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  #51  
Vieux 12/01/2012, 23h44
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Ces français sont des paysans genronormés, n'est-il pas ?

Peut être, mais j'ai l'impression, à voir leur couleur flashy, que les soldats Prussiens reviennent de la Gay pride, eux
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  #52  
Vieux 15/01/2012, 01h15
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Hey !!!! A cause de mon internet défaillant, j'avais loupé ce magnifique AAR !!

Moi aussi je veux en être !! Euh, enfin...en faire partie !!

Le [mettre ici un grade] d'Aspar dans la cavalerie, si possible...
Ou sinon le [mettre ici un grade] Sparfell dans la marine.

Steûplé steûplé steûplé !!
__________________


"L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre."


Ar Sparfell



( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? )
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  #53  
Vieux 15/01/2012, 14h44
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Hey !!!! A cause de mon internet défaillant, j'avais loupé ce magnifique AAR !!

Moi aussi je veux en être !! Euh, enfin...en faire partie !!

Le [mettre ici un grade] d'Aspar dans la cavalerie, si possible...
Ou sinon le [mettre ici un grade] Sparfell dans la marine.

Steûplé steûplé steûplé !!

Colonel d'Aspar, escadron de gendarmes lanciers, ça te va ?
(une unité unique, qui sortira au printemps 1806 en gros, et qui a un excellent bonus de charge)



Tu devrais normalement participer aux combats en Espagne, afin d'avoir un minimum d'historicité (enfin plus précisément à Gibraltar)

Dernière modification par marlouf ; 15/01/2012 à 14h50.
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  #54  
Vieux 15/01/2012, 19h48
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Colonel d'Aspar, escadron de gendarmes lanciers, ça te va ?
(une unité unique, qui sortira au printemps 1806 en gros, et qui a un excellent bonus de charge)



Tu devrais normalement participer aux combats en Espagne, afin d'avoir un minimum d'historicité (enfin plus précisément à Gibraltar)
Colonel d'Aspar des gendarmes lanciers, ça me va plus que bien !!
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"L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre."


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( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? )
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  #55  
Vieux 16/01/2012, 14h52
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Le froid s’empare de l’Europe continentale, l’automne s’écoule puis les premières neiges arrivent déjà au loin.
Charles Louis d’Autriche, avec plus de 12.000 hommes, tente de reprendre le Tyrol face à l’Empereur français. Cette fois cependant, Rodo dispose de troupes au nombre égalant son adversaire : un peu plus de 10.000 hommes, et la meilleure artillerie qu’on puisse trouver en Europe – certains, comme le colonel Jmlo, ont beau maugréer, le retour du général de brigade Boudi Bras d’bois éclipse en partie la renommée des autres unités.
On compte également de la cavalerie, enfin en nombre. Si la guérilla pourra se poursuivre avec les chasseurs à cheval de Jag et Maximus, on dispose enfin de cavalerie de choc : les dragons d’Auvergne du Capitaine Otto ont pris leur position, et le colonel Griffon plastronne dans son uniforme. Rodo s’est surtout adjoint une unité d’élite avec les Grenadiers à cheval de la Garde Impériale du colonel-major Bravlyon.





On bascule toute la cavalerie sur notre flanc gauche. On y installe l’artillerie la plus puissante, les brigades de Boudi et Jmlo. Ce saillant avancé sera confié au 6éme d’infanterie de ligne de Bébert, auquel on adjoint les grenadiers de Druss d’haran. Le reste du 5éme d’infanterie (Locke & Urial) lui, reste en arriére, sur notre flanc gauche, à l’orée de la ville, en réserve. Le reste de l’artillerie y est également positionnée. La canonnade débute, les Autrichiens s’élancent et se ramassent sur le saillant français.





Les artilleurs doivent reculer sous la pression autrichienne, ils passent derrière nos lignes d’infanterie. La compagnie de grenadiers de Druss d’Haran reçoit les troupes de l’Empereur d’Autriche comme il se doit, dans le feu et dans le sang. Les hommes passeront par la suite à la baïonnette afin de rougir le sol du Tyrol du sang de l’ennemi.





Les Autrichiens désormais au corps à corps, Rodo fait donner toute la cavalerie en débordant les Autrichiens sur leur droite. Attaquer par les flancs et à revers, l’armée se délite à une vitesse impressionnante.



L’escadron Bravlyon, soutenu par le 9ème Dragons de Griffon, perçant les lignes ennemies


Le coup de grâce vient du Capitaine Otto Amable Grandpieds, qui s’empare de toutes les piéces d’artillerie ennemie avant d’aller défier l’Etat Major autrichien et de blesser leur général. La retraite est donnée, piteuse, et l’ordre est lancé côté français : pas de prisonniers ! Toute la cavalerie est lancée sur les traces des Autrichiens et les régiments sont méthodiquement anéantis.
On comptera 11.700 morts du côté autrichien, et seulement 500 survivants, tandis que les pertes, côté français, restent minimes : seulement 2.000 morts, qui devraient facilement être remplacés. Le plus important étant que l’Autriche perde petit à petit tout renfort pour qu’enfin, l’assaut puisse être lancé sur Vienne.



Au nord de l’Europe, Ney donne, lui, l’assaut aux forces prussiennes établies aux environs de Clèves. Ombres et brouillards, voilà qui pourrait résumer la bataille qui se joue principalement dans l’obscurité. Les Prussiens, surs d’eux, font donner leur avant-garde, qui est reçue par les mousquets français.





Les premières offensives sont un échec. L’Etat major prussien s’entête et fait donner la totalité de sa cavalerie. Les hussards s’élancent, et se brisent en partie sur nos lignes. Un régiment français finit par lâcher, le bataillon voisin semble également craquer, lorsque le Capitaine François-Léopold Dédé, du 15éme d’Infanterie de ligne, colmate la brèche.





L’offensive prussienne est un échec patent, une fois toute sa cavalerie brisée. Les lignes françaises s’élancent, les deux ailes se rabattent sur les Prussiens, ces derniers abandonnent. Quelques unités éparses tenteront encore d’empêcher la chute de la province, mais rien n’y fait, Ney s’empare de la ville – et désormais, la route est ouverte pour reprendre Hanovre aux Anglais. 3.000 pertes côté français, Ney passera donc le nouvel An à Clèves pour restaurer ses troupes avant de s’attaquer enfin aux Tuniques Rouge …

A Paris, Murat lève des armées en masse pour, selon toute logique, traverser l’Espagne et prendre Gibraltar. Voilà qui devrait affaiblir l’adversaire de toujours ! Surtout, les technologies ayant progressé, on peut enfin construire une grande caserne dans les villes les plus importantes, ce qui débouchera à terme sur la création d’unités plus puissantes : Grenadiers de la garde, Cuirassiers, Mammelouks, Gendarmes-lanciers, les options seront enfin démultipliées.

L’économie en forte croissance permet ces investissements, soutenue par le commerce en Méditerranée devenu florissant, même si une escadre anglaise coule certains de nos navires de commerce. La Royale, amarrée à Nantes tant que l’escadre de Nelson opére dans l’Atlantique, se rassure comme elle peu ; l’arsenal de la ville est quasiment fini et celui de Brest est en cours de travaux. D’ici la fin du printemps, selon toute vraisemblance, nos premiers navires de ligne, alignant chacun plus de 120 canons, devraient sortir de la rade et permettre de défier les Anglais sur mer.
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  #56  
Vieux 16/01/2012, 16h07
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L'Angleterre écrasera les gueux
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[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit:
je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas
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  #57  
Vieux 16/01/2012, 19h30
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Et la grenouille sera enfin ce plat mondial tant attendu.
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C'est facile, demandez au volontaire de faire un pas en avant. Celui qui ne fait pas de pas en arrière est volontaire."
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  #58  
Vieux 16/01/2012, 21h52
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Janvier 1806, l’Empereur Rodo constate que malheureusement l’offensive en Autriche est pour l’instant un échec.

La neige empêche tout mouvement côté français, tandis que l’Autriche ne semble pas flancher malgré ses déculottées. Surtout, en plus des régiments innombrables qui campent à proximité de Vienne, les espions rapportent, en plus de la présence des Russes et de Kutuzov, l’arrivée de 3 armées prussiennes – pas loin de 45.000 soldats qui ont traversé la Prusse pour faire copains comme cochons avec les Habsbourg.
Toute idée de percée est désormais retardée sur ce front, et Rodo 1er doit en prendre son parti. Des forteresses sont rapidement érigées à Innsbruck et à Venise pour endiguer les assauts ennemis, le temps que le printemps et l’initiative revienne au camp français.

L’initiative viendra donc du nord. Le Maréchal Ney quitte Cléves avec ses troupes et arrive à proximité de Hanovre, ou Bernadotte donna sa vie pour l’Empire. On donne aussitôt l’assaut sur les positions anglaises malgré les conditions climatiques désastreuses, pour laver l’affront. Ce n’est plus le Duc de Wellington qui tient la place mais Alexander Cavalié Mercer, un jeune général d’artillerie de 23 ans.
Quant au Coldstream Guards de sir Coelio ou les Scot Greys de Sir Aheuc, ils semblent être rentrés depuis longtemps à Londres. Tout au plus peut on trouver des dragons de la King’s German legion, et différents régiments arborant fièrement les couleurs de l’Angleterre : les Tigrres du Leceistershire, les Tailleurs du North Gloucestershire, et d’autres régions chamarées.





Sous une neige drue, l’offensive est ralentie des 2 côtés. Le tout se transformera en élégant échange d’artillerie de part et d’autre. Du raffinement et de l’audace, n’est il pas ?




« C’est dans le silence qu’on entend le plus souvent les boulets »


Rapidement dévasté, le camp anglais adopte une attitude étonnante : tourner le dos à l’adversaire pour ne pas voir la défaite de face. Alors que les boulets écrasent l’Etat Major britannique et que les armées françaises s’ébranlent, la cavalerie anglaise nous tournera ostensiblement le dos pendant la majeur partie de la bataille …



Mouais ...


Le flegme anglais est d’une indécence rare. « Mais battez vous ! » rugit Ney, mais son cri est étouffé par les espaces enneigés.
« Nous ne prêterons pas le flanc à vos critiques ! » répondent les Anglais, continuant à éviter notre regard. Très bien, on les fusille donc de dos.

Le général Cavalier Mercé meurt ainsi bêtement, sans donner pleine mesure de ce qu’est la puissance anglaise. Cela fera tout de même un général anglais de moins à Waterloo …

La piétaille anglaise, elle, se comporte bien mieux, et nombre des bataillons français sont mis en difficulté par l’adversaire. La pugnacité et le désir de vengeance côté français domine néanmoins et Hanovre tombe finalement, même si le résultat n’est pas spécialement glorieux : 8.000 morts côté britanniques, mais plus de 4.000 pertes côté français.
Ney prend tout juste le temps de se poser à Hanovre pour y restaurer l’ordre, et soigner en partie ses troupes, avant de marcher au cœur de la Prusse : de l’autre côté du fleuve, c’est la région de Berlin, et la possibilité de mettre à bas cet adversaire coriace.

Les ordres sont pressants : Rodo 1er est assiégé à Innsbruck par 24.000 prussiens . Une autre armée autrichienne vient tout juste d’y être éliminée, rendant l’Empire autrichien flageolant : déjà la Roumanie vient de tomber dans l’escarcelle ottomane, signe que l’Empire a tout envoyé au Tyrol et à Vienne. D’autres Autrichiens se sont également frotté à nos alliés du Wurttenberg, alors en reconnaissance prés d’Innsbruck.





Mais le Wurtenberg a été étrillé, c’est Rodo qui a du sortir pour repousser les Autrichiens.
8.000 victimes de plus dans leur camp, un autre général en déroute, et déjà les Prussiens qui sont en approche en vue du siége. Une armée, puis deux, une troisième plus très loin … On les laissera continuer le siége durant la fin de l’hiver, afin qu’ils s’affaiblissent, et la sortie française sera lancée à la fonte des neiges.
A moins, donc, que Ney ne s’empare de Berlin et fasse capituler ces maudits Allemands…

On commence à s’inquiéter en haut lieu, la capitale est bien gardée et son gouverneur, le Général Herbert von Palpatine, un homme inflexible et qui n’hésitera pas à faire mourir tous les siens plutôt que d’abandonner la ville aux Français.

Murat quitte donc Paris avec les troupes fraichement levées (dont le12éme de ligne du capitaine Riri). Gibraltar attendra, l’important, c’est Berlin. Le jusque-boutisme de Von Palpat est rapidement révélé quand, sitôt Ney entré dans la province de Berlin, une première armée est jetée en travers de la route du Maréchal pour ralentir sa progression …
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  #59  
Vieux 16/01/2012, 22h04
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Ils n’avaient pas eu leur thé pour bouder à ce point les cavaliers anglais ?
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
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  #60  
Vieux 16/01/2012, 22h06
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J'ai pas très bien compris, certainement un bug de déplacement de l'IA ... mais quand même, c'est pas tip-top
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