Chambellan Coelio

[marlouf]

Monsieur de Coeliac fut bon ami, lui qui m'introduit (et avec quel doigté !) auprés de la Maison Royale.
Je n'ai pu qu'applaudir aux hauts faits d'armes de notre bon Roi, qui prend femme comme on s'en va en guerre (et inversement)

Mais que les ambitieu(ses) se rassurent : mes raisons sont chastes, uniquement de monter, lorsque la victoire aura ravagée les troupes ibéres, ce spectacle qui fera frémir, je l'espére, tout Versailles.

Monsieur de Coeliac, soyez en remercié et sachez que toujours vous aurez l'amitié de Marloufe Rouqmouton ! Car vous m'avez déjà permis de montrer à son Altesse ce premier Acte qu'il trouva fort bon. Même si je trouvais cela fort court, mais je ne doute pas qu'un travail acharné sans cesse remis sur l'létablis permettra d'obtenir cette durée qu'en bonne comédienne, je pourrais juger satisfaisante.

[curTis newTon]

"Ma bonne amie,

Alors que nous écoutions avec ferveur le prêche de l'évêque de la Perfydie, qui tentait dialectiquement d'à la fois dresser le tableau, empli de force, de vigueur et de poudre, des triomphes français et, dans le même temps, celui plus triste, désolant et pitoyable, du statut malheureux du parti espagnol à la Cour, le service fut interrompu.

Monsieur de Saint-Simon, en effet, assis un peu plus loin, m'adressa un billet : l'Angleterre, outrée des prétentions françaises, déclarait la guerre aux Lys ! Je faillis me trouver mal, et dut sortir pour retrouver un peu de fermeté dans mon allant. Durant ce temps, j'entendais le bruit se répandre dans les travées de la chapelle, léger tressautement sourd jusqu'à devenir une vague roulante d'indignation mêlée d'effroi.

Les dés sont jetés entre Londres, Madrid et Paris, et ils roulent dans ces riantes campagnes de Picardie et d'Artois. Qu'adviendra-t-il de tout cela ? MA bonne amie, si vous avez la réponse, je vous loue ; pour moi, je donne ma langue à chat."

Guerre contre l'Angleterre
Pour les anglophiles de la Cour : -3 auprès du Roi, -2 auprès de la Reine
+ 1 pioche

A Danton

[Antonius]

Frêre Doritos

Comment vont mes brebis de Senlis? Faites attention au revenus des terres episcopal d'Arsouilleville: le coq de village est très gourmand et vous devriez sous peu y verifier les comptes.
Ici, l'affaire espagnole se précise. Vous savez que cette guerre m'a empécher de rencontrer le roi... et ma position pro-espagnole ne me plaçait plus bien en cours sauf au près de notre bien aimé reine.
Toujours est il que je sais à présent de source sur qu'il s'agit d'un coup mené par les membre du partie anglais mené par monsieur de la Noobitude. Déçut et envieux suite aux épousaille du roi avec notre reine, ils ont poussé ce dernier a réclamé une dot un peut trop élevé...
Quoiqu'il en soit à présent le roi est dans une colère noire et voi des traitres partout. Il ne fait plus bon être du partie anglais ces temps ci: l'Angleterre a décidé de profité de notre guerre fratricide avec l'Espagne pour tenté de ce saisir de nos colonie et d'évincé nos flotte de l'Atlantique. Notre bon roi soupçonne désormais monsieur de la Noobitude et ses sbires de l'avoir trahis en le poussant à la guerre contre l'Espagne et permettre ainsi à l'Angleterre d'obtenir sur nous une victoire facile.

Comme tu le voi la vie à la cour n'est point de tout repos...

Votre ami
Jacques Armand de la Perfydie

[Kevinus Pontifex]

HRP : sommes nous en guerre a la fois contre les Espagnols et contre les Anglais ?

c'est a qui de jouer ?

[curTis newTon]

HRP (le RP, toujours pour plus tard :seflagelle: ) : oui
Mais ça ne change rien, sauf pour le parti anglais.

Pour mettre fin à la guerre : jouer une carte "La guerre est gagnée/perdue" ou faire disparaître le Roi

[GA_Thrawn]

C'est une catastrophe

[Danton]

Non, car le Sauveur est là

J'aurais du négocier la fin de la guerre auprès de celui qui va en tirer profit, avec le retour de la cour à Versailles, mais la plèbe était bien trop excitée.

Tant pis.

Mais souvenez-vous: J'AI mis fin à la guerre (oui, moi tout seul ). Victoire ou défaite, ce n'est pas mon problème

[curTis newTon]

"Ma bonne amie !

Pavoisez, affichez les lys sur votre façade, et laissez couler des larmes de joie ! Grâce à de savantes manoeuvres de retraite le long de notre frontière nord, Monsieur de Turenne a pu éviter l'anéantissement des troupes françaises par un mouvement de tenaille anglo-espagnol. Considérant l'avancée des troupes ennemies, Sa Majesté a accepté l'offre des plénipotentiaires de se retrouver à Nimègue. Il se murmure que le Roi a emporté dans ses bagages Monsieur du Marseillicide, le nouvel astre montant de la diplomatie française, afin de négocier une honorable sortie de guerre.

Alors, certes les grincheux trouveront bien élevées les indemnités de guerre déboursées par la France. Certes, nous abandonnons Dunkerque, Gravelines et Boulogne aux Anglais. Certes, Lille, Douai, Béthune et Cambrai sont désormais espagnoles. Certes le bassin du Saint-Laurent, de Québec à Mont-Royal, nous est confisqué. Certes nous abandonnons Port-au-Prince, Grenade et nos autres possessions en mer des Antilles. Mais le Roy et l'honneur sont saufs, n'est-ce pas le principal ?

Suite à cette grande victoire (quelque peu en demi-teinte, je vous le concède), la Cour a pu regagner Versailles au milieu des rires et des chants de louange. Il n'est guère que Mademoiselle de la Chouinerye pour se désespérer du départ des robustes et fiers Espagnols. Et il n'est guère que les tenants du parti hollandais qui trouvent encore grâce aux yeux de notre Roi."

La guerre est perdue. La Cour revient à Versailles.
+1 pioche.
Dernier tour de Messire le Chambellan Coelio

[GA_Thrawn]

Gloire soit rendue à notre grand Roy pour cette victoire à l'encontre de nos ennemis Dieu était manifestement avec nous.
Un frisson d'éperdue terreur et d'admiration mêlé a parcouru mon corps quand j'ai vu passer notre Sire qui menait la charge.

Je ne nie point que l'odeur de la poudre et des corps puissants et virils de nos braves soldats m'aient quelque peu émoustillée () mais il était grand temps que nous rentrions à Versailles pour pouvoir à nouveau profiter des fêtes, des danses et...des intrigues.
Espérons que la paix sera durable et que nous aurons le temps, nous parti anglais, de restaurer notre prestige déchu auprès de sa puissante Majesté.

[curTis newTon]

"Ma bonne amie,

Pouvez-vous imaginer que certains fâcheux, à la Cour, ont bruissé de quelques fugitifs doutes quant à la portée réelle de la grande victoire que Sa Majesté, Louis le Triomphateur, a remporté contre l'Espagne et l'Angleterre ? Quelques agents de l'étranger, sans nul doute, qui répandent de fausses paroles pour tenter de ternir l'éclat de la France !

Le Roi, plein de sagesse, même au sommet de son triomphe, a résolu quelques mesures et distribué quelques charges afin de circonscrire ces funestes bruits. Monsieur Racine a été nommé historiographe royal, et chargé de composer une ode épique retraçant les grandes heures brillantes que nous avons vécues. Monsieur le Chambellan de la Jurysterie (sur quelque recommandation de la Reine, dit-on) a reçu l'honneur de seconder le Roi dans les tâches de justice, le poste de Chancelier, et un appartement plus vaste.

Une prestigieuse fonction, qui lui donne accès au sceau royal, celui-là même qui contresigne les lettres de cachets. Comme me le fit remarquer avec esprit Monsieur de Saint-Simon : "Nous avions un Roi à qui faire notre cour ; nous en avons deux, désormais".

Requête réussie pour le poste de Chancelier
Et encore une action à faire, avant que le chambellance ne passe à Palpat