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  #11  
Vieux 16/02/2007, 18h12
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Très très buen, surtout conté de cette façon !
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
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Vieux 16/02/2007, 18h12
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Sacré Mad, tu arriverais même à rendre captivant un Aar de Tetris.
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Vieux 16/02/2007, 18h21
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Haaaa, le coup de la belle espionne
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements.
Hérodote

Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul.
Alexandre Vialatte
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  #14  
Vieux 17/02/2007, 15h21
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Super cet AAR!!
Je suis dans ma période Rome en plus...
Continue
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And so he spoke, and so he spoke,
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But now the rains weep o'er his hall,
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"Si le droit est avec nous, qui sera contre nous?"

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[14-01, 18:22] : Yann !! Avec sa noix de coco dans le cul !!
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  #15  
Vieux 17/02/2007, 16h30
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(Merci ! )

...

CHAPITRE 3 : la légende Chazam


Encore sous le coup de la clameur qui surplombait la piste, je quittais l’aréne afin de rencontrer différents ingénieurs de la cité. Les travaux avançaient, le projet d’un très grand colisée avait déjà été avancé et le lieu trouvé. La période des jeux s’ouvrait très bientôt, et le premier amphithéâtre servirait pour les combats. De plus, de nombreux dompteurs avaient débarqué, amenant avec eux les animaux les plus exotiques : éléphants d’Asie, crocodiles d’Egypte, girafes et fauves d’Afrique, et même des autruches dont les combats étaient la dernière mode dont s’était entiché Commode à Rome.

Les mois passant, la ville ne cessait de croître, formant un véritable paradis délaissé par Rome. Le système des aqueducs avait été agrandi, l’eau était maintenant disponible sur la majorité du territoire, et la région devenait agréable à habiter.




Un matin, quittant l’exiguïté de mon habitation afin de rendre hommage à Mithra, je rencontrais Oniris en bas de l’insulae. Je fus assez étonné de la voir puisqu’elle semblait passer le plus clair de son temps avec le Préfet Varon, ou alors retournait intriguer à Rome. Elle y avait complètement affermi sa position, mettant un terme à l’éternel travail de sape de ses adversaires en se faisant une amie de Marcia.

Marcia ! Difficile de taper plus haut dans la hiérarchie impériale romaine. Cette femme tapageuse (elle sortait souvent sur le Palatin habillée à la mode Amazone, en tunique très courte et seins nus, révoltant par là même les courtisans qui en avaient pourtant bien vu d’autres) était certainement la femme la plus proche de César, la concubine préférée de Commode, qui la noyait sous les bijoux les plus précieux et organisait des jeux uniquement en son honneur.

Forte de cette amitié, Oniris - désormais intouchable – avait regagné la Grèce le cœur léger : en son absence, les langues se délieraient à nouveau, mais elle continuerait à planer bien au dessus de la mêlée.

La rencontre d’Oniris, je m’en doutais, était tout sauf fortuite. Nous commençâmes à marcher, sous le regard noir du poissonnier qui tranchait furieusement au hachoir des têtes de poissons avant de les jeter dans la rigole toute proche. Nos relations, qui n’avaient jamais été celles de bons voisins (je vous en avais déjà parlé) avaient viré en queue de poisson quand, sur mes conseils, Venitius Varon avait lancé un ordre d’expropriation de la plupart des commerces du quartier, pour raison sanitaire.
La peste ressurgissait parfois dans l’Empire, et il n’avait pas été très dur de jouer de cet argument. Venitius, fidèle de Commode, savait très bien ce qui pouvait lui en coûter de laisser des épidémies se développer sans aucun contrôle. Certains commerçants avaient donc reçu l’ordre de partir sous huitaine, et le quartier serait complètement remodelé pour faire place à de larges villas accueillantes et des jardins décoratifs.





Tout en marchant, Oniris me fit remarquer combien on me voyait souvent aux abords de l’école de mirmillon, ou sur les bancs de l’amphithéâtre lors des combats. Elle accompagna la remarque d’un petit sourire amusé. Je ne pouvais que rougir face à cette pointe, moi qui étendais le plus possible un voile pudique sur ma vie privée. Bien sur, ma tâche aurait pu expliquer ma présence soutenue, d’autant plus que les jeux (étalés sur plus de 120 jours) avaient débuté avec succès, mais comme à son habitude, la belle Oniris avait touché juste.

Etonné par la première victoire du gladiateur Chazam, j’étais revenu plusieurs fois, en premier lieu pour comprendre l’admiration que semblaient lui vouer ses camarades. Par la suite, j’avais pris l’habitude de venir, mais des sentiments nouveaux s’emparaient de mon être à chaque combat.





Lorsque Chazam rentrait sur la piste, je me mettais à trembler pour lui, et sortait soulagé lorsque, quelques minutes plus tard, il terrassait son adversaire. Toujours aussi rapide, le mirmillon possédait une grâce et une habileté reconnues bien au-delà des seules îles grecques. Son charisme évident avait bien entendu rajouté à la légende qui commençait à se former, et plus je le voyais, plus je tremblais.
Moi, l’homme dont la mort était le métier, je me réveillais en sueur certaines nuits, cherchant des motifs valables pour interdire à Chazam de combattre. Mais le gladiateur, par ses combats et surtout, ses victoires, se rapprochait un peu plus de la liberté. Qui sait, s’il combattait à Rome, serait-il affranchi ? Plus il jouait avec la mort et plus il pouvait sentir la vie couler en lui, plus il prenait de risques et plus je craignais pour lui. Mais que faire, sinon assister, à chaque fois, au petit rituel que Chazam accomplissait avant de se mesurer à des adversaires bien plus lourds et inquiétants, de le voir effectuer ce petit geste qui semblait tant le protéger ?

Je n’osais en parler avec Oniris – cette femme, si elle pouvait être la plus fidèle des amies, pouvait également être la plus cruelle des adversaires, et sa réputation à Rome n’aidait pas à lui faire vraiment confiance.




Comme nous arrivions devant le temple de Mithra, je demandais à Oniris si elle avait déjà vu le geste qu’effectuais Chazam avant chacun de ses combats.

"-Mais dans quel monde vis-tu ? Me cracha t’elle. Il se signe, tout simplement. Si tu regardais ailleurs que dans des temples pour Mithra, Diane, ou Mercure, tu comprendrais."
Elle m’abandonna là, alors que j’hésitais à gravir les premières marches du temple. Elle se retourna quelques instants pour me crier :

"-Si j’étais venu, c’est parce que Chal arrive demain ! Ils feront un banquet, chez Venitius."

Chal ! L’un des jeunes hommes les plus dangereux de l’Empire. Son père, Perennis, était LE favori de l’empereur Commode, et pouvait ainsi décider de tout, de la vie ou de la mort de quiconque. A Rome, une véritable lutte à coups feutrés opposait d’un côté la concubine Marcia au favori Perennis. Chaque semaine, on pouvait compter les victimes de cette lutte d’influence. Perennis avait récemment pris de l’avancement, en subjuguant totalement Commode. Il avait ainsi obtenu pour son fils Chal une position extrêmement élevée, celle de commandants des armées en Illyrie, sur la côte Adriatique. Bien trop prés pour Oniris, qui si elle pouvait résister à toutes les attaques, pouvait également, du fait de ses amitiés, servir de victime toute trouvée pour Chal ou son père.

Chal en visite en Crête, c’était étonnant (il n’avait aucun pouvoir en cette région) mais assez compréhensible, s’il avait été invité par Venitius, proche de sa mouvance.

Avec l’arrivée de Chal, disparaissait l’insouciance, puisque cela signifiait que Rome se souciait de nouveau de notre province. D’autant plus qu’avec l’arrivée de son bateau, nous provenaient de sombres nouvelles de Rome : Commode venait tout juste de faire décapiter sa propre sœur sur les conseils de Perennis et de son fils, Chal.





Avant même que les marins ne détendent les voiles du bateau et que Chal ne mette le pied sur la terre Crétoise pour la première fois, un nuage obscurcit le ciel et l’Empire tout à la fois.

Dernière modification par marlouf ; 02/03/2007 à 13h02.
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  #16  
Vieux 17/02/2007, 21h53
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CHAPITRE 4 : La vrai nature de Chal


L’arrivée de Chal en Crête correspondait au moment ou la politique de l’empereur de Rome, Commode, prenait un tournant radical. Non content de faire exécuter sa propre sœur, il fit également assassiner la plupart de ses proches, envoya au cirque certains de ses précepteurs et poussa au suicide les dernières conseillers de son père, Marc-Aurèle.
Après plus de 84 ans d’une politique tumultueuse, mais avisée, Rome était reprise par ses vieux démons, et s’offrait au pire des maîtres. Sur tout cela, la main de Perennis était bien sur présente, et donc celle de Chal. Pour autant, comme me l’appris Oniris, la position du favori et de son fils n’était pas forcément établie ad vitam eternam. Venant d’une femme qui depuis des années jouait au plus dangereux des jeux qui soit à Rome, l’information était de taille.
Bien sur, je ne souhaitais pas en savoir plus : qu’il y ait ou non complot, peu m’importait, je devais continuer ici la mission confiée par César : fonder une ville de jeux qui resplendirait dans tout l’est de la Méditerranée.




La présence de Chal m’inquiétait tout de même, comme une menace diffuse, mais toujours présente. Il conversait souvent avec le Préfet Venitius Varon, que de fait je voyais de moins en moins. Je profitais donc de ce temps pour continuer l’amélioration des cirques dans la ville. On comptait déjà un amphithéâtre et un colisée de taille assez réduite, il était maintenant temps de lancer la construction d’un véritable Colisée pouvant accueillir toutes sortes de jeux, ainsi que d’une piste pour les auriges, les conducteurs de chars.

Entre ces différentes tâches, j’assistais bien sur aux combats auxquels participait Chazam, m’enthousiasmant pour sa vitalité sur le cercle de sable au fond de l’arène, à l’unisson de la population qui en avait fait son héros. A chaque fin de journée, quand le sable n’était plus que sang et poussière mêlés, les citoyens partaient dans les échoppes les plus proches afin de revivre chaque combat, faisant ressortir chaque souvenir avec du vin de Thrace.

Je demandais – et obtint – que les conditions de vie de Chazam soient améliorées. Une nourriture meilleure, une couche plus confortable, une esclave parfois présente dans sa cellule, bref plein de petites choses sans réelle valeur mais qui, je l’espérais, rendait sa vie moins dure. Je me rendais parfois dans sa cellule alors qu’il s’entraînait à l’extérieur, effleurait sa couche et touchait du doigt la petite croix taillée dans de l’obsidienne, cachée dans l’une des infractuosité de la petite pièce.




Oniris m’avait beaucoup appris sur les Chrétiens et sur leurs rituels. Etonnant comme notre civilisation, qui s’était nourri de toutes les croyances, rejetait totalement celle-ci. Un peu partout, les temples dédiés à des divinités toujours plus nombreuses étaient construits, chaque demeure comptait plusieurs niches pour les dieux protecteurs, et pourtant les chrétiens nous servaient toujours d’épouvantails.

Un soir que j’étais invité chez Venitius, alors que tous les patriciens de la ville étaient présents, je rencontrais enfin Chal. Le jeune homme, au premier abord agréable, ne semblait pas mériter la terrible renommée qui s’attachait à chacun de ses gestes. Certes son père devait être un homme assez terrible pour aussi mal conseiller César, mais je ne voulais pas juger aussi vite. Je remarquais rapidement que Oniris, d’habitude toujours à virevolter autour de Venitius comme pour montrer où sa propriété commençait, semblait très morose.

La discussion tourna rapidement sur ce qui intéressait les citoyens de n’importe quelle province de l’empire : ce qu’il se passait à Rome. Chal nous confirma ce qui n’était encore que rumeurs en Crête : Commode, qui s’exhibait de plus en plus au Colisée (de 120 jours initialement, la durée des jeux avait été poussée à prés de 170 jours) avait, en brillant archer, tué les 100 fauves qui avaient été lâchés sur la piste un après-midi.
Un condamné à mort, qui allait avoir la tête arrachée par la patte d’un lion, fut gracié par Commode après que celui-ci, au dernier moment, ait abattu l’animal d’un trait bien placé.





Un mois auparavant, plus de 10.000 combattants étaient morts sur la piste le temps d’une seule journée, le plus grand massacre de gladiateurs auquel Rome ait assisté. Ce prodige, pour moi dont la vie tournait autour de l’organisation de ces spectacles, me glaça littéralement le sang. La perte d’un seul gladiateur, celui auquel je pensais sans cesse, avait transformé mon travail en une prison dont je ne savais comment sortir.

Chal se pensa vers moi et, arrachant la cuisse d’une oie rôtie, me lança :

"- Dis moi, Caius, votre Chazam, dont parle toute la Grèce … j’aimerais le mesurer à l’un de mes esclaves, un Goth terrifiant, capable d’écraser un crâne d’une simple pression des doigts. Organise nous ça, veux tu ? Le vainqueur pourrait ainsi se mesurer à notre César ! "

Chal éclata alors d’un rire qui se transforma en quinte de toux quand il s’étrangla avec son oie. Tandis que Venitius lui servait du vin, le félicitant pour cette brillante idée, je fis tout pour ne pas tourner de l’œil. Je courrais vers les jardins, et vomit tripes et boyaux.

Si Chazam devait combattre, ses chances de survie étaient quasi nulles. S’il perdait, il risquait de mourir de la main du Goth. S’il gagnait, il devrait se rendre à Rome, et combattre Commode, qui adorait descendre, nu, sur l’arène, afin de défier les meilleurs gladiateurs.
Aucun esclave n’était jamais ressorti vivant de ces combats, qu’il soit tué des mains de César ou, s’il devenait trop entreprenant et risquait de mettre en danger la vie du Dieu vivant, qu’il soit percé par les lances de la garde prétorienne.

Commode avait ainsi, arguant de ses victoires, lancé une nouvelle taxe, la juste récompense du peuple Romain à son empereur combattant, ajoutant à ses multiples richesses une pension de gladiateur, tout simplement faramineuse, qui gonflait un peu plus son ego.

Je rentrais dans la maison, tentant de retrouver le contrôle de moi-même.
Les convives, plus enivrés que jamais, continuaient de gloser sur Rome.
Chal, renversant son vin sur son voisin, s’écriait :

- Mais la politique de Commode n’est pas encore assez ferme, certes, elle le sera bien assez tôt. Regarde, Venitius, comment nous laissons prospérer nos ennemis, comment nos armées s’affaiblissent…

Voyant passer Oniris, il se mit à ricaner

- Regarde comment nous laissons ces chrétiens, avec leurs mœurs abjectes, prospérer ! Marc-Aurèle, même si je respecte parfaitement son fils César, avait bien compris le problème puisqu’il les désignait pour les fauves, les croix et les flammes. Mais attend Venitius, tout va changer. Une fois écartée cette Marcia, cette maudite femme, Commode comprendra quel est son intérêt en envoyant tous ces adorateurs de Cristos à la mort.

Oniris, qui s’était arrêtée, palissait de plus en plus. Ainsi donc, à Rome, la position de Marcia, la concubine de César, s’effritait en faveur de Perennis. Marcia, elle-même chrétienne, avait beaucoup fait pour que Commode ne reprenne pas les habitudes de son père en arrêtant, torturant et tuant les Chrétiens comme cela avait été le cas jusqu’en 180.

Oniris s’approcha de Chal, et, d’une voix sourde, lui murmura :
- Je te tuerais, j’en fais le serment…

Chal la regarda et éclata de rire
- Tu mourras bien avant moi, chrétienne, ne t’inquiètes pas pour ça !

A moitié assommé par le vin, Venitius les regardait tous les deux la bouche ouverte, complètement hébété.
Dans les pièces à côté, les toges et les tuniques tombaient, les corps s’emmêlaient en une orgie qui semblait tous les dévorer.
Mais je ne voyais rien, je ne comprenais rien de tout cela. Je pensais juste à la journée suivante.



Le lendemain, la seule chance pour Chazam de ne pas trouver la mort à Rome, de la main même du plus sanguinaire des empereurs, était de perdre face au champion amené par Chal.



(hrp: si je dérive un peu trop à l'extérieur du jeu, n'hésitez pas à me le faire savoir, mais disons que c'est assez dur de rendre une construction de ville trés interessante
ps : promis, je ne ferais pas d'AAR Tétris )

Dernière modification par marlouf ; 02/03/2007 à 13h03.
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  #17  
Vieux 17/02/2007, 22h51
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Les évenements dont tu parle sont une pure invention ou il y a des sortes de mission dans le jeu?
Comme par exemple l'empereur qui te met la pression ect...
Sinon c'est toujours très bien. Pauvre Chazam...
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  #18  
Vieux 17/02/2007, 22h54
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Non non , c'est bien comme ça

PS : en plus ça lui va comme un gant ce personnage à Chal !
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  #19  
Vieux 17/02/2007, 23h56
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Envoyé par GA_Thrawn
Les évenements dont tu parle sont une pure invention ou il y a des sortes de mission dans le jeu?
Comme par exemple l'empereur qui te met la pression ect...
Sinon c'est toujours très bien. Pauvre Chazam...
Ah, si seulement, ça donnerait une vrai profondeur au jeu... Mais non, absolument pas, les seules interactions sont des messages, par ci par là (Spartacus qui promet de faire une razzia avec ses esclaves, César qui parle de ses conquétes en Gaule, Néron qui menace de venir chanter dans l'amphithéatre ) qui donnent ponctuellement un peu de joie (ou en enléve) aux habitants, et les commandes de Rome exigeant des pierres, du vin et du lait de chévre
Aprés les différentes missions de la campagne repose vagument sur un fondement historique (comme combattre contre Hannibal en fondant des villes en Italie et en Espagne - avec l'inconvénient que le jeu donne en gros comme date pour cette guerre punique du -150 ou -100 ... enfin bon pourquoi pas) mais c'est finalement plus proche du néant.

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PS : en plus ça lui va comme un gant ce personnage à Chal !
Ouais, bien vicelard, un poil tordu, je trouve aussi que ça lui va bien
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  #20  
Vieux 18/02/2007, 04h11
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