Les aventures de la GPO 2008

[SnoopyNap]

Au nouveau souverain espagnol : afin d'accueillir convenablement notre nouveau futur voisin, et de préserver les bonnes relations malgré des différences religieuses qui ne doivent pas devenir des différends, nous annonçons que nous imiterons les rois chrétiens en envoyant nous aussi un don en ce début d'année.

[comeon]

Se joignant à l'enthousiasme général, la République de Venise proclame qu'elle enverra elle aussi un généreux don en or à la cour de Madrid.

[Elvis]

Pour feter l'arrivée du Roi d'Espagne, le Tsar a décidé d'organiser une rencontre sportive entre nos meilleurs clubs : Le Deportivo Lens contre le Lokomotiv Lille.

[Danton]

Chroniques Impériales 1557 – 1576. La guerre de Troie n’aura pas lieu


I. La guerre contre la France

Partout dans l’Empire, l’on préparait la guerre, pour la liberté et la justice dans le monde : la France nous avait promis la guerre et nous ne doutions pas un seul instant qu’elle viendrait. Mais, stupeur et étonnement, le Roi Pedrolanus Cresus, au dernier moment, nous fit savoir qu’il était retenu au chevet de la Reine et qu’il transmettait temporairement le pouvoir au Régent inapte De IA . Voilà qui ne faisait les affaires de personne. Le Régent De IA, cependant, telle la grenouille qui voulait devenir plus grosse que le bœuf , nous déclara la guerre dès 1557 et les hordes Françaises déferlèrent : plus de 60.000 soldats, auxquels il fallait ajouter 30.000 alliés de la France .


Dans les Flandres, ce fut un abominable carnage pour les Français, massacrés jusqu’au dernier , malgré une farouche résistance ( et une victoire au Hainaut). Ailleurs, la situation était moins nette : les alliés de la France étaient redoutables. La Lorraine nous prit la Franche-Comté et Gênes nous pris le Trent. Utrecht assiégeait enfin Breda. Les conventions internationales nous interdisaient de réaliser le moindre gain en l’absence du Roi Pedrolanus Cresus, mais rien ne nous forçait à tendre la joue gauche non plus…


L’année 1558 fut ainsi celle de la contre-offensive Impériale, brutale et efficace : Utrecht et Liège furent conquis, la Franche-Comté et le Trent libérés . Les derniers assaut Français dans les Flandres furent repoussés avec grand fracas. La victoire était totale, mais Paris refusait la paix et mobilisait plus de 20.000 soldats supplémentaires ( le Régent De IA étant un spécialiste reconnu du gonflage de troupes ). L’Empereur ne voulait pas d’une guerre longue qui ne pouvait rien lui apporter, tout gain étant interdit : il ordonna de passer à l’offensive. Les armées Impériales déferlèrent en France du nord et balayèrent les troupes du Régent, Valencienne fut conquis . Vaincu et humilié, le Régent De IA signa alors une paix blanche généralisée. La menace Française avait été repoussée, pour le moment en tout cas, mais nul doute qu’elle reviendra.


II. L'héritage de la Lorraine

Cette victoire obtenue, l’Empereur pu enfin tourner son regard éclairé vers l’est, où d’importants changements avaient eu lieu : l’Ottoman avait effectivement annexé la Serbie , honte sur lui, et l’Empire avait désormais une frontière commune avec la Russie. Un colosse de plus à nos portes, décidemment l’Autriche occupait une position centrale des plus difficiles . Fort heureusement, les relations avec le Tsar étaient bonnes : des ambassadeurs vont partir pour Moscou afin d’officialiser celles-ci.


En 1564, les souverains de Lorraine périrent sans héritier, mais non sans testament : leurs dernières volontés étaient très claires, ils léguaient leur pays à l’Empire, seul moyen pour eux d’éviter l’annexion diplomatique que la France préparait avec avidité depuis des décennies . La Lorraine, vassal et allié de la France ( ce qui fut obtenu par la force et contre la volonté du peuple), intégra ainsi non pas l’Autriche, mais le Domaine Impérial. Naturellement, l’Empereur du saint Empire Romain Germanique et l’Empereur Dieu d’Autriche sont une seule et même personne, mais cela n’est que détail .


La Lorraine nous ralliait, mais notre vassal et allié du Wurtemberg, lui, voulait partir : il nous demanda la fin de tout lien de vassalisation . Champion de la liberté des peuples, l’Empereur, même s’il tenait beaucoup à cette vassalisation, n’hésita pas un seul instant et accorda cette requête, les liens de vassalisation furent rompus.


III. Nouveau rendez-vous manqué

Un cri alerta alors l’Empereur : c’était le Doge. Allons donc, que nous voulait encore cet imprévisible voisin, avec lequel une timide réconciliation avait commencé ? L’Infidèle le menaçait de guerre ! Le sang de l’Empereur ne fit qu’un tour et Vienne garantit immédiatement l’indépendance de Venise. La guerre éclata entra le Sultan et le Doge, mais l’Empereur n’y fut pas convié. Stupeur et étonnement. Une enquête déboucha sur une affligeante conclusion : le Sultan avait déclaré la guerre à la Bosnie, vassal et allié du Doge, et non pas à Venise. Sans Casus Belli, nous ne pouvions rien faire et Venise fut contrainte de casser la vassalisation de la Bosnie.


Cependant, cette victoire facile donna des ailes à l’arrogant Sultan , qui exigeait aussi désormais la fin de l’alliance Bosno-Vénitienne, sans quoi la guerre reprendrait. Afin d’éviter la répétition du quiproquo qui nous avait empêché d’intervenir, il fut décidé de signer une alliance Austro-Vénitienne. Le monde put alors assister à une touchante farce diplomatique du style « Je t’aime, moi non plus » . En effet, chaque fois que Vienne et Venise signaient une alliance, celle-ci se brisait automatiquement et inexplicablement dans les semaines qui suivaient. Ce mystère reste incompréhensible à ce jour . En désespoir de cause, l’Empereur décida de garantir l’indépendance de Venise ET de la Bosnie, voilà qui éviterait tout soucis à l’avenir.


IV. L'héritage Hongrois

Mais un autre point capital allait attirer toute l’attention de l’Empereur : le Roi Janos IV de Hongrie décéda tragiquement lors d’un accident de chasse et mourut sans héritier ( quel hécatombe en Europe ). La cour était partagée : le pays avait trois colosses pour voisin, l’Ottoman, la Russie et l’Autriche. Buda était en outre vassal et allié de l’Empereur, qui avait si souvent volé à son aide pour empêcher une main mise Ottomane sur le pays. Les nobles Hongrois se rassemblèrent et, vrais démocrates, votèrent sur le sort du royaume : 0,2 % étaient partisans de rallier l’Infidèle ( des traîtres ), 2,1 % souhaitaient rallier la Russie, 13 % voulaient un nouveau souverain Hongrois et, enfin, 84,7 % votèrent le rattachement à l’Autriche .


Devant cette écrasante majorité, l’Empereur dut admettre que telle était la volonté du peuple de Hongrie et céda à leur requête : en 1570, la Hongrie intégrait le Royaume d’Autriche, au sein duquel la culture Hongroise était culture d’Etat depuis plus de 20 ans, preuve des liens très étroits qui unissaient ces deux pays . Il existait désormais une frontière commune avec l’Infidèle. En 15 ans, l’Empire avait bien grandi, mais le développement des arts et de la culture ne fut pas négligés pour autant : une nouvelle université vit le jour en Hollande et, surtout, des sommes colossales furent investies pour améliorer les relations de l’Empereur avec les autres nations du Saint Empire Romain Germanique, parfois mise à mal pour des raisons inconnues de nous .




Messages diplomatiques.



A la France. Nous espérons que vous allez renoncer à vos folles demandes concernant les Flandres. Dans le cas contraire, maintenant comme il y a 15 ans, sachez que nous nous défendrons farouchement et, si Dieu nous donne la victoire, nous exigerons la libération de Liège, de la Suisse et de Trier ( la Lorraine ne devant plus être libérée).


A Venise. Nous vous exprimons tous nos regrets de n’avoir pu voler à votre secours contre l’Infidèle, nous espérons que cela ne se reproduira plus. Avez-vous du neuf sur cette impossibilité que nous avons rencontré de signer une alliance entre nous ?


A l’Espagne. Courage, digne choupinette. S’il vous faut quelque chose, demandez et vous l’aurez si nous le pouvons. Le problème des provinces d’Italie du sud reste cependant bien présent et l’Empereur ne sait plus trop quelle attitude adopter à ce sujet.


A la Scandinavie. Digne voisin, nous n’entendons plus trop parler de vous, mais sachez que votre dernière proposition sonnait très agréablement à nos oreilles .


A la Russie. Puissant Tsar, nous voici déjà voisin, nous sommes ravis de vous accueillir à nos frontières et espérons que nos relations seront toujours les meilleurs possibles. Les riches terres Tartares de Crimée vous tendent les bras, ainsi que le cendre de commerce d’Astrakhan : l’Infidèle est sur votre chemin, balayez le comme un fétu de paille .


A l’Infidèle. Nous vous avons tendu la main, non pas de l’amitié, il ne saurait en être question, mais de la neutralité et vous l’avez grossièrement rejetée . Pire, vous avez sauvagement et fourbement agressé Venise la Catholique. Deux erreurs que vous allez payer très cher si vous ne vous repentez pas immédiatement .

[lemarseillais]

Déclaration ottomane

Sa Splendeur céleste, mon maître le Sultan, m'a chargé de faire l'annonce suivante aux chancelleries d'Europe et de nos alliés :

L'Empire Ottoman, constatant le souci permanent de l'Empire chrétien à nuire aux intérêts des turcs en particuliers et des musulmans en général, constatant l'immoralité qui règne à Vienne (il est connu que l'empereur, soit-disant, ferme les yeux devant la soumission des chrétiens bosniaques ou la conversion forcée des catholiques de Pologne et de Lithuanie), constatant la propagande hostile et mensongère que mène l'Autriche à l'encontre de l'Empire Ottoman, constatant la soumission forcée du peuple hongrois, constatant l'obscurité et les non-dits qui demeurent autour de la mort suspecte du roi de Hongrie, constatant le non respect des droits à la succession de notre épouse la princesse de Hongrie Eva Mendes, exige de la part de l'empereur qu'il rétablisse dans ses droits notre épouse et fille du défunt roi hongrois, celle-ci ayant reçu en dot le duché de Transylvanie à la mort de son père.

Nous sommes disposer à accueillir les envoyés impériaux s'ils veulent vérifier l'authenticité des droits de notre épouse. Dans l'hypothèse improbable où l'empereur refuserait de donner force aux droits de notre épouse, l'Empire Ottoman utilisera tous les moyens à sa disposition pour obtenir ce qui revient de droit à la princesse Eva Mendes.

Déclaration Britannique:

A la France: En votre absence majesté, le conseil de régence à brisé tous nos traités. La colonisation française du Canada a repris avec vigueurs et 3 implantations françaises ont été réalisée encerclant désormais les terres Britanniques d'Acadie. Enfin comble d'horreur, ce même régent à déclaré la guerre au royaume de Grande-Bretagne. A l'heure qu'il est, des forces françaises marchent sur l'Acadie et la Royal Navy s'apprete à fondre sur une flotte Française tentant un débarquement dans le sud de l'Angleterre.

Ainsi soit le roi de France en titre soutien son régent et tous les accords sont caduc et une guerre furieuse débute. Soit il est encore temps de comdamner les actes de ce grand féodal qui s'est prit pour un roi.... Recevez en tout cas cher roi de France toutes nos amitiés.

A l'empereur d'Autriche: Nous prenons bonne note que vous avez cité la pluparts des grandes nations du monde civilisée mais sans parler de la Grande-Bretagne. Nous sommes peiné. Nous ne regretons pas d'avoir converti dans la joie et la bonne humeur les comtés irlandais à la réforme. Certe le peuple irlandais demeure papiste mais aprés quelques années de re-education, cela devrait s'arranger...

A notre suzerain et protecteur, le roi de Scandinavie que son nom soit loué: vous etes plus grand encore que Luther et Calvin. Vous avez sur apporter la lumière au royaume de Grande-Bretagne et désormais grace à vos conseils et votre aide au peuple d'Irlande. Vous etes le berger des chrétiens éclairés...

Au roi de Castille: A cher ami, que nous compatissons au sort qui s'acharne sur votre glorieuse nation. Vous trouverez toujours à Londres une oreille attentive

Au noble doge de Venize: Vous avez subit un echec en Bosnie et nous somems avec vous dans ce malheur. Même si nous regretons votre allegence a Rome (que nous supposons plus politique et diplomatique que vraiment dogmatique), sachez que nous serons à vos cotés si la menace musulmane devait s'averer trop forte. La barbarie Musulmane ne doit plus avancer en europe.

Au Tsar de Russie: Evangélisez les tous! et en particulier les Tatars! Constantinople doit revenir à la Chretienté... vous etes l'heritier des empereurs d'orient.... les turcs doivent etre renvoyé dans leurs steppes....

Aux emirs et autre chefs de tribus Ottomanes et Mamelouks: Vous profitez de la division de la Chrétienté pour affirmer votre force. Tremblez cependant, vous avez en la personne du Tsa, de l'empereur et du Doge des hommes de caractère et de valheureux Chrétiens... ne les couroucez pas ou vous perdrez vos empires paiens...

[TCAO]

Chronique de Scandinavie. 1557-1576



Le fléau de la peste :



Venu des steppes russes, la peste ravage notre royaume durant toute la période. Partout l’armée est envoyée pour mettre en quarantaine les régions infestées tirant sur la foule malheureusement quand cela est nécessaire. Ce fléau ne fit que raviver les révoltes des nobles suédois cherchant à se reconstruire un royaume avec les privilèges immoraux qu’ils avaient durant le règne des usurpateurs, pensant que parmi le chaos nous ne pourrions les repoussés.

C’est juste après la fin du fléau en Russie, que la peste quitta nos territoires pour de bon, rétablissant la paix dans nos états.



La guerre d’Irlande :



Au début de cette période de notre histoire, notre gouvernement était très perplexe par le retard technologique que prenaient les Britanniques sur nous et les autres puissances de l’Ouest, il fallait y remédier ! Après quelques études des possibilités des iles britanniques, nous envoyâmes un diplomate à Londres pour lui apporter une solution à leurs problèmes de financement de la recherche, celle-ci serait la vassalisation des états papistes irlandais. Beaucoup croiront que cette solution est faible, mais de mon avis, elle a été plus que salutaire et explique le retour des anglais à une place de choix.



La reconquête de l’Islande :



Christian V, notre bon souverain, recherchait gloire et honneur mais de toute part il ne trouvait aucune raison valable et demanda à tous nos juristes de travailler sur nos registres pour trouver une terre à réclamer. Après plusieurs moi de travail, ceci revinrent avec une bonne nouvelle, nous avions des prétentions en Islande ! Celle-ci était coupé en deux depuis prêt d’un siècle par la conquête lors des guerres entre l’Angleterre et la France, de cette colonie par les Portugais.

Face au refus de nous rendre cette terre, une troupe fut envoyée et repris la colonie non fortifié, et face au refus de nous reconnaître légitime possesseur l’ile, leur marine fut couler !



Le meilleur gouvernement au monde :



En 1562, s’ouvra une nouvelle période pour la Scandinavie, avec la création d’une banque centrale et d’une bureaucratie centraliser, encore aujourd’hui nos états dispose de deux points technologiques en plus que nos voisins occidentaux. Ceci nous permet un fort développement de nos infrastructures, avec la construction de douane sur tout le territoire, renforçant nos revenus en taxe et annuel ! Ce bon gouvernent nous permit aussi de réduire de 1 point notre inflation, alors que partout ailleurs celle-ci continue de grimper !

Après cela, nous pouvons nous pouvons nous tourner vers d’autre secteur délaissé jusque là, le commerce et l’armement terrestre.

[vince]

Déclaration du roi d’Espagne





Le roi souhaite par la présente, signifier ses plus sincères remerciements :

- Au souverain de l’union Scandinave

- A l’Empereur-Dieu d’Autriche, véritable alter ego de sa sainteté le Pape

- Au Tsar de Russie

- Au sultan Mamelouk



pour leur présence à l’inauguration du nouveau palais royal à Madrid, et des présents qu’ils ont apporté à cette occasion.

[TCAO]

Missive diplomatique du royaume de Scandinavie:

Au roi de France: Nous esperons que vous remettrez de l'ordre rapidement dans vos affaires, vous avez notre amitié en cas de problème.

A la Grande Bretagne: Nous sommes heureux des paroles élogieuses que vous tenez sur nous. Nous esperons que nos deux dynastie continueront d'être unie pour les siècles à venir.

A l'Espagne: Ne nous remercier pas pour les ressources financières que nous vous avons envoyer cela est bien normal. Nous esperons pouvoir continuer le rapprochement qui s'effectue entre nous depuis déjà quelques temps.

Au doge de Venise: Vous vous targuez d'être arriver au niveau de notre marine, et dites à qui veut l'entendre que vous êtes pret à nous attaquer, sacher que nous sommes prêts et que nous laisserons pas ces affronts impunie, même si vous ne faites rien!

[vince]

Espagne 1557-1578 : Misère, Peste et Guerre civile…




L’Espagne à peine créée, avec tout le mal que l’on sait, de nouveaux malheurs ne tardèrent pas à rappeler que notre beau royaume est maudit à jamais, et qu’un funeste destin est bien déterminé à s’abattre sur les épaules de son roi.



Ce fut d’abord la peste, qui ravagea le royaume pendant 10 longues années. Partout de Giron à Séville, les cadavres se comptaient par centaines. Le peuple ne manquait pas d’exprimer son mécontentement, et les révoltes se succédaient, sans fin. Comme si le roi, dont la patience était mise à mal, était responsable de quoi que ce soit. Toutes les mesures sanitaires étaient pourtant mises en place (quarantaine, crémation des cadavres…). Il fallut pourtant dix bonnes années pour que l’épidémie prenne fin.



Ce fut pourtant pendant au cours de ces terribles moments que certains nationalistes choisirent de sortir du bois. L’unification espagnole ne faisait pas plaisir à tout le monde, nous le savions déjà. Aussi lorsque certains nobliaux de Tolède fomentèrent un coup d’état, pour faire ressurgir la Castille, certains évènements passés apparurent sous un jour nouveau…







Le roi fut sans pitié pour ces traîtres, baptisés les « commuñeros » qui avouèrent au cours d’un procès public, que les plans d’unification étaient torpillés de l’intérieur. Jamais les appels du pied du roi de Castille au roi d’Aragon n’étaient relayés. Pire, le message du roi fut déformé, dans le but d’éloigner l’Aragon.



Ces saboteurs subirent le supplice du pal, leurs charognes furent dépecées et livrées aux vautours…