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  #61  
Vieux 16/01/2012, 21h08
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C'est dommage oui, mais bon tant que ce n'est qu'un incident isolé ça passe.
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
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  #62  
Vieux 16/01/2012, 22h02
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Ces Anglais sont des lâches.
Pour la peine, on leur reprendra le Canada !!
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"L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre."


Ar Sparfell



( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? )
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  #63  
Vieux 17/01/2012, 09h41
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Ces Anglais sont des lâches.
Pour la peine, on leur reprendra le Canada !!
Si seulement !
Apparemment le jeu considère que la terre est plate et l'univers carré, et que les chutes vers les enfers et les serpents des mers commencent à l'ouest de l'Irlande et à l'est d’Istanbul
Bon par contre ils sont sympas, on a le droit de placer des comptoirs commerciaux dans ces bordures de l'enfer
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  #64  
Vieux 17/01/2012, 14h20
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Le Tyrol étant devenu une impasse stratégique tant que d’autres forces françaises n’y auront pas été dévolues, la percée sera donc initiée en Prusse.
Michel Ney franchit l’Elbe avec ses troupes tandis que le climat se réchauffe doucement. L’hiver se termine et les initiatives doivent reprendre. Las, à peine les soldats ont installé le bivouac sur la partie orientale du fleuve que le gouverneur de Berlin, Herbert von Palpatine, envoie l’avant-garde du général Edmund Frommel dans les pattes des Français.

Von Palpat n’a qu’un seul but déterminé : ralentir le plus possible la progression française pour sauver Berlin, le temps que les Prussiens s’emparent du Tyrol et de la personne de Rodo 1er, qui y est toujours assiégé.

5.000 prussiens poussés par leur peur atavique du gouverneur de Berlin, ça n’en fait pas de très bans soldats. On en tue 4.000, mais les pertes françaises ne sont pas des plus rassurantes, 1/5éme de l'armée est déjà amputée. Le capitaine Flump, temporairement détaché dans les ballons d’observation, ne peut cependant décrire précisément la bataille « le ballon était orienté dans le mauvais sens » On lui annonce qu'il aurait suffit qu'il se retourne. L'officier reste interloqué.

Certes…



Voilà ce qui arrive lorsque les Historiens oublient d'enregistrer la vidéo d'une bataille ...


Après cette bataille sanglante, une journée s’écoule avant qu’un nouveau général prussien ne débouche en travers des lignes françaises. 10.000 hommes cette fois, et à la fin de la journée on redescendra Flump de son ballon, qui avance, penaud : « Je me suis endormi »
Aucun enregistrement des 2 batailles, mais le bilan est là :





Les Prussiens, de nouveau vaincus, se retirent aux alentours de Postdam, fermant ainsi – malgré leurs pertes gigantesques – la route de Berlin. Prés de 2.500 hommes qu’il faudra de nouveau culbuter avant d’attaquer la capitale, mais l’armée de Ney est désormais exsangue pour seulement poursuivre les fuyards.

Les batailles de l’Elbe ont fait bien plus qu’émousser le potentiel offensif français : 5.000 morts de plus, à rajouter aux 2.000 précédentes victimes, et Ney ne dispose plus que de 3.000 soldats, 40 cavaliers et une douzaine de canons. La garnison de Postdam (on n’ose encore imaginer celle de Berlin) aligne 3 fois plus d’artillerie, et sans possibilité d’user de forces de cavalerie et de contournement, cela signifierait un massacre de nos lignes d’infanterie.

Von Palpat a temporairement gagné, les troupes de Ney abandonnent le territoire prussien pour se ravitailler à Hanovre, en attendant d’être relevé par les forces de Murat, en approche.

Quand au Tyrol, pas le choix, Rodo 1er doit effectuer une sortie avant que la place ne soit enlevée faute de vivres. On fonce donc sur la première armée prussienne assiégeante, mais lors de la sortie, les bataillons sont pris en partie par une 2nde armée positionnée à couvert.
Cette fois, c’est logiquement plus de 22.000 hommes que nous auront à affronter alors que les Français sont en colonnes de progression, que l’artillerie est toujours attelée et que Rodo n’a pas pu imposer à ses ennemis le lieu de l’engagement …


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  #65  
Vieux 17/01/2012, 14h24
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Houlà, ça va saigner !! :accent burgonde:

Bonne chance !! Et vive l'Empereur !!
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  #66  
Vieux 17/01/2012, 14h27
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Il va y'avoir du monde sur la carte. Espérons que ça puisse débloquer la situation car même si je suis plus que confiant en les capacités de l'Empereur, je redoute une guerre d'attrition qui ferait les affaires de Londres...
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  #67  
Vieux 17/01/2012, 14h41
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C'est sans compter une absurdité sans nom qui m'a un peu refroidis (je pensais qu'ils auraient corrigé ce défaut en faisant ce mod, mais non ... )

En gros le jeu ne tolére toujours que 40 unités ennemies sur la carte. Les renforts prussiens n'arriveront donc qu'une fois la première armée lessivée, ce qui change quand même drôlement la donne
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  #68  
Vieux 17/01/2012, 17h42
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Catastrophe, alors que Rodo entame sa sortie pour botter les fesses des Prussiens, quelques tirs ennemis endommagent le ballon d’observation français, empêchant un compte-rendu détaillé (en fait j’ai eu un probléme de sauvegardes des vidéos, 3 sont passé à l’as, probléme réglé pour la suite)

Les Français sont encore en colonne lorsqu’ils sont pris à partie par la seconde armée prussienne attendant en embuscade. Dieu merci, le terrain encore légèrement boueux après la fonte des neiges ralenti la progression prussienne, ce qui permet de mettre quelques 2 bataillons d’artillerie en place (sur les 5 disponibles)

Néanmoins, faute d’emplacement de tir adéquats, et alors que les Français sont attaqués sur les deux fronts et qu’ils ne disposent eux même d’aucune profondeur, l’artillerie ne jouera qu’un rôle restreint lors de la bataille (40 pertes, 400 victimes occasionnées)

Les hommes n’ont plus qu’un choix : défendre toute la ligne droite, ou toute la ligne gauche face aux assauts ennemis. Sur notre droite, la cavalerie ennemie est en force mais, mal coordonnée avec l’infanterie (placée sur notre gauche) elle lance des assauts furieux. Les hommes se mettent en carrés, la cavalerie s’y casse les dents et n’arrive pas à percer. Une position mal établie dans nos lignes, quelques hussards s’y enfoncent et tombent sur le 2éme régiment d’artillerie, l’un des 2 régiments commandés par le général Boudi.
Le temps que les chasseurs à cheval du colonel Maximus puissent intervenir, le mal est fait, et 40 des 50 servants sont hachés puis piétinés. Le 2éme régiment n’existe plus que sur le papier, avec ses 9 hommes et ses 2 pièces (au lieu de 10)





L’adversaire est heureusement contenu, ses bataillons écartelés, puis dispersés. Deux ou trois régiments de ligne, qui escortaient la cavalerie, viennent au corps à corps avec nos troupes, mais notre droit n’est plus un réel danger.

Sur notre gauche, l’infanterie prussienne déboule, prés de 25 bataillons soutenus par des pièces d’artillerie. On échange des salves, puis on se précipite dans la mêlée en espérant que les tirs prussiens cesseront, une fois les troupes au contact.
Il n’en est rien, et les boulets fauchent les hommes, quelque soient leur nationalité. On dépêche les Grenadiers à cheval du colonel-major Bravlyon pour faire taire les pièces ennemis. En moins d’une heure, l’artillerie se tait définitivement sur le champ de bataille.

Les Prussiens résistent, mais finissent par lâcher du terrain sous la pression. On envoie toute la cavalerie sur leurs arrières et leurs flancs, et même si Otto et Griffon font soigneusement leur part, ce sont surtout les chasseurs à cheval de Jag et Maximus qui emportent la décision, insinuant le doute, puis la terreur chez l’ennemi. Leur action de guérilla est efficace, enchainant tirs sporadiques, fausses retraites et charges violentes, ils culbutent les lignes.

Chez les fantassins, les Grenadiers de Druss d’Haran maintiennent efficacement la pression, et Rodo fait donner la garde pour culbuter les dernières troupes tant que nous sommes en supériorité numérique – au loin déjà, débouchent 12.000 hommes de plus …





Dans cette première mêlée, on relèvera le cadavre d’un des généraux ennemi. S’agit-il de Friedrich von Bülow ou de Bogislav Emmanuel ? Impossible de le savoir en l’état, car on ne retrouve pas la tête du général, proprement découpée par le sabre d’un des Hussards d’Auvergne.

Après cette défaite majeure chez les Prussiens, on rétablit l’ordre côté français et on se porte au devant des nouvelles troupes prussiennes en approche. L’Etat Major ennemi tente d’accrocher au terrain avec ses troupes, mais la pression française est effarante – mais pour combien de pertes ?

Les Grenadiers de la Garde montrent l’exemple et fusillent à tour de bras, avant d’utiliser leurs grenades sur les bataillons prussiens. Plus de frayeur que de mal, mais l’Etat Major décroche puis, rapidement, une grande partie des troupes qui n’auront même pas eu le temps de combattre. Par son choix invraisemblable de ne pas faire donner toutes les troupes au même moment, la Prusse vient de donner une belle victoire à la France.





12.000 morts côté prussien, et prés de 10.000 hommes qui doivent refluer dans les forêts du Tyrol – pour un prochain assaut ? Côté français, la victoire est heureuse mais le bilan est lourd : 5.000 morts, il ne nous reste plus que 7.000 soldats valides. On rentre rapidement dans les murs de la ville, libérée pour un temps (ce qui permet surtout de batir les derniers remparts de la nouvelle citadelle)

Avec 700 morts à son palmarès, le colonel Maximus Ney passe Général de brigade.
Les 600 morts de Jag, déjà général, lui valent les félicitations personnelles de l’Empereur.
Le sous lieutenant Druss d’Haran, qui a servit de pivot à un moment clé de la bataille, passe lieutenant.
Le lieutenant Urial, qui a occasionné de nombreuses pertes chez l’ennemi, intègre (au même rang) la Garde Impériale, la solde (et l’honneur) n’en seront que meilleurs. A noter que ce bataillon de la Garde a, à lui seul, abattu 1534 ennemis (quand les munitions ont manqué, ils sont passé à la baïonnette. Et quand les baïonnettes glissaient sous le sang, ils sont passé aux poings)
L’Empereur regardera aussi avec attention le parcours de William Locke – on pense bientôt l’intégrer à l’Etat major du 5éme de ligne, et non plus à un seul de ses bataillons.


Pendant ce temps … le printemps s’installe et ce début avril voit un certain nombre d’avancées., à commencer par la Royale.





L’arsenal de Nantes est prêt, celui de Brest encore à travaux … qu’importe, on lance la construction de 2 trois-ponts de 122 canons, qui seront commandés dés leur sortie (juin/juillet) par Messieurs Bartimeus et de Whatman, Bob Terrius gardant le contrôle du Formidable de Villeuve (avant d’avoir son propre trois-ponts dés que les arsenaux de Brest s’y mettront aussi)
Et la nouvelle caserne d’île de France peut elle aussi lancer des unités plus puissantes :





1 escadron des gendarmes lanciers du colonel d’Aspar,
3 brigades de chasseurs-à-pied de la Moyenne Garde, l’un étant dévolu au capitaine Kara d’Iskan d’Ar
3 brigades de Grenadiers à pieds de la Moyenne Garde, la première brigade intégrant le Colonel Guerrand Amédé Thrawn, la 2nde étant commandé par le général de brigade Elvis Gérard

Sur le plan diplomatique, la France signe la paix avec la Suède, ce qui ne modifie en rien la détermination de l’Empereur.
D’autant plus qu’au Nord, Murat, après avoir fait un rapide passage par Hanovre – le temps d’intégrer certaines des unités récemment complétées de Ney – peut enfin organiser le siége de Berlin.





Et ils osent appeler cela une capitale !




Von Palpatine n'aura donc pas réussi à nous retenir indéfiniment, même si plus de 2 mois auront été perdus côté français grâce à ses manœuvres d'obstruction. Et alors que l'assaut est lancé, une rumeur passe : on le dit déjà loin à l'est, en train de rétablir un nouveau front alors que les combats pour la capitale prussienne ont tout juste débuté ...
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  #69  
Vieux 18/01/2012, 00h32
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Ah-AH !! Le colonel d'Aspar apparaît enfin pour sauver l'Empire !!

Gageons qu'il réussira mieux dans sa tâche que sous petit-petit-petit-petit-fils...
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  #70  
Vieux 18/01/2012, 10h42
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21 avril 1806

Murat lance l’assaut qui devra emporter la capitale prussienne. Les rumeurs sur la défection de Von Palpatine semblent se confirmer, une partie des troupes d’élite (déjà très amochées lors des combats contre Ney) se sont retiré de la ville. Pour autant les ordres du gouverneur Von Palpat sont clairs : ceux qui restent doivent combattre jusqu’à la mort !
On le prend donc au mot et le tonnerre déferle aux abords de la ville quand nos 40 pièces se concentrent sur les unités isolées.





Des chasseurs, d’abord, qui sont décimés et doivent retraiter vers la ville.





Une batterie positionnée en embuscade tente de répliquer, on dirige les pièces vers ce point et les artilleurs écrasent toute velléité prussienne.





Chaque troupe sortant du couvert des immeubles est soigneusement arrosée, rincée et dispersée. Les Prussiens souhaitant continuer le combat, on intensifie notre feu, sur les bâtiments cette fois – un empire en miette comme la Prusse ne mérite pas plus qu’une capitale de gravats ! Mais les artilleurs finissent par rechigner, alors que tant de belles troupes sont à portée ! Un représentant de l’académie des Sciences étant dans les bagages de l’armée de Murat, on le fait venir pour qu’il disserte de la portée et de l’énergie cinétique d’un boulet devant les Français.


Quel a été le chemin le plus court parcouru par l’obus ?


Et puis on répète inlassablement l’exercice, afin d’éduquer nos troupes. On vérifie également la maxime selon lequel un boulet ne tombe jamais au même endroit.





Les Prussiens abasourdis, choqués et bien refroidis, on fait donner toute l’infanterie de notre flanc gauche, positionnée au plus prés de la ville, tandis que les canons tirent toujours dans les faubourgs. Des immeubles s’effondrent sur les Prussiens, la pression française est trop forte – et la peur du gouverneur Von Palpatine ne fonctionne plus maintenant qu’il s’est retiré. Drapeau blanc, la place est désormais française !

On attend de voir ce que l’on fera de Berlin. Certains pressent Murat de piller la ville (plus de 25.000 piéces d’or, assez pour lever 70 régiments !), les ordres de l’Empereur sont néanmoins limpides : laisser toute propension à la Prusse pour signer l’armistice. De Silésie, parviendra la réponse : la Prusse continue le combat !
Piller Berlin reviendrait donc à en faire aussitôt une place forte prussienne tant le mécontentement global serait gigantesque. On l’incorpore de fait à l’Empire, c’est tout juste si les troupes de Murat arrivent à maintenir l’ordre alors qu’aucune exaction particulière n’a été commise. Ney pourra bientôt entrer dans la ville et on continuera le combat, plus à l'est encore.

Alors certes, on laisse partir l’or, mais ce n’est pas vraiment ce qui manque. En revanche, on incorpore les 2 centres intellectuels de la région à la recherche française, passant ainsi de 2 universités à 4 !





4 chercheurs prussiens sont expulsés de l’université de Potsdam, encore 3 autres du reste du Brandebourg, on les laissera fuir jusqu’aux lignes adverses. Ils ne représentent plus de danger pour un bon moment, la Prusse ne disposant plus d’aucune université. La recherche française dominera bientôt le monde, à n’en pas douter.

L’ennui, c’est bien sur l’absence de reddition côté prussien malgré ce gros coup dur. On tente donc la pression psychologique. Murat va visiter le tombeau de Frederic II, rappelant ainsi à tous à quelle vitesse les Français ont cette fois réussi à percer jusqu’au cœur de la Prusse.

Dans le Tyrol, dont il n’a toujours pas réussi à sortir depuis 2 trimestres, l’Empereur Rodo regarde avec stupéfaction les 2 armées prussiennes qui ont de nouveau mis leurs bagages autour d’Innsbruck. « Leur empire se délite, et ils continuent à jouer aux Alpins du dimanche ? » s’étonne l’empereur.
On va encore devoir sortir, et corriger ses gaillards. Avec deux bonnes nouvelles : la forteresse du Tyrol est terminée et pourra entamer les troupes adverses. Et surtout, avec leur empire croqué morceau après morceau, les Prussiens ne devraient plus avoir de troupes en Autriche. On pourra alors se refaire la main sur Vienne …
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