottomane. Puis nous parvient un rapport alarmant : ![]() Les Anglais ont débarqué en terre de Hanovre, et en force ! Sir James Basileon Coelio, Sir Peregrine Aheuc, Sir Leaz Marlborough, a n’en pas douter, doit se trouver là l’élite de l’armée britannique. Qu’a-t-on en face ? Quelques canons, de l’infanterie légère, des milices ... « Nous tiendrons ! » s’exclame Rodo. Qui est en charge de la place ? Tout le monde se tait, seul un petit nouveau, le lieutenant Amaris, venu engueuler une des lavandières de l’Etat Major, ose répondre : « c’est Bernadotte » L’Empereur accuse le coup. « Alors tout est perdu … » L'adjudant-commandant Moradim s'emporte "Ah les salopards ! Mers-El-Kebir ne leur a donc pas suffit ?!" Silence consterné sous la tente. Le capitaine Flump vient le tirer par la manche "Tu t'es trompé d'AAR" Les ordres sont lancés. La garnison tiendra autant qu’elle peut, pas longtemps certainement. Davout quitte Paris avec quelques troupes pour rejoindre Murat et sa cavalerie au nord de Strasbourg. On traversera les micro-Etats allemands pour aller sauver Hanovre. Roro 1er tient conseil avec ses officiers supérieurs. On n’a trop longtemps sous-estimé le danger britannique. Qu’on lance les réquisitions adéquates à Paris, Lyon, Marseille et Toulouse ! S’ils prennent Hanovre, on suivra le conseil du colonel Maximus, une armée ira saigner la garnison de Gibraltar. Un courrier part pour la Galice. L’escadre atlantique ne doit plus se soucier des navires de commerce anglais et remonter jusqu’aux Cornouailles… |
#10
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Très bel aar (comme d'habitude
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And so he spoke, and so he spoke, that lord of Castamere, But now the rains weep o'er his hall, with no one there to hear. "Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?" ![]() Citation:
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