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#17
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J'ai rejoué un peu à cette partie.
![]() Hiver: Globalement calme, je réorganise mes lignes, continue tout doucement de moderniser et compléter mes troupes les plus sensibles et je fais tourner à fond la presse à soldats. ![]() ![]() ![]() Pendant ce temps là les français et les anglais règlent le problème italien et débarque en Provence avec un certain succès, ils réussissent à occuper Grenoble et Toulouse mais ce front n'occupe qu'une petite dizaine de divisions de chaque cotés. Fin mars/début avril: Le dégel est en vue! Les allemands et les roumains profitent de la situation pour lancer une puissante offensive contre Odessa, la puissante garnison local n'insiste pas et se replie en bon ordre de façon à pouvoir lancer de grandes contres-offensives face à un ennemi qui avance en ordre dispersé, la ville changera une dizaine de fois de propriétaire jusqu'en mai, à l'avantage final des soviétiques. Pendant ce temps le reste du front est cette fois paralysé par la boue, le rapport de force à ce moment est de l'ordre de 1 pour 1,2 soldat à l'avantage de l'Armée Rouge mais les allemands ont un très net avantage qualitatif. L'écart en terme d'efficacité et d'organisation s'est réduit pendant l'hiver (GDE à 0.73 et 142 points d'organisation sur une division d'infanterie classique) et je commence à toucher les évènements de bonus (et de malus...) de Barbarossa. Les VVS sont en grande forme et maintiennent leur net supériorité. Le niveau de préparation de mes forces est bon même si certains groupes sont loin d'avoir récupéré leur niveau de force et que la moitié du front sud est indisponible (combats d'Odessa) la Heer a souffert de mes bombardements, surtout dans le nord (assez désorganisée au nord de la Daugava) mais reste puissante dans le centre et le sud. Fort de ses constats, ma stratégie sera donc celle de l'offensive à outrance; l'objectif de ce printemps 1941 n'est ni de résister ni de reconquérir le territoire perdu mais de briser la Wehrmacht par une série de grandes offensives contre ses points faibles et de contres attaques systématiques. Le rôle de l'aviation restera le même, pas de soutien mais de l'attaque au moindre mouvement ennemi et sur ces arrière quand il ne bouge pas. Avril: Une grande offensive nord est lancé au nord dès que le terrain redevient praticable pour griller la priorité aux allemands. ![]() ![]() Mai/mi-juin: Les allemands contre attaque violemment au nord et reprennent Daugvpils pour un temps, cette action a finalement pour effet d'augmenter le nombre de troupes ennemis dans le "hachoir géant" de la région. ![]() Si à l'est les opérations sont dans la continuité de celle d'avril et que les choses bougent peu, la situation est tout autre à l'ouest ou l'offensive de Provence est entrée dans une nouvelle phase, les alliés percent et se répandent dans toute la France, Paris est reprise début juin et Turin tombe dans la foulée. Les allemands alignent environ 220 divisions dont une vingtaine blindées. Fin juin/juillet: Au nord la saillant est complètement réduit fin juin et les troupes soviétiques se réorganisent, l'objectif de l'opération est totalement atteint la Wehrmacht est saignée à blanc et n'est plus capable de la moindre action dans le secteur. Mais étrangement, c'est le sud qui verra son effondrement lorsque les allemands voudront reprendre Krivoï-Rog en engageant toutes leurs forces et toutes leurs réserves du secteur alors que leurs effectifs sont réduits depuis l'envoi de renforts au nord, je suis une fois de plus contraint de céder temporairement, mais libérer de toutes contrainte à Odessa et au centre je lance le gros de mes forces du secteur contre Balta et Tcherkassy sur les flancs de l'ennemi qui cèdent rapidement, provoquant la destruction de 10 divisions (dont deux blindés) "fraîches" à Krivoï-Rog et la mise en déroute d'une dizaine d'autre. Le front sud n'est plus continu et se disloque, en moins de deux semaines la moitié de la Roumanie est conquise et elle capitule, l'Armée Rouge se répand rapidement dans les plaines ukrainiennes en écrasant les faibles forces allemandes en garnison ou en mouvement dans la zone, Kiev est reprise mais les allemands utilisent leurs ultimes forces "fraîches" disponibles au centre (45 divisions dont 12 blindés) pour lancer une puissante offensive contre Priluki pour essayer de "retourner le front" mais ils sont finalement repoussés faute de soutien du reste de leur force dans le secteur (et par un engagement massif de ma part pour sauver la situation ![]() La Norvège (satellite de l'Allemagne) est annexé par le Royaume-Uni suite à la prise de Narvik par l'Armée Rouge. Début aout: La Wehrmacht a pratiquement cessé d'exister, elle est morte debout, broyée dans les combats du nord et du centre et balayée par un usage massif de l'aviation en attaque au sol. Au premier août elle ne compte plus que 180 divisions d'infanteries et 20 divisions blindés squelettiques, alors qu'une quarantaine de divisions franco anglaise l'envahit à l'ouest et qu'à l'est j'en engage environ 320. Mes pertes ont bien évidemment étés très lourdes mais contrairement à l'IA allemande je pouvais me les permettre, elle s'est laissée engagée dans une série de bataille très couteuse et n'a pas été capable de contrer mon aviation. J'ai pris l'initiative et lui ai imposé mon jeu. Je ne serai probablement pas à Noël à Berlin, mais y arriver pour le printemps me semble réaliste, reste à savoir si j'en délogerai le Fourreur ou les anglais. ![]() Dernière modification par Maurice Morisson ; 11/10/2009 à 22h36. |
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