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  #21  
Vieux 31/12/2006, 17h57
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En même temps, je ne fais pas un AAR bourrin en espérant recréer le défunt empire ottoman en quelques années. J'ai quelques idées, un peu folles et osées mais qui peuvent être amusantes....

Malheuresement, la suite des aventures de la Turquie ne viendra que début janvier, les précieux fichiers étant restés à Paris.
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
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Vieux 10/01/2007, 18h12
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La suite !

Après la magnifique mais dure victoire sur la perfide Bulgarie, l’Etat Major réorganise l’armée tant pour pacifier les provinces conquises que pour former un rideau défensif à l’est du pays. Ainsi, 7 divisions sont stationnées en Bulgarie tandis que 9 divisions sont envoyées à l’est face à l’URSS, la Perse et la Syrie. C’est bien peu et aussi courageuses que soient les troupes turques, elles ne pourront pas stopper une invasion du pays de la part de l’URSS.
En revanche, la Syrie et le Liban, deux anciennes possessions ottomanes qui sont désormais de honteux protectorats français, restent à la merci des forces turques. L’Etat Major réfléchit sur un coup de force qui permettrait de prendre le contrôle de la région grâce à une action rapide des forces blindées…





Mais l’heure est à la paix et il se trame d’avantage de choses sur le plan intérieur : le 24 avril, le Parti Communiste Turc est interdit. Ces traîtres marxistes s’étaient vivement opposés à la guerre contre la Bulgarie et sont désormais soupçonnés de servir l’URSS. Les relations avec cette dernière sont tendues : si officiellement le dialogue reste cordiale (+75) et que les deux pays entretiennent encore de fructueux échanges commerciaux, les envois d’espions se multiplient et des forces soviétiques sont repérées en manœuvre dans le Caucase…

Le 6 août 1939, nos chercheurs en armement se lancent sur un ambitieux projet : la conception d’un char moyen de 20 tonnes équipé d’un canon de 50mm. Le char allemand PzKpfw III est pris comme modèle et les recherches devront aboutir avant la fin de l’année.


Le premier prototype du char moyen turc de 20T pendant les essais dans les étendues brulantes d'Anatolie.




Pendant ce temps, la formation de notre deuxième division blindée se termine et le 26 août, la 2ème TKZ rejoint les forces armées turques baptisé du glorieux nom de notre ancien président : « Ataturk » sous les ordres du général Koldecan

Le 1er septembre 1939, à la surprise des gouvernants turcs, l’Allemagne agresse la Pologne tandis que la France et la Grande Bretagne apporte leur soutient à cette dernière. C’est la guerre en Europe !

Très vite, la Pologne tombe sous les assauts des chars allemands ce qui nous conforte dans le choix d’une doctrine de forces blindées : nous équipons ainsi la 2ème TKZ d’une brigade d’ingénieurs le 3 octobre : c’est une nouvelle division d’élite avec laquelle nos adversaires devront compter !

Alors même que la Pologne a déjà disparu, partagée entre l’Allemagne et l’URSS, cette dernière lance une attaque sur la petite Finlande. Le monde serait donc devenu fou ? Quoi qu’il en soit, ce regain de puissance soviétique ne peut que nous inquiéter et c’est pour cette raison que le 9 janvier, la formations de plusieurs escadrilles d’intercepteurs est décidée et nos divisions de montagne sont améliorées au standard 1939 : nous ne laisserons pas les russes s’en prendre à notre pays !

Nous observons aussi attentivement l’évolution de la Grèce : 4 espions surveillent les agissements grecs. Si les grecs masquent toute agressivité, il semble en revanche qu’ils soient à l’origine de soulèvements dans la province albanaise de Vlore près la frontière grecque.

Le printemps est calme en Europe jusqu’à ce que le 3 mai, l’Allemagne passe à l’attaque sur le front ouest en envoyant ses panzers face à la France ! Cette dernière, qui mènera une lutte courageuse et lancera plusieurs contre attaques victorieuses, ne pourra empêcher la prise de Paris 6 semaines plus tard. La France, grand vainqueur de 1918, est tombée face aux chars allemands…

Mais nous avons le regard ailleurs que sur Paris, en effet, la chute de la France à provoqué un retournement de situation au proche orient : la Syrie et le Liban, s’ils restent liés à la France, ne font plus partis des alliés. Une opération militaire pour libérer ces territoires est décidée pour l’automne sous le nom d’Opération Scorpion !

Pour mener à bien cette opération, nous utiliserons nos deux divisions blindées ainsi que 5 divisions d’infanterie. Cette force sera couverte par deux escadrilles d’intercepteurs et pourra compter sur le soutient d’un escadron de bombardement.

L’opération Scorpion est prévue pour fin octobre - début novembre selon la météo et la disponibilité de nos troupes…

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Dernière modification par Dandy ; 10/01/2007 à 23h53.
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Vieux 10/01/2007, 18h21
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Ah, au fait, DandyTurk demande la meilleure stratégie possible car la Syrie et le Liban possèdent plusieurs divisions de bon niveau (français 1939, croyez moi, faut se les farcir quand même ).

Celui qui donnera la meilleure stratégie gagnera une place dans l'AAR sous la forme du Chef d'Etat Major des forces turques pendant l'opération scorpion ! (Bah quoi, vous vous attendiez à un bisou ou un carambar ? )
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  #24  
Vieux 10/01/2007, 20h59
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Il nous faudrait au moins un plan avec l'état des forces énemis et des tienne, sinon ca va être dur de t'aider !
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  #25  
Vieux 10/01/2007, 21h30
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Voila pour les infos plus précises :

La Turquie dispose de 2 divisions blindées "Early Tank" avec chacune une brigade d'ingénieurs, 4 divisions d'Infanterie 1939 dont une avec une brigade AA et une autre avec une brigade d'ingenieurs et 1 division de cavalerie.
Chaque division blindée dispose d'un lieutenant-général "offensif" de skill 1, les divisions d'infanterie sont sous le commandement du Général Ionu (skill 2, offensif) et je peux disposer de quelques autres généraux aux traits moins interressants (quelques skill 2 défensif, un commando...)

Ces divisions sont prètes à attaquer et pourront compter sur le soutient de deux escadrilles d'intercepteurs (on ne sait jamais...) et un escadron de bombardement tactique.

La force d'attaque pourra éventuelement compter sur un renfort de deux divisions d'Infanterie dans un délai de 1 mois.



Concernant les ennemis, les informations sont maigres :
Pour la Syrie, la carte indique au moins une divisions de milice à Dar ar Zawr, tandis que mon unique espion en Syrie rapporte 4 divisions d'infanterie. Pas d'aviation.
Pour le Liban, aucune informations mais il faudra surement compter sur une ou deux divisions d'infanterie.
Pour les deux pays, les divisions sont au niveau technologique de la France en 1939 donc plutot coriaces...



Voila la carte des opérations :




Concernant la tactique, j'avais pensé à lancer mes deux divisions blindées vers Beyrouth, l'une longeant la cote, l'autre passant par Dar ar Zawr et Hims pour se rejoindre à Tripoli et lancer l'assaut sur Beyrouth pour en finir rapidement avec le Liban. Pendant ce temps,deux divisions d'infanterie longent la cote et prennent place à Tripoli pour attaque Damas tandis que les trois autres divisions (2 DI + 1 DC) attaquent Dar ar Zwar (donc si vous avez suivi, c'est un assaut combiné avec la seconde division blindée) et y prennent place pour attaquer Damas.

Voila ce que ca donnerai, les timings étant prévus pour que chaque assaut avec plusieurs unités soient coordonnées. Avec un peu de chance, l'ennemi se pourra même se laisser enfermer dans Hims puisque je prévoi de tenir Aleppo (Alep ?) avec une ou deux DI amenée en renfort.




Edit : j'ai oublié la légende : en rouge, les divisions blindées, en bleu, les divisions d'infanterie, en vert, la division de cavalerie. Chaque trait représente le parcours d'une division.
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Dernière modification par Dandy ; 10/01/2007 à 22h03.
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Vieux 11/01/2007, 00h11
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Hum....

Permet-moi de te dire que ton plan n'est pas optimal, ta DB à l'est risque de tomber sur un os à Hims et une DB pour passer une rivière c'est pas le top, meme avec du génie. De plus si mes souvenirs sont bons, elle est a 40 d'infra. Le corps de cavalerie est bien loin du front aussi, perdu dans ses montagnes...

Bref on est très loin de la sacro-sainte "concentration des forces".


Moi si j'étais toi, je laisserais 2 DI à Batman ( celle AA + une normale ) et aucune à Vans. A Gaziantep j'aurrais donc un corps blindé avec les 2 DB, un de cavalerie avec la DC et la DI genie, et enfin une DI normale toute seule ( general doctrine def ). On bourrine Aleppo avec ce beau monde, puis Tripoli ( au passage on laisse la DI seule à Aleppo ), puis Beirut en laissant la cav à Tripoli. Reste plus qu'a attaquer avec les 2 DB et le corps de cav sur Damas. Ca devrait etre suffisant.

ps : et tenter avec les 2 DI de Batman de vaincre la garnison et donc la détruire, 2vs1 en plaine ca passe.
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Dernière modification par Riwan ; 11/01/2007 à 00h14.
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Vieux 11/01/2007, 00h19
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Bel tactique en effet ! Le seul problème que je peux émettre c'est que les forces syriennes ne doivent pas être sous estimées et j'ai tout fait pour avoir batailles en ayant l'avantage de la multiplicité des fronts et éviter un assaut final couteux sur Damas mais aussi j'ai tenter d'éviter de laisser des lignes de ravitaillement à la merci d'une contre attaque syrienne. Mais soit, je vais étudier cette possibilité sérieusement car c'est vrai que cette DB qui traverse la province d'Hims risque de poser problème...

Sinon, j'ai retouché les images pour les mettres à un plus grand format pour permettre un lecture plus confortable, c'est ok pour les petites connections ?
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Vieux 11/01/2007, 00h48
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Moi j'aurais plutot vus :

1 ère étape :

2 divisions d'inf (a) + 1 cav --> Dair az zawr
2 inf (b) + 2 blindé --> Aleppo

2ème étape :

1 cav --> Hims
2 inf (a) + 2 blindé --> damas
2 inf (b) --> Beyrouth

L'ia en génerale concentre ses troupes sur la capitale quand elle a un petit pays, donc les plus violent combat risquent d'arriver là. Et avec ce plan tes blindé perceront trés rapidement vers Tripoli, et de là tu a beaucoup d'opportunitée a saisir : damas, beyrouth, un encerclement a hims..
Suivant où seront les div énemis surtout.

Autre avantage ton front avancera rapidement d'un seul bloc pour poser la ligne de front au milieu de chez l'enemis.

Sinon je rejoins comé, groupe ton armée qui attaque sur dair az zaw dans une seule province, dés fois on a la facheuse surprise de voir que les temps d'arrivés sont trés différent.
Et met les corp d'ingénieur en priorité sur les divisions qui auront a franchir le Tigre.

Voila, a mon avis ça devrait quand même être rapidement plié
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Dernière modification par Leaz ; 11/01/2007 à 00h50.
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  #29  
Vieux 11/01/2007, 15h06
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En effet, je vais retoucher le plan en m'inspirant de vos deux stratégies. Le plan restera secret jusqu'au déroulement des opérations !
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Vieux 11/01/2007, 17h08
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L’Opération Scorpion révisée par les généraux Riwan et Leaz, nommés au Quartier Général Ottoman est prévue pour le 20 octobre à l’aube. Elle consistera en deux attaques : une le long de la côte méditerranéenne et l’autre à travers les déserts de Syrie à l’est.
Le premier front comportera les deux divisions blindées ainsi que deux divisions d’infanterie qui attaqueront Alep à partir de Gaziantep. Elles poursuivront ensuite leur attaque vers Tripoli pour ensuite se séparer en deux attaques : une vers Damas, l’autre vers Beyrouth.
Le second front, plus aléatoire, consistera en une attaque de Dair az Zwar par 2 divisions d’infanterie et une division montée. La cavalerie poursuivera eventuelement vers Hims sauf si l'opposition sur ce front est trop forte.



Le 20, alors que le jour se lève, le Quartier Général Ottoman donne son feu vert à l’Opération Scorpion ! A l’est, la faible garnison syrienne qui veillait à la frontière est rapidement vaincue tandis qu’a l’ouest, nos troupes avancent et occupent Alep sans rencontrer de résistance. Elles poursuivent leur route et atteignent la frontière du Liban le 25 octobre où une brève escarmouche avec les gardes frontière à lieu. Ceux-ci seront vite vaincus, terrifiés par le tempête de sable et de poussière qui venant du nord, a tout emporté sur son passage. Nos troupes avancent en longues colonnes vers Tripoli, les blindés soulevant des nuages de sables à avançant à toute vitesse sur les routes de Phénicie. L’infanterie suit plus doucement, nettoyant les quelques poches de résistance et mettant en place une administration turque.

Le 29, le corps de l’ouest rencontre une ligne de défense libanaise hâtivement édifiée devant Tripoli : 30 000 miliciens commandées par le général Lahoud attendent nos forces. Nos blindés s’élancent et écrasent les barbelés et les nids de résistances tandis que notre infanterie suit et sécurise le terrain. Le corps d’armée turc passe, culbutant les libanais et atteint Tripoli le lendemain. Dès lors, le corps va se diviser : les deux divisions blindées tournent à gauche et prennent la route de Damas tandis que les deux divisions d’infanterie ont pour ordre de poursuivre sur Beyrouth en profitant de la confusion libanaise.









A l’est, la marche vers Dair az Zwar est plus difficile, comme prévue : la Syrie a vite réagie et a envoyé la Garde Syrienne ainsi que 15 000 miliciens pour arrêter nos forces. Ce sera malheureusement chose faite : la détermination syrienne à protéger Damas leur a permis de stopper net notre avance.





Pourtant, si nos forces sont arrêtées, elles ne sont pas en déroute et la Syrie n’a pas les moyens de contre attaquer. Dès lors, le Quartier Général décide de harceler ce front pour y fixer les troupes syriennes et ainsi faciliter le contournement de Damas par nos divisions blindées au sud.


Ce plan fonctionne puisque nos deux divisions ne rencontrent qu’une ligne de défense composée de 10 000 miliciens recrutés à la hâte, bloquant la route Tripoli-Damas. Les tentatives de la Syrie de transférer une partie des forces du front de Dair az Zwar vers Damas échouent grâce à notre harcèlement au nord. Le 4 novembre, après quelques heures de combat, les miliciens sont écrasés et nos divisions blindées avancent vers Damas. Si elles ne rencontrent pas d’opposition, Damas sera prise dans quelques jours !

Le 6 novembre, pour donner à ce plan le maximum de chances, nos deux divisions d’infanterie à Tripoli, se préparant pour l’attaque de Beyrouth, voient leur attaque reportée et ont désormais la mission de soutenir l’avance de nos blindés vers Damas.

Le 7 novembre, une nouvelle attaque de Dair az Zwar par nos forces aux nords dans le cadre de notre opération de harcèlement provoque l’effondrement du front syrien. Nos divisions reçoivent l’ordre de marcher sur la province pour atteindre Damas par le nord.

Ces réussites conduisent le QG à remanier ses plans une fois de plus : alors qu’il y quelques jours, l’attaque sur Damas paraissait ambitieuse, la prise de la ville est désormais une question d’heures et il est inutile de concentrer tant de forces pour prendre une ville désertée alors que les libanais se retranchent dans Beyrouth. La division blindée « Ataturk » reçoit donc l’ordre de rebrousser chemin et de revenir à Tripoli pour prendre position face à Beyrouth. Les deux divisions d’infanterie postées à Tripoli et qui soutenaient l’attaque vers Damas reçoivent également l’ordre de reprendre les préparatifs d’attaque vers Beyrouth. L’assaut sur le port libanais est prévu pour le 11 novembre.

La division blindée « Soliman » atteint les faubourgs de Damas dans la soirée du 10 novembre et c’est dans la nuit, dans une ville ouverte mais sombre, que les tankistes turcs arrivent à la grande mosquée des Omeyyades. Quelques escarmouches sans conséquences éclatent dans la nuit avec de fuyards syriens mais la ville est pacifiée au matin.

Le sort de la Syrie semble scellé. Pourtant, une dernière tentative désespérée va prolonger la guerre de quelques jours : à Dair az Zwar, alors que le front syrien semblait définitivement effondré, plusieurs milliers de miliciens parviennent à se rallier dans la ville et tienne tête aux forces turques qui convergent vers la ville. Les pertes sont lourdes mais les turcs doivent rebrousser chemin. Si cette défaite est amère, elle sera sans conséquences puisqu’au sud, la division d'élite Soliman prépare déjà l’assaut de Dair az Zwar à partir de Damas sous le commandement du Général Leaz.
Une dernière attaque sera lancée contre cette ville et les derniers miliciens se rendront aux forces turques même si la ville se sera pas libérée avant la fin de la guerre mais remise aux turcs avec la paix. Ces miliciens syriens, courageux comme des lions, pourront bénéficier d'une amnistie et pourront s'engager dans une légion syrienne au sein de l'armée ottomane.



Toutefois la guerre n’est pas finie ! En effet, l’assaut sur Beyrouth, dernier acte de la guerre va être lancé ! L’attaque sera menée par le Général Riwan qui aura à sa disposition la division blindée d’élite « Ataturk » ainsi que deux divisions d’infanterie. Les libanais sont parvenus à rassembler une division d’infanterie ainsi que plusieurs dizaines de milliers de miliciens. La bataille durera deux jours et finalement, les libanais vaincu, nos forces entreront dans Beyrouth le 19 novembre.





Les termes de la paix sont simples : le Liban et la Syrie sont intégrés dans l’Empire Ottoman en tant que provinces. Les soldats prisonniers auront le choix entre intégrer une division ottomane ou demeurer en captivité. Le 20 novembre, l’Empire Ottoman a repris pied de plein droit en Syrie et au Liban.

Pourtant, si la guerre, qui a duré moins d’un mois, a été menée avec brio grâce au concours talentueux des généraux Riwan et Leaz, le pays doit désormais revenir à des ambitions plus pacifiques.

Les projets d’avenir prévoient notamment la formation d’une aviation de guerre performante ainsi que l’augmentation en nombre et en qualité de notre armée. Le gouvernement turc envisage même le lancement de sous marins mais attends d’abord un rapport de stratèges qualifiés avant de prendre une décision…




L'Empire Ottoman à la fin de l'année 1939. Il a réussi a reprendre une partie de ses anciens territoires mais il aspire désormais à une existence plus calme, sauf si l'ogre soviétique ou les grecs le provoquent...

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