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Vieux 07/06/2006, 15h13
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Petite histoire du Portugal : 1506-1520

Tout alla pour le mieux dans notre petit royaume de 1506 à 1512 environ. En effet, pendant cette période, notre développement économique se poursuivit constamment, des colonies furent construites, des marchands envoyés... Pour renforcer notre puissance commerciale, notre bon Roi décida de lancer une expédition contre le centre de commerce de Zanzibar, appartenant au sultanat d'Oman. Très vite, 15 000 hommes et 40 navires furent réquisitionnés, l'Oman fut écrasé : nous prîmes sa capitale, Zanzibar, ses comptoirs... NOus pûmes ainsi récupérer ce fameux CoT, ainsi que 2 comptoirs, et une ville de la péninsule arabique au nom imprononcable, où il fut décidé d'y envoyer sur le champ un missionaire qui offrait ses services à peu de frais.
En rentrant au pays, notre expédition victorieuse, sous la houlette du général Almeida, décida de débarquer sur la côté africaine, et à 5 contre un, face aux sauvages féroces et cannibales, elle prit le centre de commerce d'Ivoiria, ainsi qu'une petite ville juste à côté.
Le succés était alors total et le Portugal n'avait jamais été aussi aussi riche, il était à son apogée.
Ce fut cet apogée, et ce sentiment d'invulnérabilité qui conduisirent le portugal sur la voie descendante. En effet, l'Autriche commenca à faire pression sur la République de Venise, et nous demanda si nous étions intéréssés à faire la guerre à ses côtés. Notre Roi, aveuglé, décida d'accepter en demanda que la Crète devienne territoire portugais. Dans son esprit, c'était une base solide pour la future libération de la ville du Christ : Jérusalem.
Mais c'était son compter la puissante flotte vénitienne.
Alors que sur terre, laAutriche remportai des succés éclatants, en mer, notre expédition maritime vers la Crète fue interceptée par une puissante escadre vénitienne de 70 navires, alors que nous n'en comptions que 30. Nous perdimes 3 navires dans la bataille, et notre flotte fuya pour se réfugier en Sicile. Ce fut alors une course poursuite en pleine mer pour rentrer chez nous car la flotte vénitienne croisait au large de l'Italie. Fort heureusement, après une seconde défaite maritime sans gravité, nous pûmes rentrer chez nous.
Au sud du Portugal, nous interceptâmes une flotte d'invasion vénitienne qui était chargée de troupes, nous ne savons combien, mais nous l'avons échapé belle.
Il fut décidé de signer la paix avec Venise, nous avions été battu sur mer.
La rage du Roi était alors très grande : c'était la première défaite du portugal ! Il se jura de faire payer à quelqu'un cette état de fait : il décida d'attaquer l'Empire Ottoman, monstre de puissance, dès que celui ci lui en donnerai le prétexte. Ce qui fut fait quand le Turc attaqua les chevaliers de Rhodes.
Le Roi était toujours aveuglé, il ne voyait pas que le Portugal n'était qu'un petit pays face aux géants d'Europe.

LA GRANDE GUERRE : LA Xe CROISADE

En 1515, l'Empire Ottoman attaqua l'île de Rhodes. Immédiatement, la machine diplomatique portugaise se mit en marche, et nous incitâmes l'Espagne, ainsi que l'Autriche à intervenir. Curieusement, la France et l'Angleterre restèrent silencieuses. Peut être ces pays souhaitaient-ils voir un affaiblissement généralisé des dernières nations défendant la chrétienté ??
Le Pape relaiya notre appel, et très vite, une immense coalition se dressa face au monstre Turc, bien isolé en Europe il faut dire :

Pendant que l'Autriche attaquait dans les Balkans, le Portugal et l'Espagne réunissaient une flotte d'invasion en Sicile et à Malte.
Mais où allions nous débarquer ? l'Autriche nous conseillait d'aller en Grèce, l'Espagne en Egypte, et nous nous voulions directement débarquer à Jérusalem ! Finalement, l'Epsagne nous convainquit d'aller en Egypte, en nous assurons que nous pourrions l'utiliser comme base pour remonter vers le proche orient.
Immédiatement, notre flotte partit au large d'Alexandrie, pendant que l'Epsagne prenait le Caire, après avoir écrasé quelques troupes ottomanes éparses. Nous débarquames 12 000 hommes toujours sous le commandement du génial Almeida :

L'empire Ottoman étant sérieusement mis à mal par les Autrichiens au Nord, nous ne rencontrâmes pas beaucoup de résistance de la prt des Egyptiens, qui d'ailleurs étaient heureux de pouvoir se libérer de l'emprise du sultan de Constantinople, et alors nous prîmes Alexandrie : la cité légendaire fondée voila 2 millénaires par le génial Alexandre le Grand. Cette cité était là à nos pieds :

Mais l'Ottoman ne se laissa pas faire, après que l'Espagnol eut progressé en Egypte en prenant le Caire et le Delta, il envoya une formaidable armée au Caire. Ce fut la fameuse bataille des pyramides ! 35 000 Espagnols remportèrent une titanesque bataille face à 40 000 ottomans en furie. L'expédition était à son apogée, la ville sainte était à quelques jours de marche de nos troupes, nous allions 3 siècles après la dernière croisade délivrer de nouveau Jérusalem ! Pour aller plus vite,nos troupes embarquèrent à bord de notre flotte, et nous allions croiser au large de la Judé quand soudain la flotte Ottomane fut aperçu à l'horizon. Celle ci était bien plus faible que la flotte Portugo-espagnole, mais elle était majoritairemnt consitutuée de puissantes galères de combat, adaptées au combat en méditerannée, et elle était dirigée par un formidable amiral, laors que notre propore flotte n'en avait aucun.

Ce fut la plus formidable bataille navale de tout les temps : les galères ottomanes fondirent entre nos lignes : plus maniables et admirablement commandées, elles écrasèrent sous le feu, les flèches et les boulées nos propores navires trop lents. En louvoyant habilemnt autour de nous, la flotte ottmane nous encercla entièrement, et envoyant entre nos lignes de petits navires qui agissaient sur nous comme des flêches mortelles ! Nous ne pouvions rien contre ces maneuvres d'une rapidité inouïe !
Très vite, la flotte coalisée décida de se replier en évitant au maximum les pertes : elle s'organisa en carré, et nous pûmes brisé l'encerclement, et fuir vers l'ouest. Pendant que la flotte espagnole allait penser ses plaies en Sicile, nous allâmes nous réfugier en le royaumde Naples. Mais malgré ce cuisant revers, nous décidâmes d'aller débarquer en Grêce, en effet nos troupes terrestres étaient elles restés motivées et intactes, car peu de navires de transports de troupes furent détruits durant ce que l'on appelera désormais la Bataille du Delta.
Nous étions enragés par cette défaite, amis en même temps soulagés et heureux car les troupes Autrichiennes étaient arrivées au portes de Constantinople ! Il leur suffit de quelques mois pour rentrer dans cette ville légendaire : La capitale des empereurs romains d'Orient, la capitae des maudits turcs était désormais entre des mains chrétiennes !
Nous étions au bord de l'histérie de joie quand une missive terrible arriva par bateaux dans le port de Paladopoulos ou notre flotte avait débarquée : les suedois étaient à Lisbonne ! plus de 20 000 hommes, assistés par une flotte de 40 navires de guerre ! Cette nouvelle sonna comme une massue sur nos têtes, et dans un premier temps nous n'osions pas croire ce qui était écrit, mais c'était bien le seau de Roi sur la lettre, et les messagers étaient les plus fidèles parmis les fidèles à la cours de Lisbonne. L'autentification de ce message ne pouvait pas être contesté.
Nous savions que la Suède avait fait alliance avec l'Ottoman voici quelques mois, mais jamais nous n'aurions put croire que ceux ci puissent débarquer à l'autre bout de l'Europe.
Mais nous comprimes vite : la France avait offert ses ports à la flotte suédoise !
Comment un pays si riche et raffiné peut il ainsi trahir dans le dos les défenseurs de la chrétienté ? Comment un tel pays peut il avoir une aussi pitoyable diplomatie pour ainsi ne pas voir les intentions suédoises : voler les cartes de l'Institut d'Exploration de Lisbonne ? La France nous a trahi et nous serons son ennemi à jamais.
Lorsque notre flotte arriva chez nous le spectacle nous consterna :

Notre flotte effectua immédiatement le blocus de Lisbonne. pendant que nos troupes allèrent stationner au sud à Algarve. La flotte suédoise tenta de nous intercepter, mais bien qu'elle était preque deux fois plus importante, cette fois ci nosu remportames la victoire. Les lâches suédois allèrent immédiatment se réfugier piteusement à Bordeaux !
Mais restait le problème des 26 000 suédois tenant le siège devant la ville. L'Insitut des cartes, protégé par une partie de la garnison, allait bientôt scéder sous les coups de boutoirs des suédois. Les portes de l'Insitut durent barricadés, on transforma les poutres du toit en étaits de fortunes, on installa des poques à l'entrée : l'Institut s'était transformé en chateau fort. Mais malheureusement, les défenseurs était trop peu nombreux et allaient bientôt céder !
En précipitation, nous levâmes des millers de mercenaires, et nous dûmes pour cela emprunter des sommes astronomiques aux banquiers, et même aux usuriers.
l'Institut des Cartes allait tomber et nous devions à tout prix intervenir. Nous lancâmes donc un assaut desespéré devant les assiégeurs, mais ceux ci possédant un puissante cavalerie, ce fût un massacre sans nom, nous avions été écrasé comme de vulgaires feuilles mortes face aux puissants destriers suédois.
Fort heureusement, l'Epsagne se décida à intervenir, et sa puissante armée à son tour écrasa et extermina toute l'engeance suédoise qui infectait les terres portugaises.
Mais entre temps, les suédois avait réussi à piller les cartes de l'Institut...
La paix fut rapidemnt signé cependant car els parties n'avaient plus rien à gagner à la guerre :
Paix blanche avec la Suède
L'Empire Ottoman céda 1 province à l'Autriche, et la Serbie fut libérée et devint indépendante.

La situation actuelle du portugal est difficile : notre armée a été anéantie, et nous avons des échéances à rembourser dans quelques années.
Mais malgré tout, nous restons courageux et plein d'espoirs, car nous allons devoir reconstruire notre pays, mais nous le rebatirons plus beau encore qu'il n'était auparavant!
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