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#1
31/01/2007, 12h31
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Aar Florentin
Partie 1 : le règne de Cosimo de'Medici
 « Il nous est ordonné de pardonner à nos ennemis, mais il n'est écrit nulle part que nous devons pardonner à nos amis ». (Cosme de Médicis) Petit Rappel historique : Citation:
Florence en 1453 : La République de Florence est en paix depuis de nombreuses années et contrôle sa province ainsi que la province voisine de Pise et peu compter sur les talents de son dirigeant pour apporter la fortune à ses marchands. Néanmoins, Cosme, bien que vieillissant, a encore un grand flair politique. Il ressent que des tensions monte entre son allié le Pape et son voisin du Nord : Mantoue. Il ordonne donc en l’an de grâce 1453 la mise sur pied d’une armée permanent de 5000 hommes en remplacement de l’effectif d’alors évalué à 1000 hommes.  Le cabinet de Cosme L’année suivante, les tensions accumulées entre le Pape et Mantoue suite à une querelle de frontière dégénèrent en conflit ouvert et le Pape demande à Florence de l’appuyer. Cosme accepte et les troupes Florentines menée par le jeune capitaine Danton fondent sur les possessions de Modène appuyés par 2000 mercenaires recruté à la hâte. Les forces de Modène sont écrasée en quelques jours et les places fortes ne tiennent a peine quelques mois de plus. Cette guerre rapide aura pour effet l’annexion Modène par le Pape et le gain de la province de Ferrara et de son Université à la puissance Florentine.  A peine cette affaire est-elle réglée que Cosme entreprend de profiter de sa puissance militaire pour régler le vieux contentieux entre Florence et sa voisine Sienne. La guerre est déclarée en 1455 et Sienne est vaincue à son tour sans avoir pu réellement pu opposer une résistance digne de ce nom à l’armée florentine. La république Siennoise est annexée par Florence qui double ainsi en 2 ans la taille de son domaine. C'est ainsi que Florence prend le prestige comme l'un des moteurs de son gouvernement. Dans la même année, le Pape prend le contrôle d’Ancône sa voisine à l’est, renforçant lui aussi sa position dans la région. Cosme se rend compt que son allié pourrait bien un jour devenir l’ennemi de Florence si les ambitions Papales perdurent. L’automne 1456 fut funeste pour la Maison de Cosme et pour Florence, en quelques mois Cosme et ses 2 fils moururent dans d’étranges conditions. Un groupuscule Siennois fut soupçonné d’être à l’origine de ces décès en chaine et fut violemment éradiqué par le Commissaires aux affaires Intérieurs Boudinio. La fin du règne de Cosme aura été marquée par l’accroissement important de l’activité des marchands sous l’impulsion de la banque des Médicis et l’accroissement des capacités militaires de l’état florentin qui peut compter en 1456 sur près de 3000 chevalier et 3000 piétons. Florence peut également compter sur le contrôle de 2 nouvelles Universités qui attirent encore d'avantage de lettrés dans sur ses terres et profiteront à la bonne santé du gouverment de la République.
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J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... Dernière modification par jimbo ; 01/02/2007 à 14h05. 
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#2
31/01/2007, 19h22
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Le règne Evangelista degli Albizzi.
A la mort de Cosme et de sa descendence directe, Evangelista degli Albizzi. Veuve, d'un éminent membre de la famille des Albizzini, les anciens concurrents des Medicis, pris le pouvoir de la République grâce à des dons de diplomatie et de séduction.  Le cabinet d'Evangelista Sa prise de pouvoir fut marquée par une augmentation des impot sur les marchandises et un déclin du commerce jusque là florissant. L'accroissement de l'armée fut également stopé et une ére d'épargne commença pour Florence. En 145x, l'Archiduc d'Autriche et le Pape se brouillèrent suite à l'annexion sauvage d'un Archevéché par les Habsbourg. La guerre éclata à nouveau entrainant Evangelista dans la tourmante des opérations militaires. Son peu d'entendement pour ces affaires l'entraînèrent à un immobilisme, puis a l'envoi de l'armée Florentine dans le Trentin pour appuyer les offensives acharnées du Pape. Le Trentin fut pris au cout de lourde pertes en raison du mauvais ravitaillement et d'un hiver long. Les contre offensives Autrichiennes furent brisées à 3 reprises avant que le Capitaine Danton ne soit obliger de faire retraite en raison de l'état lamentable de ses troupes. Sur le front de Carinthie, les troupes Papales essuyèrent de lourds revers ou le Pape en personne trouva la mort ainsi que le gros de son armée. Le retour des forces Florentine accablées et épuisées par les combats alpins ému beaucoup Evangelista. Elle décida qu'il était temps d'adopter une posture strictement défensive dans une guerre qui n'était pas la sienne. Les forces Papales s'effonfrèrent finalement et l'Autriche passa à l'offensive en Italie ou son armée fut battue à plusieurs reprise par les Forces Florentines recomposées. l'Archiduc et le nouveau Pape arrivèrent finalement à s'entendre sur une paix blanche, tant il était impossible pour chacun des camps de porter victorieusement la guerre dans les possessions de l'autre. La reconnaissance Papale pour l'aide Florentine se résuma à une courte missive dans laquelle il s'étonna du manque d'offensive de l'armée Florentine alors que ses terres avaient été sauvé par cette même armée. Le ressentiment en terre de Florence fut important et l'estime que l'on portait alors au Saint-Siège était des plus basse. La période qui suivit cette guerre vut les puissances Italiennes et Autrichiennes panser leur plaie et s'intéresser d'avantage à l'accroissement de leur trésors respectifs. A FLorence, Evangelista créa un post de responsable du commerce et y nomma Adeanilio un noblio des vertes Contrées d'Ombrie. Ce dernier, plein de bon sens, fit très rapidement réformé le système des imposition sur les marchands locaux et obtenu d'Evangelista que ce ne soit plus le prestige qui s'impose comme valeur de la République mais plutôt que cette dernière ce centre sur sa raison d'être le commerce !(+10% de chance de placer les marchands) Ces réformes permirent de redresser les revenus comerciaux de la République qui en 3 ans retrouvèrent leur niveau de 1456.
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J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... Dernière modification par jimbo ; 31/01/2007 à 20h16.
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#3
31/01/2007, 22h51
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L'affaire de Mantoue !
En l'An 1470, le Pape fit à nouveau parler de lui. La Papauté déclara que la Province de Mantoue devrait faire partie des terres Pontificales et considéra à partir de ce moment qu'elle était en droit de les réclamer. Le Mantoue ria au nez du Pape qui lui déclara aussitot la guerre et n'eu à peine besoins de 6 mois pour annexer l'Etat. La méfiance vis-à-vis du Pape monta en pays Toscan ou l'on sentait que l'Alliance Papale devenait de plus en plus lourde. Dans la même année le Pape signa une Alliance avec Milan et revendiqua Sienne, Florence et Pise. S'en fut trop pour les Toscans, l'armée Florentine fut augmentée de 4000 mercenaires grâce au trésors gonflé par la politique d'épargne d'Evangelista et l'Alliance avec le Pape fut rompue. Au printemps 1473, Florence était prête à porter le premier coup et n'allait pas hésiter !  La première guerre Florento-Papale ! Le plan préparé par Adeanilio a l'attention de Evangelista était assez simple. 3000 Hommes séparé en 2 groupes devaient avancer sur les provinces de Modène et Mantoue assiéger si possible les places fortes et retarder l'éventuelle arrivée de forces Milanaises. Pendant ce temps le reste des troupes FLorentines devait avancer en 2 Colonnes sur Ancome et Rome afin de prendre en tenaille les troupes Papale et si possible les détruire. Une fois le Sud des possessions Papales entre les mains de Florence l'armée se serait retourné au nord pour affronter les Milanais. Le plan se déroula merveilleusement bien dans sa première phase, les troupes du nord avancèrent en balayant la le corps de 1000 Hommes gardant Modène etmis le sièe devant Modène et Mantoue. Au sud le Capitaine Danton défi les troupes Papales qui disposaient d'une chevalerie bien moins importante et mis le siège deavtn Ancome et Rome. Une partie de l'armée Papale échappa malheureusement à la tenaille et s'en alla piller Ferrara. Modène tomba très vite aux mains des Florentins qui se réjouir de ce succès peu espéré, mais la joie fut de très courte durée. L'armée Milanaise était en vue, 7000 hommes descendaient en direction de Modène. Le Corps faisant le siège de Mantoue fut rappelé et l'on se prépara à ralentir l'armée Milanaise autant que possible. La bataille pour Modène ne dura que quelques jours avant que les troupes Florentines très inférieur en nombre et en cavalerie ne doivent se replier sur la Romagne les 3500 Hommes qui faisaient le siège d'Ancome accoururent à leur côté pour essayer d'empecher le corp MIlanais de secourir Rome. Les troupes Milanaises prire d'assaut Modène et sa frêle garnison, remportèrent la place forte et se remirent en marche... mais contre toute attente le Capitaine Milanais fut plus intéressé par les richesses de la place commerciale de Ferrare que par le secour du Pape. Les Florentins laissèrent Ferrare à son sort et se concentrèrent sur les places fort de Romagne et sur Rome qui finirent toutes 2 par tomber. Le Capitaine Danton se remis alors en route pour Ancome afin de finir de conquérir les possessions du Sud. Un événement important se produit a ce moment là, Venise et Gêne qui avaient, eux aussi peur de l'appétit toujours plus important du Pape lui déclarèrent la guerre et Milan refusa d'assiter le Pape dans ce conflit. Florence pouvait donc compter sur une aide inattendue de la part de ses voisins qui mirent rapidement le siège des possessions nord de la Papauté et les enlevèrent pendant que Florence réduisait Ancome et Milan prenait possession de Ferrare. Les Milanais décidèrent alors de laisser le Pape a son destin et reprire le chemin de leur pays ne laissant qu'une petite garnison en Ferrare. Cette seconde erreur des Milanais fut exploité par Danton qui rassembla ses forces dans la Province de Florence le temps d'un hivernage avant de remonter mettre le Siège sur Parme. Il garda en réserve 5000 hommes en Modène pour ne pas avoir a trop souffrir du problème de ravitaillement. Les Milanais attendirent plusieurs mois avant de contre -attaquer en force, les troupes Toscanes de Parme tinrent bon assez longtemps pour que les renforts arrivent et Milan essuya une défaite avant de se retirer dans le milanais. Danton poursuivit avec 5000 Hommes l'armée milanaise en déroute la battant a plusieurs reprise.  La bataille de Milan Au printemps 1476, Parme tomba aux mains des Florentins qui voyaient alors la victoire proches, malheureusement Gêne et Venise firent la paix avec le Pape qui remobilisa des troupes dans les provinces fraichement libérées. Florence préféra signé lune paix séparée avec MIlan pour 2500 Ducats et se retourner contre le Pape plutot que de risquer de perdre ce qui avait été durement acquis. Finalement, les mercenaires recrués à la hate par le Pape furent vaincus et Florence obtint du Pape qui renonce a ses pétentions sur FLorence et Sienne et cède les provinces de Modène et Romagne.  La guerre contre le Pape permis à FLorence de se libérer enfin de l'emprise de ce dernier et de pouvoir envisager un position plus dominatrice dans la région. Le 10 Octobre 1477, Venise entra en conflit avec Milan etFlorence fut appelé en vertu de l'Alliance passée. Evangelista y vu un bon moyen de régler définitivement le compte des Milanais et envoya l'armée Florentine occuper Parme délaissée par les défenseurs Milanais. Malheureusement, les Milanais assaillis de tout côté furent très vite obligé d'accepter de faire la paix en céder moult ducats à Venise chef de l'Alliance. Florence dut se contenter des honneurs d'une victoire facile. L'année suivante vut 2 éléments majeurs survenir. Pour commencer, FLorence racheta les droits de propriété d'un Noble d'Ancone que le Pape avait par le passé dépossédé, la République pouvait donc désormais affirmer qu'elle avait des droits sur une partie de la Province d'Ancone et Adeanilio comptait bien pousser Evangelista a agir. Malheureusement pour lui le second événements fut le décès de cette même Evangélista, ce décès mettait en danger les ambitions d'Adeanilio. Il délaissa donc le temps d'une élection ses affaires pour tenter de faire élire l'un des nobles dont il avait l'oreille et il y parvint. Vitale Grimaldi di Busca fut élu le 15 octobre de l'an de grâce 1478.
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#4
31/01/2007, 23h33
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Le règne de Vitale Grimaldi di Busca
 Le nouveau dirigeant s'avéra vite être un bon entrepreneur, mais il n'entendait rien aux affaires diplomatique et militaire qu'il délégua à Adeanilio pour le plus grand bonheur de ce dernier.  l'Europe occidentale en 1479  Le budget Florentin en 1479 De 1479 à 1485, Florence vut son commerce prospérer et ses marchands prendre pied dans tous les COT d'Europe de l'Ouest. Sa politique commerciale et son dirigeant brillant gestionnaire lui permire de connaitre un prospérité rapide. Ceci a tel point qu'en 1485, le commerce de Florence lui rapport autant de Ducats que toutes ses autres sources de revenus cumulées. La production de ses provinces augmenta également grace à la mise en place de nombreux ateliers d'artisanat.  En 1485, Adeanilio conseilla à Vitale de profiter de la vieillesse du Pape pour faire valoir les prétentions de Florence sur Mantoue et Ancôme. Vitale se rangea à l'opinion de son conseiller et quelques mois plus tard la puissante armée Florentine se mis en marche en 3 colonnes vers les possessions Papales. La première Colonne, forte de 5000 hommes et commandée par le capitaine Danton, devait filer droit sur Rome et affronter l'armée Papale et la fixer dans la province ROmaine. La seconde colonne comptant 3000 Hommes dont 2000 cavaliers devait rapidement mettre le siège devant Ancome et occuper le pays environant puis l'excédent d'homme rejoindrait le capitaine Danton pour vaincre les Armées Papales. La dernière colonne commandée par le sergent Vincelio avait pour tache de sécuriser le nord des possessions Florentines en occupant Mantoue. Le plan se déroula avec un grand succès et le Pape Clément VII du se résoudre à mettre fin a ses revendications sur Sienne et céder les provinces D'Ancome et de Mantoue. Une nouvelle Victoire pour Florence qui voyait l'un de ces principaux voisins mit hors course. L'année suivante, sur le conseil du conseil des Universités Florentines, Vitale embrasssa l'idée d'une banque d'état permettant de contrôler l'inflation qui commençait a se faire sentir dans la république.
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#5
05/02/2007, 19h02
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1485-1505 Expension commerciale et chute Milan
De 1485à 1496, la république de Florence vu son commerce prendre un essort très important et ses marchands prendre place dans tous les centres de commerces connus en Europe de l'Ouest a l'exception de Lisbonne et d'Alexandrie. Les revenus de la désormais riche république dépassérent ceux des grandes puissance du Nord tel que la France ou l'Autriche. Cette fortune permis à la Toscane de voir fleurir tribunaux, édifices religieux et ateliers qui firent prospérer la République. La construction d'une petite flotte de 15 Galère fut également lancée afin de pouvoir rivaliser avec Venise et défendre les routes commerciales des pirates Berberes.  les grandes puissances économique en 1496 En 1496, Florence disposait du meilleur système gouvernemental d'Europe et commençait à refaire son retard au niveau de son armée qui avait pris du retard sur les nouvelles techniques élaborées par les Ducs d'Autriche.  La politique budgetaire de Toscane en 1496 En 1496, Florence disposait du meilleur système gouvernemental d'Europe et commençait à refaire son retard au niveau de son armée qui avait pris du retard sur les nouvelles techniques élaborées par les Ducs d'Autriche. En cette même année 1496, le dirigeant de Florence décida d'en finir avec les possessions Papales d'Italie et de restreindre ce dernier au Comptat venaisans et à la province Rome. La Pape étant toujours défendue par l'orgueilleuse cité Milanaise, il fallu préparé une importante armée pour s'assurer de la victoire contre la puissante cavalerie de Milan. Le plan de Bataile du vieux Danton fut plus simple que les précédents, cette fois-ci Florence frapperait la coeur de la puissance ennemie : Milan. L'armée Florentine avait pour tache de marcher rapidement sur Milan de défaire l'orgueilleuse puis de se retourner au Sud en espérant que les 3000 hommes qui devaient retarder l'armée Papale réussiraient dans cette mission. Au mois de juin 1496, la guerre fut déclaré au Pape et Milan apporta immédiatement son soutient au vieux gateux de Rome. L'armée florentine parit de FLorence à la rencontre des Forces Milanaise en 2 groupes à 1 journée de marche de façon a tromper d'éventuel espion Milanais. Le Duc de Milan, comme a son habitude choisi de prendre l'offensive et marcha sur Mantoue afin d'en lever le siège. Le vieux Danton fut mit au courant de l'avancée du Duc sur MAntoue et de la puissance de l'Armée ducale forte de 10000 hommes dont 5000 chevaliers. Danton rassembla les forces Florentines et confia le commandement de la cavalerie à son second et amant Vincelio. Les 2 armée se rencontrèrent le 1 juillet 1496 dans un vacarme sans précédent, les forces florentines étaient certes moins bien commandées mais disposait de l'avantage du nombre et le courage Milanais manqua. L'armée Milanaise fut écrasée et poursuivie jusqu'à Milan ou le Duc ne put qu'attendre la chute de son orgueilleuse cité suivie de quelques mois par la chute de Rome.  La Bataille de Mantoue qui vu la chute de Milan l'Orgueilleuse Milan dut céder Parme et sa région et accepter de reconnaitre la Suzeraineté de Florence sur ses terres, de son côté le Pape perdi Ancome et Mantoue. Florence qui venait d'assoir sa domination régionnal, Reçu la même année le titre d'électeur du Saint empire des mains De l'EMpereur le Duc de Bavière. Les 10 ans qui suivirent virent Florence finir d'implanter ses marchands dans les centre de commerce Européens et accroitre l'efficacité de ces même marchands en adoptant l'efficacité marchande comme valeur nationnale. La Flotte Florentine fut portée a 20 galère et l'armée à 23000 hommes permanents. Lorsque Vitale Grimaldi di Busca mourut en 1505 Florence était prête pour un nouveau bon en avant, des marins revenant du nouveau monde arrivaient dans les ports Italiens et Florence n'allait pas résister longtemps a leur appel.  Les plus grosses puissances economiques 1505  L'Europe Occidentale en 1505
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