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Mais puisqu'on est dans le chipotage je dirais alors que Britannicus fut un Cesar né dans la pourpre [/chieur]
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![]() [20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
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#2
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Superbe début, calme, presque reccueilli... mais on sent venir l'orage. Beau caractère d'archiatre, sage, honnête, intelligent, digne pendant de l'âme d'élite que fut Marc Aurèle
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
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#3
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Chapitre 2 : De l'entourage néfaste de Commode, à commencer par Schnickeon le Proxénete
Le Triomphe qui accompagna le retour de Marc Aurèle fut à la hauteur de l’événement. Le Vieux Prince n’avait eu de cesse de fouler les Marches des l’empire afin d’y ramener la paix, et le Peuple Romain, pour qui rien n’importe plus que la stabilité, lui en était profondément reconnaissant. Ni les invasions germaines, ni les velléités Parthes, ni les menaces de divisions en Egypte n’avaient pu ébranler l’assurance de César, et son retour à Rome lui laissait espérer un cours répit, la possibilité de se retirer à l’abri du reste de la cour pour continuer à écrire ses Pensées, un recueil destiné à l’usage privé et dont il me lisait parfois quelques extraits. Le vieux Monarque faisait ainsi preuve envers moi d’une tendre amitié, acceptant de me tendre des textes dont l’encre n’avait pas encore eu le temps de sécher, afin de recueillir mon avis. Point d’arrogance là dedans, ni même ce que certains auraient pu considérer comme vanité et orgueil royal. Marc Aurèle n’était pas de ceux là, il ne recherchait pas la flatterie de son entourage mais aimait à partager les idées, les opinions, et ne jugeait jamais un avis moins intéressant qu’un autre. Hé j'ai une idée les mecs! Si on ruinait la population pour construire un arc de triomphe inutile ? Ah ouais, trop top ! Aussi, ce que je vis du Triomphe me déchira le cœur et raviva une plaie que je ne cessais de camoufler depuis plusieurs mois. Voir cet homme au firmament de l’Humanité se montrer si humble, le voir descendre du char sur lequel il s’était placé pour avancer à pieds, comme n’importe lequel des hommes qui avaient combattu avec lui durant toutes ces années, tout le long de la procession et sous les acclamations de la foule…le voir avancer, si généreux dans sa volonté de ne pas paraître plus qu’il n’était, tandis qu’à ses côtés, Commode était toujours perché sur le char et espérait ainsi recueillir les fruits d’une épreuve qu’il n’avait pas vécue… Pour nombre d’entre nous, le message lancé par Marc Aurèle était double : s’il voulait qu’on ne le considère que comme un homme parmi les autres, comme le Prince Philosophe comme il aimait à s’appeler avec une certaine ironie, il souhaitait également que les Romains s’habituent à voir en Commode un véritable successeur, nonobstant sa jeunesse, son inexpérience et son arrogance qui transparaissaient déjà. Marc Aurèle était fatigué par ses nombreuses années usée à l’exercice du pouvoir, et l’occasion était trop belle pour ne pas nous préparer à une prochaine succession. La nomination avait été proposée et approuvée, et Commode allait d’ici quelques jours être élevé Consul à 17 ans, là ou les Lois stipulaient que les citoyens devaient avoir au moins 33 ans. Le fruit que même Auguste, alors âgé de 20 ans, n’avait pu décrocher lors de la chute de la République, Commode allait s’en emparer sans avoir prouvé une quelconque valeur. L’attitude était très étrange venant de Marc Aurèle, dont le respect de la légalité, la sagesse des décisions et l’intérêt du bien commun faisaient office de vertus depuis qu’il avait été destiné à l’Empire. L’explication était en partie personnifiée par certains des hommes qui participaient au cortége, un peu en recul par rapport à l’Empereur et son fils : Schnickeon, un Grec tout comme moi, ainsi que Julius Sentencius, un centurion qui avait brillé lors des batailles en Germanie mais dont je connaissais malheureusement la face cachée, bien moins avouable, et dont je vous entretiendrais plus tard. Deux hommes qui allaient lourdement influer sur le cours des événements, comme ils l’avaient fait par le passé. Lorsque nous avions quitté Rome, en 169, ces 2 hommes m’étaient encore parfaitement inconnus. Schnickeon devait végéter quelque part aux environs d’Athènes, exerçant les tâches les plus rustres qui soient, et sa réputation avait réussit à le suivre lorsqu’il avait rejoint notre colonne dans le courant de l’année 175. Chassé de la métropole grecque après plusieurs affaires sanglantes ayant trait à des prostituées qu’il entretenait avant de les louer aux plus offrants contre certains secrets, Schnickeon avait rejoint notre lente colonne qui s’était ébranlée hors des forêts de Germanie avec comme destination la Syrie. Mon Dieu qu'il est veule ! Ce Schnikeon n'est qu'une graine de communiste... Nous ne partageons pas les mêmes saucisses ! Marc Aurèle, qui sortait tout juste d’une longue maladie qui avait faillit l’emporter, avait été rejoint par Commode, qui venait tout juste de revêtir la toge virile et espérait ainsi, se sentant enfin Homme, pouvoir enfin commander à des troupes. Commode et Schnickeon, tous les deux poussés au lucre et aux bassesses de la vie, s’étaient aussitôt entendus comme larrons en foire, sous le regard absent de César. Marc Aurèle, tout à la tâche de la gestion d’un Empire, n’avait pu déceler dans l’entourage de son fils ceux qui l’amenaient sur la pente de la méchanceté et du vice. Il faut dire que César, encore affaiblit pas la maladie dont j’avais pu le sauver in extremis, avait toutes ses pensées tournées vers la Syrie, l’Egypte et l’homme qui tourmentait son esprit depuis que nous avions du quitter la Germanie : Avidius Cassius, l’un de ses généraux en charge de l’Egypte, et qui venait de s’autoproclamer Empereur en ce mois de mars 175. Alors l'Egypte, c'est simple : vous traversez le Bosphore au feu rouge, puis c'est tout droit aprés 3.000 km, vous pouvez pas vous tromper ! Ce n’était pas la première fois qu’en diverses provinces de l’Empire, des généraux saisissaient leur chance et, se faisant acclamer par leurs troupes, partaient à la conquête de Rome et de l’univers. Si certains avaient eu les moyen de leurs ambitions, la plupart avaient vu leurs prétentions se terminer dans le sang, comme Galba et Vitellius peu après la disparition de Néron. Avidius Cassius s’était il inspiré de Vespasien, le général en exercice en Judée qui avait pu s’emparer de l’Empire en 70 et restaurer la stabilité ? Avidius, dont le commandement était bien proche de celui de Vespasien cent ans plus tôt, tentait-il de s’inspirer de son célèbre prédécesseur ? Je l’imagine traversant les mêmes pièces, observant les rainures du sol et la patine du marbre amplifiée par le siècle écoulé, cherchant des yeux l’ombre des empreintes du général qui lui servait de modèle… Toujours est-il que peu après notre victoire sur les tribus germaines des Quades et des Marcomans, nous était parvenue l’annonce de la trahison d’Avidius Cassius. Au lieu de rentrer à Rome, après 5 ans d’absence, Marc Aurèle décida de porter la guerre en Egypte afin d’en finir avec les prétentions d’Avidius. La famille impériale était largement représentée puisque Marc Aurèle était accompagné de l’impératrice Faustine, toujours à ses côtés, ainsi que de Commode, qui comme on l’a vu nous rejoignit alors que nous traversions la Grèce. Nous n’avions pas une idée exacte de l’étendue de la rébellion en Egypte, en Syrie et en Cappadoce, mais le spectre de la guerre civile, tant abhorrée par les Romains, était de retour. Du simple soldat, calant son pas sur celui de ses voisins, aux décurions, des centurions jusqu’au généraux entourant Marc Aurèle, tous, y compris nous, civils accompagnant l’expédition, avions à l’esprit qu’une nouvelle fois, des frères allaient s’entretuer, des familles se déchirer, que Rome allait faire couler du sang romain. Même 5 ans plus tard, j’ai encore à l’esprit le bruit sourd de ces 4 Légions foulant les routes macédoniennes, cette longue colonne vouée à la mort et la destruction. Ouais, bon, sur les 4 légions, y'a peut être 1 déserteur ou 2 ! Non, 3, je ne crois pas... Non... Dernière modification par marlouf ; 10/04/2008 à 18h33. |
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J'ai encore le beau rôle
![]() Qu'est ce que vous avez contre les saucisses, c'est important les saucisses !
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![]() http://schnick.labrute.fr Seule une femme peut vous consoler d'être moche. [Benoît Poelvoorde] |
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Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
![]() :foule de jeunes pucelles en délire devant leur Héro Mâle, leur star testostéronée préfée : marlouf l'AARiste!: ![]() ![]()
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
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Chapitre 3 : Du jeune autiste au puissant commerçant, ou l'épopée de Chazam le Grec
C’est peu avant la traversée du Pont et notre arrivée en Asie que j’eus le bonheur de retrouver mon jeune frère Chazam, dont la distance et mes occupations auprès de la famille impériale m’avaient privé de la compagnie. Je lui avais envoyé un message lui faisant part de notre passage à proximité de la Grèce, ayant le vague espoir qu’il pourrait peut être nous rejoindre. C’est néanmoins avec une grande surprise que le messager revint au bout de quelques jours accompagné d’un homme portant un long manteau à capuche le protégeant de la poussière soulevée par les chevaux. Quand il souleva la capuche pour me montrer son visage rieur, j’éclatais de joie et attendais qu’il descende de cheval avant de sauter dans ses bras. Lui dont le souvenir m’avait laissé l’image d’un tout jeune garçon renfermé sur lui-même était devenu un jeune homme aventureux au contact facile, aimant à découvrir le Monde et s’émerveillant encore de tout. Les quelques jours durant lesquels il suivit la même route que nous ont marqué mon esprit puisque, 5 ans après, je m’en souviens toujours comme l’un de mes derniers moments de pur bonheur, avant que les événements liés à la famille impériale ne mettent un terme à ma douce quiétude. Nous passions les journées à discuter du passé, et de notre enfance dans les faubourgs d’Athènes. Chazam était le fruit du remariage de notre mère, ce qui expliquait la sensible différence d’âge entre nous. Enfant rieur et éveillé, il était tombé rapidement dans le mutisme le plus total après le décès soudain de notre mère suite à une maladie qui l’emporta au bout de quelques semaines, événement qui nous marqua bien plus que nous ne l’aurions admis en public. Je me dirigeais rapidement vers la médecine, science portée au statut d’art dans le Péloponnèse tellement la découverte et la lutte contre les maladies avaient acquis ses lettres de noblesse avec les médecins grecs. Une maison sur 2 étages, des voisins fortunés, 2 chars garés dans la cour... toi, tu es médecin ! J’étais assez inquiet lorsque j’embarquais pour le Latium puisque Chazam ne semblait toujours pas remis du choc, mais le destin sait parfois se montrer clément, plaise aux dieux. Malgré la proximité de la mer, que l’on pouvait voir des hauteurs de l’Acropole, les différents ports d’Athènes avaient perdu de leur superbe depuis la colonisation des Romains, et le Pirée avait même été complètement détruit par le tristement célèbre Sylla. Le général romain s’y comporta comme il le fera quelques années plus tard à Rome, commandant des exécutions sommaires, envoyant de vielles familles athéniennes en esclavage et détruisant – espérait-il – tout une partie du panhellénisme. Avec la perte de ses ports les plus prestigieux, le déclin d’Athènes fut irrémédiable, et il fallu plus de deux siècles pour que le commerce par voie navigable revienne en force dans la région. C’est aussi avec un plaisir certain que je voyais Chazam sortir de son mutisme et scruter, les yeux ronds comme des soucoupes, les navires de l’est accostant au Pirée et y déversant tous les trésors de l’Orient, tandis que les cales des bateaux pour l’ouest étaient remplies de marbre rosé et de statuettes finement travaillées, afin d’accroire un peu plus le luxe des édifices romains. Je savais en embarquant sur l’un de ces bateaux que Chazam avait certainement découvert ce qui le sortirait de son apathie. Du plaisir, j’en avais aujourd’hui, alors qu’il me narrait ses différents voyages à travers la Méditerranée, lui qui était devenu un commerçant sans peur, n’hésitant pas à aller taquiner du Parthe pour obtenir des soies plus fines, ou s’enfoncer au-delà des déserts Egyptiens pour ramener des trésors de Nubie. Il ne lassa d’ailleurs pas de m’étonner quand j’appris qu’il était à l’origine de cette mode actuelle des poupées africaines travaillées dans du bois rare et que l’on retrouvait dans les mains de tous les enfants de la haute société romaine : l’idée lui en était venu au contact des familles de mercenaires koushites. La chute du sesterce a fait des esclaves un valeur refuge, oui, c'est sur ! Et lui de m’expliquer un peu plus qui étaient tous ces peuples, de me parler du grand chaudron romain en ébullition, des tentatives impériales pour écraser les cultures par une incorporation très parcimonieuse de leur culture, comme pour mieux les combattre. Chazam avait décidemment bien changé : lui à qui l’on ne pouvait pas faire décrocher un mot était désormais un expert en populations indigènes. Je regardais ce jeune homme, me demandant si réellement le même sang nous unissait, moi le médecin suivant une cohorte impériale sans réellement exercer sauf à de rares occasions, et lui le commerçant aventurier qui autrefois se fondait avec les murs d’Athènes, et dont aujourd’hui le nom de Chazam le Grec était connu aussi bien aux sources du Nil que sur les hauts plateaux d’Arménie. Plus dangereux surtout, les idées de mon frère sur la grandeur de la Grèce ancienne et l’autonomie des peuples frisaient dangereusement la sédition. Les mouvements d’indépendance étaient une perpétuelle épine plantée dans l’orteil de Rome, et l’Empire se devait de les gérer avec célérité. Je savais en bon médecin qu’une minuscule blessure, a priori insignifiante, pouvait amener si elle n’était pas traitée à une nécrose pouvant emporter le sujet. Il en était de même pour Rome, et si les quelques 30 Légions réparties à travers l’Empire avaient vocation à empêcher toute intrusion extérieure, elles étaient politiquement là pour empêcher tout heurt intérieur. La meilleure preuve en était l’expédition à laquelle je participait pour restaurer l’ordre en Syrie et en Egypte face au général Avidius Cassius, et qui une fois de plus dans l’Histoire de Rome opposait la terre natale du Latium et son pouvoir central, face aux anciens Royaumes d’Orient. Répartition des Légions Romaines. Elles seront au nombre de 30 sous le principat de Marc Auréle Enfin alors que nous commencions à traverser l’Anatolie, après la traversée du Bosphore, Chazam nous quitta afin d’embarquer pour la Judée, où il espérait arriver rapidement afin d’y conclure des affaires. Je l’introduisais peu avant son départ auprès de la Cour, à commencer par Marc Aurèle, qui lui prêta un intérêt réel. Commode lui laissa une impression extrêmement mitigée, surtout quand Chazam reconnu à ses côtés Schnickeon. Le tableau qu’il me dressa sur l’ancien proxenéte athénien était encore bien plus sombre que les échos que j’avais eu jusque là. L’homme était retord, avide d’argent, et n’hésitait devant rien pour acquérir la moindre once de pouvoir. Un homme extrêmement dangereux, me confia Chazam – et j’aurais malheureusement le privilège de m’en rendre compte par la suite. Finalement Chazam croisa également l’impératrice Faustine, le temps de quelques instants, mais ce qu’il me glissa après l’entretien me glaça le temps, lui qui n’était là que depuis quelques jours et rencontrait cette Cour pour la première fois. Avait-il saisi les regards rapidement glissés, l’intonation de voix peut être un peu trop mielleuse, avait-il pu analyser tout cela aussi rapidement tout en connaissant la réputation de croqueuse d’hommes collant à la peau de Faustine ? Toujours est-il qu’il me fit remarquer que coucher avec la femme de César n’était pas être aventurier, mais suicidaire. Je n’essayais même pas de nier ce que lui avait pu découvrir en l’espace de quelques minutes, me demandant uniquement où ma tête roulerait si l’affaire était découverte par d’autres. Le regard que me coula Chazam avant d’embarquer pour la Judée me laissa dans un état de tristesse contrastant avec les derniers jours, tel un voile venant ternir les joies passées. Chazam l’avait pressentit, et dans son regard on lisait tout : Parmi ceux qui avaient tout, je m’étais mis dans une situation inextricable et excessivement dangereuse. Comme l'homme se rendant aux vespasiennes et tombant dans l'orifice, je me retrouvais, littéralement, dans la merde. ![]() Allez rentre bien, de toute façon on se refait une bouffe dans quelques années !? |
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étonnant qu'il ne vende pas des saucisses !
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#8
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C'est la loi du marché, la saucisse n'est pas encore assez côtée
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Mad, dans ton dernier post, je ne vois pas les illustrations 1 et 3. Suis-je le seul ?
Superbe, mais où ai-je mis ma b..., je veux dire ma tête... (terme, mal venu aussi, vu que les citoyens romains - et un aussi éminent médecin est nécessairement citoyen romain - sont exécutés par décapitation) Sinon, une petite incohérence (à moins que ce cher Otto Grandpieos aime beaucoup la seconde épouse de son papa - il semble aimer les femmes un peu blettes, Faustine ayant fait un nombre horrifique d'enfants à son empereur de mari - ) : il parle de sa mère à propos d'une personne qui ne peut d'évidence être que sa belle-mère...
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
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#10
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Effectivement j'ai moi même aujourd'hui un probléme avec les 3 premiers screens (sur 4, c'est un peu chiant )
Il y a de bons hébergeurs d'images autres que imageshack ? (je me doute que la question a déjà été souvent posée )Sinon je confirme, Otto, que Chazam et toi êtes bien nés de la même mére (suite au décés accidentel du premier mari, mais je ne rentre pas dans les détails, ça ferait un peu trop Côte Ouest )Quant à Faustine, malgré le nombre de mioches qu'elle a enfanté (12 ou 13 pour Marc Auréle, de mémoire ? ), elle était (semble t'il) réputé pour son côté couche-toi-là (autre cause, la couche impériale, ça se refuse difficilement sous certaines conditions )
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