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Vieux 25/11/2007, 00h47
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Chapitre VII. Retrouvailles



La mort dans l’âme, je quitte enfin cette ville maléfique, où j’ai tant perdu :



-Andren, Vico ( c’était lui ou moi ) et, surtout, ma douce Pia

-Tout l’équipement magique ou non que je leur avais fournis.

-Ma liberté


Retour dans les sombres tunnels d’Ombreterre : la connaissance qu’en a Rizzen est plus qu’impressionnante. Il m’emmène via des tunnels secrets ( me tire serait plus précis, la mort de Pia m’a mis un très sérieux coup au moral). Dans l’un d’eux, il m’enjoint de me taire car un puissant dragon noir rôde. Ah tiens oui, le voilà. « Je me souviens, j’en ai liquidé deux avec Pia… Bouhouhou, je veux retrouver mon Amour » « Mais silence enfin ! » « Piaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ».







Ah ben mince, le dragon m’a entendu . Rizzen se précipite au combat, moi je plonge plutôt vers le trésor colossal du monstre ( je ne perds pas complètement le nord ). Les poches pleines, je me décide à partir : je trouverai bien mon chemin toute seule. Une main de fer s’abat alors sur mon épaule : « Quand je te dis de te taire, tu obéis, esclave ! ». Rizzen a tué le dragon… Seul . Il est vraiment trop dangereux. Je passe deux jours à le flatter et à le convaincre que, même si je suis armée et équipée, il reste 1.000 fois plus puissant que moi. D’ailleurs, je ne suis qu’une pauvre femme et lui un puissant guerrier mâle.


Rizzen se laisse convaincre ( stupide mâle ) et daigne alors me conduire chez Orval, le flagelleur mental qui m’a vendue à son ex-maison, mais en gardant mes biens. Mieux, il m’ouvre un chemin sanglant, à la pointe de son épée, à travers les gardes esclaves de l’Illithid. De façon étonnante, je retrouve des gardes Dorniens : que faisaient-ils ici ? Etaient-ils à ma poursuite ? Mais pourquoi pareil acharnement ? Il faudrait éclaircir tout cela un jour… Orval est liquidé et, joie suprême, je récupère mes armes, mon équipement, mon or… Et une note du flagelleur mental : quasi le même jour de ma vente, il a vendu au marchand Duergar que je connais déjà une jeune et jolie humaine pour la somme de 100.000 pièces d’or ( ah ouais quand même). Un espoir fou… Serait-ce Pia ? Vico et Rizzen m’auraient-ils mentis ?


Mon maître se laisse séduire par la possibilité de réaliser quelques belles ventes auprès de ce Duergar et nous repartons ( c’est un guide excellent, reconnaissons le). Et là…








Piaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !



Elle n’a même jamais mis les pieds dans la cité des elfes noirs et le Duergar son maître ne l’a jamais touché ( pas encore en tout cas). Après de longues discussions, je la rachète pour 120.000 pièces d’or ( le trésor du dragon a été bien utilisé).


Pia, me serrant très fort dans ses bras « Tu vas prendre soin de moi, maintenant que je t’appartiens ? Ben oui, parce que là, ce n’est pas cela : cela fait trois semaines que j’attendais que tu viennes me sortir de là… Et qui c’est ce mâle avec toi d’ailleurs ? »

Alicia « Mon Maître . Attend, je t’explique… »


Ma tendre et douce se laisse finalement convaincre ( mais bien plus difficilement que Rizzen) : tant que nous n’aurons pas rallié la surface, je me dois de jouer la servilité. Sans Rizzen, nous ne sortirons en effet jamais de ce labyrinthe où la trahison des nains ignobles nous a jetés.


Pia « Entendu pour la mise en scène… Mais s’il tente de te mettre dans son lit, je serai au regret de lui trancher la gorge immédiatement , quitte à passer le restant de mes jours dans ces tunnels… Avec toi naturellement »


Ouais ben, espérons que Rizzen gardera ses mains loin de moi, c’est sa tête qui est en jeux après tout . Fort heureusement, il ne semble pas avoir des vues sur moi : le lendemain à l’aube, en me découvrant entièrement sous les couvertures de Pia, aussi peu vêtue et serrée tout contre moi, il ne fait aucun commentaire.


Notre guide nous conduit de tunnel en tunnel et le bon air de la surface finit enfin par se faire sentir : la surface, enfin ! Alors que nous nous précipitons joyeusement, une horde d’elfes noirs nous prennent en embuscade ! Les vils ont bien choisis et le moment et l’endroit. Un combat titanesque commence, les drows sont sans pitié et menés par la propre sœur de Rizzen, une grande prêtresse de Loth. Le stock de potion fond comme neige au soleil, mais le bon droit est victorieux .



Le ciel bleu, le soleil, enfin ! Direction la ville la plus proche : Moonville. Mon Maître reste en retrait, entrer dans une ville humaine équivaut à un suicide pour un drow : il risque d’attendre mon retour assez longtemps . Après avoir cru perdre ma douce Pia, la joie des retrouvailles me décide à l’entraîner au temple de la ville. Le Grand Prêtre nous reçoit chaleureusement : « Officier à votre mariage, douce enfant ? Mais ce sera avec plaisir ! Qui est l’heureux élu ? Un natif de la ville ? » « Non, elle » « Que ? Sacrilège ! Jouet du démon ! Perversion ignoble ! » « J’aurais pu te prévenir qu’il te dirait cela… Si tu avais pris la peine de seulement me demander mon avis » « Euh, mais c’était une surprise… Alors, tu ne veux pas ? » « Union contre nature ! A l’encontre des lois divines ! Répugnant ! » « Mais si je veux ! Et j’ai même une idée pour arranger cela »







Parfait, c’est entendu. Je retrouve Nathan puis j’épouse Pia : nous serons unis pour le meilleur et pour le pire . « Créatures perverses et diaboliques, votre place est en enfer ! » « Kwaaaa ? Mais comment il ose parler de ma douce Pia ce curé ! «


Je pars vendre mon surplus de butin au magasin du coin et là le marchand Sioril me prend complètement par surprise : « Tu veux atteindre l’île des prisonniers ? Pour cela tu dois pénétrer dans le château de la ville, mais l’entrée est trop bien gardée. La tête de Rizzen tu dois m’apporter et t’aider je ferai ». Il est bien renseigné celui là . Enfin, puisqu’il le faut, c’est l’occasion de se débarrasser de mon « maître » . Malheureusement, ma douce Pia ne l’entend pas de cette oreille : ce serait un meurtre et elle ne saurait aimer une assassine. D’un autre côté, elle souhaite me récupérer aussi… Je finis par trouver une solution et vais trouver mon maître, lui apprenant que sa tête m’intéresse . Mais comme je suis généreuse et bonne de nature, je me contenterai de la tête de l’amant elfe noire de sa sœur qu’il gardait comme macabre trophée, que je fourgue aussitôt à Sioril contre des renseignements pour pénétrer dans le château puis me rachète auprès de mon maître ( cela m’a coûté cher, mais je le valais assurément ). La nuit, ma douce Pia m’exprime avec passion toute sa satisfaction…



Pour pénétrer dans le château de Moonville, il me faut tout d’abord récupérer deux clefs, selon les instructions de Sioril. La première se trouve dans le centre administratif Dornien de la ville, où l’accès m’est refusé. Pia se dénude entièrement et passe tranquillement devant les gardes médusés, se retourne, leur sourit puis leur lance langoureusement « Oooh ce que j’aime les hommes en uniforme ». La meute abandonne son poste et se précipite, Pia les entraîne à sa suite et je file à l’intérieur du bâtiment, confiante : ces balourds en armure lourde vont bien suer, mais jamais ils n’attraperont ma tendre et douce . Je me faufile de pièce en pièce, évitant les gardes, et tombe enfin sur l’administrateur en chef : mes mains agiles plongent dans ses poches et je repars ni vu ni connu avec la première clef. Enfin, il y a bien deux gardes qui me tombent dessus , mais je parviens à les liquider sans trop perdre de temps et quand leurs collègues déboulent, j’ai déjà pris la poudre d’escampette. A la taverne, je retrouve Pia, qui s’ennuie ferme : « Pourquoi est-ce toujours toi qui t’amuse ? » « Euh, c’était sérieux, j’ai même du me frayer un chemin vers la sortie à la pointe de mon épée. Et toi, ta ballade nue en ville ? » « Amusant, je le reconnais . Par contre, ces Dorniens devraient suivre un régime : rarement vu des patauds pareils. Ils n’arriveraient même pas à rattraper une poule »



Etape suivante : les casernes. Ils ont besoin d’une soubrette, je me propose et laisse Pia se morfondre à la taverne. Je nettoie les sols sous l’œil inquisiteur du sergent, je lave à grande eau et passe avec ma raclette : il ne cesse de me surveiller. Serait-ce parce que j’ai oublié de mettre des sous-vêtements sous ma très légère robe ? En tout cas, le pervers finit par craquer et, haletant, m’invite à monter à l’étage, interdit pourtant aux soubrettes. Je le suis en riant et en m’accrochant à son bras robuste puis, une fois en haut, PAN sur la cafetière . Voyons, voyons, explorons un peu les lieux. Ah oui, je vois, interdit aux soubrettes







Le bureau du général en chef des Dorniens ! Je fouille et trouve la clef pour laquelle je suis venu. Une voix terrible se fait alors entendre : le général, épée au poing ! « Ooooh, vous m’avez fait si peur, général. C’est le sergent qui m’a envoyée ici, pour nettoyer. Etes-vous satisfait ? Si non, que puis-je faire pour service ? ». L’homme rengaine son épée, rassuré : « Une aimable attention de mon sergent ! Sur le bureau, je vais te prendre là, vite ! A poil ! ». J’obtempère et le mâle excité abaisse son pantalon : coup de pied dans la figure, roulade habile et je file ventre à terre . La garnison passe vite à la traque, mais des femmes nues, ce n’est semble t-il pas cela qui manque dans ces lieux de débauche et de vice. Résultat, je sors assez finalement et retrouve Pia, qui lève les yeux au ciel : « Et voilà, c’est encore toi qui t’es amusée. Mais j’espère que tu ne m’as pas trompée… » : regard inquisiteur et jaloux :



Sioril est satisfait et m’indique comment atteindre le château par les égouts, tout en précisant que seule une maitre voleuse aura des chances d’y arriver. Hurlements de Pia, furieuse d’être une fois de plus laissée en retrait et qui, la nuit, au lit, prétend pour la première fois « qu’elle a mal à la tête, non pas ce soir, mon amour ». Génial



A l’aube, je pénètre seule dans les égouts et rallie le château. La grande discussion de ses habitants, c’est le sort réservé au grand prêtre capturé récemment. Sa téléportation pour l’île des prisonniers ne saurait tarder. Ah, voilà qui est embêtant : l’île ne semble pas accessible via des moyens non magiques . Par malice, et pour embêter les Dorniens, je libère le grand prêtre : un individu à moitié fou qui délire complètement, mais qui m’invite à le retrouver dans le temple caché au sud de la ville « pour y recevoir ce que je cherche ». Bon, je ressors et quitte la ville avec ma tendre et douce, toujours boudeuse. Rizzen nous rejoint, ce qui est une très bonne chose car Pia passe aussitôt ses nerfs sur lui : ils manquent de peu d’en venir aux mains .
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  #52  
Vieux 25/11/2007, 01h01
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Chapitre VIII. L’île des prisonniers



Comme ils s’entendent si bien, une fois arrivés au temple caché, je les laisse discuter et pars en éclaireuse : la secte m’accueille à bras ouverts, d’ailleurs toutes les jeunes et jolies femmes sont toujours les bienvenues ici . Je maîtrise assez rapidement les fondements de base de cette religion : les femmes se balladent entièrement nues et les mâles, vêtus de noirs, leur font boire des boissons qui augmentent leurs pulsions sexuelles, avant de les entraîner dans des alcôves pour communier et honorer leur maître à tous, Belphegor , qui apporte à ses fidèles vigueur et ardeur . Je ne m’attarde pas, Pia m’attend après tout, et vais trouver le grand prêtre du culte : « Alors, et ma récompense ? » « Te voilà enfin, heureuse mortelle. Pour toi, la récompense suprême : les chiens de l’enfer de notre maître Belphegor vont t’honorer à tour de rôle ! Profite en bien ! ». Il lève la main et me voilà enfermée dans une arène, les fidèles accourent et commencent leurs prières, puis 4 chiens de l’enfer surgissent du néant, la queue raide, et se rapproche de moi pour le rituel le plus sacré de la secte. L’idée ne me plait vraiment pas et je leur tape sur le groin , ce qu’ils n’apprécient guère.







Victoire ! Humilié, le grand prêtre invoque alors Belphegor en personne, mais le démon échappe à tout contrôle et massacre la moitié des cultistes , puis me téléporte de force.







Me voilà nue dans un lieu infesté de morts-vivants . Je ne perds cependant pas le nord .







Même les araignées sont des morts-vivants, c’est quand même étrange . De porte secrète en secrète, d’ombre en ombre, j’explore et découvre l’horrible vérité : je suis dans l’île des prisonniers. Au plus profond de ce lieu se trouve une faille importante entre le plan matériel et un autre plan, et une des conséquences de cette faille cosmique est que tout le monde, ici, une fois mort, se relève comme mort-vivant. Les Dorniens, qui ont l’esprit d’une perversité sans égale, ont décidé de profiter de la particularité des lieux. L’endroit est trop dangereux, je remonte récupérer Pia et Rizzen, via un portail de téléportation. Après de longues explications ( Pia a vu fuir les cultistes survivants, femmes nues en tête, alors quand elle me voit revenir dans la même tenue… ), nous repartons à trois : les morts-vivants, cette fois, ne sont plus évités, mais massacrés .



Puis c’est le tour des Dorniens, monstres sans scrupules à l’âme particulièrement abjecte. Leurs prisonniers, ils les tuent sitôt leur arrivée sur l’île ! Des zombis morts-vivants sont en effet moins coûteux à garder et pas de risque qu’ils se suicident. Leurs prêtres maléfiques ramène ces malheureux à la vie le temps de les interroger ( de les torturer abominablement pour être plus précis) puis les tuent à nouveau pour en refaire des zombis condamnés à une non-vie éternelle de souffrance. Ma douce Pia craque complètement et commence à paniquer : elle ne veut surtout pas mourir ici. Et elle a tant besoin de réconfort…







Je lui donne satisfaction puis, main dans la main, nous repartons : il nous faut apprendre ce que sont devenus Nathan et les autres. Comme ils ne sont pas parmi les prisonniers morts-vivants, il nous faut descendre toujours plus bas, vers cette faille cosmique source de cette ignominie. Des hordes de balrogs nous tombent dessus !







Après un combat acharné, au cours duquel le stock de potion a fort diminué, enfin, une agréable surprise :







Jacia, la sanguinaire membre de la guilde des voleurs de Betancuria. Les autres ne doivent plus être loin. Nous repartons tous ensembles et passons sur un pont en dessous duquel on aperçoit une étrange lueur.



Rizzen « Je me demande si c’est profond et ce qu’il y a en dessous. Les membres de ma race feraient tomber l’individu le plus inutile du groupe pour en avoir le cœur net »

Pia « Mais que voilà une bonne idée ! Allez, hop ! »







Alicia « Pia ! «

Pia « Je l’ai fais, je l’ai fais ! Comme c’était amusant ! ». Et ma tendre et douce de commencer une sauvage danse de joie, m’entrainant vite avec elle. Un peu déboussolée par son attitude, je me prends les pieds dans les siens et nous chutons toutes les deux en hurlant.



: Eclair lumineux : : Tonnerre qui gronde : : nuit noire :





A suivre





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  #53  
Vieux 25/11/2007, 14h19
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lemarseillais lemarseillais est déconnecté
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Euh...... ça aussi c'est le fruit de la personne, visiblement en très gros manque ou fonciérement obsédée, qui a pondu le scenar ?
Ou est-ce une possibilité du jeu de base ?
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
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  #54  
Vieux 25/11/2007, 16h02
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Je pense que c'est le fruit du travail laborieux de l'auteur ( du scénario naturellement, à ne pas confondre avec l'auteur génial qui relate les exploits d'Alicia )


Allez, pour la peine, je poste la suite
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  #55  
Vieux 25/11/2007, 16h08
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Chapitre IX. Bienvenue en enfer



Après une longue chute, nous atterrissons lourdement dans de la neige. Bon, ou sommes-nous cette fois ? Rizzen s’avance, rapière au poing, et Pia se réfugie rapidement derrière mon dos robuste. A mon tour de dégainer et de gronder, féroce : personne ne touchera à mon Amour ! L’elfe noir laisse tomber pour le moment, mais les échanges verbaux entre lui et ma tendre et douce seront désormais d’une acidité sans égale, teintés de menaces à peine voilées. La neige ne cesse de tomber et la visibilité est très mauvaise : le paysage, de toute façon, n’a rien de réjouissant. Une terre stérile, plate et sans la moindre végétation, avec des tombes partout. Deux jours durant, nous marchons dans ce blizzard, combien de milliers de tombes avons-nous dépassés ? L’espoir s’amenuise de plus en plus. La nuit, alors que j’essaye péniblement de trouver le sommeil, Pia serrée tout contre moi, une apparition surgit dans mon esprit : un vieil homme, qui ne prononce qu’une seule parole « A l’est, toujours à l’est ! ».



Le lendemain, nous partons tous plein est. Là ou ailleurs, après tout… En fin de journée, un pic se dresse devant nous. Au sommet, un château. Après deux journées supplémentaires, au cours desquelles j’ai du rattrapé ma douce Pia in extremis, alors qu’elle plongeait dans un gouffre, « accidentellement » poussée par Rizzen , le château est enfin atteint. A l’intérieur, des flots de lave et le vieil homme, qui n’est certainement pas ce qu’il parait. D’un geste, il fait apparaître Chella ! « Tes autres compagnons sont en enfer, hors de ma portée. Par contre, je peux te conduire là bas et si tu me ramènes leurs pierres de vie, alors je pourrai les arracher aux enfers » « Euh ouais, mais bon… » « Naturellement, mon aide ne sera pas gratuite. Je veux que tu me ramènes aussi la pierre de vie de l’Archidiable Belphegor, qui a sa tour là bas. Vas et pour revenir ici, active cette pierre de rappel. Reviens sans la pierre de Belphegor et tu resteras à jamais ici, ainsi que tes compagnons » « Attendez, je voudrais d’abord savoir… ». Trop tard, le vieil homme claque des doigts et les brumes m’envahissent .


Le paysage a changé, des rocs de pierre, de la lave partout et des hurlements de désespoir partout. Des esprits maudits errent, traqués par des démons qui jouent avec eux en les torturant toujours plus. Bienvenue en enfer. Et je suis seule . De la discrétion, Alicia, ce n’est pas le moment de se faire remarquer. Une mortelle au milieu des damnés et des diables, je serais une aubaine sans pareille pour ces derniers.



« Toujours aussi furtive, petit oiseau, mais moi je t’attendais ». Vico !







Ce mécréant est désormais un diable ( un inccube pour être plus précis), et il a toujours envie de me défoncer sauvagement.


Alicia, ricanant sauvagement « Je t’ai déjà tué une fois, je peux recommencer . Et ne crois pas avoir touché le fond, tu pourrais subir bien pire pour l’éternité »

Vico « C’est toi qui va souffrir pour l’éternité… Le vieil homme qui t’a envoyé ici n’est autre qu’un Archidiable rival de Belphegor. Dans tous les cas, tu finiras entre les griffes de l’un d’eux… Je ne voudrais pas les priver de ce plaisir »

Alicia « C’est cela, tout comme tu prétendais que ma douce avait été jetée dans un bordel de Maeralssin »


Je m’écarte, méprisante, de l’impudent et reprend mes recherches. Un balrog me tombe dessus et un farouche combat commence : mon stock de potions et de parchemins diminue fort , mais le démon s’effondre.

« Joli combat, tu es toujours aussi habile »

Alicia « On se connaît, succube ? »

La succube, se caressant les seins « Nous nous sommes croisés, oui. Le temple de Hyath, le calice d’or... »

Alicia « Myra ? »

La succube « Non, maudite ! Je suis un mâle, tu entends, un mâle et je vais te pénétrer ! »

Alicia « Il te manque comme quelque chose pour arriver à cela , par contre tu as tous les attributs féminins sur lesquels tu as lorgné toute ta vie de pêcheur… Mon très cher Christiano »







La succube, Christiano « Maudite ! Mais toi, quel est ton châtiment ? »

Alicia « Moi ? Mais je ne fais que passer, stupide mâle… Enfin, si j’ose dire. Tu n’avais qu’à respecter tes vœux de chasteté, Paladin . L’enfer ne sera jamais pour moi, je suis droite et pure . Allez, bonne frustration éternelle, très cher ami ! »



Plus loin, je rencontre Mando et Nathan, mais ils ne sont plus comme jadis et refusent de parler : ils veulent me déchiqueter en fait . Après les avoir semés, je reviens furtivement et leur dérobe avec habileté leurs pierres de vie : j’ai préféré en effet ne pas devoir les tuer, cela pourrait peut-être empêcher leur retour, qui sait ? Reste à pénétrer dans la tour de Belphegor. Je m’avance et cogne sur le gong : une entrée fracassante est parfois plus discrète qu’on ne le pense. Un démon vient m’ouvrir et m’interroger.


Alicia « Le Seigneur m’a convoqué… Il a envie de sexe et je suis une experte en la matière »

Le démon concierge « Montre moi »

Alicia « Euh, non, non, j’ai promis fidélité à ma douce Pia »

Un farouche combat s’engage et le pervers s’effondre. A pas de loups, je pénètre dans la forteresse, évitant démons et chiens de l’enfer. Enfin, quelques chiens me repèrent bien, mais je parviens toujours à les liquider avant qu’ils ne rameutent toute la troupe ( un duel contre un Balrog est déjà très difficile, alors si plusieurs me tombent dessus… )


Bien, quelque chose me dit que je m’approche du but :







L’ultime protection de l’Archidiable explique mon envoi ici : c’est une barrière magique mortelle pour les démons et esprits damnés, mais sans le moindre effet sur une mortelle. Je la traverse et m’empare de la pierre de vie du Démon, qui surgit immédiatement en rugissant et en me promettant une éternité de souffrance. Je préfère le laisse s’égosiller seul et active la pierre de rappel . Les brumes m’envahissent et me voilà de retour au château du vieil homme. Ravis, celui-ci me prend aussi les pierres de vie de Nathan et Mando et, d’un geste, les arrache des enfers : les revoilà ! Je les ramène à la vie via mon sceptre de résurrection et ce sont de folles retrouvailles. Libres, ils sont libres ! Merci qui ?


Le vieil homme « Je vais ouvrir un portail pour tes amis, comme promis. Mais en ce qui te concerne… »







Les Dorniens ont contacté cet individu pour me capturer ! Mais cela devient hallucinant ! Jusqu’où iront-ils donc ???

Alicia « Ce n’est pas possible, tout cela semble si irréel »

Le vieil homme me touche en souriant et c’est le trou noir : j’ai l’impression de tomber, tomber et tomber encore...
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  #56  
Vieux 26/11/2007, 19h02
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Danton Danton est déconnecté
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Chapitre X. Epilogue




Tout est noir, mais j’entends des voix. On parle de moi en priant pour que je me remette un jour de cette terrible maladie et cesse enfin de délirer et de hurler dans mon sommeil. Mais ou suis-je ? Le silence revient. Je suis seule, il fait froid, noir. Péniblement, j’étire mes muscles et me relève, j’allume une chandelle, celle qui se trouve toujours sur ma table de nuit. C’est bien ma chambre, aucun doute. « Pia ? ». Personne, le silence. Raaaa, mais qu’est ce cela ??? Une ceinture de chasteté !







Péniblement, j’ouvre de force le cadenas et me débarrasse de ce truc : je sais que Pia est TRES jalouse, mais là elle abuse quand même ! Ah, la voilà ! Ben non, c’est Maud, ma servante personnelle.


Maud « Lady Alicia ! Enfin ! Votre Père désespérait tant de vous voir un jour retrouver vos esprits ! »

Alicia « Papa ? Mais il est mort, tué par les Dorniens, non ? »

Maud « Lady Alicia ! Les Dorniens sont nos alliés depuis toujours, pourquoi feraient-ils une chose pareille ? C’est la maladie. Cela fait quatre mois que vous êtes malades, savez-vous ? Et vous n’avez cesser de délirer… »

Alicia « Mais, je… »

Mon papounet surgit et me prend dans ses bras robustes : « Ma douce enfant, enfin ! Nos prières ont été exaucées et tu reviens enfin à toi ! Quel bonheur immense de te revoir, tout le monde t’aime tant »

Alicia « Ah oui, et la ceinture de chasteté, c’était une marque d’amour je suppose ? »

Mon papounet « Tu l’as enlevée ? Peu importe, maintenant que tu as repris tes esprits, cela n’a plus d’importance. Tu comprends, durant ta maladie, tu essayais sans cesse… De te toucher… Euh… Tu vois ? Mais le Grand Prêtre m’a assuré que ce n’était pas pêché car tu n’étais pas consciente. Il était cependant indispensable de t’empêcher de continuer. Lors de ton mariage, tu seras vierge et pure »

Alicia « Vierge et pure ? Euh, c’est bien de moi qu’on parle ici ? »

Mon papounet « Allons, les servantes vont s’occuper de toi maintenant. Nous feras-tu l’honneur de dîner avec nous ce soir ? »

Alicia « Mais… Je… »


Une horde de jeunes et jolies servantes me font prendre un bain et me vêtissent de ma plus belle robe. Je descends timidement et tout le monde se lève à mon arrivée : tous sont si heureux de me revoir enfin ! Je prends place à table et le repas commence : tout le monde est pendu aux lèvres de Lady Alicia, enfin de retour et saine d’esprit. Et une heureuse surprise m’attend :







Mais c’est lui, c’est lui ! Arto Benthur, le commandant en chef Dornien qui m’a traqué pendant si longtemps, le boucher de Betancuria, l’empêcheur de vivre d’eau claire et d’Amour avec ma douce Pia !


Alicia « Il est hors de question que j’épouse ce gros porc assassin ! »

Un silence glaicial suit ma déclaration puis mon père, rouge de fureur, se relève : « Alicia, dans ta chambre, IMMEDIATEMENT ! Excusez-la, noble Seigneur, elle n’est pas encore complètement remise… La maladie, vous savez… »

Arto Benthur « Je comprends. Entre mes bras, elle trouvera douceur et réconfort, ce qu’il lui faut pour se remettre pleinement. Je veillerai sur ma femme, je vous le promets »


Dignement, je retourne dans ma chambre, où Père vient me trouver : « Arto Benthur a pardonné ton éclat, Dieu merci ! C’est un excellent parti, ce mariage se fera le plus rapidement possible. Nous ne voulons que ton bien, ma douce enfant »

Alicia « Alors donnez-moi Pia ! »

Mon papounet « Ma pauvre enfant, il faudra du temps pour que les effets néfastes de ta maladie s’estompent complètement, mais nous prierons pour toi »


Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Aurais-je donc tout rêvé ? Ma douce Pia n’a donc jamais existée ? Bouhouhou, c’est trop injuste. Mon corps réclame pourtant ses caresses, mon âme ses sourires, je la veux et elle n’a jamais existée !


« Lady Alicia ? Arto Benthur veut vous voir, pour le mariage, vous savez… »

Alicia « Nan, je refuse, allez lui dire qu’il ne me couchera jamais dans son lit . Dehors ! »


Seule, j’ouvre la fenêtre de ma chambre et pleure toutes les larmes de mon corps .






« Alicia ! Alicia ! »

Alicia « Andren ! Mais tu… Tu es censé être mort ? Oh bon sang, je ne sais plus ou j’en suis moi »

Andren « Alicia, je ne peux pas rester. Descend ou oublie moi »



: plonge par la fenêtre :



Alica « Je t’écoute… Et vous, qui êtes-vous ? Maître Nathan ! Mais alors, je n’ai pas rêvé ! »

Andren « Ma Dame, ce flagelleur mental ne m’a pas vendu aux siens, mais à des Duergars maléfiques. Un raid de Dornien m’a libéré et je suis entré au service personnel d’Arto Benthur »

Alicia « Trahison ! »

Andren « Oui, je sais… C’est moi qui conduisait ses chiens de chasse à vos trousses, je suis un pisteur redoutable comme vous savez, mais chaque fois, alors que nous pensions vous tenir enfin, vous parveniez à disparaître. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un avec un talent pareil pour échapper toujours à nos griffes »

Alicia, glaciale « Vous êtes content, alors, vous m’avez enfin attrapée ? Je vais même épouser ce gros porc de Dornien »

Andren « Content, non, je me repens… J’ai vu l’île des prisonniers. Une telle ignominie ! L’Empire des Dorniens, le plus puissant empire du monde, surtout avec ses récentes et nombreuses conquêtes, a besoin de quelqu’un pour le purifier et le laver de ses souillures »

Maître Natahn « Alicia, Arto Benthur est un homme ambitieux : il t’épouse pour marquer ses droits sur Betancuria, mais il ne s’arrêtera pas là et un jour il défiera l’Empereur de Dorne ! Et tu seras sa Reine ! »







Alicia « Tout cela est un peu confus pour moi … Si je n’ai pas rêvé, comment se fait-il que mon papounet soit toujours bien vivant, ainsi que Maud, ma servante personnelle ? »

Maître Nathan, irrité « Alicia, rien de plus facile de modifier les traits de quelqu’un par magie. Je suis devenu le magicien personnel d’Arto Benthur, grâce à Andren, qui m’a conseillé à lui. C’est moi qui ai modifié les visages de ton « père » et de « Maud » »

Alica « Pourquoi me raconter tout cela ? »

Maître Nathan « Je connais tes talents pour manipuler les hommes … Arto Benthur, avec sa folle ambition et mes sages conseils, deviendra un jour Empereur et TU seras l’impératrice. Mais le pouvoir réel sera entre nos mains, non entre les siennes. Allions-nous et le pouvoir suprême sera notre ! »

Alicia « Dites moi, ce Arto, il n’a pas déjà été marié ? »

Maître Nathan « « Si, mais sa femme a disparu tragiquement il y a un mois… Un regrettable accident »

Alicia « Et dès que j’aurai donné un héritier à ce porc, je subirai le même sort… »

Maître Nathan, riant « Alicia, en 9 mois minimum, tu auras bien le temps de le mettre à ta botte. Tu oublies en outre que je veillerai sur toi. Mes pouvoirs sont bien plus grands qu’il n’y parait… Et j’ai besoin de toi, comme tu as besoin de moi. Alors, alliés ? »

Alica « Et Pia ? Je la veux ! »

Maître Nathan « Je la ferai introduire comme servante au château et elle sera à ton service… Ce que vous ferez une fois seules ne me regarde pas »

Alica « C’est cela, Pia sera ma servante et je passerai mes nuits avec Arto… Dites, il ne va pas vivre longtemps celui là »

Maître Nathan « Pia a accepté ce plan… »

Alicia « Ben, vous ne la connaissez pas comme je la connais alors. Elle a accepté pour pouvoir être assez proche du porc, qu’elle va égorger dès qu’il posera les pattes sur moi »

Maître Nathan « De toute façon, ce serait fort risqué… Arto doit être convaincu de l’Amour que tu lui portes si tu veux bien le manipuler. Les rumeurs pourraient être mortelles si on apprend que la future Reine du monde a une relation avec une simple servante »

Alicia « Parfaitement ! Non, mon trône m’attend, c’est décidé, je serai la Reine du Monde , c'est d'ailleurs un poste qui me revient de droit. Je souhaite néanmoins passer une dernière nuit avec ma douce Pia… Une nuit d’adieu »

Maître Nathan « Accordé. Aaah, vous serez la plus grande Reine que le monde ait jamais connu »


D’un mot, Maître Nathan me téléporte 200 kilomètres plus loin, me désigne une petite maison puis cligne de l’œil : « Je reviens te chercher demain à l’aube, ma Reine »



Betancuria, 7h00.


« Lady Alicia ! Il est temps de se lever ! Votre futur époux est ici et souhaite vous parler… Vous l’avez éconduit un peu brutalement hier soir »



A 200 km de là.


« Ma Reine, il est temps. Venez et que votre destin s’accomplisse »



Betancuria, 7h20


« Lady Alica, dernier avertissement, ouvrez ou nous enfonçons la porte ! »




A 200 km de là


« Oui, ce n’est pas facile de terminer vos adieux à Pia, mais il le faut, ma Reine. Le temps presse ! Ouvrez et retournons là bas, vite ! »




Betancuria, 7h30


Les gardes Dorniens de Son Excellence Arto Benthur ont enfoncé la porte de ma chambre et mon futur époux pénètre dans ma chambre : « Vide ! Disparue ! Envolée ! Ah la garce ! Retrouvez la par tous les moyens ! «




A 200 km de là.


Le verrou s’ouvre par magie et Maître Nathan entre calmement : « Ma Reine, je suis désolé mais il faut vraiment… Vide ! Disparues ! Envolées ! Ah les garces ! Andren, il faut les retrouver par tous les moyens ! »




Bien plus loin, sous un soleil radieux:









: gros plan sur les deux héroïnes qui s’embrassent avec passion :

: générique de fin qui se lance :

: main dans la main, les deux héroïnes courent sous le soleil, vers la liberté :





Fin de l’épisode

Dernière modification par Danton ; 26/11/2007 à 19h09.
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  #57  
Vieux 26/11/2007, 19h57
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20/20.

Entre le sénar' et le conteur, on atteint l'excellence.
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  #58  
Vieux 26/11/2007, 22h50
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Envoyé par Chazam
20/20.

Entre le sénar' et le conteur, on atteint l'excellence.

Moi j'aurais dit que l'on frolait la perfection
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Dans les dictons Sparfelien: MIEUX VAUT SA MAINS QUE LA CUL D'UN BABOUIIN.
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  #59  
Vieux 27/11/2007, 18h43
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Merci, merci


Mais si cette oeuvre magistrale a pu voir le jour et, surtout, sa fin, c'est en grande partie grâve à vous, fidèles lecteurs. Oui, vous qui m'avez soutenu et qui avez fait pression, avec succès, auprès de mon imprimeur pour qu'il remonte fortement ma rétribution


Je suis retourné voir comment se portait Hallistra Montargent, une héroïne bien différente d'Alicia Valdanan, et que dire...

Le point le plus négatif du passage NWN1 à NWN2, c'est la gestion de la caméra... Je préfère 100 fois la version du 1.

Avec l'extension MOTB, Osidian a revu sa copie, suite probablement aux plaintes innombrables des joueurs... Ben, le résultat... C'est PIRE qu'avant

J'ai finalement su m'adapter plus ou moins à la caméra de NWN2, mais là je ne sais si j'y arriverai... Ma pauvre tête

Comment Osidian peut ainsi gâche un jeux d'une telle qualité avec un pareil défaut... Alors que c'était parfait avec le 1... Et empirer les choses avec l'extension, c'est vraiment de la bêtise marseillaise
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  #60  
Vieux 27/11/2007, 19h36
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Envoyé par latiatia
Moi j'aurais dit que l'on frolait la perfection
Ouais bin en voyant l'ambiance du scénar, je dirais que l'on frôlait surtout autre chose de plus concret que la seule perfection
__________________
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« Un de mes frères était si maigre que lorsqu’il avait bu un verre de vin rouge, on le prenait pour un thermomètre. »
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