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Vieux 07/06/2006, 16h13
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Petite histoire du Portugal : 1506-1520

Tout alla pour le mieux dans notre petit royaume de 1506 à 1512 environ. En effet, pendant cette période, notre développement économique se poursuivit constamment, des colonies furent construites, des marchands envoyés... Pour renforcer notre puissance commerciale, notre bon Roi décida de lancer une expédition contre le centre de commerce de Zanzibar, appartenant au sultanat d'Oman. Très vite, 15 000 hommes et 40 navires furent réquisitionnés, l'Oman fut écrasé : nous prîmes sa capitale, Zanzibar, ses comptoirs... NOus pûmes ainsi récupérer ce fameux CoT, ainsi que 2 comptoirs, et une ville de la péninsule arabique au nom imprononcable, où il fut décidé d'y envoyer sur le champ un missionaire qui offrait ses services à peu de frais.
En rentrant au pays, notre expédition victorieuse, sous la houlette du général Almeida, décida de débarquer sur la côté africaine, et à 5 contre un, face aux sauvages féroces et cannibales, elle prit le centre de commerce d'Ivoiria, ainsi qu'une petite ville juste à côté.
Le succés était alors total et le Portugal n'avait jamais été aussi aussi riche, il était à son apogée.
Ce fut cet apogée, et ce sentiment d'invulnérabilité qui conduisirent le portugal sur la voie descendante. En effet, l'Autriche commenca à faire pression sur la République de Venise, et nous demanda si nous étions intéréssés à faire la guerre à ses côtés. Notre Roi, aveuglé, décida d'accepter en demanda que la Crète devienne territoire portugais. Dans son esprit, c'était une base solide pour la future libération de la ville du Christ : Jérusalem.
Mais c'était son compter la puissante flotte vénitienne.
Alors que sur terre, laAutriche remportai des succés éclatants, en mer, notre expédition maritime vers la Crète fue interceptée par une puissante escadre vénitienne de 70 navires, alors que nous n'en comptions que 30. Nous perdimes 3 navires dans la bataille, et notre flotte fuya pour se réfugier en Sicile. Ce fut alors une course poursuite en pleine mer pour rentrer chez nous car la flotte vénitienne croisait au large de l'Italie. Fort heureusement, après une seconde défaite maritime sans gravité, nous pûmes rentrer chez nous.
Au sud du Portugal, nous interceptâmes une flotte d'invasion vénitienne qui était chargée de troupes, nous ne savons combien, mais nous l'avons échapé belle.
Il fut décidé de signer la paix avec Venise, nous avions été battu sur mer.
La rage du Roi était alors très grande : c'était la première défaite du portugal ! Il se jura de faire payer à quelqu'un cette état de fait : il décida d'attaquer l'Empire Ottoman, monstre de puissance, dès que celui ci lui en donnerai le prétexte. Ce qui fut fait quand le Turc attaqua les chevaliers de Rhodes.
Le Roi était toujours aveuglé, il ne voyait pas que le Portugal n'était qu'un petit pays face aux géants d'Europe.

LA GRANDE GUERRE : LA Xe CROISADE

En 1515, l'Empire Ottoman attaqua l'île de Rhodes. Immédiatement, la machine diplomatique portugaise se mit en marche, et nous incitâmes l'Espagne, ainsi que l'Autriche à intervenir. Curieusement, la France et l'Angleterre restèrent silencieuses. Peut être ces pays souhaitaient-ils voir un affaiblissement généralisé des dernières nations défendant la chrétienté ??
Le Pape relaiya notre appel, et très vite, une immense coalition se dressa face au monstre Turc, bien isolé en Europe il faut dire :

Pendant que l'Autriche attaquait dans les Balkans, le Portugal et l'Espagne réunissaient une flotte d'invasion en Sicile et à Malte.
Mais où allions nous débarquer ? l'Autriche nous conseillait d'aller en Grèce, l'Espagne en Egypte, et nous nous voulions directement débarquer à Jérusalem ! Finalement, l'Epsagne nous convainquit d'aller en Egypte, en nous assurons que nous pourrions l'utiliser comme base pour remonter vers le proche orient.
Immédiatement, notre flotte partit au large d'Alexandrie, pendant que l'Epsagne prenait le Caire, après avoir écrasé quelques troupes ottomanes éparses. Nous débarquames 12 000 hommes toujours sous le commandement du génial Almeida :

L'empire Ottoman étant sérieusement mis à mal par les Autrichiens au Nord, nous ne rencontrâmes pas beaucoup de résistance de la prt des Egyptiens, qui d'ailleurs étaient heureux de pouvoir se libérer de l'emprise du sultan de Constantinople, et alors nous prîmes Alexandrie : la cité légendaire fondée voila 2 millénaires par le génial Alexandre le Grand. Cette cité était là à nos pieds :

Mais l'Ottoman ne se laissa pas faire, après que l'Espagnol eut progressé en Egypte en prenant le Caire et le Delta, il envoya une formaidable armée au Caire. Ce fut la fameuse bataille des pyramides ! 35 000 Espagnols remportèrent une titanesque bataille face à 40 000 ottomans en furie. L'expédition était à son apogée, la ville sainte était à quelques jours de marche de nos troupes, nous allions 3 siècles après la dernière croisade délivrer de nouveau Jérusalem ! Pour aller plus vite,nos troupes embarquèrent à bord de notre flotte, et nous allions croiser au large de la Judé quand soudain la flotte Ottomane fut aperçu à l'horizon. Celle ci était bien plus faible que la flotte Portugo-espagnole, mais elle était majoritairemnt consitutuée de puissantes galères de combat, adaptées au combat en méditerannée, et elle était dirigée par un formidable amiral, laors que notre propore flotte n'en avait aucun.

Ce fut la plus formidable bataille navale de tout les temps : les galères ottomanes fondirent entre nos lignes : plus maniables et admirablement commandées, elles écrasèrent sous le feu, les flèches et les boulées nos propores navires trop lents. En louvoyant habilemnt autour de nous, la flotte ottmane nous encercla entièrement, et envoyant entre nos lignes de petits navires qui agissaient sur nous comme des flêches mortelles ! Nous ne pouvions rien contre ces maneuvres d'une rapidité inouïe !
Très vite, la flotte coalisée décida de se replier en évitant au maximum les pertes : elle s'organisa en carré, et nous pûmes brisé l'encerclement, et fuir vers l'ouest. Pendant que la flotte espagnole allait penser ses plaies en Sicile, nous allâmes nous réfugier en le royaumde Naples. Mais malgré ce cuisant revers, nous décidâmes d'aller débarquer en Grêce, en effet nos troupes terrestres étaient elles restés motivées et intactes, car peu de navires de transports de troupes furent détruits durant ce que l'on appelera désormais la Bataille du Delta.
Nous étions enragés par cette défaite, amis en même temps soulagés et heureux car les troupes Autrichiennes étaient arrivées au portes de Constantinople ! Il leur suffit de quelques mois pour rentrer dans cette ville légendaire : La capitale des empereurs romains d'Orient, la capitae des maudits turcs était désormais entre des mains chrétiennes !
Nous étions au bord de l'histérie de joie quand une missive terrible arriva par bateaux dans le port de Paladopoulos ou notre flotte avait débarquée : les suedois étaient à Lisbonne ! plus de 20 000 hommes, assistés par une flotte de 40 navires de guerre ! Cette nouvelle sonna comme une massue sur nos têtes, et dans un premier temps nous n'osions pas croire ce qui était écrit, mais c'était bien le seau de Roi sur la lettre, et les messagers étaient les plus fidèles parmis les fidèles à la cours de Lisbonne. L'autentification de ce message ne pouvait pas être contesté.
Nous savions que la Suède avait fait alliance avec l'Ottoman voici quelques mois, mais jamais nous n'aurions put croire que ceux ci puissent débarquer à l'autre bout de l'Europe.
Mais nous comprimes vite : la France avait offert ses ports à la flotte suédoise !
Comment un pays si riche et raffiné peut il ainsi trahir dans le dos les défenseurs de la chrétienté ? Comment un tel pays peut il avoir une aussi pitoyable diplomatie pour ainsi ne pas voir les intentions suédoises : voler les cartes de l'Institut d'Exploration de Lisbonne ? La France nous a trahi et nous serons son ennemi à jamais.
Lorsque notre flotte arriva chez nous le spectacle nous consterna :

Notre flotte effectua immédiatement le blocus de Lisbonne. pendant que nos troupes allèrent stationner au sud à Algarve. La flotte suédoise tenta de nous intercepter, mais bien qu'elle était preque deux fois plus importante, cette fois ci nosu remportames la victoire. Les lâches suédois allèrent immédiatment se réfugier piteusement à Bordeaux !
Mais restait le problème des 26 000 suédois tenant le siège devant la ville. L'Insitut des cartes, protégé par une partie de la garnison, allait bientôt scéder sous les coups de boutoirs des suédois. Les portes de l'Insitut durent barricadés, on transforma les poutres du toit en étaits de fortunes, on installa des poques à l'entrée : l'Institut s'était transformé en chateau fort. Mais malheureusement, les défenseurs était trop peu nombreux et allaient bientôt céder !
En précipitation, nous levâmes des millers de mercenaires, et nous dûmes pour cela emprunter des sommes astronomiques aux banquiers, et même aux usuriers.
l'Institut des Cartes allait tomber et nous devions à tout prix intervenir. Nous lancâmes donc un assaut desespéré devant les assiégeurs, mais ceux ci possédant un puissante cavalerie, ce fût un massacre sans nom, nous avions été écrasé comme de vulgaires feuilles mortes face aux puissants destriers suédois.
Fort heureusement, l'Epsagne se décida à intervenir, et sa puissante armée à son tour écrasa et extermina toute l'engeance suédoise qui infectait les terres portugaises.
Mais entre temps, les suédois avait réussi à piller les cartes de l'Institut...
La paix fut rapidemnt signé cependant car els parties n'avaient plus rien à gagner à la guerre :
Paix blanche avec la Suède
L'Empire Ottoman céda 1 province à l'Autriche, et la Serbie fut libérée et devint indépendante.

La situation actuelle du portugal est difficile : notre armée a été anéantie, et nous avons des échéances à rembourser dans quelques années.
Mais malgré tout, nous restons courageux et plein d'espoirs, car nous allons devoir reconstruire notre pays, mais nous le rebatirons plus beau encore qu'il n'était auparavant!
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Vieux 08/06/2006, 15h04
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Extrait des archives espagnoles:

Correspondance entre le Marquis de Toledo et El Gran Capitan:






Chère Capitan,

nous avons eu, ce matin, la visite de percepteurs royaux à notre Domaine, et ceux-ci, non satisfaits de l'impots annuels déjà versé nous ont réclamé l'impot spécial de guerre. Nous savons fort bien que vous n'y êtes pour absolument rien. Mais notre cuoriosté est plus forte que tout!
Aussi, nous aimerions savoir comment un pays tel que l'ESpagne, disposant de riches mines d'or aux Amériques et de terres nombreuses riches en épices et produits exotiques peut avoir besoin d'encore plus d'argent pour entretenir une armée et une flotte suffisantes. Les guerres faisant actuellement rage en Egypte et en Europe ne nous laissent pas indifférents, mais où partent ces fortunes?

Nous comptons sur vous pour nous éclairer quant à l'utilisation faite de notre précieuse monnaie, car si servir le Roi d'Espagne en payant l'impot est une chose, voir des fortunes gaspillées en est une autre! Ne pensez pas que nous remettons en cause la politique étrangère des souverains de Madrid, mais n'est-il pas tant de se demander si ces guerres "pour l'honneur" ne vont pas ruiner le pays? Le jeu en vaut-il la chandelle?

Bien à vous, et bonne chance dans votre lutte contre l'infidèle turc, en Egypte.



Marquis de Toldèdo, De la Vega Quacuamolle





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Chère Marquis,


Vous m'excuserez la réponse tardive, mais vous devez vous douter que la situation ici exige de ma personne un investissement en temps important, aussi, j'ai dut attendre jusqu'à aujourd'hui pour trouver quelques instant de liberté afin de dicter cette lettre à mon secrétaire.

Sachez, noble Marquis de Tolède, que la lutte que nous mennons ici n'est pas une guerre de simple prestige pour le Roi et le Royaume. Il n'est pas ici question d'envahir de nouvelles terres et d'en faire des provinces espagnoles. Il n'est pas non plus question d'arracher aux turcs ses richesses et de les ramener à Madrid pour que la Monarchie en profite. Non, Chère Marquis, sachez que le combat que nous mennons ici est directement commandé par le Trés Haut Seigneur lui même!
Combattre le turc n'est plus une commune guerre comme le Royaume espagnol en a déjà livré beaucoup, mais une mission divine que notre Grande Foi Chrétienne nous impose. Nous n'avons pas le choix, ou notre làcheté serait à comparer à de l'hérésie pure!

Aussi, j'espère que vous excuserez l'armée espagnole d'engloutir dans sa lutte une partie de votre fortune normalement destinée à l'entretien, de vos jardins et de vos maitresses.

Ayez la bonté d'àme d'accepter les salutations, pressées, car le cannon recommence à tonner au loin, d'un humble serviteur de l'Espagne, et donc, de vous même!


El Grand Capitan, officier du Roi d'Espagne et du Trés haut



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__________________
Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI
Parleeeez-nous à boire....

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Vieux 09/06/2006, 00h15
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ROYAUME D'ANGLETERRE : 1506-1519

1506, L'Angleterre est alliée avec l'Espagne, afin notamment de contenir les appétits Français. La situation est relativement calme en Europe, même si l'ambassadeur du PORTUGAL à Londres, un certain DON TECOMIZY veut sans arrêt se lâcher et rentrer dans l'OTTOMAN là-bas loins au sud-est en nous incitant à venir avec lui. Voici d'ailleurs un portrait du bonhomme avant peint en 1495, avant qu'il ne soit frappé par la petite vérole et qu'il devienne borgne.

Nous restons pourtant ferme bien que courtois : l'ANGLETERRE ne se lancera pas dans une guerre religieuse. Sa foi est plus profonde que ça .

Non loin de notre si belle île, de l'autre côté de la mer du nord, la Suède se relève d'une guerre longue et difficile qu'elle a mené contre le puissant Danemark. Suite à cette guerre, la puissante flotte Danoise a été profondément affaiblie faisant de notre flotte la plus puissante des mers du NORD.


En ITALIE, la situation reste toujours aussi fumante...

Toujours est-il que l'Angleterre bénéficie de longues années de paix pendant lesquelles elle va coloniser la Nouvelle Angleterre avec ses faibles ressources. Le pays doit malheureusement faire face à de graves problèmes de stabilité suite à des catastrophes diverses (raz de marées, étranges météorites passant dans le ciel, révoltes de nobles avides de richesses et d'oppression ... ) Rien de tout cela n'empêche notre marche en avant. Deux puissantes et riches colonies sont établies en Nouvelle Angleterre, des comptoirs sont installés et le commerce de la morue et des fourures commence doucement, générant des emplois, favorisant la croissance, augmentant la consommation des ménages et tout et tout.


Survient alors une terrible nouvelle : la guerre embrase l'EUROPE et nous y sommes entrainés par le jeu des alliances. En effet, l'Autriche et ses alliés (dont le Portugal) attaquent subitement l'Empire Ottoman, sans exposer au monde ses prétentions. L'Espagne, et son alliance (dont nous faisons partie) suivent l'AUTRICHE dans ce que nous pouvons appeler une croisade.

Notre décision tombe très rapidement : cette guerre dont nous n'avons pas voulu et dans laquelle nou avons été entraînée contre notre gré ne nous intéresse pas. Un émissaire de paix est envoyé a Istanbul. Il est reçu royalement et notre offre de paix est dignement acceptée par le Sultan : l'Angleterre est en paix ce qui est la plus sainte des actions.

Nous avons ensuite observée cette guerre qui embrasait l'Europe, tout comme la France qui est restée neutre malgré les nombreuses sollicitations reçues de la part des belligérants catholiques. Curieusement, la Suède, dont la suprématie en Baltique était si fragile s'est lancée dans la guerre aux côtés de l'OTTOMAN. Nous aurions évidemment pu l'empêcher facilement et à coûts réduit d'intervenir en mobilisant notre puissante flotte mais elle n'était pas en guerre contre l'Espagne...

L'empire OTTOMAN fut vaincu, mais le grand vainqueur de cette guerre était .... son allié, la Suède, qui c'était emparée de LISBONNE, la capitale des explorateurs Portugais, détenteurs de nombreuses cartes de part le monde.

Situation de l'Europe en 1520 :
Matérialisation des grandes puissances Européennes, de l'Empire Germanique.
Les zones hachurées représentant les provinces sources de litiges profonds.





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AAR Crusader Kings - Sicile - La gloire des Hauteville

: La "loose" est un état d'esprit, cherchez là et elle devient une raison de s' enorgueillir.
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Vieux 09/06/2006, 03h32
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Royaume d'Autriche 1506-1519 :

Maximilian I "le diplomate" était au pouvoir depuis déjà 26ans lorsqu'il mourrut le 12 janvier de cette année atteint d'une de ces maladies ramenée d'Istanbul.

Il avait, en 26 ans accomplit beaucoup pour le royaume d'Autriche. Ainsi il ramena la stabilité dans la péninsule italienne dés 1506, calmant les appetits français par un rapprochement avec la savoie qui se lia a la maison d'Autriche, rejoingnant le peuple helvète qui venait de juré allégeance au roi.
Ce ne furent que les premiers d'une longue liste, Milan, Straßburg, Cologne, la Frise, Munster, la Bohème et la Serbie avait tous reconus pour souverains le roi d'Autriche et Empereur du saint empire romain germanique.



Jamais depuis longtemp l'empire n'avait conut un tel empereur, acquis a la protection de l'empire et de ses Etats, défendant les interêts des plus faibles face aux puissances étrangères.

Mais l'empereur était aussi le représentant du pouvoir teresstre de Dieu sur terre, en accord avec le pouvoir spirituel du saint père. Ainsi il était de sa mission que de porté le flambeau de la foie catholique et d'être a l'avant garde de la lutte contre l'infidèle.

Aprés avoir fais valoir nos droits sur l'Illyrie, occupés par Venise (pays traitre parmis les fidèles) les frontières du royaume s'étendirent drastiquement vers le sud, offrant de nombreuses nouvelles opportunitées a l'empereur.
L'Illyrie était un chemin d'accés pour allé chassé le sultan de Bosnie, et protegé le royaume de Hongrie, soeur de l'Autriche, de son influence malsaine.

La guerre fut déclarée en 1515, et les royaumes ibériques se joignirent dans la lutte, avec comme but éclairé de libéré les terres sainte dans une nouvelle croisade.

Mais du coté de l'Autriche la guerre était dans les balkans. Et il fallait en premier lieu franchir les Alpes dinariques, pour prendre le contrôle des valées de Bosnie et progresser vers le coeur de l'empire Ottoman.

Von frundsberg fut nommé géneral en chef des armées Autrichienne et menna l'offensive a travers les cols montagneux, fort de 10 000 hommes et 30 canons épaulés par prés de 50 000 coalisés, bohémiens pour la plupart.



Les 30 000 Ottoman présent résistèrent avec courage mais la supériorité du materiel et de la foie des catholiques vit la victoire écrasante des troupes menées par Von frundsberg. L'assaut fut donné sur Sarajevo qui tomba au bout de quelques semaines de combat. La bosnie était Autrichienne, et bientot l'armée du maréchal Ferdinand marchait vers la Serbie, tandis que des renforts venus d'Autriche venaient renforcé les éffectifs des troupes de l'empereur.
L'armée Ottomane avait désertée les Balkans, la victoire était totale. Les éfforts de l'infidèle se portés désormais sur l'Egypte où il tenté en de grotesques gésticulation d'éxpulsé les ibériques de son nouveau califat.



Un ans plus tard, le Kosovo et la Serbie orthodoxe furent liberés aprés des sièges méthodique et une chasse aux troupes ottomane, aidé par la population locale. Ce n'est seulement qu'aprés celà que les armées se meirent en place pour franchir la dernière étape avant Constantinople : la Bulgarie et la Macédoine.

La prise de Sofia fut longue et dangereuse, nos armées stationnées le long des cols Bulgare pouvait appercevoir au loin le campement des 16 000 Turques de la garde personelle du Sultan, venus en renfort sur Constantinople. Malheuresement pour eux, la Macédoine tomba sous le coup des assaut de Von frundsberg et Sofia rendis les armes aprés 9 mois de siège.



Ordre fut donné aux armées du roi de marcher sur Constantinople dés la mi janvier 1518.
Les armées arrivèrent en vue des murs de la ville début février et le combat fut mené devant les murailles de la ville contre l'élite de l'armée Ottomane qui fut écrasée sans répis, sous le coup des arquebuse et des canons.

L'assaut fut donné sur la cité du sultan, tandis qu'on annoncé sa fuite a travers le détroit du bosphore. Il avait lever une armée de 32 000 hommes ( autant que nos propres troupes) a travers l'asie orientale qui ne pourait malheuresement pour lui n'arrivé qu'aprés la chute innéluctable de la cité millénaire, autrefois siège de la puissance des Empereur byzantins.



L'empereur s'était rendus sur place, où il attrapa une maladie orientale qui lui fut fatale quelques années plus tard. Il tenait a venir sur le lieu de ces Empereur romain qui avant lui avait perduré la gloire de rome a travers les siècles.





Aprés l'arrivée des troupes ottomane en Thrace, la bataille de Constantinople débutta, opposant les troupes de l'empereur, regardant le combat depuis les murs de la ville a celle du sultan. Von Frundsberg dirigeait encore une fois la bataille.
L'armée Ottomane, composée en trés grande partie de la cavalerie des calife et des Janissaire que l'infidèle faisait face a l'armée Autrichienne, majoritairement pourvus de fantassins équipé d'arquebuse.

Les formations autrichienne se mirent en ligne. La cavalerie Ottomane aprés être resté longtemp immobile s'élança d'un coup sur nos positions. Les consignes de Von frundsberg était claire : les lignes devaient resté immobile, et ne faire feu que lorsque l'énemis serait suffisament proche pour que l'éfficacité des armes soit maximale.
Les arquebuse était posée sur des trépieds, et lorsque l'énemis ne fut plus qu'a 50 mètres les soldats allumèrent les mèches de leurs armes. Le tir ravagea la première ligne de cavalerie Ottomane, les chevaux s'écroulèrent emmenant avec eux leur cavalier qui étaient écrasés sous le poid de l'animal. Mais d'autre cavalier arrivaient a la suite tandis que les arquebusiers se relayaient pour semé la mort parmis les infidèles.
Les pertes Ottomane furent trés élévées alors que les notres ne furent que trés faible.



La victoire était totale, la paix fut signée devant un Sultan accablé et a bout de souffle : la Bosnie catholique revenait a la maison des Habsbourg et la Serbie devenait un vassal de l'Autriche, créant ainsi une protection pour la Hongrie. Les buts de Maximilien était atteins, la menace ottomane était écartée pour un temp.

Mais l'empereur ne fit pas que la guerre durant toute cette pèriode, où il dirigea les affaires de la famille Habsbourg.
Le mariage de son fils, philipe le beau avec jeanne la folle, infante des rois catholique avait vut naitre Charles qui, 16ans aprés sa naissance fut apellé sur le trône d'Espagne. Et il venait de succéder a son grand père sur le trône d'Autriche sous le nom de "Charles Quint".

Dernière modification par Leaz ; 09/06/2006 à 15h47.
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Vieux 10/06/2006, 18h48
La_sangre_de_la_mariposa La_sangre_de_la_mariposa est déconnecté
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Moscow : Janvier 1520







Je me nomme Vladimir Daivich et suis né en décembre 1483 près de la Grande Novgorod. Je rédige ici les mémoires de ma vie car je sais mes jours comptés. Je suis en effet depuis 15 ans l’agent de l’ombre des Seigneurs de guerre Moscovites dans leurs guerres contre la Horde d’Or et mes services ont fait de moi un homme traqué et oublié des miens.



Je n’étais que le fils d’un officier de la Garde Moscovite, mais mon père sut m’employer avec intelligence pour rendre notre famille indispensable à la Couronne. Je ne garde de mon enfance que peu de souvenirs, notre famille n’eut pas le bonheur de demeurer à Novgorod car mon père considérait qu’il fallait être là où la politique de Moscow se portait. C’est ainsi que nous voyageâmes sans cesse au travers des diverses provinces de la Couronne à mesure que les réformes fiscales s’étendaient à tous le pays. Ivan III avait en effet décidé dès 1492 de contrôler d’avantage son système d’imposition, ayant fini par admettre que certaines provinces ne présentaient leurs respects à Moscow que du bout des lèvres. Si les premières années nous pûmes ainsi visiter les plus grandes et les plus majestueuses villes du pays, sans connaître de mésaventure, ma mère vint cependant bien vite à se plaindre à mon père des conditions misérables dans lesquelles il finit par traîner notre famille. Mon père avait en effet deviné avant beaucoup d’autres que la nomination de nouveaux baillis pourrait provoquer la révolte des serfs et autres populations des provinces les plus reculées et les moins attachées à Moscow. Il s’était donc proposé pour accompagner, l’armée à ses côtés, la grande réforme fiscale de cette fin de XV ème siècle. Grâce à son aide, les provinces les plus réticentes aux nouveaux impôts durent baisser la tête ou la perdre et mon père fut remarqué par les élites politiques et militaires. Il convient d’avoir en mémoire que le financement de cette réforme avait obligé la Couronne à s’endetter auprès de ses plus grands marchands et de ses plus riches nobles et qu’elle était donc d’une importance capitale pour Moscow. La clairvoyance de mon père lui valut une toute autre considération que celle réservé normalement à un humble Capitaine de la Garde. Il fut donc nommé en 1496 au cabinet du ministère de la guerre dont dépendait très largement ceux des affaires étrangères et intérieures…




Les voyages de mon père l’avaient maintes fois mené auprès des frontières des vassaux de la Moscovie : Pskov, Kazan et Ryazan. Il avait pu constater combien ces derniers n’avaient au mieux que peu de considération pour leur suzerain et au pire, une haine que les diplomates eux même ne cachaient pas. Le fait que ces vassaux ne fassent même pas parti de notre alliance mettait en évidence le peu de fraternité qui nous liait à eux. Or il importait plus que tout à notre souverain que ces pays restent fiels à Moscow. Mon père ainsi que d’autres membres du cabinet du Ministre de la guerre encouragèrent dès lors l’envoi de nombreuses ambassades entre les années 1496 et 1500. Il faut dire qu’en ce début de XVI ème siècle, la Moscovie était bien isolée. Notre plus grand allier, le Danemark avait bien vite quitté notre alliance en 1492 lorsqu’il constata que cette dernière risquait avant tout de l’entraîner dans les incessantes guerres qui ravageaient les steeples d’orient. Puis c’était Moscow qui d’elle même avait décidé de mettre fin à son alliance avec les pays bordant le Caucase. Il était donc important de resserrer au moins nos liens avec nos vassaux. Ma famille séjourna donc plusieurs mois à Psokv et à Ryanzan mais jamais à Kazan ou seul mon père s’en rendait, très rarement accompagné d’une ambassade. Je compris plus tard qu’il était chargé de s’assurer de la fidélité de notre vassal par des moyens très éloignés de toute fraternité… Finalement nos efforts finirent par payer : Ryanzan finit par rejoindre notre alliance et Psokv et Moscow retrouvèrent bientôt une relation convenable. Bientôt mon frère Vassili accompagna mon père dans ses voyages à Kazan où il finit par s’installer auprès de l’ambassadeur évitant ainsi à mon père de devoir demeurer trop longtemps éloigné de Moscow. Mon frère se fâcha grandement avec mon père de ce choix. Il aspirait à d’avantage de responsabilités semblables à celle de mon père. Celui-ci lui rappela qu’il avait gagné son poste au ministère en chevauchant et en campant des années dans les campagnes, dans la boue, en ayant à charge une famille et des rébellions grondantes. Il considérait que traiter avec les gueux s’avérait bien plus honteux et dangereux que de devoir faire face à des nobles, certes hérétiques mais ayant un peu de sens du convenable. Vassili accepta donc sa situation avec peu d’enthousiasme, mais il comprit par la suite que la charge confiée par mon père n’avait pas été une erreur. En effet, en 1501 la Horde d’Or déclara la guerre au Kazan. Ce dernier c’était toujours refusé à rejoindre notre alliance, et il s’entêta malgré le danger qui le menaçait. Le pays fut bientôt envahi et mon frère commença alors à jouer le rôle important qu’avait espéré mon père, alors occupé à négocier avec les Danois. Vassili se chargea de faire parvenir autant de ducats que possible jusqu’à ce que l’effort de colonisation du Nord réduise les réserve d’or disponibles. Puis lorsqu’il ne fut plus possible au Kazan de recruter, Vassili se chargea de nouveaux assassinats afin de précipiter la paix, de sorte qu’au final, ce fut principalement une délégation Moscovite qui se chargea de négocier la fin du conflit. Mon frère s’averra aussi brillant que mon père et feignit la faiblesse face aux diplomates de la Horde. Son jeune âge, et la non entrée en guerre de Moscow conforta l’ennemis dans sa foi en la faiblesse des Moscovites. Ainsi, Kazan dû céder Tambov au lieu des quelques centaines de milliers de ducats espérés par les Hordeux. Ceci fut présenté comme un gage de paix et de bonne volonté de Moscow alors qu’il s’agissait là d’un moyen d’ouvrir à Moscow une route directe sur le territoire de la Horde d’Or. La paix signée, je reçus un courrier de mon père qui réclamait ma présence à Copenhague…




En effet, depuis 1500 il ne faisait plus aucun doute à la cour du Danemark que son vassal Suédois s’apprêtait à briser les liens dynastiques qui l’unissaient à son suzerain. Le Danemark entendait s’assurer de l’alliance et du soutient militaire de la Moscovie en cas de soulèvement Suédois. A Moscow, la question faisait débat : Les souverainistes étaient en faveur d’une intervention alors que les Scandinavistes étaient partisans d’une émancipation de la Suède. Ce fut finalement la perspective d’une future grande alliance avec le Danemark qui convainquit Moscow de se rallier à Copenhague. En 1503 comme pressenti, la Suède se révolta et rentra en guerre contre le Danemark. Mais Moscow n’était décidée à intervenir qu’en cas de nécessité, elle se contenta donc de menacer Stockholm d’une intervention imminente si les troupes Suédoises ne se retiraient pas immédiatement. Cependant, alors même que les Moscovites se rapprochaient des Danois, les agents Suédois étaient parvenus en secret à un accord avec la Horde d’Or. Cette dernière déclara donc la guerre à notre allier et vassal Ryanzan alors même que les hostilités Dano-Suédoises étaient à peine engagées. L’affaire était finement entendue, en ne déclarant la guerre qu’à notre Vassal, la Horde d’Or pourrait se permettre de négocier la paix qu’avec ce dernier si le cours de la guerre tournait à son désavantage. D’autre part, si Moscow choisissait de voler à la fois au secours du Danemark et de son vassal, elle s’exposait à une guerre longue, coûteuse et incertaine. En effet, rien ne garantissait que l’intervention de Moscow en Scandinavie n’entraînerait pas celle de l’Angleterre qui verrait là l’occasion de sceller encore d’avantage les liens qui l’unissaient à la Suède et de détruire la seule flotte de la mer du Nord capable de rivaliser avec celle des îles britanniques. Moscow décida donc d’abandonner les Danois à leur sort, espérant que leur importante flotte saurait faire plier la Suède, et élancèrent nos armées contre les Hordes barbares de l’Est. C’est lors de cette guerre qu’il fut temps pour moi de faire mes preuves pour l’honneur de ma famille…
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  #26  
Vieux 11/06/2006, 14h34
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De la construction d’une nation - 1507-1520


Francois 1er, Roi de France
'Car tel est notre bon plaisir'


Suite aux guerres d’Italie, la France a mené de nombreuses démarches diplomatiques afin d’apaiser les tensions en Europe.

Nos ambassadeurs surent trouver des oreilles attentives en Espagne et en Autriche puisque tous les différends furent aplanis.

La période de paix qui s’en suivit permit au Royaume de France de s’enrichir, tout en maintenant au plus bas son inflation. Des investissements furent également réalisés dans nos plus lointaines provinces, où nous nommions des Baillis afin de remplir le trésor royal.



Cependant, il restait toujours le cas de la Bretagne qui refusait toujours son attachement à la couronne francaise. Cette situation ne pouvait durer plus longtemps aussi, sous le commandement de Bayard nos armées partirent battre les campagnes bretonnes. Le Duc félon tenta de nous opposer quelques armées promptement levées, mais celles-ci furent balayées par notre soldatesque.

La Bretagne dû céder les province d’Armor et de Bretagne et de devenir notre vassal.


Cavalerie francaise écrasant les armées bretonnes


En Europe, les premières années de ce nouveau siècle furent assez calmes, mais rapidement un vent de bellicisme commença à souffler en Méditerranée.

Le Portugal appelait continuellement à une Sainte Croisade contre l’Empire Ottoman, oubliant certainement que ce discours datant du Moyen Age était aujourd’hui déjà bien obsolète. De plus qu’avait fait le Portugal lorsque l’Autriche était en guerre contre le Saint Père ? rien…

La famille des Hasbourg se rallia cependant à ce message, désignant l’Empire Ottoman comme le grand Ennemi de notre civilisation, prétextant qu’il était le danger ultime de la paix en Europe…

Bref, ces élucubrations et ces gesticulations diplomatiques ne surent nous convaincre, cachant mal la réelle volonté d’en découdre avec les armées turques.

Le paroxysme de cette situation fut atteint lorsque le Portugal l’Espagne et l’Autriche s’allièrent dans une gigantesque coalition contre le Sultan sous prétexte de défendre les Chevaliers de Rhodes contre l’agression ottomane. Le Portugal étant lui-même en guerre contre Rhodes…



En vertu de ces considérations, la France se garda bien d’intervenir dans ce conflit méditerranéen, où n’avions rien à gagner. Certes notre estime allait au Sultan écrasé par cette formidable alliance, mais au regard des engagements pris et respectés entre la France, l’Espagne et l’Autriche, nous ne pouvions nous dédiés et nous engagés dans ce conflits de quel côté que ce fut.



Notre contribution dans ce conflit fut donc des plus limitée et discrête, et cela malgré les pressions diplomatiques des 2 camps.



Nos hommages seront tout de même adressés au nouvel Empereur d’Autriche, Charles V, qui fut des plus honorable dans la paix, en formulant de fortes raisonnables demandes au Sultan battu par la coalition.



Nous souhaitons également saluer le roi d’Angleterre, Henri VIII, qui a d’usage une excellente et intelligente connaissance des litiges en Europe. En effet les populations des provinces de Calais, d’Artois, de Franche Comté et du Roussillon sont sous occupation étrangère, et les prétentions du Royaume de France, que nous déclarons légitimes, demanderont d’âpres, de longues, mais aussi pacifique discussion avec nos voisins.





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  #27  
Vieux 21/06/2006, 19h37
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Formation d'un Empire... quand le soleil devient torche espagnole!






La péninsule ibérique regorge déjà de bien des richesses. L'or de Tolèdes... les délicieux vins de Valence... les marchés commerciaux de Seville, et ses énormes chantiers maritimes construisant, parait-il, deux galères par mois! Et la capitale... Madrid! Cette nouvelle ville, fruit de la volonté Royale, elle aussi regorge de vie et de dynamisme...
Et le Pays Basque! Haa, le Pays Basque, et ses solides montagnards, qui viennent bonifier la valeur de notre armée. Non, je vous le dis! Si les espagnols sont partis conquérir de nouvelles terres par de là les océnans, ce n'est pas pour s'enrichir, ce n'est pas pour amasser l'or des Incas et des Aztèques. Nos richesses nous suffisent déjà à mener une vie digne d'un bon chrétien.
Mais notre tàche, en ce bas monde, serait restée inachevée si nous nous étions limités à la Reconquista. Il aurait été impossible à tout espagnol, une fois arrivé au Purgatoir, d'expliquer qu'il n'aurait pas consacré son énergie à convertir les immenses territoires découverts par Colomb à la seule et unique Foi.
Beaucoup prétendent que ces indiens, peuplant les iles et immensités américaines ne sont que des sauvages. Que nous aurions tort de nous mêler à eux et qu'il vaut mieux les laisser moisir dans leurs jungles. Mais tout homme tenant un tel raisonnement ne sera pas un bon chrétien. Ces indiens sont des enfants. Des enfants qui dans leur malheur n'ont jamais trouvé de messie pour leur annoncer la Bonne Parole.
Alors oui, nous vous le disons! Nous, espagnols, nous portons garants des indiens.
Ces millions d'àmes égarées qui cherchent en vain la Vérité Divine sans même se rendre compte que leur ignorance les pousse dans les pires actes de Barbarie.
Prions que notre conquête de l'Empire Inca soit le point d'orgue de la Conquista!
Et gageons que le Seigneur sera fort aise de l'entreprise espagnole, car comme je vous l'ai déjà dit, ces aventures militaires n'ont d'autres buts que de semer dans le coeur de chaque indien la foi chrétienne. Et non pas, comme tant de mauvaises langues, surtout étrangères, le disent, de nous enrichir.

Nombre de colonies espagnoles sont aujourd'hui fondées dans les Caraïbes. Beaucoup sont également peuplées en partie d'indiens, aujourd'hui convertis et assimilés. Chaque fois que cela a été possible, nous avons fait le maximum pour les rendre civilisés.
Hélas, mille fois hélas! Le destin n'a pas toujours été clément avec les colons espagnols, et à maintes reprises, les indiens refusèrent la vérité malgré les éfforts de nos missionnaires.
Aussi, il a été décidé de mettre un terme à leur calvaire spirituel en mettant fin aux jours de ces àmes sans repères. Que Dieu sauve leur àme.

Cuba, Jamaique, Porto Rico, Saint Domingue, et d'autres... ces iles sont aujourd'hui prospères et autonomes. Nul doute qu'aucune autre nation au monde que l'Espagne n'aurait put aider les peuples autochtones a s'émenciper du mal et à aider les colons à fonder de nouvelles cités dans des Paradis qui se sont pourtant souvent révèllésdifficiles à apprivoiser.

L'aventure Espagne aux Amériques commence. Et le Seigneur, le Trés Haut, sera fière de ses enfants ibériques!



EDIT: Pour ceux que çà interessent, c'est une musique de Albeniz. Je trouve plus sympa de la musique avec les AAR.
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Dernière modification par Cypho51 ; 21/06/2006 à 19h40.
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Vieux 21/06/2006, 20h17
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La Furie des hommes...



Le sang de la nation... voilà ce que confia le Roi à nos généraux pour aller affronter la France. Voilà avec quoi les cavaliers devraient être vaincus.
Une fois franchie, la frontière ne cessa de s'éloigner... en effet, notre progression en terre française fut rapide, et rapidement, Monteplier fut assiègée!
Et c'est là .... Oui... c'est là que la cavalerie française arriva...




La défense fut vite installée et prete à acceuillir comme il se doit la redoutée cavalerie de François 1er. Nulle doute que nous aurons peu de chances de tenir.
Leur nombre est terrifiant! L'horizon n'est que cela; cavalerie français... cavalerie française...





La charge fut rude, ces satanés visant en premier lieu les battreies de canons de siège.
Mais nos lignes s'organisèrent vite autours d'elles, et nous tinrent! La charge fut violemment brisée et les chevaux tombèrent par milliers.





L'armée française était vaincue, et sa cavalerie chaos. Oui, la victoire avait un gout des plus agréable pour nos bouches de soldats assoiffés.




Jamais plus, ce brave François, ne tentera de venir titiller l'armée espagnole...
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  #29  
Vieux 23/06/2006, 20h28
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Royaume de Pologne 1520


Je viens de prendre en main la pologne. Ce pays est faible, ce pays est pauvre, ce pays est rongé par l'inflation mais la pologne vaincra car dieu est avec elle.

Le première mesure du roi consiste à licencier une partie de la trop nombreuse armée en gage de paix aux pays d'europe. Beaucoup d'entre eux reconnaisant, verseront d'importants subsides à notre belle nation.

La pologne se trouve un allié en la personne du roi de suède et de son chancelier Danton que d'aucun nomme le fourbe mais que nous préférons appeler l'honnete.

La pologne est allié au grand royaume de lithuanie et entretient de bonne relation avec le reste du monde hormis peut etre la russie.

Nous découvrons très vite qu'en pologne on s'emmer..bete. Rien à coloniser, un budget très serré bref pas grand chose à faire.

Alors on picole (un peu) et on échafaude des grands plans d'invasion du monde. Heureusement pour nous l'allemagne n'existe pas encore et les panzers n'ont pas encore été inventé.

L'armée polonaise, réorganisée, decide finalement de fondre sur le teutonique en 1525



Un hussard de la garde royale polonaise

Les batailles sont rudes, l'hiver est froid mais nos glorieux soldats balayent les forces teutonnes. Heureusement Dieu à permis l'absence du russe.


Bataille de Memel 2 mai 1525


Le suédois récupèrent les pays baltes et nous vassalisont le reste du pays. le russe n'intervient heureusement pas...




Le roi salué par une foule en délire après la victoire contre le teutonique



A part ca rien de passionant on construit des galères et on passe son temps à réclamer de l'argent aux autres pays pour construire une académie des beaux-arts. Les travaux finirent par etre lancé.

Nous assistons également à de belles guerres ou le francais est battu et l'ottoman et l'autrichien nous refons 14/18 dans les balkans.

Vivement l'annexion de la lithuanie....

On convertis également une province au christianisme.

La pologne se repose beaucoup sur son alliance avec le suédois. Espérons que celle-ci tiendras alors que l'espagne paye des fortunes aux conseillers du roi pour l'inciter à quitter cette alliance qu'ils qualifient d'impie.

Pourtant les suédois sont précieux, car eux seuls peuvent rapidement intervenir contre la Russie. Les espagnols ne sont préoccupé que par l'or des amériques et non par la défense de la vraie foi.



Barbare russe typique, non daté
Quand à nous il nous tarde de lire les rapports des autres chancelleries européenes.
__________________
And so he spoke, and so he spoke,
that lord of Castamere,
But now the rains weep o'er his hall,
with no one there to hear.

"Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"

Citation:
Envoyé par DarthMath
[14-01, 18:22] : Yann !! Avec sa noix de coco dans le cul !!
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  #30  
Vieux 24/06/2006, 14h18
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1520 – 1535, L’œuvre civilisatrice de la Suède



De ces contrées quasi désertiques balayées par un vent glacial et, pire que tout, sans cesse ravagées par l’oppression et la barbarie , jaillira finalement une lueur d’espoir et de civilisation : Dieu lui-même a penché son regard éclairé sur le triste sort de ces malheureuses régions et a enflammé les âmes des fiers vikings du nord ! Nous nous sommes soulevé et nous avons rompu les chaînes iniques de l’infamie danoise, le monstre du grand nord, mais cela ne suffisait pas : il fallait en faire plus, bien plus, pour arracher la Scandinavie aux griffes des barbares sanguinaires sans foi ni loi .



Avec la Suède, c’est la chrétienté toute entière qui a relevé la tête pour dire non aux criminels avides de pillages et de meurtres, à l’anarchie. Là où les Vikings avancent, la civilisation renaît . Les âges sombres se terminent lentement, encore un dernier effort, mais o combien furent difficiles les épreuves que nous avons du affronter ! Sans l’appui inébranlable de Dieu, nul doute, nous n’y serons jamais arrivés.



En 1521, la marche en avant s’accélère brutalement : un Roi, Gustav Vasa, prend en main les rênes du pays, rapidement unifié derrière la même foi chrétienne (100% protestant ) et une alliance historique est signée avec l’axe Polono-Lithuanien. La civilisation a trouvé son porte-étendard et brille désormais de mille feux dans ces régions trop longtemps abandonnées aux barbares sans foi ni loi… Mais ceux-ci conservent encore une importante capacité de nuisance. Les meurtres s’enchaînent dans les Pays Baltes, une intensive campagne de viols systématiques commence, l’exode des populations suit : la civilisation recule devant la barbarie .







L’avancée des barbares, qui massacrent femmes et enfants





Brandissant l’étendard flamboyant du Christ Sauveur, les Polono-Suédo-Lithuaniens assument alors leurs responsabilités de défenseur de la civilisation chrétienne et nos armées déferlent, pour rétablir l’ordre et la justice . Les barbares sont exterminés et, pour les empêcher de revenir, des bastions de civilisation sont établis : la Suède prend en charge les provinces de Livland et Estland, désormais intégrées pour l’éternité à notre riant pays, au grand soulagement des autochtones, nos frères de sang, désormais protégées des barbares, et la Pologne met sous sa juste tutelle l’Ordre Teutonique de Courlande, lui apportant la paix et la stabilité qui lui faisait tant défaut.



La défaite des barbares n’est pas une victoire Polono-Suédoise : c’est une victoire de la civilisation chrétienne contre la barbarie venue des âges sombres et l’Europe civilisée s’empresse d’applaudir ce nouveau succès de la chrétienté . Les vikings du nord rempliront sans faillir leur saine mission civilisatrice : là où nous passons, la barbarie recule :epee: .





Toutes nos salutations à nos amis d’Angleterre, dont la bienveillance à notre égard a réchauffé nos cœurs, à l’Autriche puissante, autre véritable rempart de la chrétienté, qui a une fois de plus repoussé bien loin la terrible menace mahométane et par-dessus tout à nos valeureux alliés Polonais, nos frères : ensembles, nous repousserons les ténèbres, ensembles nous protégerons la civilisation chrétienne de la menace barbare .



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