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Machine : AS400 IBM
Language : RPG IV ERP : JDE Software (racheté par peoplesoft qui a été racheté par ORACLE) ![]() un petit historique wiki à noter que JDE software est l'ancetre de ONEWORLD J. D. Edwards From Wikipedia, the free encyclopedia (Redirected from J.D. Edwards) Jump to: navigation, search J.D. Edwards, also called JDE, is a software company founded in March 1977 in Denver, Colorado by Jack Thompson, C.T.P."Chuck" Hintze, Dan Gregory and Ed McVaney. The company made its name building accounting software for IBM minicomputers, beginning with the System/34 and /36, focusing from the mid 1980s on System/38 minicomputers, switching to the AS/400 when it became available. Their main AS/400 offering was called JDEdwards WorldSoftware and is popularly called World. In 1996, J.D. Edwards also launched a client-server version of their software called OneWorld. The company's official name was J.D. Edwards World Source Company and it is located at One Technology Way, in Denver, CO 80237. JDE was bought out by PeopleSoft in 2003. PeopleSoft, in turn, was purchased by Oracle Corporation in 2005. ================ Le serveur Application System/400 (plus connu sous le nom d'AS/400), puis de iSeries et enfin de System i5, est un mini-ordinateur de la gamme IBM. Qu'il s'agisse d'AS/400, de iSeries ou de System i5, l'ensemble des serveurs de cette famille est désormais nommé System i. L'AS/400 a été commercialisé le 21 juin 1988, il sera renommé eServer iSeries en 2000 puis System i5 en 2004 avec l'arrivée des modèles pourvus de processeurs POWER5. Les serveurs System i sont utilisés par près de 240 000 entreprises à travers le monde[1]. Ils intéressent principalement les PME et les sites atomisés des grands groupes. // Histoire [modifier] L'histoire de l'AS/400 et du System i remonte à la fin des années 1960 avec Frank G. Soltis. Ce dernier travaille sur un système basé sur une technologie nouvelle. Il présente son projet à la direction d'IBM le 8 janvier 1970. Cette nouvelle architecture devra remplacer l'actuel System/3. En 1972, sous le nom de projet "Future System", la conception du System/38 (S/38) débute avec à sa tête Frank G. Soltis, Dick Bains et Roy L. Hoffman. Ces derniers définissent les cinq concepts fondamentaux du S/38, qui deviendront plus tard ceux du System i (ex AS/400). En 1973, la direction d'IBM donne son accord pour la réalisation du S/38 avec l'annonce officielle le 24 octobre 1978. Son système d'exploitation se nomme CPF (Control Program Facility), il ne prendra le nom de DB2 que bien plus tard. La première mouture du S/38, assez rudimentaire, sort en juillet 1980. Il faut attendre 1981 pour voir la version finale. Malgré des débuts prometteurs, le S/38 rencontre quelques problèmes de mise au point. Entre temps, le System/36 (S/36) est apparu (mai 1983). Il s’agit d’un autre mini de la gamme IBM mais avec une architecture beaucoup plus conventionnelle. L’équipe chargée de la mise au point du System/38, basée à Rochester dans le Minnesota, poursuit le développement de son système et décide d’y intégrer d'autres innovations. Avec l’accord de la direction, elle lance en novembre 1985, le projet Silverlake (du nom d’un lac de Rochester : Silver Lake). Il doit permettre à IBM de mettre sur le marché un serveur encore plus novateur que le System/38 et qui devra également remplacer le System/36. Le projet Silverlake est le début officiel de l'AS/400. Il découle directement du System/38, mais il sera plus fiable et sensiblement amélioré. Lors de sa sortie le 21 juin 1988, son système d'exploitation, l'OS/400 ou XPF (eXtended control Program Facility), sera une très forte évolution du CPF (système d'exploitation du System/38) auquel on aura agrégé l'équivalent de 3 versions. Le nom du projet aurait dû être System/40 (S/40), mais la direction a préféré montrer qu'il s'agissait d'un serveur sensiblement plus évolué en le nommant Advanced System (AS). De plus, la branche PC d'IBM souhaitait réserver pour ses besoins, les chiffres inférieurs à 100. C'est pourquoi, il a été convenu d'ajouter un 0 au chiffre 40 et l'on a obtenu AS/400. Ces changements de dénomination ne cachent aucun changement majeur. Certe, en terme de hardware, la machine est plus petite, consomme moins d'électricité, n'a plus besoin d'air conditionné, mais le système d'exploitation est sensiblement identique. Le changement majeur va apparaître en 1995 avec le passage d'une architecture CISC à une architecture RISC et l'abandon progressif du bus SPD pour un bus PCI. La naissance des eServer puis iSeries verra apparaître la possibilité de « découper » plusieurs machines logiques (ou « machines virtuelles ») dans une machine physique. Puis, enchaînement logique, il est désormais possible de faire tourner d'autres systèmes que l'OS/400 sur ces machines logiques appelées partitions logiques. Ainsi aujourd'hui un « System i5 » peut supporter des partitions i5/OS, Linux ou AIX grâce à son hyperviseur. Le serveur i5 est également capable d'héberger des serveurs x86 sous Linux, Windows ou VMWare ESX (courant 2007) via les technologies IxS, IxA ou iSCSI. VMWare ne sera supporté que sur iSCSI. IBM a renommé ses machines iSeries puis System i5 mais la plupart des informaticiens, des utilisateurs et des SSII continuent, à tort, à parler d'AS/400... Le langage de développement rapide, d'origine issu de l'IBM 34, portait initialement le nom de GAP, pour Générateur automatique de programmes (RPG en anglais, pour Report Program Generator). Bien que concurrencé par la version iSeries du langage Cobol, le GAP était largement diffusé sur ce système OS/400. Considérablement amélioré sur AS/400, il y prit le nom de GAP/400 (RPG/400). Pour de plus amples renseignements sur le langage RPG, se reporter à l'article Générateur automatique de programmes. Avec l'apparition du processeur RISC, une nouvelle version du RPG est venue s'ajouter au RPG400. Il s'agit du RPG IV qui permet désormais la programmation orientée objet et la programmation visuelle. |
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