#41
|
||||
|
||||
Pour me défendre, je vote Akmar.
Si toutefois de nouveaux élements m'apportaient preuve de son innocence, je changerai mon vote pour suirvre celui de notre commandant.
__________________
AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ? Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière. Malraux, se tournant vers De Gaulle : "- Belle pièce hein Mon Général ? - Malraux, regardez devant vous !" |
#42
|
||||
|
||||
En temps que témoin impartial qui ne demande qu'à s'exprimer à tel point que le témoin se demande si le temps imparti lui sera suffisant avant que les jurés soient l'un parti, l'autre endormi. Je ne suis pas ici pour prendre un parti ou bien l'autre, c'est pourquoi je déposerai comme pièce à conviction une partie d'une lettre célèbre :
LETTRE A M. FELIX "Coelio" FAURE Commandant de la République (vaisseau de notre confédération) Monsieur le Commandant, Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m'avez fait un jour, d'avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu'ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des taches ? Vous êtes sorti sain et sauf des basses calomnies, vous avez conquis les coeurs. Vous apparaissez rayonnant dans l'apothéose de cette fête patriotique que l'alliance russe a été pour la France, et vous vous préparez à présider au solennel triomphe de notre Exposition universelle, qui couronnera notre grand siècle de travail, de vérité et de liberté. Mais quelle tache de boue sur votre nom - j'allais dire sur votre règne - que cette abominable affaire Leaz ! Un conseil de guerre vient, par ordre, d'oser acquitter un Dandy, soufflet suprême à toute vérité, à toute justice. Et c'est fini, la France a sur la joue cette souillure, l'histoire écrira que c'est sous votre présidence qu'un tel crime social a pu être commis. Puisqu'ils ont osé, j'oserai aussi, moi. La vérité, je la dirai, car j'ai promis de la dire, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière. Mon devoir est de parler, je ne veux pas être complice. Mes nuits seraient hantées par le spectre de l'innocent qui expie là-bas, dans la plus affreuse des tortures, un crime qu'il n'a pas commis. Et c'est à vous, monsieur le Président, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d'honnête homme. Pour votre honneur, je suis convaincu que vous l'ignorez. Et à qui donc dénoncerai-je la tourbe malfaisante des vrais coupables, si ce n'est à vous, le premier magistrat du pays ? [...] Mais cette lettre est longue, monsieur le Commandant, et il est temps de conclure. J'accuse le lieutenant-colonel Yboompook d'avoir été l'ouvrier diabolique de l'erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son oeuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables. J'accuse le général Patrocle de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle. J'accuse le général Massassa d'avoir eu entre les mains les preuves certaines de l'innocence de Leaz et de les avoir étouffées, de s'être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, dans un but politique, et pour sauver l'état-major compromis. J'accuse les trois experts en alienneries, les sieurs Truc, Machin et Bidule, d'avoir fait des rapports mensongers et frauduleux, à moins qu'un examen médical ne les déclare atteints d'une maladie de la vue et du jugement. En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, qui punit les délits de diffamation. Et c'est volontairement que je m'expose. Quant aux gens que j'accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n'ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l'acte que j'accomplis ici n'est qu'un moyen révolutionnaire pour hâter l'explosion de la vérité et de la justice. Je n'ai qu'une passion, celle de la lumière, au nom de l'humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises et que l'enquête ait lieu au grand jour ! J'attends. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'assurance de mon profond respect. EMILE "Schnick" ZOLA |
#43
|
||||
|
||||
Ah oui en résumé, Leaz est innocent et les autres sont coupables
Au pif, Akmar, Jag et Dandy |
#44
|
||||
|
||||
Citation:
__________________
[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#45
|
|||
|
|||
Quitte à brûler j'aurais enfin réussit à remplir mon objectif, vous faire bouger un peu sur ce topic avec une accusation
__________________
Veni, vidi, loosi - Akmar Nibelung |
#46
|
||||
|
||||
Tu en auras eu du mouvement, chapeau aux posts de Coelio et de CurTis NewTon :10:
|
#47
|
||||
|
||||
Un petit récapitulatif :
Jag 1 ( El Paco ) Dandy 1 ( Akmar ) Leaz 1 ( Coelio ) Akmar 1 ( Dandy ) Coelio 1 ( T le taudis ) Restent à voter : -Djop -Schnick -Jag -Leaz -Illuvatar -Reborn ( essayez, notamment messieurs Paco et Akmar , de mettre votre accusation en gras pour plus de clarté )
__________________
[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#48
|
||||
|
||||
Citation:
|
#49
|
||||
|
||||
Jag 1 ( El Paco )
Dandy 1 ( Akmar ) Leaz 1 ( Coelio ) Akmar 2 ( Dandy, Schnick ) Coelio 1 ( T le taudis ) Restent à voter : -Djop -Jag -Leaz -Illuvatar -Reborn
__________________
[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
#50
|
|||
|
|||
Citation:
Egalité parfaite tiens Tu noteras mon cher que j'ai accusé Dandy, mais je n'ai pas précisé que je votais contre Dandy Mais bon laisse, changer maintenant ou plus tard ca revient au même
__________________
Veni, vidi, loosi - Akmar Nibelung |
|
|