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Vieux 14/07/2007, 18h41
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-Venise - Chroniques 1453 - 1483



Rapidement, la guerre contre la Lombardie commenca a tourné a la faveur de la glorieuse nation Venitienne, et le problème fut vite réglé: le Monarque Millanais qui craignait la plèbe vu sa mauvaise gestion accepta bien vite la paix qui consistait a laissé au peuple de parme le droit de choisir à quelle nation il désirait être attaché. Bien évidément il choisit Venise. Parme fut donc rattachée à Venise.

C'est alors qu'une GENIALISSIME idée germa dans le cerveau du Grand Doge des Doges Pedro l'anus , renommé Pedrolane Ier Le Gueux , lors de son sacre.

L'idée consisterait à faire de l'Italie une gigantesque République ou la Plèbe aurait le droit de s'exprimer. Ce gigantesque projet devait dans un premier temps s'exercer lentement dans le temps et par la voie de la paix.

Mais hélas cela ne se passa pas comme prévu...

Dans un premier temps, le Grand Doge voulu régler le compte à Raguse qui ne cessait d'envoyé des espions afin de savoir comment fesait le Doge pour que sa population soit à ce point heureuse...

La guerre fut donc déclarée a Raguse, mais hélas la morée décida de s'en meler, après quelques batailles, la guerre était gagnée, raguse sans défense fut annexée par la Bosnie tandis que la Morée fut vassalisée par la Glorieuse Venise qui n'en avait que faire de ces barbares.

Venise recommenca après cette épisode a se concentrer sur ca vocation pacifique et d'unification, mais les Monarques Italiens ayant eut vent de ce projet prirent peur, en effet les plèbes de toute l'italie demandait à etre rattachées à la glorieuse République de venise. Les chefs Italiens se réunirent donc en secret à Gênes afin d'y signer l'accord de lutte contre Venise. Cet accord, d'après nos espions prévoyait de déclaré la guerre a Venise au tour par tour afin de faire baissé sa stabilité et de l'empechée de pouvoir accomplir son projet.

Le Doge était au pied du mur, il n'avait plus le choix, lorsque la 1ère déclaration de guerre savoyarde arriva au Palais, le Doge dut ordonné à contre coeur la formation de nouvelles troupes de cavaliers et ordonna dans un premier temps que l'on défende la frontière uniquement, mais les attaques des savoyards et de leurs alliés étaient trop sauvages, venise répondit alor s avec vigueur et jamais nous ne vîmes des soldats se battre avec autant de bravoure.


Comme l'avaient décidés les Rois Italiens, ils déclarèrent tous la guerre à Venise les uns après les autres, et souvent meme les uns en meme temps que les autres, biensur Ce fut une période noire pour Venise car beaucoup de soldats périrent dans de gigantesques batailles . Mais à chaque fois Venise parvenait à remportée la victoire décisive et à chaque fois elle pratiqua les memes résolutions de paix que pour Milan, le peuple avait le choix entre rejoindre Venise ou rester sous l'autorité de leur ancien Despote. Bien entendue à chaque fois les villes d'Italie préfèraient se rattachées à la glorieuse république Venitienne. Seuls 2 régions refusèrent et jamais Venise ne les y forca malgré qu'elle en avait les moyens, dans un premier temps la Savoie dont le peuple refusa toujours de rejoindre venise (malgrés que ces derniers temps des dissentions se font ressentir...) Et Gênes dont le peuple ne voulait pas perdre sa souveraineté, par contre ils souhaitaient tout de meme faire partie de l'aura Venitienne et nous proposèrent de les faire devenir nos vassaux, nous acceptâmes dans notre grande Manduétude et c'est ainsi que Gênes propspera comme jamais, son âge d'or était très certainement en train de se déroulé.


C'est ainsi qu'en 1483 Venise devint la 1ere puissance d'Italie, une puissance non seulement économique mais ausi une puissance à l'intérieure de laquelle règne la paix, et la prospérité. Malgrés quelques déboires économiques nottement liés à l'inflation , les gens sont heureux et cela se ressent.
Jusqu'a Kaffa ont voulu rejoindre la République mais vu leurs barbaries la région fut cédée à L'empire Turc avec lequel Venise entretient de plus que bonnes relations...
Le contat de Venassin décida aussi de rejoindre venise mais vu son isolation, le Doge se pose encore pas mal de questions sur le bienfait de se rattachement. Il n'est pas exclu de s'en séparé...


Messages diplomatiques :

-
A l'Autriche, nous sommes désolés que notre scribe se soit perdu en chemin, en effet nous vous garrantissions que Siene ne sera pas annexée, biensur après votre déclaration de Guerre, nos chefs militaire furent pris de folie et obligèrent les habitants de sienne à rejoindre la République... Tous ces chefs ont été pendus et Sienne sera, comme le désire sont peuple vassalisée à l'image de Gênes. Nous sommes désolé pour ce mal entendu.

- A Frise, si jamais un seul territoire Savoyard est rattaaché a votre royaume ou que le Roi savoyard vous pret allégence, toute raltion entre nos deux nations sera gelée immédiatement, vous serez baniis de nos centres de commerces et la guerre vous sera déclarée. Faites attention Roi ...


Dernière modification par Pedrolane ; 14/07/2007 à 19h30.
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Vieux 16/07/2007, 14h18
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...
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  #33  
Vieux 16/07/2007, 15h49
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Castille 1474-1483

La coalition anti-castillanne : guerre et défaite

Alors que nous étions bien conscient qu'une guerre allait se déclarer prochainement de l'initiative de la France, voir de l'Angleterre, nous ne pensions pas que la France utiliserait la tromperie et la duperie, pourtant moyens plus anglais que français, pour arriver à ses fins.

La France en effet n'était pas sans savoir, comme toute l'Europe d'ailleurs, de nos volontés d'unification avc le Royaume d'Aragon, étant donné que nous en avions fait la déclaration publique.
Sachant cela, la France sur-préparée militairement, possédant notamment des milliers de cavaliers en armures de plate, ainsi qu'une avance technologique militaire considérable par rapport à nous, attaqua vilement l'Aragon, dans le but non-déclaré de vassaliser ce royaume, empéchant ainsi tout possiblité pour nous d'unification.
Cela ne pouvait être toléré, et immédiatement la guerre fut déclaré à la France, qui put compter sur son allié anglais, toujours à l'affut d'opportunités financières.
Malheureusement pour Nous, la guerre fut déclarée sans aucune préparation car nous ne pensions pas qu'elle viendrait si tôt, de plus il fallait intervenir immédiatement en Aragon car les provinces commes celles de Navarre ou de Barcelone tombaient à un rythme alarmant.
La guerre une fois déclarée fut donc une grande défaite pour la Castille.
Au départ, dans les colonies, nos troupes avancèrent sans mal en balayant quelques troupes françaises, et les colonies furent capturées, mais l'arrivée décisive de troupes anglaises bien pourvues, notamment en cavaliers, eu raison de notre corps colonial qui fut bientôt complètement exterminé. En effet les javeliniers indiens ne pouvaient faire grand mal aux cavaliers lourdement cuirassés anglais. Et seul la lointaine province de Mexico possédait les élevages de chevaux pouvant ainsi lever quelques cavaliers.
La guerre dans les colonies fut donc une défaite, et il était en outre impossible pour nous d'envoyer le moindre renfort d'Espagne, car la situation en métropole fut encore plus catastrophique : une armée fut envoyé en Aragon dès que le roi nous donna un droit de passage militaire, mais nos armées furent battues par les français devant les murs de Valence.
Dès lors l'Aragon fut perdu, et le roi de france, dans un délir mégalomanique annexa purement et simplement les marches d'Espagne de feu l'empire de Charlemagne (on se doute donc de ses intentions en Italie et en Allemagne...).
Une fois l'Aragon tombé, il fut facile pour la France, et il faut reconnaitre là le talent des généraux et des maneuvres françaises, de nous battre à chaque rencontre. L'exemple le plus frappant en fut les batailles de Madrid, où nos troupes en surnombre au début ne réussissent pas à faire fuir les français (admirablement commandés) assez vite pour empêcher les renforts français de venir écraser nos hommes.




Les batailles pour Madrid : à chaque fois des renforts français viendront remporter la bataille. Il faut dire ici que nos campagnes bien peu peuplées ne purent pas supporter l'effort de recrutement nécessaire.

Le roi fort sage décida donc d'envoyer une proposition de paix à la france et à l'Angleterre : il proposa de céder 10 colonies de culture et de religion barbare du nord de la Floride.
Ceux ci acceptèrent, et au final cette défaite se révéla bien moins couteuse qu'il n'y parait : en effet, les couts de stabilité et de technologie diminuèrent sensiblement, alors que nos revenus mensuels restèrent stables.
Une fois la paix signée, nos conseillers de talent nous permirent par deux fois d'augmenter notre stabilité et de gagner en réputation.
Des révoltes éclatèrent au Mexique et ce de façon très soutenu. Une campagne de fortification des colonies est donc en passe d'être lancé afin de faire taire cet menace.

L'unification

A la suite de la défaite contre la France, il fut décidé par le Roi d'une campagne militaire rapide et décisive en Aragon afin d'empècher d'autres puissances de nuire à notre unification.
L'Aragon épuisé par la précédente guerre fut facilement conquise, de même que son allié napolitain.



Diplomatie

Une alliance militaire fut signée avec Gueldre et la puissante Bourgogne.

A la France et l'Angleterre : toute négociation est possible pour la cession des marches d'Espagne, à la condition qu'elles soient correctes. De même nos colonies enclavées de Louisiane hors centre de commerce pourraient être vendues.

A Gueldre : Nous assurons entier soutien militaire à votre royaume, et notre aide vous est acquise en toute occasion.

A l'Autriche et Venise : D'une part, il est évident pour Nous que le maître d'Autriche est le seul à pouvoir prétendre au titre d'Empereur, et par conséquent nous condamnons les actions menées par la vorace Venise.
Il nous semble qu'une libération de Sienne et de Modène puis dévassalisation serait un geste appréciable. Nous serons ainsi tout à fait prêt à ne pas toucher à Naples qui est tombé entre les mains de nos troupes il y'a quelques semaines.

Au Portugal : Vous ne nous avez pas apporté votre soutien militaire lors de la dernière guerre en prétextant que votre pays n'était pas prêt et donc nous vous croyons.Vous associez à la défaite inévitable n'aurait en effet servit à rien. Nous vous remercions pour votre aide à réprimer les rébellions au Mexique. La flotte portugaise en construction nous semble tout à fait impressionnante tant en nombre qu'en qualité, et nous sommes sûr que vous saurez en faire bon usage.
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  #34  
Vieux 16/07/2007, 18h02
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Déclaration Venitienne :

Après avoir écouter toutes les parties Venise en est venue à la conclusion avec l'Empereur qu'une erreur avait dut etre comise en ce qui concerne Modène, en effet le vote aurait été truqué par les memes généraux qui ont forcés l'anexion de Sienne.
Leur exécution étant déja programmé, nous éspèrons qu'elle apaisera nos voisins, cependant il est clair que nous ne pouvons pas continuer à oppresser le peuple de Modène c'est ainsi que tout comme Sienne,Modène sera vassalisée lors de la signature du traité de Paix de Corfou (paix entre Viennet et Venise). De plus Venise garantira pendant 20 ans minimum l'indépendance de ces deux nations.

En ce qui concerne la revendication Castilanne de dévassailsé ces pays , sachez Mr qu'il nous est impossible d'y accéder, en effet les dévassalisation nous couteraient énormément en stabilité (-6) , deplus nous nous devons de controler un minimum ces etats qui n'hésitèrent pas à déclaré guerre sur guerre à Venise lorsqu'elle était encore frèle et petite.
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Vieux 17/07/2007, 00h46
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La 1er guerre d'Espagne : tenants et aboutissants


Contexte de l'époque
Au cours de la guerre qui avait opposé la France à la Bourgogne durant les premières années de 1470, la Castille, déjà fortement enrichie par sa découverte de riches mine d'or dans le nouveau monde, avait fait étalage de son côté rapace et de son envie de dominer le monde. Pour comprendre cela, il faut revenir quelques années en arrière. Nous sommes alors vers 1465, le jeune roi de France, Louis XI, vient de monter sur le trône après la longue folie de son père. La France qui ne s'était que modestement lancé dans la conquête du nouveau monde change de politique. Sur les directuves de son nouveau roi, des colons snot envoyés coloniser la façade atlantique des terres du nord de l'Amérique où les anglais et les espagnols sont déjà présents. Dans le même temps, des discussions sont ouvertes avec le roi de Castille pour un échange de colonie. La France fait clairement comprendre à son voisin qu'elle entend se réserver une zone coloniale. La castille accepte l'échange. Cet accord fut perçu par la France comme une marque de bonne volonté castillane qui semblait prête à reconnaître une zone française sous peu que l'on pouvait s'entendre ailleurs.
C'est cet esprit qu'allait trahir la Castille quelques années plus tard avec la plus grande lacheté. Alors que les troupes royales luttaient contre la Bourgogne, alors que ce conflit s'éternisait sans qu'aucun des deux bélligérants ne puissent vraiment prendre le pas sur l'autre, le roi des Castillans en profita pour attaquer et annexer les tribus indiennes du nord de l'amérique, précisément celles situés dans le voisinage immédiat des colonies françaises (ce qui en bloquait d'ailleurs les possibilités d'expansion). Evidemment, ce prince courage prit soin de ne pas ébruiter ni de se vanter de sa guerre. Aussi, notre bon roi de France ne s'en rendit compte que bien après que castillan et indiens se soient affrontés. L'annexion était déjà faite depuis un moment. La colère du roi fut grande. Que voulait donc ce roi ? Tout rattaché à sa couronne ? Il n'avait pas assez de ses mines d'or d'amérique qui l'engraissaient, lui et les siens, comme jamais ? Il lui fallait venir donc, sous les yeux des français et des Anglais, venir se place. Il poussa même le vice jusqu'à capturer et revendiquer sien la riche colonie de Louisiane qui servait de point de rencontre pour les marchands. Cet espace tirait principalement ses richesses des colonies anglais et françaises et ce serait la Castille qui en tirerait les bénéfices ?


Le rapprochement franco-anglais
Il n'en fallait pas plus pour motiver le roi a entreprendre une expdition armée contre la Castille pour lui faire comprendre comment nous traitions ceux qui se moquent de nous. L'Angleterre, qui était aussi mécontente que nous, prêta une oreille attentive à nos projets au point d'en devenir un maillon actif. Depuis la guerre de Cent ans c'était la première fois que les rapports entre nos deux royaumes passaient de l'ignorante neutralité à des actions communes. Pourtant Dieu sait que l'anglais est mal vu en France, mais la Castille était allée trop loin. Les deux rois se rencontrèrent à 2 reprises pour mettre au point leur projet. Il fut alors convenu de prendre le temps de se préparer. Le porjet initial prévoyait d'entrer en guerre vers 1484 pour prendre le temps de renforcer nos positions. Il faut en effet rappeler qu'à ce moment la Castille seule possède plus de 50% des revenus de la France et de l'Angleterre combinés. Sa flotte n'est pas loin d'égaler celles de la France et de l' Angleterre réunies. que dire alors si le pportugal soutient la Castille ! Enfin, la Castille possède autant d'homme quasi que la France. Mais le pire c'est qu'elle en possède autant en temps de paix que nous qui sortons d'une guerre avec les finances militaires qui tournent à plein régime.
Le tableau n'est pas avantageux mais les deux rois s'efforcèrent de trouver une soplution qui offrait une bonne chance. C'est alors que notre jeune roi Louis XI proposa l'idée qui allait devenir le plan de la guerre. Et le succès de ce plan que nous pouvons constater aujourd'hui, préfigure le génie de notre roi. Nous louons le seigneur de nous avoir envoyé un maitre de la guerre. Le plan se décomposait ainsi : il fallait jouer de nos forces chacun de nore côté. En nous divisant le travail, nous avions deux avantages sur l'adversaire : nous ne sommes pas pénalisé par les commandements partagés qui ont toujours le défaut de nuire à la réactivité des chefs, nous pouvons ouvrir deux fronts très éloignés. L'Angleterre dont la position était beaucoup plus stable et solide en amérique gérerait seule le front américain ; la France mènerait la guerre en Castille même. Un problème se posait : la France n'avait pas d'accès terrestre à la Castille, l'angleterre n'avait aucun accès direct aux colonies espagnoles. Pour le cas de l'Angleterre la solution était simple, la France lui donnerait un accès à travers ses colonies. Pour nous, il n'y avait qu'une seule solution : traverser l'Aragon.


De l'attaque contre l'Aragon à la guerre générale
L'idéal aurait été de pouvoir battre l'Aragon sans que la Castille intervienne (c'était un pari osé il est vrai) ce qui nous aurait laissé du temps pour nous préparer. Hélas, il n'en fut rien et en fait, là où la grande guerre ne devait débuter qu'en 1484, le conflit se généralisa dès 1476-77, quelques mois seulement apres l'entrée en guerre de la France contre l'Aragon. La france fut pendant plusieurs mois seule dans cette guerre. L'angleterre tentait de gagner le plus de temps possible pour acheminer des troupes en amérique. Sur les batailles en amérique, nous ne pouvons en dire mot. La France n'y a pas participé et ses qlq troupes ont été abandonnées . L'Angleterre, conformément au plan, se débrouilla seul sur son théâtre comme nuos sur le nôtre. Il est revenu à nos oreillesque de grandes batailles eurent lieu et que les Anglais firent preuve d'un grand courage et de beaucuop de ténacité pour parvenir à vaincre à l'usure les castillans. Est ce cela qui précipita la défaite de la Castille et la résolution de ce roi à accepter la paix du vaincu ? Impossible à dire. D'aucuns, des Français bien sur, pensent que le coup décisif fut porté en Europe. Nous ne sommes pas là pour dire qui a raison car en fait personne ne connait la vérité et cela n'a pas d'importance.
Ce que nous savons, c'est ce que nous allons raconter ici : la guerre d'Espagne.

La campagne d'Aragon était une promenade de santé pour nos troupes aguerries contre la Bourgogne quelques années auparavant. déjà la Navarre et Barcelone était tombé dans nos mains quand la Castille entra en guerre. Notre roi prit alors la décision d'avancer méthodiquement et patiemment pour ne jamais laisser une troupe de siège sans un soutien de cavalerie savamment commandé. Cette tactique se révéla payante. D'autant plus qu'en légère infériorité numérique les troupes françaises tenaient fort bien le choc face aux troupes espagnoles alors que dire lorsque les troupes royales étaient en supériorité. En quelques mois l'Aragon tomba complètement et la paix fut conclue avec celle-ci. La seule chose qui nous intéressait était d'avoir un accès terrestre vers la Castille : seule les Pyrénées et la Navarre furent réclamés. Notre roi était même prêt à restituer ces terres au roi d'Aragon si il signait une alliance avec nous et entrait en guerre contre la Castille. Celui-ci refusa. Il aura tout le temps de regretter son erreur.

La lutte continuait en Espagne et les français menaient toujours la même tactique. Plusieurs grandes batailles opposèrent plus de 15000 castillans contre autant de Français. Pas une fois ! Pas une fois la France ne connut les affres de la défaite. C'est invaincu que les troupes royales entrèrent dans Madrid la riche. Aucun pillage, aucune exaction ne furent commis dans la capitale ennemie. Les ordres du roi étaient clairs. L'honneur de notre seigneur ne pouvait être baffoué par les pulsions de certains hommes. Je crois surtout que c'est la discipline de fer que faisait règner les remarquables généraux français qui permit à la ville castillance de s'en sortir vierge dans tous les sens du terme. Petit à petit, le nord de la Castille tombait aux mains des français. Plusieurs fois les castillans tentèrent de briser nos sièges, de casser nos colonnes mais à chaque fois ils furent repoussés.


La victoire des alliés, la défaite du riche goinfre
Vaincu, humilié, écrasé dans son propre royaume, en difficulté dans le nouveau monde, le roi de Castille ne pouvait plus en arriver qu'à une seule conclusion : il avait perdu. Il fallait signer la paix. Ses ambassadeurs furent envoyés au devant des troupes françaises. Ils portaient une demande paix avec proposition de céder 4 colonies d'amérique du nord. L'offre était ridicule. Tellement que le roi de France ne prit même pas la peine d'en faire part à son allié. Il refusa net. Quelques jours plus tard, il fit savoir aux ambassadeurs castillans qu'il accepterait 4 colonies dont la riche place commerçante de louisianne. Le roi d'angleterre était d'accord pour signer une telle paix mais cette fois-ci le roi de Castille refusa. En temps normal, une roi vaincu qui refuse une paix n'aurait eu qu'à s'en mordre les doigts car la guerre aurait alors duré pour son plus grand malheur. Mais le roi de Castille cru pouvoir jouer au plus malin : dans le même temps où il refusait l'offre française il contre-proposait 10 colonies. Le roi de France en discuta alors avec son allié. Il fit savoir au roi de Castille que les deux anciennes colonies françaises devaient être restituées en plus des 10 colonies et que la Castille devait s'acquitter d'un tribut de 150 ducats pour dédommager la France pour avoir raser une colonie entière et fortement ravagé une autre. La réponse fut positive. La paix étaient signée.
Les deux rois alliés convenaient de se partager les terres gagnées de la manière suivante : à la France 6 colonies et à l'Angleterre 4 colonies. De mauvaises langues d'Angleterre trouvèrent à redire et il est fort à parier que de mauvais esprits castillans tentèrent ou tenteront d'user de cette différence pour créer un sentiment de rancune chez les anglais envers les français. Pourtant, aucun problème ne se posait entre les deux rois. Le roi d'Angleterre avait bien conscience que 4 ou 6 cela changeait peu de chose et n'était pas lié à une volonté française d'en avoir plus mais simplement aux circonstances géographiques. D'autre part cette collaboration avait une grand mérite, beaucuo plus important que de simples terres : dans les esprits français l'Angleterre, après plus de 100 ans, redevenait un partenaire potentiel. Les intérêts français n'étaient plus à la nuisance totale de l'Angleterre, dès lors l'alliance écossaise n'avait plus d'utilité. Voilà pourquoi, Louis XI ne bougea pas lorsque l'Angleterre attaqua l'Ecosse.

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Angleterre : Nous ne pouvons que nous réjouir de la réussite de notre entreprise. Sachez que nous avons de l'estime pour le peuple anglais. Certes, il fait encore mauvais de se dire anglais par chez nous, mais tout le monde en France connait bien la valeur au combat des anglais. L'adage ne dit-il pas que ton vieil ennemi est celui qui te connait le mieux ? Votre peuple aspire à la paix comme le nôtre, elle est amplement méritée. Que Dieu vous garde !

Autriche : Archiduc, nous sommes heureux de la nouvelle manière de gouverner que vous imprimez à votre maison. Nous constatons que vous avez su trouver une issue avec Venise sans faire parler les armes. C'est signe d'une grande sagesse. J'aimerais vous entretenir au sujet de la situation au nord de l'Europe particulièrement étrange.

Venise : Cher doge, vous savez à quel point la disparition rapide des Etats italiens nous a choqué, comme vous savez que la Savoie demeure un point de déssacord entre nous. Mais cette franchise dans nos relations est une force qui nous permet, malgré tout, d'entretenir de bons rapports. Faisons confiance au temps et méfions nous des formenteurs de coalition qui, sous couvert de nous séduire, ne pense toujours qu'à leur seul intérêt propre au final.

Frise : Votre récente arrivée à la tête du duché a été marqué par des décisions assez surprenantes et des prises de positions malvenues. Il est évident qu'un jeune prince a besoin d'être bien conseillé pour apprendre son métier. Nous regrettons que la disparition brutale de la famille ducale, qui vous a porté vous sur le siège ducal, n'ait pas permis à vos proches de vous offrir une formation adéquate à votre rang d'aujourd'hui. Qui aurait pu prévoir. Toutefois, mon ambassadeur m'informe que vous devriez faire un grand duc très vite.
Sachez que la France n'a pas la prétention ni le mensonge assez fort pour pouvoir prétendre vous conseillez au mieux de vos intérêts. De même, elle n'a pas l'argent pour, sous couvert de vous aider à vous développer, vous faire faire participer et prendre des positions qui ne vont pas dans l'intérêt de votre peuple. De toute façon, même si nous avions cet or, nous ne le disposerions pas pour nous "acheter" des armées. Une roi de France n'est pas élévé ainsi.
Vous nous avez menacé de guerre une fois, puis avez accepté de rester neutre après nos explications. Aujourd'hui encore, vous vous alliez à un roi qui ne cherche qu'une chose : monter un maximum de pays contre notre royaume. Sous quel prétexte : la surpuissance présumée de la France.
Le vrai prétexte le voulez vous ? La Castille a deux rivaux : l'Angleterre et la France. Elle sait qu'elle a commis une erreur en rapprochant ces deux pays contre elle. Elle sait également que, ne pouvant refreiner sa rapacité annexioniste, elle va de nouveau subir les foudres de ces deux pays. Sa fragile richesse d'amérique est menacée alors elle veut frapper. Le plus simple a atteindre, le pays qui suscite le plus de crainte, le pays qui peut le plus potentiellement nuire aux intérêts d'autres pays, celui donc contre qui il sera le plus facile de trouver des alliés (se dit-il) c'est la France. Epargnons l'Angleterre et peut être que ça la détournera de la France après tout.
Beaucoup d'hommes sont guidés par la cupidité. Aucun homme cupide ne peut réellement se soucier des intérêts d'autrui. Il feint de le faire. Dites moi, duc de Frise, qu'a fait le peuple de France au peuple de Frise ? Quand avons nous porté atteinte à vos intérêts ?
Vous êtes jeune, vous ne savez peut être pas qu'il est illusoire de croire que l'argent peut remplacer la considération diplomatique, l'image de votre Etat. N'entretenir aucun contact si ce n'est pour déclarer la guerre à son voisin sans motif est une chose indigne qui ne vous fera ni gagner le respect de vos pairs ni leur confiance. Lorsque la Castille vous abandonnera (quand elle n'aura plus besoin de vous ou quand elle aura trouvé plus fort), vous comprendez alors l'importante d'avoir une bonne situation diplomatique.

Castille : mon cousin, vous êtes visiblement très mal conseillé. Vous l'êtes en plusieurs points. D'abord en profitant de l'inexpérience d'un prince pour l'acheter et le perdre dans la défense de VOS intérets. La maison de Castille n'a t'elle aucun honneur ? Ensuite, vos pitoyables tentatives pour susciter la haine de la France dans les cours de nos voisins montre les moyens que vous appréciez (et que nous avons déjà pu apercevoir dans vos guerres pleines de courage contre les indiens) : fourberie, corruption, pot de vin. De plus, votre alliance avec notre vassal félon, le duc de Bourgogne est une gravissime erreur. Vous avez décidé de nous mettre des batons dans les roues alors que vous n'avez que faire de la Bourgogne. C'est pourquoi nous avons accueilli la famille royale d'Aragon en notre sein. Sachez que la France va jouer à votre petit jeu. Si vous provoquez une guerre, ne vous avisez surtout pas de la perdre, car nous ferons renaitre l'Aragon selon ses frontières de 1453 et nous la défendrons comme nos propres terres.
Enfin, votre dernière erreur, la plus grave, c'est d'avoir cru un seul instant que vous pourriez sortir vainqueur dans un conflit avec nous. Vous gagnerez peut etre quelques guerres, mais vous aurez tout le loisir de regretter n'avoir choisi la voie de la médiation lorsqu'il était encore temps.
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Portugal 1475-1483



A Lisbonne, les affaires prospèrent, même si de nombreux marchands portugais viennent constamment se plaindre qu’il est impossible de faire du commerce dans notre propre capitale, la concurrence y étant trop forte.


Pas un seul marchand portugais à Lisbonne

Il y a quelques royaumes particulièrement retords, comme le Mecklembourg ou la Bourgogne, qui étouffent depuis de nombreuses années les marchés européens.

Mais en l’an de grâce 1475, des affaires plus critiques occupent les esprits : la guerre éclate dans la péninsule ibérique !
La France n’hésite pas à plonger son pays dans l’instabilité, à –3, pour pouvoir frapper l’Aragon, mais pour quelle raison ?

L’année qui suit, tout va très vite, et je reçois des missives alertées, qui demandent l’envoi immédiat de troupes portugaises sur le front castillan ! Il doit s’agir d’une erreur, elle doit être destinée aux autrichiens cette lettre, car notre royaume est fait d’explorateurs et de marchands, pas de militaires. Nous n’avons aucune vue sur l’Europe, c’est d’ailleurs pourquoi nous jouissons d’une réputation immaculée…


Erreur de casting... le Portugal n'est pas une puissance militaire en 1475

Pourtant, c’est bien à nous que la Castille fait appel. Un conseil de guerre se réunit dans le plus grand secret, pendant 3 longues semaines, afin de décider si oui ou non le Portugal peut se permettre de rentrer en guerre.

Après d’infinies tergiversations nous décidons de rester neutre. La stabilité perdue, l’argent engagé dans l’emploi de mercenaires pour palier à notre manque de manpower pourrait être envisageable en ces temps de crise, mais 2 éléments suffiront à clore le dossier. Le premier, c’est d’avoir une flotte forte sans quoi nous sommes sans défense, et le deuxième est que l’ennemi était trop bien préparé, et le Portugal ne possède pas les moyens pour réagir vite.

Il est donc décidé de construire une immense flotte d’ici 20 années, afin de protéger nos biens.

En 1476, nous quittons à contre-cœur l’alliance qui nous unissait aux anglais, et dès 1477, la France obtient ce qu’elle désirait vraiment : un passage terrestre pour aller de la France à la Castille. Autrement dit, les choses sérieuses commencent.


La France n'a pas hésité à mettre son royaume à -3 en stab pour avoir ces 2 territoires

1478, la France et ses alliés entre en Castille sans que rien ne semble pouvoir les arrêter. Pendant ce temps, à la cour, c’est le drame : Corté-Réal et ses +12% de colonisation meurt, emportant avec lui toute une époque glorieuse, peut-être à jamais la meilleure, en ce qui concerne l’expansion coloniale.


C'est vrais ça, que veut la France ?

En 1480, la guerre s’intensifie à l’est, et de nombreux réfugiés dont les villages ont été ravagés affluent à nos frontières. Nous ne pouvons ni les contenir, ni les accueillir, ils sont trop nombreux, et déjà les effets se font ressentir à Lisbonne ; avec, en mars 1481, une première apparition de PESTE ! Même les meilleurs conseillers à la cour sont touchés, et tombent comme des mouches.


C'est pas beau à voir ce qui se passe à côté de chez moi


La guerre à nos portes, ça devait arriver...

Bientôt la guerre se termine, la Castille perd un grand nombre de territoires des Amériques, mais concerne l’essentiel de sa richesse, ses terres amérindiennes. Pendant que nous envoyons des troupes réprimer les révoltes aztèques de notre cousin, c’est la guerre contre l’Aragon qui le maintient encore en guerre. Il n’est pas question que la France ou un autre royaume profite une nouvelle fois de cette situation…







Mes troupes font la police chez les azteques
Pendant ce temps, dans une île lointaine de l’océan indien, Dinis de Tavares, jeune prodige de l’école militaire, profite avec son équipage du climat paradisiaque ainsi que des faveurs de charmantes donzelles mauriciennes au lieu d’aller explorer…


Voilà ce que peut donner 99% de tradition navale


Tavares a bien mérité un peu de repos auprès de ces charmantes autochtones...


L'Europe en 1483, de la castagne un peu partout
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Un AAR sur Europe Engulfed :
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  #38  
Vieux 20/07/2007, 17h18
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  #39  
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Chroniques Anglaises 1484 – 1492



La guerre contre l’Ecosse ne posa guère de problème et, rapidement, le Roi fou capitula, nous offrant pour prix de son pardon la moitié de son royaume . Autrement plus difficile à gérer fut le mécontentement qui gagna notre population, excédée par cet état de guerre quasi permanent, las de payer les contributions de guerre indispensables pour arracher la victoire. En Macbethie et en Angleterre, partout les révoltes grondaient et il fallut utiliser les grands moyens pour restaurer l’ordre et la stabilité. Calais était de ces provinces qui se révoltait sans arrêt. Comme elle ne nous apportait rien, il fut décidé de la céder au Roi de France, qui bavait dessus depuis longtemps (un boulet cédé à un boulet en somme )


Enfin, le calme revenait et l’exploration put recommencer, doucement, modestement : une colonie fut ainsi établie dans les Antilles . Mais le plus important restait de rendre un tant soit peu homogène les colonies que nous avions déjà. Un ambassadeur partit pour Madrid et, après 25 minutes d’entretien avec le Roi d’Espagne, retourna à Londres avec un accord signé et approuvé : l’Espagne nous cédait deux de ses colonies prises aux sauvages Indiens. Ravis de ce résultat promptement obtenu, le Roi d’Angleterre envoya alors son ambassadeur à Paris, où les négociations devraient se conclure encore plus rapidement, la France nous ayant toujours affirmé qu’un partage des gains suivrait notre guerre commune contre la Castille gourmande. L’ambassadeur tabla sur 15 minutes.


Las, le malheureux dut déchanter : après trois semaines entières de négociation, à raison de 12h00 par jour, l’ambassadeur, épuisé, signa enfin un accord accepté par le Roi de France… Qui le relut une dernière fois, toutes ses exigences étaient remplies, puis déposa sa plume : « Il manque une virgule, je refuse de signer. Reprenons tout à zéro, voulez-vous ? »… L’ambassadeur rentra immédiatement à Londres et le Roi d’Angleterre, lorsque ses cardinaux prirent à nouveau le contrôle de la Curie pontificale, dut se faire violence pour ne pax excommunier ce coupeur de cheveux non pas en 4 mais bien en 278…


La colonisation se poursuivait et, surtout, le royaume retrouvait enfin paix et stabilité, après de longues années de guerre et de chaos : il était temps ! Tout allait pour le meilleur du monde, lorsque, surprise, un ambassadeur Français arriva à Londres pour relancer les négociations rompues il y avait presque dix ans. D’un caractère doux et aimant, le Roi d’Angleterre écouta le bougre et condescendit à envoyer un nouvel ambassadeur à Paris pour voir ce qu’il était possible de faire : son retour n’est pas attendu avant trois mois .
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  #40  
Vieux 22/07/2007, 20h40
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Chronique Frisienne: Une grande puissance nordique en devenir [1483-1492]



Cette période de l’histoire de Frise fut durant ses 4 premières années une époque de paix, ce fut en 1487 que l’expansion du royaume continua avec la conquête du riche territoire d’Hambourg qui dura une année, c’est à la fin de celle-ci que mourut Ernst Casimir I le 29 septembre 1488, dans des circonstances très floues.

Son successeur Willem V, continua le combat pour l’agrandissement du royaume, après une très grande préparation, l’armé fut lancer contre les forces danoises, le Brandebourg et le Luxembourg agirent de la façon prévue et déclarèrent la guerre aux frisiens, les forces danoises et du brandebourg occupé a combattre en Suède furent prise de cour, ses royaumes non défendu furent terrassé, le Luxembourg fut annexé, le Brandebourg fut réduit au territoire de Berlin, quant aux danois ils durent laissé la majeur parti de leur territoire national.

Le nord de l’Europe en 1492 ne représentait plus un danger, surtout avec l’alliance avec les Suédois, qui voyait la menace danoise disparaître et la paix revenir, maintenant seul une menace plane, celle de la perfide Bourgogne, le prochain chapitre donnera peut être réponse a ce problème plus qu’épineux.



Compte-rendu royal de septembre 1492.


L’époque qui s’étend devant nous est des plus troubles, nous sommes en train de faire face à des choix qui influeront sur tout notre avenir, face à la bourgogne qui occupe des territoires qui doivent nous revenir de droit, nous devons choisir notre allier, devons-nous continuer à attendre alors que le moment est plus que propice comme nous le demande notre allié espagnol ? Devons nous répondre positivement aux demandes françaises d’alliance anti bourguignon, pour en finir au plus vite ? La cour est très divisée sur ce point, petit à petit de plus en plus de nos nobles passe dans le camp pro-français, ne voyant pas ce que nous rapporte l’alliance avec les Espagnols, malgré l’amitié qui nous lie, enflammer par les promesses de conquête.

Situation de l'empire en 1492:


Lettre diplomatique :


A la France : Nous vous présentons, nos plus plates excuse si nos actions vous ont offensé, nous ne recherchons que la paix en Europe et le respect des ères légitime de domination, nos actions plutôt impétueuse n’ont été portées que pour protégé ces valeurs et aucunement d’une haine envers vous. Vos multiples tentatives diplomatiques d’un rapprochement de nos deux peuples pour écraser les Bourguignons à de plus en plus d’échos à la cour, mais le dilemme et des plus grands pour nous, vous devez le comprendre, toute action de notre part contre la bourgogne, déstabiliserait nos relations avec l’Espagne dont l’amitié nous est chère.


A l’Espagne : Très cher ami, face aux actions de rapprochement française, ma situation envers vous est de plus en plus délicate, beaucoup de noble ne vois pas ce que nous rapporte cette alliance, et me presse de répondre positivement aux demandes françaises d’autant plus que la période est des plus clémente pour les attaquer, sans gestes fort de votre part je ne vois pas comment je pourrais encore retenir mes forces.


A l’Autriche : Très cher empereur, nous vous demandons l’ouverture de négociation sur nos zones d’influences, voyez sur le document ci dessous que nous vous avons préparé, ce que nous réclamons comme notre.

Eres de primauté Frisienne.


La zone definit en orange est celle sur lasquelle nous combatteront jusqu'a notre dernier soufle, aucune négociation sera possible!

Celle definit par le bleu, sont celle que nous voudrions comme notre où dont la séparation ne nous ferrais rien (danemark), nous souhaitons les acquerir où les céder en accord avec nos voisins (France, Autriche, Pologne, Suède).

Dernière modification par TCAO ; 22/07/2007 à 20h45.
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