World In Flames

[Danton]

Il faudrait d'abord que j'arrive à prendre des photos correctes

Les screens sont tellement mauvais que j'ai fort hésité à les mettre... J'en ferai de nouveau la prochaine fois ( le jeux n'est pas chez moi)


Septembre / Octobre 1939. Guerre !


7 impulses, dont 4 de beau temps et 3 de pluie.

Le Reich déclare la guerre à la Pologne et lance ses hordes blindées contre les malheureux Polonais, pilonnés à Lodz et Varsovie par une Luftwaffe en très grande forme : la capitale est vite partiellement encerclée, mais résiste victorieusement au premier assaut allemand. Le camarade Staline, inquiet pour l’avenir de ce pays qu’il convoite au moins autant que le Führer, le poignarde froidement dans le dos , s’appropriant dans la foulée les trois Etats Baltes, tout cela dans l’indifférence la plus totale du peuple Américain qui, décidemment très partial, hurle par contre au scandale quand le Reich déclare la guerre au Danemark et à la Hollande ( à ce rythme, les USA pourront entrer en guerre début 1941 ). Mobilisation des réserves Françaises, Anglaises et Allemandes.


Copenhagen, Varsovie et Amsterdam finissent par tomber, le haut commandement anglais abandonne ses plans d’intervention en Hollande et débarque plus conventionnellement à Calais, à la rescousse de l’allié Français ( l’accueil est en effet très chaleureux : les Anglais sont en effet autorisés à venir, mais en nombre réduit… Note de l’auteur : à WIF, Français et Anglais ne coopérent pas pleinement, Londres doit donc respecter certaines contraintes). Au passage, Londres récupère la quasi-totalité de la flotte marchande néerlandaise et Danoise, ainsi que la moitié de la marine de guerre ( le précieux transport Hollandais est par contre coulé par la Luftwaffe ). L’armée Française, face à l’évidente passivité Italienne, quitte en masse les Alpes, Georges en tête, et retourne sur le front nord : la diversion n’aura guère duré. Toute tentative d’alignement de la Yougoslavie par les alliés semble à écarter.

La pluie s’abat enfin sur l’Europe, stoppant l’élan germanique. Mais le Reich ne dort que d’un œil et sort ses sous-marins de Kiel, au grand désappointement des alliés qui espéraient les intercepter en mer ( une erreur d’appréciation qui ne se renouvellera pas) : un vaste convoi est repéré et attaqué par surprise au large des îles Féroés, c’est le carnage ( 4 convois coulés ) et les lignes d’approvisionnement anglaises sont mises à mal. La flotte marchande Danoise ( qui était basée en Islande) vient combler les pertes, sous bonne escorte cette fois. Le redéploiement allemand d’est en ouest commence, mais ne s’achève pas.



Dans le pacifique, Terauchi ouvre le bal avec un violent assaut contre Si-An : les pertes chinoises sont effroyables, mais la ville tient bon et les survivants sont réorganisés par Mao. Des erreurs de communication du haut commandement nippon rendront impossible tout nouvel assaut, qui aurait été sans nul doute victorieux ( grosse boulette de ma part ). Yamamoto, lui, débarque à Canton et se lance dans une vaste offensive, soutenue par l’aviation et les gros cuirassés nippons le long des côtes. Les Chinois sont une fois de plus balayés et décident d’effectuer un repli, abandonnant sans combattre une ressource au Japon. Au nord par contre, pour soulager un peu la pression qui pèse sur Si-An, Mao lance sa cavalerie et manque de peu la capture de Péking, renforcé d’extrême justesse par un corps de marine nippon. Il s’approprie à la place une ressource nippone de Manchourie. Inquiet, Umezu quitte Harbin et rallie par rail Port-Arthur : il faut stopper ces pouilleux affamés ( la cavalerie chinoise est hors ravitaillement).




Conclusion du tour 1. Les combats en Chine nous ont à tous deux laisser des regrets : pour l’allié, les pertes ont été beaucoup trop lourdes ( surtout que le Japon n’a perdu qu’une division) et le front sud peut-être pas assez défendu, pour l’axe, c’est l’occasion perdue à Si-An. En Europe, satisfaction germanique : les pertes ont été infimes, l’ordre nouveau a conquis trois pays et donné un premier coup de semonce aux convois anglais. Seul point sombre : l’US Entry.


Des partisans nationalistes apparaissent en Inde et privent l’Angleterre d’une ressource : l’armée Impériale Japonaise se fera un plaisir, un jour, de libérer ces malheureux de l’oppression anglaise . Malgré un Us Entry probablement déjà élevé, les USA ne prennent aucune mesure pour le moment ni contre le Japon ni contre l’Allemagne.