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Vieux 04/05/2008, 23h17
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Par défaut Les aventures de la GPO Machiavel

Bienvenue à toi cher lecteur, Ôh tout puissant Akmar soit le bienvenue !
Eh toi, viens ici ! Dégages moi ce geek de l'entrée. Akmar arrive.....Je me fiche de savoir qu'il s'agit de Coelio....mets lui une pièce si ça te chante.

Donc bienvenue sur les terres de la GPO Machiavel, terres de grands faits et de bravoure...mais aussi de félonies et déshonneur (bah oui comeon participe à la GPO). Laissez nous vous compter les plus grands exploits du monde, les actes les plus héroïques que même Homère n'a pas chanté. Laissez vous envahir par nos aventures trépidantes et abreuvez vous de nos récits jusqu'à votre saoul. Vous atteindrez l'extase de l'ivresse et alors, seulement alors, vous en viendrez à penser que nos aars sont mieux que médiocres.

Voici à présent la liste des hérons de notre monde :
- une France malheureuse et orpheline de lemarseillais dirigée par Tcao
- une Angleterre désespérée d'être entre les mains de Pedrolane
- un Portugal ruiné par les folies de Lord Klou
- une Autriche désabusée par les absences d'Elvis
- un Empire Ottoman vil et traitre comme Comeon
- une Venise humiliée par Jag
- une Moscovie en pleurs aux mains de Paleologue
- une Castille rayonnante, lumineuse, confiante, optimiste, belle, énergique, svelte, mâte, tigresse, brune avec une silhouette bien dessin.....euh....dirigée par lemarseillais

Ces hérons des temps modernes, équipés comme il se doit, partiront à l'aventure sur de puissantes montures : NA 2.1 + mod MM 1.792 revisité.

Sans sourciller d'un cheveux, ils se plieront aux règles les plus draconiennes qu'il soit afin, à tous, de montrer leur âme de hérons.
  1. Les gains entre les joueurs sont, au moins pour la première moitié de la GPO, limité à 100% de pts de victoire.
  2. Tous gains territoriaux obtenus de force par un joueur contre une ia pourront être remis en cause par un autre joueur dans les 20 ans qui suivent (on résonne en année, pas la peine de retenir le jour et le mois précis). Cad qu'un joueur pourra entrer en guerre pour recréer cette ia ou lui rendre ses terres volées même si cela dépasse largement les 100% de pts de victoire (pour rendre beaucoup de terres on peut passer par une modif de save).
  3. Les aars sont récompensés de diverses manières. Les 2 meilleurs auteurs de chaques périodes (=3 aars) gagneront des conseillers 6 étoiles. Les vainqueurs sont désignés par des lecteurs indépendants.
  4. Les joueurs (défenseurs et agresseurs) se lançant dans une guerre pour défendre une ia, pour libérer une ia, pour récupérer les terres d'une ia détenues par un humain (afin de lui rendre), en clair des guerres où il n'y a AUCUN gain personnel (pécunier ou territorial) de réalisé, auront SYSTEMATIQUEMENT leur inflation et leur BB remis à leurs états d'avant guerre. C'est au joueur de noter son inflation et son BB juste avant la guerre, de calculer la différence après la guerre et de la communiquer au GO.
    Les limites sont les suivantes :
    1. cela ne s'applique que pour les ia victimes de guerre. Si vous attaquez un joueur qui a diplo-annexé une ia, votre guerre n'aura pas de statut particulier et donc de récompenses particulières. C'est votre seule vision du monde qui vous fait remettre en cause l'union diplomatique de 2 pays. Pas la morale et l'honneur.
    2. ni le grosbillisme ni le boutisme ne seront récompensés. Si vous recrutez au delà des limites du censé (la limite du censé est au jugement du GO omnipotent et indiscuté) avant la dow ou pendant la dow OU si vous vous acharnez à maintenir l'état de guerre et à recruter toujours plus alors que vous avez été indiscutablement vaincu/ou que vos offensives ont été détruites, votre inflation ne sera pas corrigée.
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )

Dernière modification par lemarseillais ; 10/05/2008 à 12h19.
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Vieux 09/05/2008, 13h33
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The Life of Ian Pedrolane


Dix-huit avril 1453, 09h30 du matin, je me rendais à mon bureau dans les rues froides mais ensoleillées qui caractérisent Londres en un moi d’Avril.

Sur mon chemin, je rencontre un vieillard qui m’apostrophe :

-- Toi !!! Toiii !! dit-il d’une voix agonisante, tu ne seras bientôt plus jamais le même, tu deviendras éternel par la force du sang royal…

Dubitatif, et me doutant que cet homme devait être imbibé d’alcool, je continuai mon chemin tout en me repassant ces paroles insensée dans ma tête.
Quand, machinalement, j’arrivai devant la porte de « my office », je rentrai et m’installai, je sortis mes plumes et commençai à rédiger ce texte qu’un Bourgeois nommé Dan The Fisher, m’avait commandé la semaine dernière.

En fin de matinée alors que je m’apprêtai à sortir déjeuner, on frappa à la porte :

-- Entrez, dis-je machinalement

Sur ce, dix gardes vêtus des uniformes et des sceaux d’Henri VI, entèrent et formèrent haie, puis se mirent en position du garde à vous , s’exclamant en chœur « Henri VI, King Of England ».

Voyant arrivé un homme trapu, vêtu de très belle manière, je m’agenouilla immédiatement, bien sur je ne savais pas à quoi ressemblait notre roi et je l’apprit à mes dépends quand un autre homme arriva quelques minutes plus tard et s’éclaffa de rire en me voyant agenouillé devant celui qu’il appelait « Turtleman"

-Très cher, Ian Pedrolane, relevez-vous, je vous en prie.

- -Merci Seigneur, que me vaut l’honneur de votre visite, en quoi puis-je vous être utile ?

--Ah, et bien venons-en directement au fait donc.
Voilà, récemment j’ai demandé à «Turtleman » de faire une enquête à travers tous le royaume et de me trouver une personne de bonne famille dont les ancêtres furent, aussi loin que nous puissions remonter tous scribes, sans exceptions.

En effet, je souhaite engager un scribe à mes cotés car l’Angleterre vie de terribles années et ce que je souhaite par-dessus tout c’est que mon nom soit retenu et laver de tous propos malhonnêtes à travers les temps futurs.

Et pour être certain d’avoir affaire à une personne connaissant son métier et pas à un des ces charlatans, je fit commande de cette petite recherche, qui nous emmena, hélas pour toi (dit-il avec un sourire narquois), directement dans « your office ».

-Heu… c’est c’est, très gentil monseigneur mais…

-Avant que tu ne dises quoique se soit, je tiens à te dire que si tu acceptes ma proposition, je te nommerai Lord, que toi et ta descendance serez en permanence protéger par la couronne des Lancastre et que votre nom sera associé à nos succès et nos gloires.

Mais tu l’auras compris, il se peut également que ton nom soit associé à des choses moins nobles , si la situation empire, quoiqu’il en soit se sera à toi d’écrire l’histoire . Tout dépendra donc de ta plume, cher ami.

Qu’en dis-tu ?

-Heum … la réponse ne me semblait pas réellement évidente, bien sur tout ce que le roi me proposait en récompense était fabuleux et jamais je n’aurai pu espérer pareille réussite dans toute ma vie, seulement il y a des bruits qui court ces temps-ci dans les rues de Londres, notamment sur une possible démence de notre roi mais également des bruits de rébellions venant de la famille des York. Il serait dangereux en ces temps de prendre position… Cependant il serait encore plus dangereux de refuser une faveur au roi.

J’accepte !! Dis-je avec une appréhension mal cachée.

-Bien dis le Roi, je n’en attendais pas moins d’un homme de votre envergure ! Demain matin une calèche viendra vous cherchez à votre domicile, préparez vos affaires personnelles, nous vous avons trouvez une maison plus proche du palais, c’est là que vous résiderez à présent.
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Vieux 09/05/2008, 14h44
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Chroniques d’Angleterre (1453-1480)

Redacted by Ian Pedrolane



An de gloire 1453, le Glorieux Henri VI, maitre incontesté de l’Angleterre règne sur notre magnifique nation. Une terrible guerre ravage l’Angleterre depuis près de 80 années maintenant, le Roi Henri VI décida dans sa grande sagesse de mettre fin à cette guerre , la Gascogne, ancienne terre Anglaise fut cédée à la France, celle-ci promit une somme d’argent à l’Angleterre en compensation, seulement un peu de temps fut demandé par la France, ce que Henri VI accepta d’accorder dans sa grande amitié , sagesse et mansuétude.
Ainsi, la guerre que l’histoire retiendra comme guerre des 80 ans se termina enfin.


Quelques mois après la fin de la guerre, une terrible nouvelle arriva , la Guerre des Roses était relancée par la famille des York qui réussit à mobiliser des forces militaires contre le Roi qu’ils accusèrent de lâche vis-à-vis de la France.

Dieu seul sait à quel point Henri VI fut au contraire courageux de reconnaître qu’il serait impossible de conserver cette terre au vue de la puissance militaire terrestre toujours croissante de la France.



La guerre des Roses



Quoiqu’il en soit, la guerre fut relancée, les York réussirent tout d’abord à déstabiliser le pays et à s’emparer de diligence remplies d’or royal, ces petites victoires ponctuelles suffirent pour rallier une partie de la population paysanne à leur cause.

Cependant à la cours, tout le monde semblait serein, en effet même si les York possédaient une armée plus nombreuse, il n’en restait pas moins qu’elle était composée de paysans et d’artisans, la seule véritable armée se trouva du coté des Lancastres.

Le matin du 24 juillet 1458 cependant, une terrible nouvelle secoua le royaume, Henri VI fut retrouvé pour mort dans son lit, les médecins arrivèrent très vite à la même conclusion : à savoir l’empoisonnement.

N’ayant pas de fils mais seulement une fille âgée d’a peine 6 ans, un conseil de régence prit les rênes de l’Angleterre, ce conseil de régence fut désigné par le testament du roi Henri VI, lui-même, qui avait prévu cette éventualité.

Cependant cette désignation ne fut pas accueillie favorablement par certains nobles qui espéraient grappiller un peu de pouvoir avec la mort d’Henri VI, bon nombres d’entres eux se soulevèrent alors et rejoignirent les York.

Le conseil de régence devait maintenant faire face à un soulèvement de nobles ainsi qu’à la guerre des Roses réengagée par le York.

Les subsides alloués à l’armé furent doublés (maintenance terrestre à fond), des conseillers en stabilités furent engagés (un six étoiles et un 4) et les généraux vétérans de la guerre de 80 ans furent rappelés. Tout cela hélas avait un prix, c’est durant cette période sombre que l’Angleterre s’épuisa financièrement et du se résoudre à réduire l’investissement technologique et augmenter l’inflation.

Cependant ces mesures, malgré leur prix, furent efficaces, très rapidement (en deux ans), l’ensemble des nobles furent remis au pas et firent serment de leur allégeance à la famille des Lancastre, il fallut cependant attendre dix ans et la décisive bataille dite « The Battle of Ireland » pour voir les York vaincus définitivement et prêter également allégeance à la famille des Lancastre.



L’Alliance Anglo-portugaise et l’Affrontement d’avec les forces Mahométanes



Depuis déjà de nombreuses années l’Angleterre et le Portugal étaient alliés, et même en pleine guerre civile, jamais, l’Angleterre ne déshonora son alliance.

Ainsi lorsque le Maroc et son allié algérien attaquèrent sournoisement notre allié portugais, nous décidâmes d’envoyer la « Royal Navy » en soutient.

Très vite nous montrèrent aux Marocains notre supériorité navale, et remportâmes de nombreuses batailles, cependant un soir de brouillard très intense, les marocains usèrent de leur talent le plus considérable, à savoir la piraterie et s’emparèrent de 7 navires lourd Anglais !

Cet acte odieux marqua la fin de la 1ère guerre contre ces chacals, après ces évènement et les déboires de notre allié portugais, une paix blanche fut signée, cependant jamais l’Angleterre n’oublia cela.

Ainsi, c’est donc avec plaisir que lorsque le Maroc déclara à nouveau la Guerre à notre allié nous envoyâmes ce qui nous restait comme flotte, et en coordination parfait avec notre allié, nous bâtâmes les marocains et les algériens, batailles après batailles nous écrasâmes leurs flottes, et nous allions même jusqu’à récupérer deux des sept navires lourds que leur piraterie nous avait enlevé.

Encore une fois, cette guerre se solda par une paix blanche, cependant cette fois l’honneur et le prestige se trouvait de notre coté, en effet jamais les Mahométans ne connurent pareilles défaites maritimes.

Pour finir, alors que notre allié portugais se trouvait en pleine guerre civile, le Maroc décida à nouveau de lui déclarer la guerre, encore une fois nous acceptâmes d’aider notre allié et envoyâmes nos forces navales au large du Portugal afin de les faire réparés pour ensuite les envoyer au combat, cependant nous apprîmes que les Mahométans avaient commencés un débarquement au Portugal, nous décidâmes alors de sortir notre flotte immédiatement, et le résultat fut sans équivoque, les navires marocains furent coulés et leurs hommes massacrés par les forces portugaises qui firent preuve d’une bravoure sans égale se battant à al fois contre des rebelles et des Mahométans.

Après de nombreuses batailles navales, une paix blanche fut une nouvelles fois accordée dans sa grande mansuétude par le Monarque portugais au Mahométans.



La guerre contre la France, la perte de Calais et la trahison Ecossaise



Après avoir signé une paix et avoir fait la promesse de dédommager l’Angleterre financièrement, la France dut faire face à une terrible tragédie, en effet un conseil de régence en pris le contrôle afin de pallier à la disparition inattendue du monarque alors en place.

Cet évènement bien que lointain pour l’Angleterre aura des répercutions très grave pour notre nation, tout d’abord aucun ducats français n’arriva dans les caisses anglaises et ensuite, calais, dernier bastion anglais sur le continent fit tourner la tète aux Régents Français qui souhaitaient s’en emparer.

La France déclara donc la guerre à l’Angleterre, elle était accompagnée de tous ces vassaux, de la Norvège mais également et étonnement de l’Ecosse.

L’Ecosse qui était pourtant alliée de l’Angleterre décida de rejoindre les camps Français et envoya près de 12 000 hommes sur les provinces du Nord.

Nul doutes que la cours Ecossaise et la famille des York, qui en grande partie se réfugièrent en Ecosse à la fin de la guerre des Roses, furent très liés dans cette affaire.

Cependant Mary Ier bien que piètre Reine entreprit ce qu’il fallait et réussit à stopper l’avancée Ecossaise tout en protégeant les cotes d’un débarquement en anéantissant bon nombre de navires écossais, norvégiens, etc.

Cependant elle ne pu empêcher le débarquement de 1000 norvégiens en Irlande dans la province de Meath, c’est alors que notre Allié et ami Portugais arriva en débarquant près de 3000 hommes en Meath et battu à plate couture les norvégiens. Jamais nous ne serons assez reconnaissants de cette aide précieuse car en ces temps là l’Angleterre était privée de tout navire de transport.

Après avoir repoussé hors de nos frontières les forces écossaises, Mary Ière prit alors les commandes de la diplomatie Anglaise et négocia avec les Régents la fin de la guerre, ceux-ci réclamèrent encore et encore la cession de calais, bien que Mary leur expliqua en leur montrant des missives diplomatiques écrites de la main même de leur Roi que la France ne souhaitais pas s’emparer de Calais par la Force mais qu’il s’agirait d’un acte diplomatique, rien n’y fit. Mary dut se rendre à l’évidence, l’Angleterre ne pouvait espérer conserver calais par la guerre et du donc céder aux revendications françaises.




Economie et infrastructure.



Durant ces 27 années, l’Angleterre ne cessa de croitre économiquement, via le commerce évidement mais également via le développement important que connurent ces infrastructures, ainsi une politique stricte des dépenses fut mise en œuvre et celle-ci permit à l’Angleterre d’équiper l’ensemble de ces provinces d’ateliers, faisant ainsi monter les revenus annuels de 30 ducats, un vrai bol d’air qui permit à l’Angleterre de ne plus devoir freiner son investissement technologique et de ne plus faire grimper l’inflation qui fut maintenu à 4.1 pour cent, ce qui est u chiffre parfaitement honnête en comparaison avec les autres nations Européennes.

Aujourd’hui le trésor anglais est estimé à plus de 850 ducats, ce qui permet à l’Angleterre de voir l’avenir sous les meilleurs hospices qui soient.

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Vieux 13/05/2008, 22h29
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***** Chroniques de la principauté de Moscovie *****





La situation de la Principauté Moscovite au débuts des années 1480.

La chute de Constantinople et de l'empire Byzantin ainsi que la décapitation de l'église orthodoxe avait provoqué un véritable cataclysme parmis tout les états Rus et particulièrement en Moscovie. Le Patriarche Alexieus avait trouvé refuge à Moscou qui était devenu en quelques années la terre d'asile de tous les anciens dignitaire byzantin et à commencer part nombre de membre de la famille Paléologue miraculeusement échappé au massacre de 1453.

Les années qui suivirent furent des années de guerre et encore de guerre. Les khanats slaves du sud des steppes avaient perdu de leurs vitalité alors qu'au contraire le dynamisme de la principauté Moscovite semblait iresistible. Les grand duc commencèrent par ratacher directement le Ryazan à la Moscovie puis ce fut au tour de la principauté de Yaroslav d'etre réunifiée autour de Moscou.

Mais au sud les tartars et les mongols demeuraient une grande menace et derrière eux les turcs ottomans. Les Moscovites s'élancèrent vers le sud et combatirent de longues années les hordes de Crimée et du Kazan. Aujourd'hui de vastes etendues de steppes ont rejoins la souveraineté du Prince de Moscou et les tartars représente plus du tiers de la population de la principauté.

Cependant au nord, la sournoise et corompu république de novgord ne cessait de comploter avec les musulmans de la basse volga et actuellement une guerre oppose les moscovites et les Novgorodiens pour la suprématie politique et militaire sur les peuples rus...

Message diplomatique au sultan Ottoman:

Nous n'avons pas oublié 1453 et jamais nous ne le pourons. Nous resterons trés attentifs sur la tolerence de vos états envers nos freres orthodoxes de thrace, de Grece et d'Anatolie. Nous sommes cependant pret à dialoguer avec vous dans l'interets de nos etats et peuples respectifs.

Messages aux souverains chrétiens d'europe.

La principauté de Moscovie regorgent de soldats pret à être engagé pour servir de justes causes. N'hesitez pas à contacter nos ambassades si vous recherchez des forces de mercenaires compétentes...

La principauté de Moscovie à également besoin de fonds étranger pour se develloper. Des partenariats nombreux et profitables sont à porté de main. Nous accepterons l'argents de tous les investisseurs privés ou d'états en nos domaines. Sachez que la Moscovie a grande mémoire pour ses amies mais se montrent impitoyable à ceux qui la trahirons....

Que dieu protège le prince...
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Vieux 14/05/2008, 00h36
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Chroniques de la Sublime Porte, portant sur l’histoire du Grand Sultanat des croyants (831- 858), à la direction de nos amis et alliés, qu’ils soient croyants ou chrétiens, mais aussi de tout les puissants de cette terre que la question ottomane intéresse de près ou de loin, ou qui souhaite apprécier ses connaissances sur notre grandiose Empire. Pour des raisons de commodité et de bienséance envers nos lecteurs chrétiens, nous utiliserons le calendrier romain.





Mehmed II

Cette chronique commence ainsi en 1453 (831), date à laquelle gouverne en notre sublime Empire le magnifique sultan Mehmed II Fâtih. A cette époque, Nous sommes en guerre contre le royaume catholique de Hongrie, mais dans sa grande sagesse toute commune aux précieux hommes de l’histoire, Mehmed II se contenta d’une vassalisation de la Transylvanie en 1458. Tenant ainsi sa parole envers l’Empereur des chrétiens.

Durant cette glorieuse période de succès économique et militaire, succès fut aussi politique et diplomatique. Par maîtrise ultime d’influence, notre sultan convainquit le Karaman de s’attaquer à la Serbie présentement annexée par le duché d’Athènes. En effet, une présence musulmane était souhaitée dans cette région pour faire tampon avec la belliciste Hongrie. Ce qui fut fait, en même temps que le Karaman s’octroyait les Cyclades. Cette dernière picorée ne pouvait être toléré par le Sultan qui déjà avait été fort généreux offrant un vaste territoire à son allié.

Les troupes du Sultan intervinrent donc sous son ordre et remirent de l’ordre céans. Le Karaman fut vassalisé, la Serbie et les Cyclades furent rattachés à l’Empire, en même temps que passant devant Athènes à la tête de sa flotte, le Sultan décida d’y débarquer pour y imposer une paix définitive sous l’égide de la vrai Loi. Cependant homme éclairé, ouvert et magnifiquement intelligent, Mehmed II n’imposa pas tout de go la Loi Ottomane ou la Charia, mais adapta à chacune de ses conquêtes les us et coutumes locales afin de ne pas froisser les peuples.

Sur la chemin de retour à Istanbul, quel ne fut pas la surprise de notre glorieux maître quand il appris que le Al-Koyunlu et Qara-Koyunlu s’étaient par friandise fort bien entendu à Bagdad concernant une attaque conjointe contre notre inviolable territoire. Et en effet, bien rapidement, des dizaines et des dizaines de milliers de piétailles en tout genre, mais également de dangereux cavaliers du désert mirent le siège jusqu’en Cappadoce et Galatie. Le Sultan et ses géniaux généraux lancèrent une offensive et écrasèrent le Al-Koyunlu, et repoussèrent un peu les hordes du Qara-Koyunlu. Il faut savoir qu’à cette époque (et c’est toujours le cas), ce dernier royaume est une bien grande puissance puisqu’il s’étend d’Astrakhan à l’embouchure de la Volga, jusqu’à Ispahan, et encore loin à l’est.

Cependant, alors qu’allait être lancée une offensive définitive pour châtier ces traîtres, deux catastrophes semèrent le germe du chaos dans l’Empire : Mehmed II mourra à la tête de ses troupes en 1463, et l’alliance Polono-Lituanienne déversa à l’ouest, en Bulgarie, Silistrie et Macédoine ses masses en arme, abreuvées de messages d’intolérance religieuse, et ceux-ci se livrèrent pendant 7 longues années à l’ouest du Bosphore, au pillage, au forcement des femmes et mirent au bûcher musulmans et chrétiens orthodoxes sans différence aucune.





Osman II

Le Sultan Osman II, après avoir écarté ses quatorze frères de la manière coutumière de notre sultanat, dut ainsi faire face pendant deux ans à une guerre sur les deux fronts et fut dans l’obligation de puiser dans les caisses et frapper monnaie à maintes reprises. Les prix du pain et de la laine s’en ressentirent d’autant plus que durant cette période, une épidémie de peste éclata à Istanbul puis se répandit dans toute l’Anatolie, semant tellement la mort qu’on ne trouvait plus faucheur dans toute la campagne pour récolter le blé.

Aussi, lorsque l’Al-Koyunlu proposa la paix générale en nous offrant en tribut une de ses provinces, Osman, loué soit sa sagesse, accepta volontiers de signer.

Il put ainsi rapatrier toutes ses troupes à l’ouest combattre les méchants chrétiens qui massacraient toujours aussi joyeusement nos sujets, nonobstant le devoir que leur religion, semblait il pour nous, leur devais souffrir.

Pendant cinq années, la guerre perdura et les Lituaniens au final signèrent la paix. Restait encore les polonais à mater, mais alors qu’ils avaient été bien chassé de chez nous, et que Osman II et les grands généraux Oman Herseki et Isa Oulouch s’en allait préparer en Silistrie le passage de leurs cavaliers en terre chrétienne, voilà que l’Al-Koyunlu, toujours allié à son funeste voisin le Qara nous attaque derechef, pissant ainsi sur le traité de paix signé 5 ans auparavant.

Par les grâces de Ali Ogdemü, grand vizir et diplomate hors pair, la paix fut signée à contre cœur avec le royaume de Pologne, abandonnant notre suzeraineté sur la Transylvanie, et nos troupes encore une fois durent tourner bride vers l’est. Cette fois la guerre fut plus difficile encore, mais au final la paix fut signée, et nous annexâmes Trébizonde en tribut. Il faut saisir ici le pourquoi de la difficulté de ces épisodes de guerre : en effet Osman II au début de son règne avait bien puisé dans les caisses et l’inflation avait atteint un niveau dangereux pour la stabilité de l’empire, aussi pour éviter que les braises du peuple ne se réveillent en incendie alors que l’épidémie de peste continuait de les attiser, Osman II prenait garde à économiser le moindre talent de cuivre pour que le poids de la guerre, continue depuis 10 ans ne pèse point trop dur sur le peuple. Aussi il put entretenir une armée fort convenable, mais point suffisamment nombreuse pour guerroyer sur deux fronts.

La série de déclarations de guerre ne s’arrêta pas là, et l’Albanie, allié à la Bosnie, se décida elle aussi à tenter sa chance contre nous. Mal lui en pris puisque ces deux royaumes furent facilement balayés, n’obtenant aucuns soutiens chrétiens, et ils furent vassalisés tout les deux en un tour de main.

La paix était revenue, et il semblait qu’enfin qu’Osman allait pouvoir s’intéresser au redressement de l’économie de l’empire, quand la peste l’atteignit à son tour. Un moment, l’espoir sembla égailler la cours inquiète : les meilleurs médecins de l’empire étaient à son chevet, et diagnostiquèrent une peste bubonique, qui bien que fatale à tout les coup pour le bas peuple encrassé, pouvait dans de rares cas trouver une issue favorable quand le sang du malade était suffisamment fort et vif pour isoler la maladie dans les bubons de l’aisselle, puis que celle-ci s’écoulait naturellement en le dehors du corps par ces mêmes bubons. Ces prédictions semblèrent justement se réaliser, Osman II réussissant à retrouver quelque force et à se lever. Mal lui en prit puisqu’à peine levé et ayant fait quelques pas il s’écroula sur son impérial buffet sur lequel siégeait le sabre de son père. Ce dernier lui trancha les aisselles desquelles sortirent un flot de pus et de sang, révélant de forts et multiples aposthumes. Si bien qu’il mourra deux jours plus tard pris de fièvre intense et de pourrissement de la peau. Malheureusement, il faut savoir que le royal flot de pus qui lui avait été fatal avait contaminé tout ses frères, et maints personnages important de l’empire venu assister à la convalescence de leur maître, et que ceci leur fut fatal à tous.

Ainsi il ne resta plus personne pour gouverner à Istanbul. Un conseil de régence se mit en place, supervisé par les deux généraux, que la grâce d’Allah avait protégé de la maladie et il dura 3 ans, de 1471 à 1474. Durant ces trois années une guerre civile éclata, qui ruina l’empire encore plus, certains survivants d’importance se réclamant de l’héritage d’Osman II. Heureusement, la peste disparue aussi vite qu’elle était apparue durant cette période.

Finalement, en 1474, Ahmet Ier devient notre sultan, ayant fait la plus généreuse des offres aux généraux. Il fonda une nouvelle dynastie.



Ahmed Ier

Durant son règne, l’alliance polono-lituanaise nous déclara encore une fois la guerre mais elle fut repoussée. La paix blanche fut signée dès que possible car Ahmet Ier ne souhaitait pas ruiner son pays dans une guerre longue et difficile dans les pauvres plaines de Pologne.

Ahmet Ier dut tenir sa promesse envers les généraux et il les laissa entreprendre les préparatifs militaires pour une guerre de conquête contre les Mamelouks d’Egypte. Le cassus-belli nous fut en réalité fort généreusement offert quand ces derniers annexèrent la Cilicie à l’un de nos voisins et amis. Ainsi la guerre fut déclarée en cette année de 1479 et est en cours actuellement.





Diplomatie :



Notre diplomatie concernera surtout notre voisin russe, puisque nous n’avons aucune nouvelle de l’Empereur des chrétiens.

Nous souhaitons dire au tsar que nous ne regardons pas d’un bon œil l’expansionnisme dont vous avez fait preuve, au moment en réalité, et c’est là motif de gravité le plus ultime, où nous étions occupé dans nos propres affaires intérieures, tentant de sauver l’intégrité de notre Empire. Sachez maintenant que nous avons les mains libres ayant maté ceux qui nous menaçaient, et qu’ainsi nous regarderons attentivement ce qui se trame en Crimée, zone de la plus cruciale importance aux yeux du Sultan soyez en conscient.

Nous ne souhaitons aucunement le conflit, direct ou indirecte, mais gagez que si jamais celui-ci devait éclater, notre sublimissime sultan demanderait en tribut la libération de la Crimée. Nous n’avons que faire de ce que vous faites au nord de cette région, ni à l’ouest d’ailleurs, mais cette région est de trop grande importance, et vous le savez, car elle apporterait à celui qui la contrôle, que cela soit vous ou nous, un avantage par trop décisif. Nous sommes plus riches que vous et pouvons entretenir maintes troupes désormais, soyez en conscient quand vous prendrez vos décisions.

Bien évidemment, si l’envie vous prend de négocier avec notre grandissime Sultan, une ambassade sera la bienvenue.




Cartographie :

Notre Empire en 1480






La menaçante expansion russe
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Vieux 15/05/2008, 20h39
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Chronique de France : 1480-1504.



Situation du Royaume en l’an de grâce 1480 :



En 1480, cela fait prêt de 4 ans que le glorieux Louis XII dirige les affaires de la France, ses aïeux lui ont laissé le plus puissant royaume d’Europe, ceci ayant annexé tout les vassaux, et commencé à remettre l’autorité du roi sur les terres de Bretagne et du félon duc de Bourgogne qui par son trône des Pays Bas pense nous être indépendant !

Depuis 1479, Louis XII a entrepris une nouvelle guerre face au royaume de Bourgogne, mais ses forces mal géré par un certain IA, nous ne donnons que ses initiales pour le protéger de la vindicte populaire, le royaume du signer la paix au plus vite pour réorganiser le royaume et réparer les dégâts, surtout avec les menaces extérieurs. Après la prise de Dijon, et en accord avec nos voisins, nous libérâmes le Luxembourg et la ville de Liège, cruellement annexer par le félon.

La première action de notre souverain à la fin du conflit, fut de commencé le coulage et la dissolution des navires et des corps de cavalerie et de mercenaire qui n’avaient aucune véritable utilité.

Au niveau économique, le bilan était des plus flatteur, la France disposant d’atelier dans tout le royaume et de revenu très important malgré une stabilité juste bonne.



La guerre d’Irlande :



Une nouvelle guerre fut lancé en janvier 1482, le royaume de France étant appeler à l’aide par son allié du Munster, Louis XII ne pu que répondre favorablement à cet appel, d’autant plus que le voisin breton, faisait partie des cibles de la coalition, l’Angleterre étant elle aussi allié de Munster.

La guerre fut des plus courte, le duc de Bretagne acceptant dès le mois de juillet la vassalisation de son état réduit à la Vendée, les troupes royales étant les murs de ses deux dernières citadelles. Cette signature intempestive fut mal accueillit à Londres, ceci croyant pouvoir tirer quelques provinces irlandaise du conflit… La France n’a pas pour rôle de nourrir le royaume d’Angleterre…



La guerre contre Milan :



En octobre 1482, une nouvelle guerre embrassa la péninsule italienne, Milan et ses alliés, comptant notamment la Savoie et Florence, s’attaquant à Venise soutenu par l’archiduc d’Autriche et le roi d’Angleterre.


Venise fut rapidement dépassé par la situation et en juillet 1483 elle était quasiment désespéré. Il était trop tard dans la saison pour que la France agisse, celle-ci ne pouvant se risquer à combattre les montagnards en plein hiver. Louis XII, attendit donc jusqu’en mars 1483 pour se lancer dans le conflit, il avait mobiliser pour l’occasion 8000 cavalier et trois corps d’infanterie d’environ 7000 hommes chacun pour assiéger les citadelles savoyardes et protéger les passages alpins pendant que Hugues de la Barthe chargé avec la cavalerie dans la plaine du Pô, donnant un coup de pousse au force de Venise et Anglaise.



La Savoie fut vassalisé avant la fin de l’hiver, et les troupes d’infanterie redescendirent en Italie en mars 1485, prenant Milan et Parme, obligeant le duc de Milan à abandonner tous ses vassaux, la France remontrant une fois de plus sa volonté de libéré les peuples des tyrans.



La guerre contre la Bourgogne :



En juillet 1487, après de longue tractation avec les Anglais pour les attacher à notre coalition, la dernière guerre contre la Bourgogne put être lancer, les objectifs de celle-ci, récupéré tout les territoires nous revenant de droit, donner les Flandres aux anglais et libéré les Pays Bas en un royaume libre.

Le plan de bataille que notre souverain établit, fut des plus simples, la priorité de nos forces étant de prendre les places de Bourgogne et de Picardie pendant que l’Anglais s’occuper des Flandres et des Pays Bas plus généralement.

Tout ce passa comme prévu jusqu’en 1488, les troupes de Bourgogne s’établissant sur nos places frontalières et prenant certaine, et notre coalition installant ses sièges, tout était sous contrôle. Les imprévus arrivèrent en mars 1488, avec l’ouverture des hostilités de la Castille et des Ibères, mais surtout par l’arrivé d’une armée de l’archiduc d’Autriche, qui chargea en Bourgogne nous prenant totalement de cour, nous obligeant dans l’urgence à ouvrir des négociations avec la Lorraine et les suisses pour réduire le front. Ces difficultés ne furent que passagères, les troupes germaniques repartant chez elles, aussi vite qu’elles étaient venues, ce n’était qu’un raide. Pour les Ibères, dès juin leurs armées ne pouvaient plus agir, après les combats du Béarn, où nos forces dirigé par Jules de Boissieu montrèrent une grande combativité et les Bretons par la suite lançant des raides sur les Pyrénéens ne laissant aucun moment de répits aux aragonais.





En octobre 1488, le conflit était en passe de ce finir, les Anglais arrachant les Flandres et libérant les Pays bas comme prévu, la moitié de nos objectifs étaient maintenant remplis, ne resté plus qu’a récupéré nos terres.





La paix fut signée avec la Bourgogne en mars 1489, nos états récupérant Valencienne et la Picardie. Il fallut attendre juillet 1489 et une descente de notre cavalerie en Aragon, pour que la paix, s’installe entre les Ibères et nous.



Les réformes de la période :



Après la guerre contre la Bourgogne et la mort de notre souverain, remplacé par son fils Louis XIII, les réformes commencèrent, la paix s’étant installé dans le royaume.

La première chose de celle-ci fut l’abolition des taxes pesant sur nos artisans, bloquant l’activité.




La seconde fut encore un soutien de la royauté sur la liberté des guildes, Louis XIII confirmant les privilèges déjà accordés à celle-ci, et les libérant du contrôle de l’état.



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On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

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Dernière modification par TCAO ; 15/05/2008 à 20h46.
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Vieux 18/05/2008, 21h29
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Déclaration diplomatique du souverain de France :



Durant le règne de mon père, le feu Louis XII, la carte de l’Europe occidental à connu de grand changement sous son égide. La France durant son règne a su remettre dans le droit chemin son vassal Bourguignon, qui est revenu dans ses états originel même s’il continue de nous désobéir. Louis XII aussi a su avec le soutien des rois d’Angleterre libéré le duché des Pays Bas, comme il devait l’être et sera ! N’en déplaise à certain…

Nos actions ne se sont pas limitées à l’Europe du Nord, nous avons aussi combattu pour protéger Venise et le Pape de leur voisin, établissant notre puissance dans la région par notre autorité sur le royaume de Savoie et la république de Gènes.

Aujourd’hui nous affirmons notre domination sur la plaine du Pô !

Nous avons toujours nourrie des prétentions sur Milan, nous aurions pu renverser les autorités installées par Venise d’un simple coup de la main, mais nous ne l’avons pas étant rentré en guerre au nom de celle-ci. Aujourd’hui nous refusons la situation qui règne sur la Lombardie, Milan doit nous revenir !

Moi, Louis XIII revendique donc en ce jour l’autorité sur les terres de Milan !

Que Venise abandonne ses liens avec le duché s’il ne veut pas subir notre courroux, nous serons récompensé généreusement la Sérénissime en terres dans le sud de l’Italie, celle-ci ne faisant pas partie du Saint Empire Romain Germanique.



Amicalement Louis XIII, roi de France, duc véritable de Milan.
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Vieux 19/05/2008, 22h03
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***** Chroniques de la principauté de Moscovie *****








La Guerre contre Novgorod 1485


Le conflit pour la suprématie au sein des peuples rus ne pouvait que passer par un conflit entre la principauté de Moscovie et la république de Novgorod. Les Novgorodiens avaient abondament soutenus les musulmans de la basse volga, le prince de Moscou était décider à punir ces traitres à la cause Rus.

Novgorod était riche et son armée était nombreuse. Cependant la cavalerie Moscovite allait faire des ravages. Le brillant général Shumski culbuta les armées républicaines à Yaroslav puis a Volgoda. Eparpillée, l'armée de Novogrod fut vaincu en quelques mois et seul le retour de l'hivers ralenti les opérations.
Finalement la fière cité marchande du se rendre et l'ensemble des terres de Novgorod furent rattachée à la principauté de Moscovie à l'exeption de la ville de Novgorod elle-même qui conserva son independance de justesse.


L'invasion de la Suède et des Tartars 1490-1500


Mais Novgorod avaient également des ennemis en Suède. Sitot la paix faites entre la Moscovie et Novgorod que la Suède déclara la guerre à Novgorod. La cité-état, ruinée par sa guerre précedente ne pouvait resister au puissant royaume de Suède et en quelques semaines seulement, les scandinaves s'installèrent dans la ville mettant fin à cette ancienne république.

Mais le roi de Suède, fort de son ost trés important, décida de poursuivre dans sa volonté d'asservir l'ensemble des peuples Rus... Et déclara la guerre contre la Moscovie.

La principauté de Moscovie sortait de 30 années de guerres et n'était pas en état de contenir la vague suédoise. En effet ce fut plus de 30.000 soldats Suédois au moral d'acier qui envahirent le nord de la principauté. Nous ne pouvions compter sur l'hivers pour les terraser... les bougres étaient aussi habitués au froid que nous...

Les forces Moscovites se replièrent sur Yaroslav et abandonnèrent le nord de la principauté en attendant que l'armée et surtout la Cavalerie se reconstitue. Mais la Horde du Kazan devaient en profiter à son tour pour nous déclarer la gerre.

La situation était critique:

30.000 Suédois attaquaient au nord
30.000 tartars attaquaient au sud

Et le Prince disposait de 15.000 soldats dont 6000 cavaliers, d'un trésor vide et de revenus d'impots trop faibles pour lever d'autres troupes...

La décision fut prise de concentrer les efforts contre la Suède. Il fallait contre-attaquer, la battre et la contraindre à la paix avant de pouvoir se retourner contre Kazan.

Le plan semblait simple mais n'était point facile. Les premiers combats contre les suédois allaient se reveler fort instructifs. Les Suédois étaient de véritables fanatiques et ne se rendaient jamais... il fallait les exterminer sur place car aucun ne reculait. L'armée Suédoise était 2 fois plus nombreuses et son infanterie mieux équipée. Seule la cavalerie Moscovites pouvaient sauver la situation. Elle aller devoir combattre sur tout les fronts

Au sud, la situation devint rapidement incontrolable. Les 5.000 fantassins levé en catastrophe ne pouvait barrer la route à la horde du Kazan. Une armée Danoise et meme de Hambourgeois débarqua dans l'unique port moscovite de la mer noir et s'empara de la ville. Partout ailleur, le pays était abandonné au pillage... Les forces tartars entreprirent un siège systématique des places Moscovites...

Au nord les combats succédaient aux combats et les boucheries aux boucheries. Les forces suédoises devenaient moins nombreuses mais le trésor de la principauté devanait vide et déficitaire malgré une imposition portée au maximum. Les villes encore moscovites se révoltaient contre le prince en raisons des impots exorbitant et de la lassitude de guerre... La situation était desespérée et ne fut provisoirement sauvé que par le pret de 200.000 ducats de la part de la monarchie Française.

La Cavalerie Moscovite parvint devant Novgorod mais ce fut 14.000 soldats scandinaves qui contre attaquèrent venue de finlande... la bataille dura longtemps....4.000 cavaliers périrent...

La retraite devenait inévitable car au sud la situation devenait si dramatique que la Cavalerie devait partir affronter les tartars. Avec la chute du Riazan et de Niji-Novgorod, les tartars approchaient maintenant dangereusement de Moscou. Shumski à marche forcé se précipita pour sauver son prince et quand il arriva devant la capitale, c'était pour constater que 9.000 tartars en faisait le siège. La Bataille fut féroce mais Shumski dégagea la ville et les forces du Kazan se replièrent vers Riazan. La moitié sud du pays étaient désormais dans les mains des tartars.

Shumski se porta a nouveau contre les suédois qui assiégeait Vologda. Une nouvelle terrible bataille débuta avec des Suédois qui devaient mourir jusqu'au dernier mais emportant dans la tombe la moitié de l'infanterie moscovite. Shumski ne pouvait poursuivre sur Novgorod car pour la 2eme fois les tartars étaient devant les murs de Moscou. Mais les forces de Shumski étaient trop éprouvées. Il fallut hiverner à Yaroslav au nord de Moscou en attendant que la cavalerie moscovite se reconstitue. Les murs de Moscou commencèrent à donner des signes de faiblesses au printemps mais Shumski parvint pour la 2eme fois à sauver la capitale.

La situation financière continuait à s'enfondrer. 70% du pays étaient occupés et le reste était souvent pillés. Le roi de France envoya de l'or et... surprise, le sultan également... Cette or permit au moins de continuer à payer l'armée dont la maintenance fut réduite au minimum et même dans ces conditions, elle coutait le doubles des revenus de l'état malgrés des impots au maximum.... La Moscovie survivait grace à l'emprunt et aux dons étrangers....

Si Moscou était sauvée, le nord lui était définitivement perdu. Vologda avait fini par se rendre comme Arkanguelsk. Il ne restait plus que Moscou et Yaroslav sous controle Moscovite. Shumski se porta sur Yaroslav pour bloquer l'avance des Suédois mais les tartars arrivèrent une 3eme fois devant Moscou...Et 10.000 Suédois marchait sur Yaroslav...

Il était temps de ceder pour sauver ce qui pouvait l'être. Une capituation sans condition fut adressée à la Suède. La Moscovie céda le 1/4 nord de la principauté à la Suède et son unique port sur la mer noire à son allié de Hambourg.

Dégagée enfin de ces fanatiques scandinaves, la Moscovie allait pouvoir enfin se concentrer contre les tartars...

Shumski dégagea pour la 3eme...et dernière fois Moscou puis se lança dans une terrible chevauchée bousculant les armées du Kazan sur sa route. De petites armées de fantassins purent reprendre Riazan et Niji-Novgorod ainsi que toutes les villes de la basse-Volga. Il était temps alors de se mettre définitivement hors de porté de la menace tartare et les forces moscovites entrèrent à Kazan et Samara afin d'imposer la capitulation sans condition des tartars. 2/3 des terres tartares furent annexées.

Enfin, apres 50 années de guerre, la paix faisait son retour... les revenus avait chuté à seulement 5.000 roubles /mensuels.

Une ambassade du Sultan Ottoman vint à Moscou réclamer Lugansk. L'état était ruiné, il n'était pas possible de dire non au grand turc et une province tartar fut cédée à l'empire ottoman ésormais solidement installé au nord de la caspienne

La victoire finale contre Kazan ne pouvait masquer le désastre. La guerre avait ruiné le pays et 30% des rus étaient sous occupations suédoises au point que désormais les tartars et les musulmans étaient légèrement majoritaire au sein de la principauté. La guerre avait également montré l'énorme fossée technologique qui séparait désormais la Moscovie des monarchies occidentales et notamment de la Suède...et cela dans tout les domaines...

Le grand dessein de rassembler tout les rus dans un grand état les rassemblant: la Russie ...de demeurait un reve innacessible...

Dernière modification par Paleologue ; 19/05/2008 à 22h11.
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Vieux 23/05/2008, 15h39
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La guerre pour Milan : 1505-1508 (problème avec les screens je verais sa à mon retour)




Un ans après l’envoie des premières déclarations diplomatiques, en janvier 1504, les troupes française étaient en fin prête pour la bataille, installé dans le sud du royaume et armé de leur artillerie de siège.

Face à au royaume de France, une coalition de soutien au duc en place fut crée sous l’égide de l’Espagne naissante, qui se proclame comme notre adversaire pour l’hégémonie en Europe !

Face à ses puissantes forces contre nous, le royaume disposait de 89 milles hommes, dont 3 milles artilleurs pour lever les résistances rapidement en territoire ennemie.

Les opérations furent lancées en août 1505, le 29 exactement, avec le soutien de nos alliés italiens, de Savoie et de Gènes, les troupes ducales furent rapidement balayé et le siège pu s’installer en devant Milan qui s’écroula avant la fin de l’hivers.

La menace impériale ne se fit connaître qu’après cet événement, ceci se lançant dans une bataille éperdu pour sauvegarder la garnison de Parme qui était entrain de tomber sous nos assauts après la perte de ses murailles. La bataille commença en Février 1506, par l’engagement entre Mittelbach et Jean de Broglie, les combats durèrent jusqu’aux 25 mai, engageant prêt de 12 milles cavaliers, 3 milles artilleurs, et 6000 lansquenets français contre 8 milles cavalier et 18 milles hommes à pieds de l’empereur, l’Empereur à notre surprise arriva à se rendre maître du terrain, mais à quelle prix ? Prêt de 22 milles impériaux avaient périe, contre 5000 chez nous ! Après sa l’empereur ne représentait plus un danger, et le corps de siège fut renvoyé tranquillement se refaire une santé pour la campagne d’Espagne, un corps de 8 milles cavalier continuant la lutte en Italie et dans l’empire.



Les combats en Espagne commencèrent en octobre 1506, par l’installation d’un corps d’infanterie devant Perpignan en attendant l’artillerie aux printemps, malgré tous les efforts espagnols le siège ne fut pas levé, grâce à l’intervention de la cavalerie d’Auguste Crèvecœur.

La percé principal fut lancé en Août 1507, par la campagne de Crèvecœur à l’intérieur de la péninsule Ibérique, traversant le royaume de Navarre, pour le lever le siège de Biscaye contrôlé par une garnison de Breton et ensuite les poursuivre.

Pendant ce temps, toutes les forces espagnoles se lancèrent dans un assaut désespéré sur nos frontières, se brisant face à nos lances, les repoussants facilement, l’heure de l’offensive générale avait sonné, installant nos forces sur tout l’Aragon dès Février 1508.

Le royaume d’Espagne face à nos brillantes manœuvre ne put que signé notre généreuse proposition de paix contre le Roussillon, obligeant inévitablement les autres belligérant à reconnaître nos exigences sur Milan.
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Vieux 27/05/2008, 23h57
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***** Chroniques de la principauté de Moscovie *****




*****1504, La principauté de Moscovie est à l'agonie*****

La terrible guerre contre la Suède et Kazan laisse une principauté de Moscovie ruinée en ce debut de XVIeme siècle. Le prince Ivan III meurt sans heritier direct et c'est le prince Yuri II de Tver qui monte alors sur le trone. De fait la Moscovie est désormais en union personelle et le prince de Tver Gouverne Tver et la Moscovie.

Le Neveu de Yuri II, le prince Yvan Romanov revendique son heritage au nom d'une Moscovie puissante et indépendante. Le jeune prince a de l'ambition et n'a guère de scrupule. Il sait que la clef du redressement se trouve en Suède, cette Suède qui occupe tout le nord de la principauté.

Le pouvoir à changé en Suède. L'ancien régime à disparu et un nouveau roi dynamique a pris les commandes du royaume scandinave. Yvan Romanoiv quitte Moscou au printemps 1504 et passera plus de 15 ans en Suède à la cour de stockolm. 15 années, 15 longues années à arpenter le palais royal Suèdois. La bataille diplomatique qui s'annonce est difficile, d'autant que le sultan Ottoman a également envoyé son meilleur ambassadeur, une vrai langue de serpent qui par tout les moyens essayent de convaincre le roi de Suède de se mefier de la Moscovie qui devindra un jour un puissant ennemis de la Suède.

Un accord au bout de 3 ans semblait se dessiner mais les pourparlers furent rompu à l'initiative de la Suède... langue de serpent avait encore frappé...

Yvan Romanov ne lache rien. Il propose au roi de Suède de le reconaitre Suzerain total de la Moscovie pendant 30 années durant lesquelles les nombreuses armées Moscovites combattront partout aux ordres de la Suède. Mais la Suède n'est pas satisfaite, elle souhaites des compensations pour la perte du centre de commerce de Novgorod et réclame 600.000 roubles pour ouvrir un nouveau centre en Suède. La Moscovie est ruinée, il n'y a pas d'argent dans les caisse et le Prince de Tver Moscovie Yuri II ne lachera rien....

Les années passent et la situation reste bloquée mais heureusement languede serpent semble moins actif... peut etre fut t'il rappellé par son maitre à Constantinople.

Yvan Romanov gronde, pleure, suplie... c'est un véritablement harcellement qui durerera des années du roi de Suède et enfin un accord est trouvé... un accord incroyablement couteux pour la Moscovie mais necessaire pour le retour à l'independance.

La Suède cedera ses terres russes à la Moscovie
La Suède entrera à Tver et déposera le prince de Tver Moscovie Yuri II
La Suède reconnaitra en Yvan Romanov le nouveau Prince de Moscovie

En contrepartie :
La Moscovie signe une alliance militaire de longue durée avec la Suède
La Moscovie versera la somme gigantesque de 1.500.000 roubles à la Suède soit environs 50 années de recette fiscale moscovite au moment de la signature du traité.. Heureusement le paiement sera différé dans le temps.

Au printemps 1517, la Suède déclara la Guerre à la Moscovie et le prince de Tver pris la tete des armées de Tver-Moscovie et organisa la defense. Mais Yvan Romnanov avait donné ses consignes et les forces propremement Moscovites refusèrent de suivre les ordres du prince et se retirèrent dans le sud laissant les forces de Tver seule pour affronter les Suèdois.
Tver fut batut et les Suédois entrèrent victorieux dans le palais de Yuri II. Le prince de Tver-Moscovie fut imémdiatement déposée et Yvan Romanov, acclamé par la foule fut proclamé nouveau Prince de Moscovie à Moscou le lendemain. Fidèle à sa parole, le roi de Suède remis Tver, Volgoda, Pskov, Olonest et Novgorod à la Moscovie. Hambourg alliée à la Suède, céda Kouban sur les bord de la mer noir qui redevint ainsi Moscovite.

L'année suivante, une puissante alliance Danoise déclara la guerre à la Suède dont les forces furent rapidement submergée et Stockolm menacé par les Danois. Le nouveau Prince de Moscovie, Yvan III Romanov se porta au secour de la Suède et depecha 18.000h dont 7.000 cosaques à la rescouse. Les premiers combats sont encourageants, les forces danoises ayant été battut dans le Skane par une terrible charge de la cavalerie Moscovite...
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