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Vieux 02/07/2007, 23h37
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Portugal 1453- 1465





La route des Epices.



La politique Portuguaise en 1453


Le budget de départ


Choisir ses conseillers en début de partie : pire qu'un départ de formule 1

Les expéditions pour trouver la route des Epices sont lançées mais déjà les difficultés commencent, car Alfonso V (6/5/5), qui n’était pas un très bon monarque, était tout de même meilleur que la Régence(4/3/3) qui suit sa mort en décembre 1459.

Les explorateurs sont en mer, longeant l’Afrique. Le 1er point d’ancrage est l’île de Madeire, puis l’île du Cap Vert, puis beaucoup plus loin à l’est, une île baptisée Fernando Po.
Tout se déroule comme prévu jusqu’à ce que Bartolomeu Dias, cherchant à s’éloigner des rives africaines, et profiter des alizés de l’atlantique sud , essuie une tempête d’une extrême violence au large du Cap Vert.

Il découvre une terre nouvelle, celle là même qui semble être indiquée sur la carte de Piri Rei.
Ces terres se trouvent être très riches, et les premiers efforts de colonisations seront fait à Pernambouco, qui deviendra la 1ère ville coloniale.


Pernambuc, symbole du renouveau portuguais


Joao II (5/3/4), roi chétif et peu enclin à diriger, règnera à peine plus de 2 ans, de décembre 59 à février 62, avant de mourrir d’une fièvre étrange sans doute rapportée des expéditions d’Afrique ou du nouveau monde.

Ainsi, de 1456 à 1462, l’administration dont j’ai besoin pour coloniser aura été particulièrement nulle. J’ai donc concentré mes efforts sur quelques colonies accueillantes, notamment en Afrique du Sud, en attendant un monarque plus compétent.


Un lieu bien accueillant...




Des colonies éparses en amérique du sud



Le budget du royaume très faible ne donne droit ni à l’erreur, ni aux extravagances, et malgré la pression des royaumes coloniaux concurrents, je rechigne encore à engager le combat avec le richissime Empire Inca, nouvellement découvert, et ainsi passer d’une logique marchande à une logique de conquête. Il est encore trop tôt…



En 1462, Alfonso VI (7/7/5) monte sur le trône.

Une politique de colonisation plus audacieuse va pouvoir être mise en place, d’autant que Bartolomeu Dias vient de réussir son expédition aux Indes. Pendant ce temps, Caetano Dias au sud, et Teodosio de Sousa au nord continuent d’explorer les immenses terres de l’ouest.



En Europe, les choses semblent plutôt calmes. La Castille est allée s’emparer d’un immense royaume, celui des Aztèques, et d’ailleurs à cette occasion nous n’avons pas suivit notre allié de peur que la guerre ne fusse trop longue, et ne nuise au commerce.

Mais peu de temps après, je m’embarquais dans une autre guerre, avec l’Angleterre et contre l’alliance bourguignonne. Pur prétexte au départ pour imposer des impôts de guerre et accélérer la colonisation, je pourrais peut-être le regretter car l’ennemi est puissant, et le Portugal absolument pas préparé à la guerre.


Pour la plaisir, une carte d'Europe en 1465
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Vieux 03/07/2007, 13h06
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Chroniques Ottomanes

La pacification des Balkans

Après la chute de Byzance, il restait une lourde tâche au Sultan.
Il fallait pacifier l'Ouest de l'empire ou les Principauté
Chrétiennes de Serbie, de Transylvanie s'agitaient aidée par
le Roi de Hongrie.

Le Sultan entra en Force sur le terre Serbe et pris le commandement
de l'Assaut sur Belgrad qui tomba en quelques jours devant la Puissance
Ottomane. La Serbie fut vassalisée de force et le Prince Serbe reconnu
l'autorité du Sultan. Les batailles qui suivirent furent plus difficiles
pour le Sultan et ses troupes les terrains montagneux de Transylvanie
et János Hunyadi le redoutable général Hongrois obligèrent le Sultan à de
nombreux aller et retour afin de contrer les Pugnaces forces Hongroises.


Le siège de Belgrade

Néanmoins, en 1457, et après plusieurs défaites consécutives, le Prince de
Transylvanie rejeta la Suzeraineté Hongroise. Il n'en fallu pas plus au
Souverain Hongrois dont la Capitale était tenue par le Sultan, il sorti de la
guerre par une paix blanche et un profond respect réciproque avec son adversaire
turque. Le Prince fou de Transylvanie ne pu alors que pleurer sur les restes
de son armée détruite dans la province de Banat avant de perdre définitivement
la tête par le Sabre du Sultan. Son Frère fut installé sur le Trône et la
Transylvanie devint a son tour vassal de l'Ottoman.

A la mort de Mehmet II, son second fils, Ahmet I, monta sur le Trône Ottoman.
Le fils de Memhmet s'il était moins porté sur l'art de la guerre que son père
n'en était moins un redoutable diplomate et un Musulman très pratiquant.
Les première années de son rêgne virent apparaître au sein de l'Empire l'idée
selon laquelle l'Islam devait prédominer et les premières campagne eurent lieu
avec peu de succès auprès des minorité Albanaise de la péninsule Greque.
Ahmet continua l'ouvre de pacification des Principautés Belliqueuses entourant
l'Empire.

Il conitnua les opérations guerrières guerre contre les principauté de Karaman et
Dulakir et en 1459 ces 2 principauté reconnaissaient la Suzeraineté du Sultan
Ottoman et perdaient chacune la moitié de leur possession Anatoliennes.
Aussitôt cette affaire conclue, Ahmet profita du désordre au sein de l'Alliance
balkanique des Chevaliers De L'Hopital pour fondre sur les Principauté Chrétiennes
qui avaient accueilli les descendant des Despotes Byzantins.

En moins d'une année, l'Albanie et les Chevalier de l'Hopital entraient dans le giron
Ottoman par la force ainsi que les Iles Ionniennes fraichement annexées par le Duché
d'Athène.

L'An 1460 vit ainsi s'imposer sur les régions exangues de Grêce et l'Anatolie la Paix
Ottomane. Ahmet s'attelant durant les 5 années suivante à construire un Empire solide
capable de résister au poid du temps.
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J'acheterai tout dit l'or...
Je prendrai tout dit l'épée...
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  #23  
Vieux 08/07/2007, 00h45
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Chroniques Anglaises 1466- 1474



Suite à d’habile manœuvres diplomatiques , l’Angleterre, via ses cardinaux, prend le contrôle de la Curie Romaine, et c’est par le biais de celle-ci qu’elle envoi une légitime proposition de paix blanche à la Bourgogne : deux nations chrétiennes ne peuvent ainsi continuer à se faire la guerre pour des raisons aussi futiles que le pucelage de la belle Hélène . Las, le Duc de Bourgogne refuse d’entendre raison et calomnie grossièrement le Roi d’Angleterre. Puisque c’est ainsi, nous le faisons excommunier .


Malheureusement, le scélérat pervers, loin de devenir plus raisonnable, poursuit alors toujours plus loin sa folie : non seulement il recrute des dizaines de milliers de soldats, mais en plus il ne cesse de construire des navires de guerre . Sur les côtes de Hollande, ceux-ci poussent comme des petits pains et la menace se fait toujours plus grande. Il faut finalement se rendre à l’évidence : le Duc de Bourgogne est tellement fou qu’il prépare une invasion de l’Angleterre , uniquement pour capturer le Duc de Buckingam.



La marine de guerre Anglaise est rassemblée et part affronter les Bourguignons qui se concentrent dans la manche : la bataille est violente et acharnée. Des centaines d’hommes périssent ce jour là, tout cela pour les beaux yeux de la belle Hélène…






La flotte de Bourgogne est écrasée , mais le Duc refuse toujours la paix et mobilise à nouveau : l’Amirauté devra remettre les couverts en 1469, écrasant une nouvelle fois la flotte de Bourgogne mais non sans y laisser des plumes…

Excédé de voir les fonds Royaux mobilisés pour développer la flotte nécessaire pour contrer celle de Bourgogne, Lord Macbeth décide de se rappeler au bon souvenir de Londres en attaquant les Iroquois d’Amérique. Le rude Ecossais et ses frères balayent les sauvages, qui sont annexés pour la plus grande gloire du Royaume d’Angleterre.


Mais le peuple gronde et des révoltes éclatent : la guerre de Troie n’a que trop durée ! La flotte part établir le blocus total des ports de Bourgogne, mais le Duc fou refuse toujours de négocier la paix . Enfin, en 1471, la France attaque ce royaume si pénible et le déferlement des chevaliers Français est comme un coup de massue pour le Duc fou, qui redevient brièvement lucide et offre enfin la paix blanche à l’Angleterre. 7 longues années de guerre pour la belle Hélène, il était vraiment plus que temps d’en terminer.


Pendant que France et Bourgogne s’étripent joyeusement, l’Angleterre panse ses lourdes plaies et se demande qui elle pourrait bien excommunier maintenant…




Déclarations diplomatiques



Au Portugal. Cher ami, votre alliance fut tel un baume guérisseur pour notre cœur meurtri mais néanmoins aimant.


A la Castille. Mon pauvre ami, mais avec qui donc pensez-vous faire la course ? Votre boulimie sans limite apaise t-elle au moins votre sommeil agité ? Si non, à quoi bon toutes ces conquêtes qui foulent aux pieds les droits humains les plus sacrés ? Reprenez-vous que diable, le Très Haut vous regarde et vous juge !


A l’Empire Ottoman. Nous louons votre pacifisme, continuez ainsi sans quoi nous décréterons une croisade sainte contre vous .


A la Suède. La tête hors de l’eau, enfin, cela vous rendra peut-être l’usage de la parole.


A l’Autriche tant aimée. Santé !


A la France. Vos dernières propositions au sujet de Calais nous ont faire rire aux éclats . Reprenez-vous enfin et n’oubliez pas ceci : la Bourgogne n’a pas pu nous vaincre, la France n’a pas pu vaincre la Bourgogne, donc la France ne pourra pas nous vaincre .


A la Bourgogne. Misérable excommunié bâtard, l’heure de votre châtiment viendra et la belle Hélène sera amenée à Londres .

Dernière modification par Danton ; 08/07/2007 à 00h51.
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  #24  
Vieux 09/07/2007, 13h26
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Histoire de France (1466 - 1474)

Cinq ans ! Cinq longues années s'écoulèrent avant que le jeune roi, Louis XI, monte sur le trône. La peur avait été grande dans le royaume de que le prince souffre souffre du même mal que son gand-père et que son père. En effet, le souvenir de la folie de Charles VI était encore bien présent dans les esprit, encore plus les malheurs que cela avait permis. Aussi, lorsque le roi Charles VII, après seulement quelques mois de règne, connu le même mal, le peuple redouta le pire. Beaucoup pensèrent que Dieu ne faisait que punir le royaume pour ses péchés. Viscéralement attaché à leur souverain, la maladie du roi ne pouvait qu'augurer une horizon noire à la France. Les Français ne furent sans doute jamais aussi pratiquant et aussi inquiet de leur avenir.

C'est pourquoi l'arrivée du jeune roi Louis XI était tant attendu. Pendant toute son enfance il n'avait montré aucun signe de ce fléau qui semble s'acharner sur la dynastie royale. Son grand-père, Charles VI, n'avait eu sa première crise qu'à 24 ans ; son père a 19 ans. Personne n'était donc rassuré qu'en, à l'âge de 13 ans, Louis XI était couronné en 1470. C'est avec une certaine anxiété latente que le peuple suive la vie de leur roi. Priant chaque jour que Dieu fait pour que le Seigneur accorde son pardon au royaume et épargne leur roi. Depuis ce jour quatre année se sont écoulées sans la moindre alerte.

Le jeune Louis apprend au fur et à mesure son métier de roi. Conseillé par le sage comte de Luynes, déjà au service de la monarchie au temps de Charles VII, il s'efforce de gommer les dernières années où l'absence d'une autorité souveraine s'est faite sentir. C'est dans cet esprit que le roi, en 1470, somme son oncle le duc de Bourgogne de s'acquitter de ses erreurs et de relâcher les ducs, barons et comtes emprisonnés en les restituant dans leur honneur et dans leurs biens. Pour réponse, le duc s'enferma dans ses terres et leva des troupes.

Le jeune roi allait très vite apprendre ce qu'était l'art de la guerre mais aussi combien son issue est aléatoire et peut être périlleuse. Se pensant fort de son armée de 25000 hommes à pieds et 20000 cavaliers, Louis XI entra en guerre contre la Bourgogne, alliée à la Lorraine, la Cologne et Trêves. Dans les premiers temps, la déesse Guerre semblait avoir fait de la cause française la sienne. Très vite la Lorraine fut acculé à une paix blanche, le roi n'avait aucun grief contre ce seigneur. Déjà les terres françaises bourguignonnes étaient tombées sous la contrôle des armées françaises et la Picardie, Valenciennes et l'Artois étaient en état de siège.
Hélas, les armées royales s'épuisaient petit à petit alors que celle de l'ennemi ne faisait que gonfler et revenir toujours plus forte en homme. Surtout, le commandement bourguignon était sans commune mesure meilleur que celui français. De fait, ils multiplièrent les exploits en infériorité numérique, là où les troupes françaises à deux contre un perdaient une fois sur deux.
Très vite, plus de 50000 soldats bourguignons faisaient face aux armées royales. Le roi entreprit alors un important effort qui greva lourdement l'économie du royaume (+2 en infla). Pendant que 10000 hommes à pieds étaient démobilisés ou regroupés avec d'autres pour reformer des corps entier, 10000 cavaliers supplémentaires furent levés et équipés aux frais du roi (on avait en effet dû faire appel aux jeunes nobliaux ayant fait leurs armes mais n'ayant les moyens de se payer l'équipement du chevalier).
Rien n'y fit inexorablement, progressivement, le commandement bourguignon redressait la situation. Déjà la Champagne et Caux étaient tombés, les armées royales ne faisant plus que défendre au Nord du royaume. La guerre durait depuis plus de trois ans.

Conscient des souffrances de son peuple et des risques qu'il coure, le jeune roi décide alors d'accepter la paix blanche proposée par le duc. Un constat s'imposait : les armées du duc de Bourgogne ne sont plus celles d'un simple duc mais bien celle d'un empereur (le duc est empereur depuis les années 1460).



Déclaration :

- A la reinette d'Angleterre : Vous feriez mieux de sérieusement réfléchir à ma proposition plus qu'honorable pour Calais. Sachez que je ne payerais pas pour retrouver la possession de ma terre.

- A l'archiduc : Méfiez vous de la Bourgogne !

- Au doge : Nous ne comprenons toujours pas pourquoi vous avez voulu nuire à nos bonnes relations. Prendre le Roussillon, une terre française que nous avons publiquement réclamé, a suscité énormément d'interrogation à la cour. Déjà que votre politique annexioniste suscite quelques mécontentements, nous avons très mal pris la proposition que vous nous avez faîtes.

- Au roi de Castille : C'est avec tristesse que nous avons constaté que la cupidité est un trait de votre personnalité. Vous semblez penser que le nouveau monde vous appartient. Vos conquêtes brutales et indignes d'un chrétien ont jeté le trouble dans les colonies d'amérique. Puisque la raison semble aussi vous échapper, puisque vous semblez apprécier les coups sournois (en vous goinfrant quand ceux qui pourraient réagir sont occupés ailleurs), nous n'hésiterons pas à utiliser les mêmes armes que vous. Cela vous apprendra peut être qu'on ne peut montrer patte blanche d'un côté et agir comme le pire des manants sans honneur.
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VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )

Dernière modification par lemarseillais ; 09/07/2007 à 14h49.
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Vieux 09/07/2007, 13h53
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...
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  #26  
Vieux 09/07/2007, 16h57
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L'Empire de Castille en 1474



Durant la période 1465-1474 qui vit l'accession au trône d'Isabel I, la royaume de Castille poursuivit paisiblement son développement.
Les seuls actes guerriers de cette période furent la révolte des Maya au sud de nos possessions du Mexique, ainsi que la glorieuse conquète des indiens au nord de nos possessions de Floride.
Le trésor royal continua ainsi de gonfler considérablement.




Diplomatie- La guerre se prépare

Depuis de nombreuses années déjà nous reçevons des plaintes totalement infondées des royaumes de france et d'Angleterre concernant notre colonisation "trop rapide", pauvre argument masquant leur jalousie. Mais depuis quelques mois, il est évident que ces deux royaumes et notamment le royaume de France souhaitent la guerre afin de nous ravir quelques possessions aux amériques.
La rupture est désormais complètement consommée entre nos deux royaumes.
En conséquence de quoi, la reine Isabel I a décidé de soutenir davantage la garnison du Nouveau-monde, ainsi que l'armée royale de Castille. La flotte est également renforcée et des navires en construction dans les chantiers de Galice.
Nous attendons de pied ferme les français.

A la Bourgogne : Nous vous proposons une alliance. Nos deux royaumes ont le plus grand intérêt à se rapprocher car nos intérêts sont communs.

Au portugal : nous nous félicitons de l'alliance que vous allez signer avec nous, avec tout ce qu'elle impliquera, et nous soutenons votre développement outre-mer.

A la Pologne et à l'Autriche : Nous ne sommes guère d'une quelconque partie dans le conflit qui vous déchire actuellement. Tout ce que nous souhaitons est une résolution pacifique.
J'ajoute à l'Autriche que nous serions ravi d'une plus ample coopération à la condition que quelques garanties soient posées vis à vis de la Bourgogne.
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  #27  
Vieux 10/07/2007, 21h20
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Portugal 1466-1474


Durant ces 10 années, le pays est entièrement tourné vers les mers.
Les affaires européennes nous indiffèrent, fascinés que nous sommes par toutes les richesses qui arrivent au port de Lisbonne.


L'Inde n'était que le début de l'aventure, qui l'eut cru?
La route des Indes est tracée, mais ce n’était que le début ! Durant ces 10 ans, les explorateurs iront beaucoup plus loin, vers l’ouest et l’est. Des colons iront même vers une des îles, dans le pacifique, mais n’atteindront jamais leur but, perdus dans l’océan indien.


Un jour peut-être...
L’immense continent de l’ouest, les Amériques, voit ses côtes, du nord au sud à présent cartographiées, mais l’expédition s’aventura trop au nord, cherchant en vain de nouvelles terres au nord du pacifique, et disparut à jamais.


Un point d'ancrage dans le trou du cul du monde
Sur les terres, les Conquistadors ont été chargé de trouver au plus vite les territoires où les activités commerciales sont les plus intenses. Et effectivement, de nombreux centres de commerce juteux, véritables paradis pour nos marchands, participent maintenant à la richesse du pays.









Avec le Roi Alfonso VI, et son conseiller Manuel José Corte-Real, dont l’aura grandit (offrant un bonus de +15% de colonisation de 1468 à 1474), c’est le début d’une grande période de colonisation, mais surtout le début, à grande échelle, de l’exploitation du Brésil.


C'est beau la terre en vert
Des vagues incessantes de colons partent du royaume pour envahir ce nouveau territoire, pour en faire un nouveau Portugal, et Santana, une nouvelle ville au sud de Pernambouco, est créée.

Pourtant ce ne sera pas facile. Après une période calme, la population indigène commence à s’agiter. D’abord dans les Caraïbes, à Cuba et Curaçao, puis au Bresil même, à Diamantina, où les sauvages saccageront plusieurs fois la petite colonie.

Qu’importe, ils seront bientôt eux aussi heureux d’être les sujets du roi, et les enfants de Sa Sainteté le Pape.

Il fut une époque où les monarques pouvaient décider ou non d’appeler leurs alliés quand une guerre éclatait. Mais ce n’est plus le cas, c’est pourquoi la Castille doit accepter le fait que le Portugal n’ira jamais dans une guerre stérile, contre le Maroc notamment, c’est pourquoi il est absurde de juger de la qualité de son allié pour ces broutilles. La vraie alliance se révèle dans les moments de crise.
Enfin la Castille doit comprendre qu’une alliance est un accord de bienveillance et d’intérêts réciproques. Mettre mon royaume en guerre pour rien, nuit à mon royaume. Et c’est lui qui m’importe avant tout. La Castille n’a en revanche pas besoin des soldats portugais pour vaincre les berbères ou les Aztèques.
A la cour, nous écoutons avec délice les nouvelles musiques venues d’Angleterre, et l’hiver nos femmes portent les sublimes fourrures venues de leurs colonies.


Quel génie des mers sortira de l'école militaire?
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Chroniques Anglaises 1475 – 1483


Acte I. Le baril de poudre explose


L’Angleterre se remettait péniblement de sa trop longue guerre de Troie et n’aspirait qu’à la paix… Hélas, hélas, trois fois hélas, les actions de nos voisins allaient faire voler en éclat notre pieuse volonté pacifiste . Difficile et semé d’embûches est le chemin du Juste et du Vertueux.


Tout commence en 1475, avec l’attaque de la France contre l’Aragon : jusque là, rien qui ne nous concerne. Mais, moins de 12 mois plus tard, la Castille entre dans la danse et ne se contente pas de voler au secours de l’Aragon : ses troupes marchent sur les colonies Françaises d’Amérique. A Londres, c’est aussitôt l’effervescence : la boulimie Espagnole serait-elle donc sans limite ? Madrid souhaite t-elle contrôler les côtes d’Amérique du Mexique au Canada ? Londres ne peut pas accepter la domination exclusive d’une quelconque puissance en Amérique. Déjà, 1/3 des colonies Françaises sont tombées et le moment où les Espagnols avides seront nos voisins directs en Amérique se rapproche à grands pas. Contrainte et forcée, l’Angleterre entre à son tour dans la guerre…


Acte II. La débacle

La France nous accord prestement l’accès militaire et nos régiments franchissent la frontière pour, douce ironie, défendre les colonies Françaises . Surpris, les Espagnols reculent brièvement, mais ce n’est que pour mieux sauter… Ils concentrent leurs forces et s’apprêtent à déferler : le nombre de leurs soldats est tel que, à Londres, l’on ne peut s’empêcher de se dire que tel était leur but depuis des années… Un corps expéditionnaire Anglais est envoyé distraire l’attention des Espagnols : leurs colonies de Cuba sont prises et rasées , puis nos soldats lancent des raids en Floride.


Malheureusement, cela ne ralentit guère les Espagnols, qui lancent 30.000 soldats sur l’empire colonial Français, défendu exclusivement par des régiments Anglais … Qui se replient immédiatement, incapables de stopper cette avalanche. Des renforts arrivent d’Angleterre et une ligne de défense est rapidement mise en place, mais le désastre nous colle au nez . Tout l’empire colonial Français tombe en effet entre les mains Espagnols et ce sont désormais les colonies Anglaises qui sont directement menacées. Plus de 25.000 soldats Espagnols, commandés par de redoutables vétérans des guerres Indiennes, s’élancent en hurlant : du Mexique au Canada, l’Amérique sera-t-elle Espagnole ???


Avertie du redoutable danger, la France avoue son impuissance : elle est entièrement concentrée sur l’Europe et ne peut rien envoyer en Amérique. Lord Macbeth serre les dents et le rude Ecossais entame un combat désespéré pour défendre l’œuvre de sa vie. Déjà, deux villes coloniales Anglaises tombent, mais nos régiments se battent avec une furie incroyable et s’accrochent sans fléchir à nos colonies menacées. De nouveaux renforts arrivent d’Angleterre, où l’on dépense sans compter pour défendre la Macbethie, tout en maudissant la France qui nous a plongé dans cette situation si précaire .


Acte III. La contre-offensive victorieuse de Lord Macbeth

Les combats incessants et les marches forcées usent de plus en plus les soldats Espagnols, qui ne sont plus que 18.000 lorsqu’ils lancent un nouvel assaut contre nos colonies : leur marche est difficile, ils doivent explorer le terrain et, derrière chaque arbre, se trouve un soldat Anglais . Lord Macbeth rassemble enfin ses troupes, encore renforcées par des chevaliers venus d’Angleterre, et tend une embuscade réalisée de main de maître dans la province de Lenape. Ce sera la plus grande bataille de toute la guerre et elle se soldera par un véritable triomphe Anglais , tout comme elle marquera l’échec définitif des Espagnols.


Vaincus et traqués, les Espagnols, après la bataille de Lenape, tenteront vainement d’échapper à nos soldats victorieux : des 25.000 soldats partis pour conquérir nos colonies, aucun n’est revenu en territoire Espagnol … La victoire acquise en Amérique l’est aussi en Europe, où la France est victorieuse, ce qui lui permet de débarquer quelques centaines d’hommes en Amérique pour rapidement conquérir une grosse partie de l’empire Espagnol, désormais sans défense. Curieuses méthodes en vérité … Les troupes Anglaises, qui ont mis à bas les Espagnols, sont quasi systématiquement devancées par des Français qui arrivent à point nommé pour rafler quasi toute la mise… Des ambassadeurs partent à Paris pour tenter de trouver une solution à ce problème tragique, Londres attend toujours leur retour…


Acte IV. La guerre reprend

Cette guerre terminée, nos régiments repartent plein nord, où les Hurons ont profité de l’éloignement de nos soldats pour lancer d’incessants raids meurtriers contre la Macbethie. Ils sont châtiés et annexés, cela leur apprendra .



La paix, enfin ? Malheureusement non, toujours pas : le Roi d’Ecosse, à moitié fou, revendique à son tour notre Empire colonial, sous le prétexte particulièrement ridicule qu’il a été lancé par Lord Macbeth, un Ecossais exilé et fidèle à la couronne Anglaise. Contrainte et forcée, l’Angleterre est une fois de plus obligée d’entrer en guerre. Mais quand donc pourrons-nous goûter à cette paix délicieuse à laquelle nous aspirons tant ?

Dernière modification par Danton ; 14/07/2007 à 16h18.
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Vieux 14/07/2007, 16h24
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Histoire de Frise : 1454-1483




L’histoire glorieuse de Frise débuta avec le règne de Hendrik III qui régna de 1454 à 1460, durant celui ci Frise commença son expansion territoriale, les territoires de Osnabrück et de Gueldre rejoignirent le minuscule royaume tourné alors vers la mer, un rêve tourné vers l’intérieur des terres prenait forme, ces successeurs Hendrik Casimir I (1460-64) et Albrecht II continuèrent dans la même voix, l’un en prenant Brème et Liège et le second en prenant le Lunebourg et Munster.



L’agrandissement du royaume nu pas que des effets bénéfiques, ces années de guerre firent souffrirent grandement les populations soumissent aux pillages des hordes de soldats traversant la région, menant à une rancœur des populations soumissent, menaçant la paix du royaume, la force armé permirent dissuader toute Jacqueries.



Le retour à la cour d’un noble revenant des grandes universités d’Espagne, Vritz Von Litenbourg, celui-ci arriva à changé la politique du pays en 1474, le retour a la prospérité devint alors une priorité pour le royaume, des conseillers furent engagé dans ce sens remplaçant les défunts conseillers militaires. Il avait amené aussi dans ses bagages ses relations avec des personnes des plus influentes a la cour d’Espagne, permettant un l’établissement d’une très grandes amitiés envers les deux pays, de très nombreux furent fait entre les deux ligné ce qui amena une alliance entre c’est deux puissances

L’année 1475 fut des plus tristes avec la mort du roi le 10 aout, celle ci étant d’autant plus regrettable qu’il n’avait eu aucun héritier malgré son règne qui battait les records de longévité (11 ans de règnes), établissant une période morose pour la nation, la politique international fut des plus réduites, a par le soutien a l’allié Hessien contre Clèves, rien ne fut entreprit. Le principal problème qui se posa aux conseils fut la guerre contre la France en soutient à l’allié Castillan, les discutions furent des plus houleuse mais malgré cela rien ne fut entreprit, démoralisant les corps d’armé prêt a frappé Paris.



La période du conseil se termina en 1481 avec l’arrivé sur le trône d’un nouveau suzerain, Ernest Casimir I intronisé le 2 septembre dans la plus majestueuse cérémonie qu’avait connue le pays jusqu'à lors. Le début de son règne fut marqué par la demande d’appuie militaire de la Castille contre le royaume félon de d’Aragon et ses laqués, la réponse de notre fut des plus positives, Frise voulant faire oublier sa passivité durant la guerre franco-castillane, après de couteuse transaction pour traverser la Lorraine nos troupes purent atteindre le royaume de Savoie, les combats qui se déroulèrent furent des plus éprouvant, l’armé de Frise n’étant point habitué à subir un tel relief, chacun des combats demanda un dépassement de soit pour chacun de ses combattants, le 21 aout 1483, la victoire de la coalition était déjà assuré.





La suite au prochain tome

Situation de Frise le 21 Aout 1483 :





La situation du royaume en 1483 après de grand investissement est stabilisé, le risque de Jaquerie est encore là mais aucun de leur leader n’a encore réussit a ce que la populace se soulève. L’intégration des provinces conquise a commencé à se faire, la population voit en Frise une garantit de stabilité face aux autres nations.

En économie, la situation reste des plus catastrophique, aucune amélioration notable ne vint améliorer le système productif et commercial du royaume, l’inflation galopante dut a l’entretien des moyens militaires, est des plus inquiétante, atteignant 9% cette dernière année.





Lettre diplomatique :



A la Castille :

Très cher ami nos bonnes relations me ravisent, nous vous soutiendrons totalement dans votre unificatrice de l’Espagne, votre amitié et l’un des fondements de notre paix. Une seule chose nous grippe dans votre politique, le soutien que vous affiché à la Bourgogne, un royaume fondé sur la déloyauté, celle ci empiète sur notre sphère d’influence légitime, qu’ont ils à faire en Allemagne et en Hollande qui sont des territoires en dehors de la France ! Son alliance est elle si importante a vos yeux, nous ne requérons aux mieux votre soutien ou sinon votre passivité dans l’affaire.



A la France :

Nous protestons contre la capture des territoires que vous avez faite en Espagne lors de votre guerre contre l’Aragon, vous n’avez aucune légitimité à contrôler ses territoires, cela est il raisonnable de continuer sur cette voie ?



A la Bourgogne :



Votre politique agressive dans notre région, nous rend plus que perplexe, que a à faire la Bourgogne en dehors de France et de son royaume que celle –ci lui donner ? Quitter les territoires de Hollande et d’Allemagne que vous avez acquit par votre félonie, où sinon nous serons obliger d’agir par la force, pour les libérés !

Au Danemark :




Nous vous sommons de nous céder Oldenbourg ! Ce territoire fait partie de notre nation, notre légitimité est plus grande que la votre, votre refus n’amènera que la guerre entre nous !
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