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  #51  
Vieux 03/03/2007, 13h59
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Où l’on découvre que nous sommes le seul pur dans ce monde de fourbes



Après de longs palabres, nous finissons par convaincre l’architecte de la ville que nous sommes en réalité un grand archéologue avide d’explorer les ruines antiques qui, heureux hasard , se situent sous le chapitre de l’évéché, où des pas beaux ne veulent pas nous laisser entrer . Entre érudits, on peut toujours s’entendre et le bougre nous révèle l’existence d’un passage secret qui devrait nous permettre de passer outre à l’obscurantisme décadent de la très sainte inquisition. Nous nous précipitons dans le dit passage et sommes fort mal accueilli : des zombis. Ces créatures ridicules ne font pas vraiment pas le poids niveau combat… Sauf qu’elles dégagent un aura de terreur . Manfred, vil couard, prend la fuite et nous laisse seul, tout aussi paniqué : nous sommes obligés de courir d’un endroit à l’autre… Nos acrobaties nous permettent cependant d’éviter le pire et, une fois la peur surmontée, les bandelettes puantes animées sont liquidées ( note dans son carnet : trouver un objet magique pour nous immuniser contre la peur magique, nos défenses naturelles contre cela sont très faibles et, contre des créatures plus puissantes, cela aurait pu terminer au désastre… )


Finalement, nous débouchons dans les prisons de l’Inquisition, où, après avoir liquidé le comité venu nous souhaiter la bienvenue , nous pouvons admirer les lieux.







Nous libérons un magicien fou, Greta Hunger, la sœur de notre copain l’architecte et Nina Mugel, sympathique prostituée qui a vu Las Casas torturer les enfants que nous avons déjà libéré : son témoignage nous sera des plus précieux lors du procès du Grand Inquisiteur, qui sera brûlé vif, ainsi en avons-nous décidé . Ah, voici enfin Gertrude Baun, dernière sorcière à libérer du Cénacle Lunaire : « Oui, oui, nous avons libéré vos soeurs et leur avons fournis les catalyseurs pour le rituel… Elles sont à l’abris, dans une grotte sous la cascade et… » « Bien, c’est tout ce qu’il nous fallait savoir… Maintenant, vous allez mourir, ah ah ah » »Mais, mais, mais ? ». L’illusion se dissipe, ce n’était pas Gertrude, mais un Paladin de la Sainte Garde de Nuit.



Nous lui faisons payer son audace





Le traître éliminé, nous démolissons tout, liquidons tout ce qui bouge et finissons par retrouver la vraie Gertrude Baun. Notre devoir accompli, nous allons trouver le Prince de Cologne, qui ne peut toujours rien faire contre Las Casas . Tant pis, le Grand Inquisiteur sera dans ce cas détruit lors du rituel des sorcières. Et comme nous ne souhaitons pas rater cela , nous nous précipitons chez elles : une récompense en nature serait très appréciée, leur faisons-nous comprendre. « Une récompense ? Ah ah ah, mais nous avons d’autres buts : restaurer l’ancienne magie et mettre l’occident à feu et à sang » »Mais, mais, mais ? » »Oh mais, rassurez-vous, messire Artemis, nous vous avons réservé une petite place dans tout cela » »Ah ? » »Oui, vous serez notre esclave personnel jusqu’à la fin de votre vie… Ah ah ah » » Maudits garces, je… » »Adieu, nous partons réaliser le rituel » »Revenez, je… ». Les traîtresses se téléportent, nous laissant seul, dupé… Furieux.


Nos jambes rapides nous propulsent vers Cologne en un temps record, nous bousculons gardes et chambellan et faisons irruption dans la salle des banquets du Prince de Cologne : « Votre grâce, nous sommes trahis et réclamons justice ! Le monde est menacé mais, heureusement, nous sommes là ! Tous avec nous ! ». Après quelques explications, le coco se laisse convaincre par notre plan rusé et habile : c’est l’occasion rêvée pour liquider Las Casas et les Sorcières en même temps .


« Holà, gueux, je suis l’envoyé du Pape, écartez-vous ! ». Nous entrons par la grande porte du chapitre de l’évéchè, surprenons Las Casas dans son bain et le dupons allègrement : oui, nous savons où sont les sorcières que la très sainte inquisition traque, oui nous savons où elles vont réaliser le Rituel qui semble tant préoccuper le Grand Inquisiteur, non nous ne parlerons pas sans être grassement payé (ben oui, faut rester crédible ), non nous ne sommes pas d’une avidité sans égale (100.000 pièces d’or, ce n’est rien ). Et Las Casas se laisse convaincre… Le piège est lancé, plus rien ne peut l’arrêter et nous allons régler tous nos comptes.


Les derniers détails sont mis au point juste avant de pénétrer dans les ruines antiques où les Sorcières doivent réaliser leur putride rituel visant à leur apporter le pouvoir absolu . Nous allons rentrer seul, comme le héros que nous sommes (Manfred nous accompagnera quand même ), tenter de convaincre les Sorcières que nous approuvons leurs plans (ben tiens) et, une fois le lieu exact du Rituel atteint, tous les liquider avec l’aide de Las Casas, qui déboulera à ce moment. Cela fait, nous laisserons le Grand Inquisiteur continuer le Rituel puis il sera mis aux arrêts, pris en flagrant délit de sorcellerie, par le Prince de Cologne. La victoire est proche !




A suivre : où cela ne se passe pas exactement comme prévu

Dernière modification par Danton ; 03/03/2007 à 14h02.
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  #52  
Vieux 03/03/2007, 14h39
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Le Grand Final



Suivi par un Manfred malade (maudits Zombis ), nous déboulons dans les ruines antiques où doit avoir lieu le fameux rituel : Willie Stein nous y attend, avec ces petites pestes de diables-kobolds, de sinistre mémoire. « Oui, hein hein, j’ai réfléchi, je suis avec vous en fait, vous verrez, vous n’aurez pas à le regretter, Vuradush, le ‘viril guerrier’ mari de Yannia n’est rien à côté de nous et… Comment ? Nous tuer ? Evidemment, si vous en faites une affaire personnelle… »


Les diables-kobolds, opposition dérisoire pour un héros tel que nous .






« Bon, naturellement, Willie en a profité pour s’enfuir… C’est par là, je le sens ! Ah mais, pas moyen de crocheter ce portail… Bon, on tape »


Le portail magique (plus de 300 coups pour le démolir )






« Ooooh, mais c’est Vuradush, le guerrier si viril ! Manfred, restez en dehors de tout cela, c’est une affaire entre lui et nous … Non, quand je dis nous, c’est nous, donc pas vous, vous comprenez ? Bien, allons y donc ! Mais non, pas vous, nous seulement ! ». Il ne comprend rien celui là .


Vuradush liquidé, nous surprenons les Sorcières en plein rituel (elles viennent de sacrifier une enfant…)

Le Rituel





« A l’assaut ! Tous au combat ! Oui, Manfred, vous aussi ! Quand nous disons nous, c’est vous aussi et… Las Casas ! »


Las Casas déboule





Un furieux combat s’engage, les sorts pleuvent partout et Manfred disparaît sous un déluge neige et de feu . Nous, nous engloutissons potions sur potions et nous en remettons plus d’une fois à nos jambes agiles…


Et finalement…





« Allez y, Las Casas, appelez donc votre Démon qui vous donnera le Pouvoir absolu, si si allez y, nous insistons »


Las Casas reprend le Rituel interrompu





Manque de chance pour lui, tout cela était un plan tordu d’un Seigneur du Chaos, qui apparaît dans toute sa splendeur et est fort surpris de nous rencontrer : nous avons du sang Veritas, comme lui, peut-être sommes-nous même son très lointain descendant . « Mais alors, nous sommes un Demi-Dieu ! Artemis, Prince des Voleurs et Demi-Dieu, voilà qui sonne bien ! »


Le coco ne partage pas notre avis…


Le Prince du Chaos





Avec l’aide de Las Casas, nous tapons encore et encore, mais la brute tape très fort… Heureusement, nous sommes bien pourvu en potions.


Duel contre le Prince du Chaos





« Et voilà, terminé. Bon, Las Casas, merci pour le coup de main, maintenant, zou, le procès et le bûcher : marre d’être toujours dupé ici ! »


Eeeeet oui :







Las Casas sera jugé et, l’âme désormais en paix, nous pouvons retourner à Kosigan afin de tirer au clair cette histoire de complot.


Le héros





Fin de l’épisode II du bâtard de Kosigan
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  #53  
Vieux 03/03/2007, 18h51
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Episode III. Retour à Kosigan



Acte 1. Il y a quelque chose de pourri à Kosigan la belle


Le Prince des Voleurs fait son retour (discret ) à Kosigan la Belle et se ménage rapidement un rendez-vous secret avec Slynt Carayan, chef de la garde grise et vieux mentor du Prince des Voleurs, qui nous confie une mission d’importance : libérer Alexandra de Velan, envoyée espionner les louches négociations entre Francie et Burgondie ( Kosigan étant entre les deux et vassale du Duc de Burgondie) et capturée malheureusement. Aaah, la belle Alexandra, notre première expérience sexuelle .


L’ignoble Comte de Kosigan, Borogar, est mourant, une maladie inconnue et un sérieux problème de succession se pose… Là aussi, il nous faut mener enquête. Le scélérat, de toute façon, ne manquera visiblement à personne, c’est une brute sans pitié… Pire, c’est lui qui nous a poussé à l’exil, avec force coups de pieds au cul . Et le bâtard de Kosigan n’a pas oublié ce traitement indigne… Un petit tour à la maison de notre douce enfance, où nous retrouvons notre vieille nourrice, que nous couvrons d’or et qui nous apprend diverses choses… Le brutal Borogar a aussi un bâtard : Mordred le demi-orque ! Tiens, tiens, une vieille connaissance que nous avons eu le loisir de croiser à Cologne…


Nous sympathisons ensuite avec la belle Erine, qui se révèle être une mine d’information et nous implore de retrouver les assassins de son mari : il ne faut pas chercher loin, les responsables sont la Confrérie Sombre, la guilde des tueurs locale. Nous verrons cela plus tard. En attendant, nous acceptons d’aider Lodar le Mauve, un conjurateur maladroit au service de Vlad, un des fils de Borogar, aussi louche que brutal et qui enlèverait des jeunes femmes, qu’on ne retrouve plus jamais : le conjurateur sot a notamment conjuré un dragon blanc dans sa cave . Heureusement, nous sommes là pour y mettre bon ordre.







Nous nous payons nous même en pillant le laboratoire du mage, nous appropriant notamment de superbes bottes bien dissimulées derrière un cadre piégé. Ah, encore un magicien dans le pétrin : Jerical Mac Gulphy, métamorphosé en cerf blanc par un collègue jaloux et maléfique, Porossi, que nous affrontons peu après suite à son refus de nous restituer la baguette de métamorphose de Jerical.







Fier comme un paon, nous restituons sa baguette à Jerical qui reprend sa forme originale : un superbe démon. « Merci bien, messire Artemis de Kosigan, quel grand service vous m’avez rendu là ! » Mais euh comment vous me connaissez ? Et euh vous ressemblez fort à un démon, non ? » »Ah ah ah, adieu messire Artemis, la mort rôde à Kosigan, souvenez-vous en ». Pouf, il disparaît. Et meeeeerde, nous avons libéré un Démon . La population de la ville, cependant, ne nous en tient pas rigueur : quand des bandits nous attaquent pour la seçonde fois (des membres de la Confrérie Sombre ?), c’est la ruée pour venir nous défendre : paysans, gardes, nobles, prostituées, tous se précipitent pour nous venir en aide .







Notre esprit subtil devine que ces rustres se cachent dans les égouts, mais, avant d’y aller, un petit tour au monastère de Sainte Foy. Un esprit invulnérable bloque l’accès au caveau, où se trouve les saintes reliques de Sainte Foy, qui protège les Kosigan. « Hein, hein, nul n’est invincible pour le Prince des Voleurs, je m’occupe de tout »….


« Alors, cher Artemis ? » »Euh, eh bien, comment dire… Invulnérable, c’est bien le mot, moui… Mais nous allons y retourner dès que vous nous aurez soigné… Voilàààà, merci ». Dissimulés dans les ombres, nous nous rapprochons, observons et revenons avec les reliques sans nous faire remarquer de l’esprit invulnérable. Notre esprit subtil, avec l’aide du Père Supérieur Richard de Grey, nous permet rapidement de reconstituer le crime : l’esprit n’est autre que Sainte Foy, revenue du monde des morts pour hurler sa rage devant le vol des reliques (ben oui, ce sont des fausses que nous avons récupéré ). Une rapide enquête nous amène à traquer Frère Frédéric qui est battu et finit par craquer : c’est Bertrand, un colporteur qui est la cause de tout. Lui n’a fait que céder au vice ( consomer de l’opium, dont il est devenu complètement dépendant, et violer les nonnes sous prétexte de les absoudre de leurs pêchés ), n’est ce pas ? En tout cas, il n’avait pas encore pu lui donner les reliques, que nous restituons au monastère. Bertrand, lui, devra attendre un peu avant de recevoir son châtiment (il est dans une autre ville).
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  #54  
Vieux 04/03/2007, 13h28
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Acte II. Où nous défendons la veuve et l’orphelin


Une charmante jeune femme en détresse, Tyriana Veneziana, nous engage pour retrouver sa sœur jumelle, Myriana, qu’elle cherche depuis si longtemps. Comme nous sommes consciencieux, nous entrons par effraction dans sa chambre d’hôtel afin de vérifier si elle n’aurait pas oublier de nous donner des informations utiles pour remplir notre mission : tout cela pour son bien naturellement . Surprise, la demoiselle a des gardiens un peu particulier pour protéger ses biens…







Le combat fut difficile et il nous a fallu boire deux potions : notre méfiance, en tout cas, est désormais très élevée. Qui confie ses biens à de tels gardiens ne peut être foncièrement bon… De plus, Tyriana aurait du nous avertir de la présence de ses gardiens ( en fait, elle aurait du nous remettre ses biens spontanément ). Nous décidons de bouder et redéfinissons d’autres priorités : la charmante Erine attend toujours de nos nouvelles. Un mendiant nous confirme que la Confrérie Sombre se cache bien dans les égouts, où nous nous attendons à rencontrer des araignées géantes, comme c’est la tradition. Raté, cette fois ce sont des rats mutants et, surtout, une immense femelle très puissante : la dernière conjuration échappée de l’invocateur imprudent Lodar le Mauve (heureusement que nous sommes là pour ramasser ses affaires derrière lui ).



Au deuxième niveau des égouts, enfin, la Confrérie Sombre au grand complet. Ils nous regardent d’un air ébahis et sans trop d’agressivité, ce qui nous encourage et nous nous approchons de Celad Swift, leur redoutable chef : « Holà, toi, le rustre ! Pourquoi avoir assassiné le mari de la belle Erine ? Qui était votre commanditaire ? Parle ou je te botte le cul ! » « Quelle audace, messire Artemis ! [décidément, tout le monde nous connaît ici] Je pourrais vous liquider en deux seçondes si tel était mon souhait… Tous mes lieutenants sont là, mes meilleurs hommes » » Misérable lâche, tu oublies à qui tu t’adresses ! Nous sommes le Prince des Voleurs et nous te destituons ! Tu n’es plus digne d’être le chef de cette guilde de voleurs ! » »Que ? Meurs ! » « Adieu, pitre, la Confrérie Sombre aura bientôt un nouveau chef ». Et un furieux duel s’engage sous l’œil attentif des voleurs de la guilde : aucun ne vient aider leur chef, enragé et qui les invective… Il ne peut y avoir qu’un chef des voleurs ici, et ce sera nous .







Le bougre se révèle être un redoutable combattant, dégâts redoutables, attaques sournoises et vision lucide qui nous empêche de nous dissimuler dans les ombres… Nous engloutissons 5 potions et finissons par mettre un terme à ce duel. « Ah, eh bien voilà. Nous sommes votre nouveau chef ! » « Oh non, messire Artemis, vous êtes trop dangereux… Merci de bous avoir débarassé de notre chef, mais nous reprenons désormais notre liberté « Quoi ? Mais il vous faut un chef et ce sera nous ! » « Jamais ! Meurs ! ». Bande d’affreux. Nous sommes obligés de tous les liquider, de toute façon nous avons mieux à faire que diriger une guilde de voleurs. Dans les archives de la guilde, nous trouvons le nom du commanditaire et allons apporter les preuves à la douce Erine, qui devient enragée : le meurtrier n’est autre que l’ex meilleur ami de son défunt mari qui, à la mort de ce dernier, l’a consolée avec beaucoup de soins, jusqu’à remplacer le dit mari dans son lit . Elle nous demande sa tête, mais nous finissons par la calmer et le bougre est remis entre les mains de la justice. Nous la consolons à notre tour avec beaucoup de soins…
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  #55  
Vieux 04/03/2007, 14h21
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Côté combat j'avais eu dur avec le magicien qui détenait la baguette et le chef de la guilde. C'est un module que j'ai refait 2 fois avec plaisir pour explorer plusieurs fins de quêtes que l'auteur indique sur son site web.
__________________
Franquin : " Moi boy-scout ? Tu veux rire. J'ai échappé à tout : à la chorale, à l'équipe de foot , à l'armée, et oui, j'ai même échappé aux scouts..."
Balzac : " Pour empêcher les peuples de raisonner, il faut leur imposer des sentiments".
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Vieux 04/03/2007, 16h39
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Le chef de la guilde était vraiment costaud en effet ... Heureusement que ses hommes n'ont fair que regarder le combat


Hi hi hi, je suis au château D'Arcourt là et je crée un bordel monstre

Je nage comme un poisson dans tous ses complots: la belle Catherine de Lys dans mes bras, sous les yeux médusés de mon cousin de Kosigan, son amoureux fou, la... euh... charmante fille de Duc de Burgondie qui s'enfuit avec le fou du Duc en suivant mes conseils

Ze m'amuse, ze m'amuse, très bon cet épisode. Bon, j'y retourne, il y a encore des demoiselles à emballer
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  #57  
Vieux 04/03/2007, 17h16
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Citation:

Ze m'amuse, ze m'amuse, très bon cet épisode. Bon, j'y retourne, il y a encore des demoiselles à emballer
Méfie toi, les belles roses ont souvent des épines
__________________
Franquin : " Moi boy-scout ? Tu veux rire. J'ai échappé à tout : à la chorale, à l'équipe de foot , à l'armée, et oui, j'ai même échappé aux scouts..."
Balzac : " Pour empêcher les peuples de raisonner, il faut leur imposer des sentiments".
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  #58  
Vieux 04/03/2007, 21h27
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Acte III. Où l’on passe d’une femme à l’autre



A peine avons-nous terminé de consoler la douce Erine que le devoir nous appelle désormais ailleurs : il faut toujours retrouver la sœur jumelle de la belle Tyriana. Notre vieux mentor Slynt doit certainement avoir une idée à ce sujet… De fait, le bougre nous en apprend beaucoup : Tyriana et sa sœur ne seraient que des clones d’Angélina Strozzi, Paladine de son état, créés par un sorcier dément… Et tous ces clones en ont commun d’être de redoutables assassins de la Main Noire . De même, ils sont tous très puissants et ne vieillissent pas. Bref, il faut les stopper, mais nous stoppons son zèle directement et partons tirer cela au clair nous même. Après un interrogatoire serré, tout est désormais plus clair : la pauvre Tyriana est certes un clone mais qui a pu échappé, grâce à Angélina, au triste sort de ses sœurs meurtrières, dont elle ignore quasi tout. Le moment venu, elle saura nous remercie de nos bons et loyaux services… Si, si nous avons même une idée sur la question .


Bon, ce n’est pas tout, mais Alexandra De Velan attend toujours que nous venons la tirer de ses geôles puantes… Nous ne pouvons pas être partout, il y a tant de jeunes femmes en détresse à sauver . En route pour le château d’Arcourt ! En chemin, nous liquidons une bande d’ogres mages, un loup géant et une grosse araignée.






Nous sauvons aussi au passage la femme de Renaud de Pissefroid, jardinier de son état ( il est grand temps de créer une société pensons-nous : SOS Femme en détresse, Artemis de Kosigan à votre secoure !). Un petit duel avec un Italien à moitié fou, Indigo de Montaga, et nous voilà au château (nous entrons grâce à l’invitation de Pissefroid).


Tiens, tiens, Myriana Veneziana. « Hein, hein, salut poupée ». Regard glacial . « Ton contrat est annulé… ». Gestes de la Main Noire. « C’est Olef qui t’envoit ? » « Dis, poupée, tu ne prendrais pas le Prince des Voleurs pour un débutant par hasard ? Ton Olef, il n’existe même pas… ». La jolie assassine a comme cela essayé de nous piéger encore deux fois, mais on ne dupe pas facilement Artemis de Kosigan et la demoiselle sortira perdante de cette joute de fourbes, nous apprenant d’une part que le commanditaire est un certain Cédric de la Treille et que, d’autre part, si elle échoue, ce sera à l’agent Français, la très belle Catherine de Lys, d’exécuter son contrat. Nous échouons pas contre d’une part à apprendre qui elle était censée exécutée et d’autre part à la convaincre d’assassiner plutôt Catherine…


Après ce demi-succès, nous allons parler avec notre cousin, Wench de Kosigan, à qui nous remettons discrètement le message scellé de Slynt puis nous le persuadons de nous en révéler la teneur… Slynt, et Vlad, le fils du Comte Borogar et son héritier, veulent retarder un peu son mariage politique avec la très laide Borgiane, troisième fille du Duc de Burgondie. Un mariage d’intérêt qui ne fait pas l’affaire de notre cousin, fou amoureux de Catherine de Lys et qui nous prie de l’aider à suivre son cœur. « Cousin, nous nous occupons de tout » « Vous ? » « T’occupe, nous nous comprenons » « Ben… »


Nous mettons alors en œuvre toute notre séduction naturelle auprès de la vraiment très belle Catherine de Lys, fille de l’ambassadeur de Francie et espionne du même royaume (oui, celle là même que nous avons tenté de convaincre Myriana d’assassiner ) : un beau ténébreux secret et romantique, elle craque rapidement et nous donne rendez-vous dans les jardins. Bien, bien, ce cher cousin doit nous voir partir… Voilààààà…


Dans les jardins, tout se passe trèèèèèèès bien







Puis, oh surprise, le cousin Wench surgit… Eh oui, cousin, tu connais même la vérité sur ta dulcinée…







Bien, bien, notre mission est remplie, ce mariage ne se fera pas, mais nous décidons de pousser le vice jusqu’à faire annuler aussi le mariage entre notre cousin et la très laide Borgiane : après tout, le seul Comte légitime de Kosigan, cela devrait être nous et rien que nous . Ah, Borgiane est folle amoureuse du fou du Duc… Bien, bien, creusons de ce côté : oooh, mais vous êtes son papounet en fait !!! Mais alors, le Duc de Burgondie a été cocufié ! Comment ? Que je cesse de crier parce que le Duc est juste à côté ? Ecoutez, cher fou, j’ai une idée, partez avec Borgiane, soyez libre et heureux ! Vous suicider, dame Borgiane ? Ah mais non, partez j’ai dis, si si j’ai des amis en Germanie qui vous offriront eau claire et soleil. Et voilà, Myriana est partie vérifier ses ordres, la fille du Duc de Burgondie est partie avec le Fou du château, notre cousin est désormais sans avenir matrimonial et Catherine de Lys, fille de l’ambassadeur de Francie, va devoir se trouver une autre victime. Bon, il est temps de retourner à notre mission maintenant, c’est que nous ne sommes pas venu uniquement pour mettre le bordel partout nous !
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  #59  
Vieux 08/03/2007, 21h42
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Acte IV. Où le Pouvoir nous attend enfin



En apercevant un demi-orque musicien, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous moquer de lui et le bougre le prend mal… Nous sommes contraints et forcés de lui taper dessus à coups de rapière, en plein milieu de la salle de fête et quasi sous les yeux du Duc… Et personne ne réagit . Puisque c’est ainsi, plus besoin de finasser : nous liquidons les gardes devant l’escalier du sous-sol puis pénétrons dans les geôles du château, où nous sommes chaudement accueillis. Les gardes sont solides, mais, au moindre pépin, nous nous replions dans les ombres puis frappons par surprise . Puis nous faisons sortir Alexandra De Velan de sa cellule : elle est à demi nue, ce qui ouvre des perspectives intéressantes … Mais mieux vaut ne pas traîner ici.


Le devoir accompli :






Ben non, pas de témoins, cela c’est garantis .


Notre succès est quasi complet, mais il nous reste à capturer le commanditaire du vol des reliques de Sainte Foy, qui se cache à Albret. Nous nous rendons sur place et trouvons la ville saccagée : nous nous frayons un passage au milieu de solides zombis tueurs et arrivons à la tour de Bertrand… Quelques papiers compromettants nous confirment qu’un vaste complot est en formation . Enfin, avant de partir, nous allons saluer J’Kaer Helvanfir Karel, le responsable de cette désolation.


C’est lui :





Notre ruse et nos talents sont tels que nous parvenons à convaincre ce sympathique dragon rouge de quitter la région et d’aller plutôt dévaster la Francie voisine. Et, tant qu’à faire, liquider le Roi de Francie , qui l’a envoyé ici. Sur le chemin du retour, nous sommes attaqué par le fameux Bertrand et des combattants drows (raaaa, les scélérats, ils ne vont pas de nouveau nous obliger à quitter la région ). Retour à Kosigan, où un farouche combat nous attend contre la tueuse, Miriana Veneziana, qui a enfin compris que nous l’avions complètement dupée .





Vaincue, la belle avoue enfin tout : sa cible, c’était notre cousin, Wench, et le commanditaire, c’est l’ambassadeur de Francie . L’objectif, c’est de prendre le contrôle de Kosigan. Tout indique pourtant que deux éléments non prévus sont venu saboter le complot : Mordred, le fils bâtard du Comte de Kosigan toujours agonisant, et, bien plus redoutable, le Prince des Voleurs .


Slynt Carrayan nous confie une nouvelle mission : veiller sur la santé de cet ingrat de Comte qui nous a brutalement exilé. Nous faisons mine d’accepter, mais nous avons une autre idée en tête . A peine entré dans le château des Kosigan, nous tombons sur la belle Alexandra de Velan, qui meurt dans nos bras , empoisonnée par l’ignoble Tyriana Veneziana, mais qui trouve la force de nous confie l’antidote pour sauver le pervers Comte Borogar. Nous montons à l’étage et notre charme inné nous permet d’entrer dans la chambre du Comte, sévèrement gardée par Paul De Chaume, Paladin de la Sainte Croix.


« Alors, vieux débris, tu agonises enfin ? Nous sommes heureux d’être arrivé avant ta fin prochaine… Nous nous étions promis de te botter le cul pour nous venger de cet exil indigne … » »Gnegnegne » »C’est cela, c’est cela. Bon, écoute, Kosigan est menacé de partout, la Francie veut l’annexer : il faut mettre les vieilles querelles de côté et faire face vaillamment » »Gnegnegne » »Bien, nous savions que tu serais d’accord. Il faut un homme fort et habile pour gouverner, pas une loque de ton acabit. Donc, tu vas abdiquer en notre faveur… » »Gnegnegne » »L’antidote… Bois… Après, tu nous cèderas le pouvoir ». Glouglouglou… Aaaargl… Raaaa….Pof. « Mais mais mais ? Ce vieux débris est mort ! Oh la garce, c’était un poison, pas une antidote ! Tiens, Paul de Chaume ! Non, non, nous ne sommes pas un assassin , notre loyauté envers le Comte était totale et sans faille ! Kosigan avant tout ! Venez avec nous, vite et sus aux monstres »


Fort heureusement, nous avons su convaincre SuperPaladin de nous rallier, nous n’aurions pas vraiment souhaité l’avoir contre nous






« Tiens, des rires gras ? Oh, Alexandra de Velan, bien vivante ! Et le comploteur assassin Bertrand ! Et le bâtard Mordred ! Et les autres enfants du Comté, légitimes cette fois, tous assassinés ! Comment, un complot pour prendre le pouvoir ? Ben tiens, nous avions compris, nous ne sommes point sot . Vous dites ? »






Faut-il le préciser, nous avons répondu « Désolé, mais le trône de Kosigan sera à moi tout seul ! Vous avez fait l’essentiel du travail pour moi, merci beaucoup, je n’ai plus qu’à me baisser pour prendre le pouvoir ». De toute façon, le trône nous revenait de droit ! Les ignobles comploteurs ne l’entendaient pas de cette oreille et le combat était inévitable : il fut fort bref, SuperPaladin étant un monstre de combat hallucinant d’efficacité ( 108 de dégâts en un seul coup contre Mordred, suivi d’un coup de 87 de dégâts contre Alexandra ). Ce coco là, il faudra toujours le garder de notre côté, c’est plus prudent .


Les assassins éliminés, nous rejoignons Slynt Carrayan, qui nous confirme que, en l’absence de nouvelles claires au sujet de Wench Kosigan ( sera bientôt assassiné de toute façon), NOUS représentons désormais le pouvoir à Kosigan. En attendant de devenir Comte, nous voilà déjà au moins Régent .







Paul de Chaume sera notre garde du corps .


Le Prince des Voleurs et Régent de Kosigan







Fin de l’épisode III du bâtard de Kosigan

Dernière modification par Danton ; 08/03/2007 à 21h47.
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Vieux 10/03/2007, 14h54
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Episode IV du bâtard de Kosigan : Révélations




Bon, Comte de Kosigan, c’est bien, mais il y a toujours cette histoire de Seigneur du Chaos à élucider . Comme tout est clair du côté paternel, il va falloir creuser du côté maternel… La vieille Marie, qui nous a tant bien que mal élevé ( elle est fière de nous en fait : Prince des voleurs, Comte de Kosigan et descendant des Seigneurs du Chaos, cela en jette ) nous en apprend un peu plus : c’est l’ignoble Comte Borogar, que son âme immonde pourrisse en Enfer pour l’éternité , qui a fait assassiner notre douce maman ( Jehanne) après que celle-ci ait tenté de le faire chanter pour qu’il nous accepte comme membre à part entière de la famille Kosigan et non comme un simple bâtard ( elle avait appris l’existence du bâtard demi-orque Mordred) : y a pas à dire, la ruse, c’est de famille .


Un pèlerinage à Kerbuck, notre village d’enfance, s’impose. Avant d’y arriver, nous liquidons des bandits minotaures menés par un chef très costaud. Enfer et damnation, le village a été attaqué et s’attend à un nouvel assaut ! Bon, en tant que Seigneur de Kosigan, notre rôle est clair : prendre le commandement et mener nos troupes à la victoire . Nous plaçons tous ceux qui savent tirer en haut d’une falaise et bloquons l’accès à celle-ci par un grand piège, des taureaux costauds et les combattants du village. Puis, à l’arrivée des monstres, nous les attirons dans le traquenard et parvenons même à diviser leurs forces. Naturellement, nous effectuons le gros du boulot et nous taillons joyeusement dans le gras des monstres : les ogres mages et le géant du froid étaient particulièrement costaud, mais force est revenu au bon droit .


Cette affaire terminée, allons nous recueillir sur la tombe maternelle… Ah ben tiens, quelqu’un est passé avant nous et a ouvert la tombe il y a deux nuits seulement ! Le scélérat ! Fort heureusement, ce n’était qu’un leurre et la tombe est en réalité cachée plus loin : comme nous sommes donc malin, nous les Kosigan ! Le Père Lafoi nous conduit à la bonne tombe, bien cachée… Nous l’ouvrons à notre tour, la solution est là dedans… Ooooh, une épée magique formidable… Et une apparition ! Un Ange ! « L’épée Senwalkir de l’Archange Gabriel lui-même ! Volée par notre douce maman, qui ne serait rien d’autre qu’un vil démon ? Mais c’est que nous sommes insultés ! Ange ou pas Ange, cette épée est désormais à nous et nul ne pourra ternir l’image de nos ancêtres ! D’ailleurs, nous sommes nous même un demi-Dieu, si si, c’est ce qu’un Seigneur du Chaos rencontré à Cologne nous a affirmé, d’ailleurs c’est pour résoudre ce mystère que nous sommes ici ! C’est cela, vas te plaindre à l’Archange Gabriel, fayot ! Oh, mais on nous attaque en plus ! Ah, voilà de l’aide au moins : le fameux Seigneurs du Chaos ! »


L’Ange est invulnérable à tous nos coups , jusqu’à ce que nous suivons les conseils de notre allié du Chaos et dégainons Senwalkir… Là, les choses commencent à changer






L’Ange est vaincu et s’enfuit lâchement, nous pouvons alors discuter avec Mandorallen Ilbariment, qui nous en apprend des belles et des moins belles : les Seigneurs du Chaos et les Anges appartiennent tous deux à la race antique des Atlantes et se font la guerre depuis 10.000 ans (ils sont quasi éternels)… Leur lutte se fait avant tout par l’intermédiaire de la relion… Les Démons, ou Seigneur du Chaos, ont clairement perdu, la domination mondiale de Gabriel, via la tyrannique église catholique, est en passe de l’emporter, grâce à une arme curieuse et mortelle… Mandorallen est le dernier Seigneur du Chaos… Ces derniers ne peuvent normalement pas avoir de descendance, mais nous sommes l’exception qui confirme la règle. Nous sommes dans le même clan, c’est clair, d’ailleurs les pompeux de l’église catholique, nous savons ce qu’ils valent







Prince des Voleurs, Comte de Kosigan, Demi-Seigneur du Chaos… Moui, rajouter « Manipulateur Universel » nous irait très bien



Manodrallen, ravi de nous savoir à ses côtés, n’a qu’une idée : on fonce au Vatican, le cœur du Mal, et on liquide enfin les Anges maudits. Moui, vaste plan, mais nous avons d’autres soucis : la Francie veut toujours annexer Kosigan, qui est à nous et rien qu’à nous


Nous retournons à Kerbuck, où nous pouvons interroger un chef ogre capturé : la situation est pire que prévue… Les ogres et les Français ont déjà lancé leur invasion, Kosigan la Belle serait même occupé par les envahisseurs . Cela ne se passera pas ainsi, c’est nous le Comte de Kosigan et rien que nous !


Le porc ogre, entendant cela, veut régler le problème à sa façon et nous attaque sauvagement…







La brute est liquidée . Et maintenant, le travail nous attend : nous avons un royaume à reconquérir, des envahisseurs Français à repousser, une toute puissance église catholique à purger du Mal qui la ronge, le Vatican à prendre d’assaut etc etc : tremblez, gueux, le Bâtard de Kosigan est à vos trousses ! Aux aaaarmes !


Artemis de Kosigan, Prince des Voleurs, Comte de Kosigan et Demi-Seigneur du Chaos




Fin de l’épisode IV du Bâtard de Kosigan
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