Déclaration impériale de l'Autriche :
A tous les souverains d'europe, et plus particulièrement les souverains Anglais, Espagnols et Portugais.
L'empereur tient a rapeller certaines évidences suite a la déclaration française.
Le royaume d'Autriche et les Provinces unis sont alliés depuis leur création, c'est donc tout a fait légitimement que les princes d'Oranje nous ont suivis dans cette guerre. En éffet nous sommes unis par les liens du sang et de la guerre, et le roi de France ose dire que les bataves sont responsables de la guerre ?
Qu'on se le dise haut et fort, Louis XIV doit être bien sôt pour penser que les alliance ne sont là que pour décorer. Chez nous, les princes des habsbourg d'Autriche recoivent une éducation stricte qui mentionne bien que la diplomatie ne doit guère être ignorée, et que les traités d'alliance sont aussi solide que le roc. Peut être que chez les Bourbons l'on enseigne la perfidie et le non respect des règles de sang, allez savoir.
Ainsi il n'est pas de déclaration de guerre de la part de la Hollande, il n'est qu'honneur pour eux d'avoir respecter leur engagement.
Dans tout les cas, notre légitimité n'est pas a remettre en cause, ni sur les terres que nous occupons actuellement, ni sur les terres que nous réclamons. Celles-ci appartiennent a l'empire et nul ne saurait s'en emparer sans représailles de notre part.
Nos diplomates ne sont pas allez vers Paris car nous considerons que cette guerre n'en est qu'a son balbutiemment, si le roi de France esperait gagner sans combattre il se leurer !
Malheuresement pour la paix en europe nous nous voyons obliger de continuer la guerre sans quoi la légitimitée de l'empereur et l'integritée de l'empire coureraient de grave danger. Mais que le roi d'Angleterre se rassure, il n'est nullement notre intention que de porter la guerre au delà de la frontière franco-autrichienne.
Par ailleurs nous ne menaçons perssone de repprésailes car nous comprenons l'horreur que la guerre cause chez certains. Il est tout a fait normal de vouloir limiter cette dernière.
Ainsi parla Léopold Ier de Habsbourg, de la voix de son chancellier Leazberg.