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Vieux 18/09/2007, 09h08
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Situation du royaume en 1587:

Malgré un développement très rapide par la conquête des mines d'or d'Afrique et de multiple vassalisation des pauvres peuples vivant dans ces contrés reculé de l'océan indien, Frise était à la traine des autres royaumes européens.

La vente des centres de commerces de Tombouctou et de Zanzibar avait bien permit de développer notre royaume mais cela ne faisait que ralentir notre déchéance, aucun grand conseiller n'arrivait à notre cour, et nous n'avions pas comme les mercenaires de l'Est, l'or des ibériques.

Au milieu des turpitudes notre royaume du Nord avait réussi à garantir son intégrité religieuse, après l'arrivé des protestants dans le royaume, plus rien ne se passa, nous furent les seuls à ces latitudes reculées a conservé au sein de notre cour, la bonne foi catholique, mais aucun récompense divine ne venait...

Une guerre sans que ni tète:

Lorsque notre Duc reçu la nouvelle de la déclaration de guerre envers Venise sous un motif des plus vils, et qui n'était plus d'actualité, comme Malacca avait été donné aux français.
Pourquoi alors la guerre?!
Notre Duc tenu par les accords qu'il avait tenu avec le Doge se résigna à la guerre, avec les maigres forces qu'il avait, qui venait de revenir des terres australes.

La plus grave déception fut la trahison de l’Empereur, laissé passer les barbares sur ses terres pour aller piller nos terres ! Notre Duc fut atterré, et pendant plusieurs jour fut prit d’une dépression ayant des problèmes techniques en plus de cette crise.

Nous fumes le premier état à recevoir l’attaque de la coalition, les Polonais pauvres bougre sans honneur dévalèrent sur notre royaume, telle l’ordre des Huns, pillage, massacre, viol, enflammèrent nos provinces du Nord.

La poussé fut t’elle que notre très cher Hendrik Casimir II fut obliger de quitter notre très cher capitale Groningen pour se réfugier dans les Flandres à l’abris du glacis du Rhin pour préparer la reconquista!
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Vieux 18/09/2007, 21h20
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1578 – 1586. La voie du Juste





Alors que l’acte de vente des centres de commerce d’Eora et de Zanzibar allait être signés, Mary II s’effondra comme une masse et ne se releva plus jamais . L’histoire retiendra que cette grande Reine apporta deux centres de commerce à la Glorieuse Angleterre et oubliera qu’il s’en fallut de peu qu’elle ne els revende peu après. Son successeur, Edouard V, annula en effet immédiatement la vente : Eora et Zanzibar resteront Anglais pour l’éternité .



Le nouveau Roi avait un objectif : intégrer l’Ecosse à la mère patrie. Diplomate habile, il passa des mois et des mois à convaincre le conseil d’Ecosse que là était son salut. De nombreuses caisses d’or apportaient plus de poids à ses propos. Tout cela en vain . Au quatrième échec successif, le Roi se leva de son trône, rouge de colère, hurla et vociféra comme jamais et s’effondra finalement, terrassé par tant d’ingratitude.



Son fils, Edouard VI, lui succéda et fit passer aux oubliettes ce projet d’intégration de l’Ecosse : son objectif, c’était les prévôtés. Grâce au soutien financiers de riches mécènes, que l’Angleterre remercie au passage , 40% du territoire se vit doté de ces nouvelles infrastructures en quelques années seulement. Un centre de commerce apparut au sein de notre empire colonial d’Amérique : tout allait pour le mieux !



C’est alors que le riche ploutocrate obèse qui monopolisait les ¾ des richesses du monde se leva de son trône et, soufflant, s’exclama : « Ola, le Vénitien, tiens toi à l’écart du centre de commerce de Malacca, je le réserve pour mon sbire Polonais. Allez, mes braves, haro sur le baudet ! ». Et le ploutocrate de lancer en riant grassement un sac rempli d’or sur le Doge éploré qui hurlait en vain ses bonnes intentions : ce fut immédiatement la curée. La meute hurlante se précipita, avide de récupérer les quelques pièces lancés par le riche ploutocrate, avide de planter ses crocs dans la douce chaire de la malheureuse victime afin d’évacuer la rage qui les habitait de savoir qu’ils n’étaient plus que des laquais du riche ploutocrate . Un jour peut-être auront-ils le courage de se retourner contre leur maître et de gagner un butin 100 fois plus riche que les misérables piécettes lancés par leur maître ! Un jour peut-être se souviendront-ils qu’ils étaient jadis libres et avaient le cœur pur, avant de vendre leur corps et leur âme au riche ploutocrate, par peur très certainement.


Mais l’heure de la rédemption ne semblait pas pour maintenant et le Doge criait de plus en plus fort : il jeta loin de lui la maigre pitance qu’il avait gagné et qui avait attiré contre lui tant de charognards, espérant par là sauver sa noble peau. Le Roi de France, habile footballeur (qualité que ses ancêtres ne retrouveront jamais ), intercepta le butin et le fit sien. Qu’à cela ne tienne, la meute poursuivait ses attaques et le riche ploutocrate ne cessait de rire toujours plus fort : pour quelques pièces, infime goutte d’eau dans l’océan de ses richesses, il venait de se débarrasser, fort peu glorieusement certes, d’un souverain qui avait refusé de se vendre à lui, renforçant par là même encore plus son pouvoir déjà inégalable et se rapprochant toujours plus de la domination universelle dont il rêvait secrètement .


Le cœur tendre, doux et aimant du Roi d’Angleterre se serra : il ne pouvait laisser pareil massacre se dérouler sans intervenir. Le Doge était de plus son allié de longue date. Londres se jeta dans la mêlée sans hésiter un seul instant, tout en ignorant pas que c’était sans espoir : juste une victime de plus pour la meute . Mais pour certains, l’Honneur a encore une signification. Beaucoup de souverains ont vendu le leur au riche ploutocrate, mais le Roi d’Angleterre ne brade pas son Honneur. Noblesse oblige. La Frise et, surtout, la France puissante décidèrent à leur tour de s’interposer, mais comment ces preux pourront-ils à eux seuls repousser la meute, excitée par les sacs d’or que le riche ploutocrate lançait partout autour de lui afin d’éloigner les envieux de sa colossale richesse, acquise en dépouillant le reste du monde ?


L’Histoire retiendra que devant le danger et la lutte sans aucun espoir, l’Angleterre n’a pas hésité, attitude à comparer avec ceux qui ont préféré se laisser acheté : la défaite oui, mais l’Honneur sera sauf ! Honneur, Justice, Intégrité ! God Save The King !

Dernière modification par Danton ; 18/09/2007 à 21h42.
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Vieux 21/09/2007, 14h11
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L'incursion en Pologne d'Osman II

La guerre qui éclata en 1587 entre les les principaux empires Européens s'annonçait
sanguinaire.

Osman II y vit un moyen de faire entrer l'Ottoman de plein pied sur la scène Européene et
s'affirmer comme un interlocuteur de poids à l'Est. Comme ses prédécesseurs, il était
persuadé que l'Ottman devait affirmer sa position vis-à-vis de ceux qui l'avaient longtemps
ignoré.

Lorsque la Pologne changea de camps devant les proposition de gain faites par le
talentueux monarque français le conflit sembla prendre une autre tournure. Les EMpire
Colonniaux Ibériques et leur alliés Autrichiens semblaient devoir passer à la défensive.
L'Autriche se retrouvait soudain entourée d'ennemis.

Le Sultan qui avait imaginé, dans un temps, entrer en guerre contre la Pologne. En effet
imaginer que ses trois grands voisins s'entendent, tenait du couchemard pour le Souverain
Turc. Il fallait empêcher cet axe de se développer à tout prix et surtout l'empêcher de se
renforcer. Le retournement de la Pologne rassura le Sultan qui voyait à nouveau
Autricheins et Polonais s'affronter et ainsi le cauchemard d'une Triplice aux portes de la
Turquie disparaitre.

Néanmoins, Le sultan n'abandonna pas l'idée d'une opération contre la Pologne, il se
souvenait que cette dernière avait participé au depeçage des Terres Tartares du nord et
voyait ici une bonne occasion de faire payer ce vieil ennemi.

Dans le même temps, la mise en échec de la Pologne permettrait d'éviter qu'un voisin de
l'Empire se renforce et à coup sûr renforcerai les relations avec Vienne, seul allié potentiel
dans la région.

L'arrivée des émissaires Ibériques promettant une participation de ces derniers aux frais
de guerre acheva de convaincre le Sultan qui envoya ses puissants Janissaires mettere à
sac la POlogne.

Les généraux pestèrent contre ce Sultan ambitieux qui déclarait une guerre alors que seul
18000 Soldats étaient dans leur casernement le reste de l'armée franchissant a peine le
Tigre après l'opération contre l'Empire Ming. Les effectifs Ottomans

étaient encore affaiblis par les dures conditions de vies dans les Steppes orientales et le
tiers des effectifs devaient être reconstitué soit environs 30000 hommes.

Heureusement, la Pologne était elle aussi découverte et les 18000 hommes initiaux pures
avancer en Pologne et contenir les contres- attaques de 12000 à 15000 Cavaliers Polonais
le temps que 30000 Hommes les soutiennent et que quelques troupes des vassaux
Ottomans rejoignent lle thératre d'opération.

La Campagne fut sanglante mais vu la Pologne se cantonner à retarder l'implacable
avancée des Janissaires qui disposaient d'une supériorité écrasante. Tout le Sud de la
Pologne y compris Cracovie qui vu l'entrée du Sultan en vainqueur. Lorsque ces
adversaires vinrent demander la paix le Sultan fut clément car conscient que cela n'était
qu'une victoire stratégique et que son ennemi s'était battu avec vaillance. Ainsi réclama-t-il
l'abandon des prétentions Polonaises sur la Transylvanie sont vassal et le versement d'une
indemnité symbolique de 50 ducats.

Cette victoire stratégique marquait l'entrée de plein pied de l'Ottoman dans la diplomatie
Européene.

L'ere de l'Ouverture pouvait commencer

__________________
J'acheterai tout dit l'or...
Je prendrai tout dit l'épée...
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  #4  
Vieux 21/09/2007, 23h24
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Les ploutocrates écrasent les ingrats




Alors que la lutte semblait sans issue, le Roi de France, de nature fourbe et perfide , réussit à convaincre la Pologne de changer de camp: les Preux semblaient enfin avoir une petite chance, non pas de vaincre, le rapport de force restait bien trop en leur défaveur du fait de la non préparation de certains , mais bien d’obtenir le match nul… Espoir qui allait voler en éclat avec l’intervention Ottomane dans les plaines de Pologne.


Puissance navale et coloniale, l’Angleterre allait laisser, comme prévu, le théâtre européen à ses alliés et se charger de trois tâches colossales qui allaient demander, pour pouvoir être menées à bien, un investissement énorme de la part de Londres, bien supérieur à tout ce que ses alliés allaient probablement engagés :

-Défendre les possessions Asiatiques de l’ensemble de la coalition, véritable talon d’Achille de celle-ci puisque l’Angleterre, Venise, la Pologne et la France possédaient là de trop nombreuses provinces très peu défendues et notamment des colonies, qui allaient être dérobées par le Portugal . Pour assumer cette tâche colossale, il n’y avait que l’Angleterre : la flotte de Venise, présente en Asie, était constituée uniquement de galères, qui ne pouvaient offrir le moindre résultat. Les troupes Françaises, elles, ne couvraient que moins de 10% des possessions de la coalition et étaient incapables de protéger le reste, faute de supériorité navale.

-Défendre les possessions Vénitiennes d’Amérique du sud. Pour cela, il fallait amener des renforts et donc disposer d’une flotte capable de s’aventurer au milieu des océans hostiles, balayés par les redoutables marines de guerre Ibérique. Là aussi, seule l’Angleterre semblait capable de mener cet exploit à bien.

-Contester la totale domination navale des Ibériques, qui leur offrait un avantage inimaginable sur tous les fronts, Européens et non Européens. De tous les membres de la coalition, seule l’Angleterre semblait disposée à se saigner aux 4 veines pour essayer cela : pour le bien commun, Londres n’a pas hésité un seul instant.



Acte I. La guerre en Asie



Dès le début des hostilités, toute l’attention de Londres, se porte comme prévu sur l’Asie : le général Daniel Sauders livre une farouche bataille contre les Portugais qui se lancent à l’assaut en Australie.





L’arrivée in extremis de renforts permettra de remporter la victoire et la contre-offensive commence, victorieuse, mais se heurte très vite aux renforts Portugais : plus de 30.000 soldats se disputent désormais l’Australie. Londres a ainsi déjà atteint son premier objectif : la défaite de la garnison Portugaise a amené Lisbonne à précipiter en Australie toutes ses troupes d’Asie. Les colonies Vénitiennes, Anglaises, Françaises et Polonaises sont sauvées pour le moment !


La lutte reste cependant indécise, Anglais et Portugais prenant l’avantage à tour de rôle : il devient évident pour les deux pays que le vainqueur sera celui qui amènera le premier des renforts supplémentaires. Une victoire Portugaise en Australie et c’est tout le front Asiatique qui est perdu .


Le 6 février 1588, une bataille navale décisive a lieu au large des côtes Australiennes : de son issue dépendra le sort de la guerre sur ce front. Les effectifs engagés seront maigres, mais l’importance de la bataille n’échappe à aucun des deux protagonistes, qui refusent d’abandonner malgré l’augmentation vertigineuse des pertes. La flotte Portugaise est plus nombreuse et, surtout, bénéficie de l’avantage technologique . La Royal Navy contrebalance à peine ces avantages par une supériorité numérique en navires de guerre.





La boucherie cessera un mois et demi plus tard : 95% des flottes Anglaises et Portugaises ont sombrés, c’est un match nul qui laisse Anglais et Portugais incapables de reprendre la lutte pour la victoire en Asie. L’intervention des flottes Espagnoles et Françaises aurait permis de relancer les hostilités sur ce front, mais ces deux pays avaient le regard tourné vers l’Europe. Néanmoins, l’Angleterre, et la coalition avec elle, pouvait s’estimer satisfaite : le talon d’Achille Asiatique était sauvé .



Acte II. La balance penche du côté des ploutocrates



En application totale de ses plans de guerre, communiqués à Paris, l’Angleterre se lance alors sans compter dans son seçond objectif : contester la domination navale totale des Ibériques, à peine secouée par la neutralisation mutuelle des Anglo-Portugais en Asie. Un immense effort de construction navale est lancé, les chantiers tournent à plein régime, le royaume s’endette : rien n’est trop cher pour assurer la victoire de la coalition. En un peu moins de deux ans, la marine de guerre Anglaise, déjà importante, augmente de 40% ! Le trésor royal est vidé pour des années, mais Londres est décidée à remplir sa part du contrat au sein de la coalition : le domaine naval, ce sera notre affaire.


Malheureusement, les coalisés, eux, ne rempliront pas leur part du marché. Bousculés en Europe, ils sont de plus en plus acculés à la défaite et en viennent à nous appeler à l’aide, en désespoir de cause. Résultat, le troisième objectif Anglais, aider Venise en Amérique du sud, doit être retardé : nos régiments passent en France et sur les colonies Françaises d’Amérique du nord.


La surprise sera double. Dans le sud de la France, où l’Espagne a percé, aucun combat et les régiments Anglais restent des mois entier en soutien, prêt à venir aider les plus de 50.000 Français qui sont maintenus sur ce front… Mais qui ne bougeront pas d’un iota. Et c’est pour contempler les épouvantails amorphes Français qu’on nous a appelé et que nous avons retardé notre offensive en Amérique du sud ??? En Amérique du nord, grande satisfaction de Londres, les Français bougent et ne cessent d’appeler à une offensive commune. Mais ils semblent se tromper de côté et ne cessent de s’enfuir toujours plus loin à l’est, vers les possessions Anglaises et non pas Espagnoles…


Les appels à l’aide du Doge devenant de plus en plus pressant, les troupes Anglaises stationnées en France se mettent en mouvement : les épouvantails amorphes de France promettent de soutenir notre percée périlleuse vers l’Italie mais, comme lors des batailles de Pensacola jadis, les promesses Françaises ne seront pas suivies d’effet. Plus de 15.000 soldats Anglais se heurtent aux Impériaux en Suisse, sous le regard passif des hordes Françaises adjacentes, qui ne bougent pas le plus petit orteil. Ce sera l’inévitable défaite, mais l’Angleterre parviendra néanmoins à rejoindre l’Italie, où le Doge est en grand péril. La coordination Anglo-Vénitienne se déroulera, elle, au mieux et les deux pays n’hésiteront jamais à lancer leurs troupes au combat.


Les Impériaux reculent et, voyant le gros du travail accompli, les troupes Françaises se ramènent enfin. L’espoir d’un match nul en Italie renaît, mais trop brièvement : la Pologne est écrasée et l’Empereur ramène ses troupes. Pire, des armées Espagnoles et Portugaises entrent à leur tour dans la guerre : mais pourquoi ne sont-elles pas engagées sur le front des Pyrhennées ? Celui-ci serait-il totalement amorphe, comme certains le prétendent ? Cette bien étrange passivité scelle en tout cas le sort de la guerre en Italie : c’est la déroute.



A suivre…

Dernière modification par Danton ; 22/09/2007 à 14h47.
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  #5  
Vieux 22/09/2007, 12h07
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Acte III. La course contre la montre



La double défaite de la coalition, en Italie et dans les plaines Polonaises, rendait l’issue de la guerre de plus en plus certains et des voix s’élevaient pour réclamer la fin de celle-ci. L’Angleterre, qui depuis le début s’était lancé dans le conflit dans une optique de guerre longue, se trouvait à l’avant-garde de ceux qui souhaitaient poursuivre la lutte, et le Doge, fidèle allié, décida de rester à nos côtés, malgré une situation de plus en plus difficile. La France, dont le potentiel, sous-utilisé, était toujours en grande partie intact était elle aussi favorable à continuer le combat. Hâtivement, la Royal Navy prit la route des Amériques pour débarquer les trois vagues prévues pour aider le Doge. La situation en Amérique du sud était telle que Londres du renoncer à d’abord débarquer toutes ses hordes puis seulement lancer l’offensive de reconquête : la première vague fut immédiatement envoyée dans la fournaise. La bataille fut acharnée et des milliers de soldats Anglais et Portugais tombèrent ce jour là, mais ce fut une défaite .



Qu’a cela ne tienne, cette première vague allait se refaire en attendant l’arrivée des deux vagues suivantes : les moyens de transport de la Royal Navy était en effet limité, la priorité ayant du être donnée aux navires de guerre, l’Angleterre étant le seul membre de la coalition à tenter de contester la domination navale totale des ploutocrates. La tâche qui reposait sur les épaules Anglaise était vraiment immense, et Londres l’assumait sans recevoir aucun soutien des royaumes ingrats .



Les ultimes renforts navals rejoignirent enfin la Royal Navy, qui embarquait une vague supplémentaire pour le Brésil : l’heure de la chasse allait enfin pouvoir être lancé ! Nos fiers navires de guerre, construit à très grands frais, allaient pouvoir s’abattre tel l’aigle royal sur sa proie terrorisée. Et c’est à ce moment précis que les ploutocrates usèrent de la crédulité des ingrats pour obtenir une paix généralisée : la Pologne vaincue voulait la paix et comme elle était chef d’alliance, ce fut un jeu de domino. Tant d’efforts pour en arriver là. A Londres, la frustration était immense : notre coûteuse machine de guerre avait été stoppée en plein élan .



Comment expliquer la déroute des royaumes ingrats ? Une telle défaillance ne pouvait naturellement venir que de la France, pivot de la coalition en Europe. Assurément, le Roi de France du sentir que ses alliés allaient lui demander des comptes, aussi il s’empressa de lancer un écran de fumée pathétique en pointant du doigt l’Angleterre. Mais personne ne fut dupe, si l’Angleterre avait parfaitement remplis ses objectifs ( et les aurait remplis bien mieux si elle n’avait pas été appelée sans cesse et sans raison valable aucune par un Français trouillard et paniquard ) , il n’en était pas de même pour la France, que nous avions du tirer de force vers l’Italie : sans la courageuse intervention Anglaise, aucun soldat Français ne serait jamais venu aider le Doge, les immenses armées Françaises préférant rester l’arme au pied sans bouger face au front Espagnol, à attendre une très hypothétique offensive Ibère. Et pendant ce temps, Madrid et Lisbonne, rusés, laissaient un écran de fumée devant le Français et expédiaient le gros de leurs troupes pour soutenir l’Empereur...

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  #6  
Vieux 22/09/2007, 12h51
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"Pardonnez-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font"






La guerre qui avait des plus mal commencé pour Frise prit un tour nouveau avec le retournement des polonais ! La France avait réussi à faire battre en leurs cœurs l’appelle de la chevalerie ! Mais le conflit ne s’annoncé pas des plus facile tout de même, l’empire avec ses armées importantes et ses réserves de troupes, continué toujours d’être un adversaire plus que coriace, avec un duché de Frise, sans réserve de conscrit à envoyer, une république de Venise devant se battre sur 2 fronts, l’aventure était des plus risqué, mais l’honneur nous obligeait à nous battre !



Frise avait prévu de continuer à renforcer ses forces tranquillement avant de passer à l’attaque mais l’empressement offensif des polonais nous obligea à passer à l’offensif dans la région du Hanovre, nos faibles forces ne pouvaient peser lourdement sur la balance et la campagne fut un désastre, nos armer même numériquement supérieur ne firent que des dégâts que faible sur les armées autrichiennes.



L’entré en guerre des ottomans contre la Pologne mit fin à tout espoir de notre coté, sans la Pologne que pouvions nous faire ? Venise était débordé, la France faisait face aux Ibères !



La dernière grande offensive dans à travers les alpes lancées par les Anglais, avec le soutien des forces françaises démoralisé par leur dernière défaite, et notre cavalerie a bout de souffle, ne put changer le court de la guerre, nous avions perdu !



Frise avait apprit une leçon lors du conflit, le Duché serait prêt à répondre à la prochaine guerre ! Le Duché devait sortir de sa léthargie coloniale pour se refixer sur le continent !

Les néerlandais combattront pour l’honneur et la gloire !
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