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Vieux 22/10/2005, 12h11
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Hitler décrète la 3e vague de la mobilisation de masse de l'armée allemande le 12 octobre. Alors que cette information qui nous provient directement du centre de décryptage de Cracovie est annoncée à l'état-major, l'ambassadeur soviétique se permet de nous faire remarquer que désormais le Komintern luttera également contre l'Allemagne. Un rapide coup d'oeil sur la carte stratégique révèle que la seule frontière de la dite alliance avec son ennemi se situe au Danemark. Si la mobilisation du peuple soviétique porte ses fruits, il se pourrait bien que nous ayons une aide massive pour notre front Nord. Mais pour le moment, il semblerait plutôt que la Scandinavie ne dispose pas de troupes sur place, toute son armée étant en manoeuvre dans le Svealand. La directive belliciste émanait donc sûrement du maître du Kremlin, auquel doit importer bien peu le sort de la population civile danoise, probablement bientôt sous le joug allemand.


Encouragée par cette nouvelle heureuse, notre armée entame son offensive sur Berlin. La capitale du Reich subit dès le 15 octobre 1938 le tir des pièces polonaises. Très maigrement défendue au départ, seule la garnison et une division de cavalerie semi-motorisée assurant la défense, l'OKW se rend rapidement compte de la menace qui pèse sur toute son économie de guerre au cas où le centre d'infrastructure et industriel le plus important du Reich tomberait. 7 divisions sont donc amenées en renfort, et force est de constater que l'avancée polonaise ne se fait plus qu'avec une lenteur extrême. Deux armées bien fournies engagées en même temps surchargent quelque peu les capacités de commandement et de coordination de notre général.


Malheureusement, une terrible nouvelle vient nous heurter pendant cette phase décisive du combat contre l'hydre nazie : la Hongrie rejoint les rangs de l'Axe ! Bien qu'étant une puissance militaire négligeable, le royaume hongrois porte un coup fatal à la stratégie de défense tchécoslovaque, qui s'axait sur les puissantes fortifications des Sudétes et des offensives à objectifs limités. L'armée tchécoslovaque ne peut soutenir une défense sur deux fronts face à un ennemi aussi puissant que l'Allemagne. À terme, c'est donc tout le flanc Sud de notre front qui risque d'être sans protection. Nous préférons ne même pas penser à une entrée en guerre de la Roumanie (qui s'adonne activement au commerce de céréales et de pétrole avec le Reich) aux côtés de l'Axe. Notre propagande a bien du mal à rassurer la population.


L'offensive qui avait amené les Tchécoslovaques et les Autrichiens jusqu'a Nuremberg est coupée net. Il semblerait que désormais, le Reich ait beaucoup moins de mal avec 2 de ses 4 fronts Nord, Sud, Est, Ouest). La Wehrmacht reprend du mordant et lance des contre-offensives dans toutes les directions. Heureusement, peu de troupes supplémentaires arrivent au Nord-Est, notre axe d'avancée principal. L'OKW à l'air de vouloir tout concentrer sur le Sud, pour prendre les territoires autrichiens qu'il revendique), bousculer la Tchécoslovaquie (pour laquelle la guerre à été déclenchée), et finalement nous déborder complètement sur notre flanc Sud, alors laissé sans protection. Pour passer les Sudètes, la Heeres-Gruppe Süd a 60 divisions à disposition. Espérons que les Tchécoslovaques tiendront !


Après la prise de Stralsund au Nord, le maréchal Rydz-Smigly peut mener une offensive sur deux flancs pour faire tomber Berlin. Les troupes d'élite de notre patrie peuvent enfin prendre part au grand combat ! Ces troupes de montagne, richement équipées en artillerie lourde moderne, font des ravages sur le champ de bataille. Avec ses nouvelles mobilisations, le Reich s'est crée de grands problèmes logistiques, encore accentués par les barrages d'artillerie sur les chemins de fer menant à Berlin. La bataille pour cette ville culmine ...



Après près d'un mois de combat, la 10e armée, complètement désorganisée et à peine apte au combat, est retirée de la bataille, tandis que 12 divisions venues du Sud prennent sa place dans cet affrontement de titans. Sous la pression extrême qu'impose la guerre, nos techniciens finissent par développer de nouveaux machines-outils, largement plus efficaces que les précédents. Notre production industrielle grimpe de 15%. Et bien que Breslau soit retombée aux mains des nazis, les Tchécoslovaques tiennent aisément leurs fortifications à 1 contre 4. Nos troupes de cavalerie motorisée tiendront désormais le front Sud, en espérant que leur mobilité compense une puissance qui ne sera de toutes façons pas assez imposante pour faire refluer la masse des divisions allemandes. Puissent-ils résister, et Berlin tombera !



Le matin du 22 novembre, après plus d'un mois de combats acharnés, les hommes du bataillon de pionniers de la 1ère divisions d'infanterie purent enfin s'infiltrer dans une brèche qu'avaient laissés les SS de la garde personnelle du Führer. Voilà deux jours qu'ils n'avaient pas dormi, deux jours qu'ils subissaient régulièrement le barrage de mortiers que les unités de la garnison de Berlin dirigeaient systématiquement sur eux. Mais le moment était arrive ! Couverts par deux Bren qui avancaient lentement dans les décombres, ils atteignirent un des endroits les plus secrets du Reich : la bunker du Führer. Personne ne savait si le grand tyran en personne s'y trouvait, s'il allait surgir un fusil à la main pour les empêcher de pénétrer dans son bureau. Plus que quelques pas, et les voilà près de la lourde porte blindée. Un ordre fusa : "Charge creuse !" , et un jeune soldat de la région de Przemysl emboita le pas à l'adjudant-chef, un lourd objet à la main. Développée par lesPzInz quelques mois auparavant, cette nouvelle arme s'était déjà souvent révélée être de la plus haute efficacité face à de massives fortifications. Quelques minutes plus tard, une fois la charge installée et les hommes mis à l'abri, une détonation monstrueuse retentit : il ne restait rien de la herse menant au château du Suzerain ...
Avec anxiété, les hommes du 3e peloton s'osèrent dans les entrailles du bunker ... Découvrant peu à peu l'immensité de ce bâtiment qui semblait désert, les 1er et 2ème pelotons suivirent, pour enfin appeller le reste du bataillon à les rejoindre. Les quelques bougies amenées, seul moyen d'éclairage à l'intérieur de la bête, vacillèrent au bruit tonitruant d'une sirène d'alarme. Le major était vert de peur, il se doutait de ce qui allait suivre, et de la folie qu'il y avait à amener 600 hommes dans un endroit "fermé". Le PC de la 1ère division ne put qu'enregistrer un fantastique bruit d'explosion au centre de la ville, et la perte du bataillon des pionniers. Quelques heures plus tard, une délégation d'officiers allemand demanda à rendre les armes, ce qui leur fut immédiatement accordé. Malgré cet amer épisode, l'euphorie de la prise de Berlin dominait les coeurs. L'opération avait réussi !!!


La ville de Berlin offrait un point de départ merveilleux pour des offensives en toutes directions, et l'avancée au Nord comme au Sud de la ville en fut grandement accélérée. Cependant, les maigres troupes de défense en Slovaquie avaient cédés face à la pression de l'armée hongroise, qui y était réunie en totalité. La perte de Przemysl, alors que les combats faisaient rage à Cottbus, porta un sérieux coup à l'optimisme qui dominait à l'état-major depuis que le drapeau polonais flottait sur la porte du Brandebourg. Par miracle, les Hongrois ne semblaient pas décidés à violer la souveraineté de toutes les terres polonaises sans défense qui s'offraient à eux. Des problèmes logistiques, des offensives autrichiennes et l'héroïque résistance des Tchécoslovaques semblaient trop les occuper.
Nous ne demandions pas mieux, heureusement qu'il n'y a pas de Guderian dans l'armée hongroise !

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  #2  
Vieux 22/10/2005, 13h05
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Avec l'URSS en guerre, l'Allemagne ne risque pas d'avoir ses mobilisations de 1941 (avec troupes de niveau 41 ) ?

Sinon tu pourrais nous mettre le tableau des forces militaires des belligérants.
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"Le bon général a gagné la bataille avant de l'engager."
Sun Tzu, L'art de la guerre
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  #3  
Vieux 22/10/2005, 13h57
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L'Allemagne a mobilisé déjà quelques-unes de ses 9 vagues. Je ne crois pas qu'elle en recoive plus dans sa guerre contre l'URSS, en tous cas je n'en ai rien vu !

Euh sinon les tableaux des forces, beeh heu, les troupes alliées sont restée à peu près pareilles que dans le tableau déjà montré, et les Allemands atteignent tout doucement les 100 divisions. Les Hongrois ont toujours le même nombre de divisions.
En fait j'ai pas trop pris de screens de comparaison des forces avec ces Allemands qui mobilisent tout le temps
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  #4  
Vieux 24/10/2005, 13h10
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Cette erreur majeure de la part des Hongrois nous permet de nous tourner vers un objectif audacieux : les Allemands, occupés de toutes parts à prendre les fortifications tchèques des Sudètes, offrent un flanc bien dégarni à nos troupes qui leur font face. Jusque là, rien de transcendant, l'armée polonaise a beau être idéale et appropriée à des offensives de choc, elle ne peut pas exploiter une brèche s'étalant sur tout un front, faute de réserves. C'est bien là le talon d'Achille de notre armée : nos troupes suffisent tout juste à tenir le front, la moindre percée ennemie peut être fatale à toutes nos troupes ! La menace hongroise au Sud qui peut reprendre de vigueur à tout instant en est le meilleur exemple ... Mais dans ce cas particulier de la ligne de front de Cottbus, il se dégage une chance toute particulière : encercler les Allemands à Breslau ! 10 divisions protègent Cottbus (ou plutôt, se ruent vers Liberec, mais enfin ...), à l'assaut !






Une semaine après ces offensives, nous apprenons que l'OKW exerce une pression monstre sur les Hongrois pour que ceux-ci reprennent leur avancée en Pologne. Le Feldmarschall von Bock est envoyé sur place avec un état-major allemand pour prendre les choses en main. Nous avons beau n'avoir besoin de l'industrie de notre patrie, il serait intolérable que Varsovie tombe aux mains de ces tyrans ! Une armée qui manquera sévèrement à la pointe de l'offensive est envoyée sur place reprendre Cracovie (qui produit 143 unités de charbon l'air de rien). Nous écraserons ces misérables envahisseurs et leurs forces maigrelettes !


Notre armée reprend du mordant, mais les Tchèques refluent d'Allemagne ! La 9e division motorisée allemande parvient même à encercler quelques divisions ennemie à Regensburg ... Tout ce que nous avons réussi à atteindre ces dernières semaines semble vaciller :


Mais que font-donc les Français et les Anglais !!!?!! Les nations slaves sont saignées à blanc par les combats monstrueux qui secouent tout le continent, et les poilus ne font qu'écouter la radio et chasser le lapin ! Lvov et Zamosc tombent au main de l'ennemi, les fortifications tchèques de Liberec cèdent après 2 mois de combats contre un ennemi quatre fois supérieur en nombre, et 74 divisions françaises dorment à la frontière ! La Pologne et la Tchécoslovaquie n'ont elles pas prouvées qu'elles sont dignes d'être sauvées ? Désormais notre armée doit cesser toute offensive en-dehors du territoire polonais, car les Tchécoslovaques ne peuvent plus tenir Prague seuls, et une annexion du pays signifierait la fin de tout espoir d'une issue heureuse de cette guerre pour nous. Les régiments de cavalerie motorisée sont envoyés déloger les Allemands des Sudètes avant que ceux-ci ne s'y installent trop. L'Autriche elle aussi subit de graves revers, et la chute de Vienne semble imminente.


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  #5  
Vieux 25/10/2005, 17h20
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Mais que l'IA porte mal son "I" !!!!!

C'est pas l'IA mais la "CA" qu'il faudrait l'appeler ...

Par ce que voir la France rester immobile ainsi, si c'est pas de la connerie hein

Enfin, je fais confiance au génie de von Aasen pour voir la Pologne vaincre tous ces fachos... seule.
Bon courage
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  #6  
Vieux 25/10/2005, 19h01
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Peut etre peut tu prendre le commandement des troupes francaises ?
Et les italiens, ils ne seraient pas motivés par hasard ?
Bon courage et si jamais ca tourne court, alors laisse les allemands ou les hongrois percer jusqu'a la frontiere russe, ils vont aimer la contre offensive sovietique...
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
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  #7  
Vieux 26/10/2005, 15h42
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Ah oui les Français au bout d'un certain temps j'en ai eu marre, et après la prise de Berlin par mes troupes ça me paraissait vaguement réaliste de prendre le commandement de leurs troupes (enfin, y m'a fallu un certain temps avant de me décider, vous verrez ça dans le prochain épisode )

L'Italien, lui, est très content avec ses possession dans l'Adriatique et ne bouge le petit doigt pour personne.

Malheureusement, les Soviétiques ne peuvent attaquer l'Axe que sur mes territoires qui sont à leur frontière, sans pouvoir pénétrer dans mes frontières (pas d'alliance ou de droit de passage), l'effet est donc limité
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  #8  
Vieux 13/11/2005, 17h09
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Le 15 janvier 1939, c'en est fini de l'Autriche. Le gouvernement conservateur-social est conduit dans les boits environnant Vienne, forcé de signer le traité d'annexion et fusillé. Les Hongrois ont fait courte mesure, ils ont pris assez longtemps pour acculer les troupes de montagne autrichiennes à la défaite ! Le front principal de la Hongrie est anéanti, son armée peut donc maintenant se concentrer sur notre belle Pologne ...
Situation dramatique s'il en est ! Le maréchal Rydz-Smigly ordonne sitôt deux opérations d'encerclement des troupes allemandes. Plus une seco
nde ne peut être perdue !



Le Royaume-Uni nous annonce en février que la plupart de ses troupes sont maintenant prêtes, mais que vu le risque qu'il y a à les utiliser en Europe continentale, elles serviront à sécuriser les colonies et les îles mères. Ca c'est un allié !


De nos espions dans l'état-major allemand, nous apprenons que Hitler, réfugié en Bavière dans un réduit alpin, est entré dans une rage folle à l'annonce des offensives polonaises. Il nomme un certain Rommel, jeunot sans grande expérience jusque là dans la Wehrmacht, célèbre seulement pour sa capture d'un fort italien lors de la 1ère guerre mondiale, à la tête des troupes allemandes de la Ruhr. Celui-ci, en un rien de temps, isole les éléments polonais bien trop dispersés, écrase les arrières et les lignes de communication, et enfin profite du système centralisé de l'état-major polonais pour encercler de manière fulgurante une armée Lublin en pleine retraite. Le commandement polonais se rend bien compte que les forces de la Pologne ne pourront pas renverser seules cette situation désespérée !


Des télégrammes sont envoyés partout : Paris, Londres, Prague, Ottawa, Moscou, Stockholm ... Paris nous répond qu'ils ne peuvent rien envisager avec la ligne Siegfried, Londres parle de manque de navires pour évacuer, Prague ne peut promettre qu'une offensive de délestement, Ottawa ne répond même pas, Moscou promet de l'aide sous forme d'appui aérien et de quelques sous-marins pour chasser la Kriegsmarine, Stockholm lance une offensive sur Lübeck pour permettre d'envisager une libération.
L'inactivité de nos plus grands alliés et la célérité de Rommel aura pour conséquence la perte d'une de nos armées. Bien sur, la propagande précisera bien qu'il s'agissait là d'une armée composée aux 2/3 de miliciens, mais personne n'est dupe, et tout le monde se rend bien compte qu'il s'agit là d'un rude choc pour notre armée.


L'état-major est furieux, voilà nos plans sérieusement compromis ! Et comme si ça ne suffisait pas, Guderian fait avancer son infanterie à un rythme fou vers .... Danzig ! Toutes nos troupes en Allemagne (c'est-à-dire l'ensemble de nos forces à l'exception d'une armée en Silésie) sont menacées d'encerclement !

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  #9  
Vieux 13/11/2005, 18h20
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Avoue... Tu le fais exprès de perdre, hein? T'as trop l'habitude de jouer l'axe!
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Bon... J'ai peut-être fait quelques petites concessions...
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  #10  
Vieux 13/11/2005, 18h34
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Je pensais être lavé de tous soupçons depuis la prise de Berlin



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