AAR des geopolitologues

[comeon]

Chroniques Françaises 1515-1526.



En ce mois d’avril 1526, il est temps de poser ici quelques lignes sur l’histoire récente de la France et ses relations diplomatiques.

Nous reprenons notre récit alors que les troupes françaises son sur le point de repousser les castillans, que les Vénitiens sont déconfis, et que nos forces se préparent à la reconquète des colonies.

La paix blanche avait été prévu avec l’Angleterre, et la rétrocession des colonies françaises capturées par le Portugal faisait parti intégrante du traité.

Mais c’est alors que le Portugal revient sur sa parole et refuse de nous rétrocéder nos terres, odieusement soutenu par l’Angleterre ! Nul doute que cette traîtrise avait été préparé de longue date à Londres et à Lisbonne, et qu’elle avait pour but de nous obliger à la paix tout en ne respectant pas les causes du traité. Les vils comploteurs anglo-portugais n’était en effet pas sans savoir que après la mort du grand Roy François en fin d’année 1514, beaucoup de bons français étaient lassé de cette guerre et souhaitaient la paix le plus vite possible (nous allons y revenir).

Mais la diplomatie française n’a pas cédée, et le frère de François le Roy Charles IX décida de poursuivre la guerre. Ce fut sans compter l’arrivée à Paris des émissaires de la couronne de Castille : ceux ci proposaient en effet une paix fort généreuse qui consistait en la cession d’une unique terre dépeuplée au nord de la Nouvelle Bretagne. Le Roy fort sage y vit un moyen de soulager la frontière des Pyrénnées, tout en destabilisant les restes de la coalition. Les espagnols avaient en effet fort besoin d’une période de calme pour mener à bien la fin des négociations avec l’Aragon en vue d’une union prochaine.

Une fois la paix blanche signée avec Venise, il ne resta plus qu’à s’occuper de l’Angleterre et du Portugal : après avoir envoyé quelques navires anglais par le fond dans la Manche, une expédition fut envoyée par delà les mers : elle repris le Mexique (aidés par un soulèvement d’autochtones), ainsi que la Nouvelle Bretagne.

Etrangement, les indiens du nord nous attaquèrent et nous fûmes forcé d’annexer leurs terres sans avoir eu le temps d’envoyer suffisamment de prêtres pour l’évangélisation (mais cela ne va pas tarder).

La révolte des indigènes en notre faveur, preuve de l’amour e la France par delà les mers.



Tout allait pour le mieux jusqu’à la " catastrophe " de Haïti.
En effet, notre flotte forte de plus de 10 caravelles, ainsi que d’une douzaine de flûtes fut attaqué au large d’Haîti par une flotte portugaise moins nombreuse ( 6 caravelles à priori plus quelques barques)

Et bien malgré notre supériorité ainsi que la présence d’un bon amiral, notre flotte fut totalement annihilée, et aucun navires ne survécu. Absolument aucun malgré le fait que nous ayons un port à nous juste à côté où les navires auraient pu se réfugier ( probablement un bug L ). On ne sait pas ce qui s’est exactement passé, amis une telle incompétence ne pouvant être toléré, tout les biens de l’amiral en question furent saisis, et il est interdit à tout ses descendants pendant 12 générations de ne serais-ce que de poser le pied sur un navires. Ordre du Roy.

Notre flotte ayant totalement disparue, la paix fut signée avec le Portugal et l’Angleterre : Cuba nous revint et Haïti fut rendue à Lisbonne.



Une fois la paix revenue, le pays pu se remettre en marche vers le développement : le Roy Charles IX décida de construire des édifices religieux, des ateliers, et murailles dans le nouveau monde, et il mis en chantier la reconstruction de la flotte royale qui devait repartir de rien du tout.

Mais il mis surtout un point d’honneur à célébrer les funérailles du Grand Roy François comme il se doit. Jamais on ne vit telle splendeurs, tel défilés, telles foules pour une inhumation d’un Roy de France. Il fut mis en bière dans la cathédrale de saint Denis où il rejoignit ses illustres ancêtres. Le Pape lui même assista à la cérémonie.

Rappelons que le grand Roy François Ier a péris face aux Vénitiens dans la titanesque bataille perdue de Nice le 19 décembre 1514, où il permis la retraite en bon ordre des troupes françaises grâce à une charge glorieuse où il périt avec les siens. Il donna sa vie pour que l’armée puisse survivre, et pour la grandeur de la Couronne et du Royaume de France. C’était en outre un génie militaire comme on n’en verra pas pour des siècles, et qui sauva la France de la destruction.

Une gloire éternelle lui sera rendue pour cela.



Revenons à son frère qui mena une politique admirable de paix avec ses voisins : on donnera à son crédit deux fait majeurs :

• la réorganisation Papale
• l’accession au titre d’Empereur rien de moins.

La réorganisation papale et l’Empire

Le Roy avait une volonté forte en son âme de moderniser la Papauté : en effet on commençait à cette époque à voir se développer en Allemagne une hérésie protestante des plus ignobles mais qui avait un certain écho dans la population. L’Empereur autrichien fort incapable de mettre un terme à ses trouble laissa la peste hérétique se développer.

Ainsi le Roy décida ceci : d’une part il fut décidé de mettre le Pape sous protection de la couronne de France, seule représentante la plus pure en Europe des intérêts des catholiques. Ainsi Avignon fut occupé et rattaché directement à la couronne royale en accord avec le Pape, pendant que Rome fut placé sous la protection des Vénitiens avec qui une réconciliation était bien entamée.


Quelques troubles eurent bien lieu amis rien de bien grave, notre motif était si juste et si bien mené qu’aucune puissances en Europe ne broncha. Aucune sauf la Pologne.

En effet certains cardinaux polonais contestataires peu nombreux mais influants levèrent à Varsovie des contingents de mercenaires et de fanatiques en guenilles et il reçurent de la régence autrichienne le droit de traverser leur territoire pour venir "pendre le Satan français " qui selon eux avait osé venir défendre le Pape…

Ils pillèrent la Champagne pendant des mois, amis furent ensuite sévèrement battus en Lorraine. Le Roy fut exemplaire, et on dénombra 24 000 polonais pendus haut et cours dans les campagnes de l’est. 2 000 furent envoyés dans les mines d’ors mexicaines.

Il s’en fallu de peu que la guerre n’éclate entre Autriche et France du fait que les polonais avaient libre passage à travers les Flandres.

L’Autriche étant bien incapable de gérer la crise papale et hérétique, les électeurs du SERG décidèrent de donner leur confiance en le Roy de France et donc c’est fort naturellement que le Roy de France fut élu Empereur du Saint Empire Romain Germanique en 1518.



Le Roy Charles IX fort d’un excellent bilan mourut jeune d’une chute de cheval malheureuse le 5 mai 1519.

Cependant il mourut sans descendance, et c’est Mary II d’Ecosse, la fille de l’oncle de François Ier, Reine d’Ecosse, qui monta sur le trône.

De manière fort incroyable et par des maneuvres habiles, elle hérita du titre d’Impératrice du SERG !


Son règne fut marquée par la conquète de l’Ecosse par l’Angleterre, et son exil à Paris. En effet il avait été prévu dans le traité de paix que la rance resterai neutre si l’Angleterre intervenait en Ecosse. La Raine Marie II respecta la parole de la France au détriment de son peuple d’origine, preuve de son amour profond de la France.

[Dandy]

La Belle et Sage Angleterre

Après la longue guerre qui avait déchiré l’Europe entre 1511 et 1516, les souverains européens s’étaient engagés à signer une paix blanche. La coalition, dont l’Espagne faisait partie intégrante, avait accepté de faire la paix avec la France.

Mais la Castille, avide de gagner quelques provinces, engagea des tractations secrètes avec la France. Cette dernière se séparait d’un adversaire contre une province coloniale qu’elle reprendra plus tard. Ainsi, une paix fut signée entre la France et la Castille, sans que les autres membres de la coalition en fussent avertis…

La France, pensant renverser le sort de la guerre, continua la guerre, et punit pour sa couardise : sa flotte fut détruite par les portugais dans les Caraïbes. Désormais incapable de reprendre ses colonies, elle était contrainte de signer la paix contre plusieurs colonies cédées aux portugais et d’abandonner son soutien à l’Ecosse.

Quel est le bilan de cette guerre au final ?

La France a perdu plusieurs colonies, a perdu sa flotte, a une économie affaiblie mais a su retenir les coalisés de s’imposer complètement et conforte sa puissante position en Europe de l’Ouest et conserve ses riches colonies du Mexique.

L’Autriche perd une province et se retrouve dans une position affaiblie. Néanmoins, elle garde un grand potentiel et son retrait précoce de la guerre lui permet de se rétablir plus rapidement.

Le Portugal est le grand gagnant : il devient la puissance maritime dominante, gagne plusieurs colonies sans subir la guerre sur son territoire.

La Castille gagne une province mais n’empêche pas la France de garder une position dominante face à elle, tant sur le continent que dans le nouveau monde.

Venise ne gagne ni ne perd de territoires. Si son économie a souffert, elle a su montrer à la France que l’Italie du Nord est à Venise.

Pour l’Angleterre enfin, le bilan est mitigé : nous n’avons gagné aucun territoire (alors les gens qui nous traitent d’opportunistes hein…), nous avons ralenti notre développement mais la France a perdu sa domination navale et n’agira plus impunément dans le nouveau monde. Nous avons surtout su trouver de vrais amis : le Portugal, l'Autriche et Venise. En revanche, la trahison franco-castillane ne restera pas impunie.


Quand à tous ceux qui accusent l'Angleterre de complotage : nous n'avons jamais fait d'autres accords que ceux publics. Nous avons défendu les interêts de la coalition. D'autre part, que la Castille sache que dans cette guerre, elle a perdu l'amitié anglaise qui était vrai avant la trahison castillane. Quand aux deux provinces coloniales, nous avons enfin proposé à la Castille de les racheter pour 100D, c'est à dire le prix qu'elles avaient coûté à la couronne de Castille.



Les années de paix qui suivirent virent l’expansion du domaine coloniale anglais, l’invasion de l’Ecosse qui nous menaçait sur nos frontières du nord et l’amélioration de la Royal Navy. Cette dernière compte désormais 30 vaisseaux dont 15 caravelles. L'économie reprend doucement et le Royaume progresse technologiquement.

Mais tout n’est pas rose pour l’Angleterre : le Royaume est instable et nos informateurs nous affirment que les gens dans nos provinces ne sont pas insensibles aux idées de Luther, une hérésie est elle possible ? Le commerce, bien que reprenant après la guerre, n’est pas florissant et ce ne sont pas nos provinces glacées d’outre atlantique qui vont nous aider (il arrive quand mon putain de COT ??) Notre roi, bien peu au fait avec la gestion du Royaume, s’occupe davantage avec quelques princesses suédoises… L’avenir reste bouché pour l’Angleterre.

[ciirse]

L'Empire Ottoman


Monarques (ADM/DIP/MIL)




Règne de Bayezid II (6/6/8), 1481-1500.



Quand j’arrive aux affaires en 1492, je suis en guerre avec la Moldavie. Jusqu’en 1498, les petits royaumes orthodoxes vont tenter en vain un baroud d’honneur en me déclarant la guerre tour à tour. La Bosnie, Raguse, Naxos et d’autres encore passent sous mon autorité.



Très vite, voyant Seten le moscovite annexer sans discontinuer ses voisins, je décide de m’allier avec mon vassal la Crimée, affin de la protéger de l’ogre du nord-est. Il essayera très vite de marchander les territoires de mon nouvel allié, ce qui aura l’avantage de mettre les choses au clair : pas de négociations avec l’ennemi de mes amis.



La Hongrie à son tour tente une action contre les Turcs, elle perdra ses 3 régions du sud ; je me retiens d’ailleurs de demander un tribut plus conséquent, afin de ne pas heurter mes voisins chrétiens.



A l’est, Dulkadir, tente une approche diplomatique, mais je préfère qu’ils aillent fricoter avec les Mamelouks, j’ai pas le temps pour risquer une approche diplomatique avec ces empêcheurs d’annexer en rond.



1498, le royaume s’est bien agrandi, et le calme semble être revenu ; je fais le point.
A l’ouest, pas de contact avec mes voisins autrichiens et vénitiens, à part Elvis l’Autrichien, qui me lance un avertissement formel contre une éventuelle nouvelle guerre contre la Hongrie, mais nous savons tous les 2 qu’il doit faire un choix fort, soit défendre complètement ces terres, soit en disposer avant moi, soit me laisser faire. Car la Hongrie est un chien fou, qui m’attaquera à nouveau dès la trêve achevée, et je ne vais pas me laisser embarquer dans une guerre tous les 5 ans sans rien faire.
Au nord, le Russe vassalise, sans avoir besoin de signer le moindre traité ( la tradition orale doit être encore très forte dans ces contrées sauvages), la Suède. Etranges mœurs, mais à vrais dire, est ce que la Suède a le choix ?



Mais en cette fin de siècle, c’est ce peuple fier, AkKoyunlu, qui m’inquiète. Nous n’avons eu que peu de contacts pour l’instant, mais dans l’avenir il devrait être un partenaire privilégié, et pour l’instant, l’avenir n’est pas radieux !

Il se fait agresser de toutes parts : Mamelouks ( avec Dulkadir), et Timourides, semblent considérer que ce pays riche est sans défense. Malheureusement ils n’ont pas l’air d’avoir tord, car les rapports de mes espions me confirment que ce pays sans forteresse est envahit de toutes parts.

Pendant longtemps, j’hésite, puis je décide de ne rien faire. Je sens que ces guerriers sont fiers, et qu’il n’a pas envie d’être redevable. Je reste donc en attente, une armée à disposition, prête à intervenir si une aide est demandée.

Quelques temps plus tard, le Russe exterminateur de musulmans, qui décidément ne doute de rien, proposera son aide à AkKoyunlu, qui heureusement restera intraitable, malgré des moments où la situation semblait vraiment désespérée.

Depuis ce épisode, impressionnés par leur courage et leur abnégation face aux épreuves, on les appelle les « Akkocouillus ».





Süleyman I (4/8/8), 1500-1524.



Durant la 1ère décennie, j’entreprends ma 1ère campagne contre le mamelouk, qui se fera presque en même temps que la 2ème guerre contre ce chien fou de hongrois. Cette fois ci, je le dépossède de son Royaume, ne lui laissant que sa capitale, tandis qu’en Egypte, j’ampute le mamelouk d’une bande continue jusqu’au Sinaï, car j’ai un plan.


Oh la belle bande de terres jusqu'au Sinaï !

Des nouvelles venues du Portugal, d’Espagne, de France et d’Angleterre, font état de nouvelles terres vierges et regorgeant de richesses, à conquérir. Et le Sinaï, porte de la Mer Rouge, peut s’avérer être un raccourci…

Mais je déchante assez vite. Si chez les chrétiens tout le monde veut quitter le pays, ici, les gens sont trop bien installés pour risquer de tout perdre dans une vie aventureuse. Bref, je n’ai aucun colon.

Je crains que l’Empire ne s’agrandira pas par l’appropriation de terres vierges…



En 1512, c’est un moment très calme, idéal pour construire des mosquées un peu partout. Le calme avant la tempête, car le royaume est en passe de changer de régime.

1513, considérant que l’Empire Ottoman doit être l’empire qui réunit tous les musulmans sous un même étendard, je décide de donner le pouvoir aux religieux : on passe en Théocratie !

Cette révolution a un coût, plutôt lourd, puisqu’il met le pays à –3 en stabilité.

Me voilà hors du coup pour un bon moment.

(Pour consolation, j’arriverais après quelques péripéties ( il disparaîtra juste avant que je le prenne, puis réapparaîtra quelques mois plus tard), à ramener à la cour Salib Girai Qamay, un théologien (5)de grand talent, venant idéalement appuyer ma politique de conversion. Malheureusement ce saint homme mourra au bout de 10 ans, bien trop vite pour que je puisse profiter pleinement de ces talents…)



C’est justement en 1513 que choisit la coalition anti-française pour attaquer. Cette guerre est assez facile, vu d’ici, à résumer : tout le monde contre le Français ! Même si mes faveurs penchent du côté de la fleur de Lys, je reste surtout curieux de voir ce que ce royaume a dans le ventre, et de toutes façons mon instabilité intérieure me confine au rôle d’observateur…



En novembre, c’est un conflit entre la Pologne (qui a fraîchement réussit à annexer la Lituanie) et le Russe ! Décidément j’ai mal choisi le moment pour changer de régime !

Je ronge donc mon frein, en attendant des jours meilleurs.


Ca c'est Aedan qui est parti se faire un petit café... du côté de Nice surement !

En attendant, le désert égyptien m’attend.

Ete 1516, je lance l’assaut sur le royaume mamelouk. L’objectif étant de récupérer le désert du sud, véritable enfer d’attrition pour les troupes. Je déteste batailler dans ces conditions, aussi c’est un moment désagréable par lequel je dois passer et que je compte rendre le plus court possible.

Arg... l'enfer du désert, un immense cimetierre pour ma cavalerie

Tellement court que ça va occasionner une mésentente avec mon partenaire AkKoyunlu, qui se sentira lésé de ne pas avoir eu de butin, et mettra surtout en évidence le manque de coordination et de communication entre nos 2 royaumes.

2 ans plus tard ce satané désert est mien, mais le Hedjaz proteste ; quoi ? j’en fais mon vassal.



S’en suit, à partir de 1520, une période continue de révoltes, dont la fameuse révolte de Naxos ; ces chiens refouleront par 4 fois mes saphis supérieurs en nombre, un revers que je tenterais d’étouffer en vain aux oreilles des peuples grecs, qui en profiteront pour se révolter d’autant plus.



Finalement, la France sort gagnante de cette guerre sanglante, militairement gagnante, tandis que d’autres, en auront profité autrement…

A l’est, le Russe est devenu impressionnant, il a repoussé sans problèmes l’attaque polonaise, il n’a personne pour le contrer.

Combien de temps vais-je pouvoir protéger la Crimée ? J’entreprends une approche diplomatique avec mon vassal et allié, ce qui met la puce à l’oreille du Russe, et Dieu sait si le Russe aime les puces ! qui décide d’attaquer la Crimée en 1523.
Il veut que je lui rende son indépendance, pour pouvoir ensuite la dépecer selon son plaisir… Il semble croire qu’il peut éviter la guerre pendant un moment, et il a raison.

Je crains le Russe.

Il a une armée mieux entraînée que la mienne, il n’a pas d’ennemis à toutes ses frontières, il possède une cavalerie en grand nombre et aussi efficace que la mienne, ma stabilité est au plus mal et le terrain n’est pas à mon avantage puisque je n’ai qu’un mince couloir par la Bessarabie pour accéder à la Crimée, et la mer.

Mais je n’ai qu’une parole : la Crimée a accepté d’être mon vassal pour pouvoir être sous ma protection, je la protègerais donc.



Süleyman I, grand guerrier devant l’Eternel, décide de prendre les choses en main, et embarque avec 8 mille saphis pour libérer Kaffa d’un siège en cours. C’est que les choses sont allées très vite : en quelques semaines tout le nord de la Crimée est pris, avec Azov.

Le 12 février 1524, 1er combat, 1ère charge, Süleyman meurt, en essayant de libérer Kaffa, dans une bataille qui dura trop longtemps…



Chihangar I (3/4/4), 1524-le plus vite possible



Mais qui m’a foutu un abruti pareil sur le trône ?



J’en demandais pas autant, après avoir encaissé le –1 en stabilité.

Malgré ce très mauvais départ, je reste très curieux de voir si je peux résister à cette horde. Et je ne suis pas déçu ! Son moral est supérieur d’un tiers au mien ! La 1ère année est une série de défaites écrasantes, même à 3 contre 1, et si la Crimée avait pu négocier sa paix, le Russe serait déjà reparti avec toutes les terres convoitées, mais heureusement, il n’y a qu’avec moi qu’il doit négocier.

Il devra donc s’enfoncer dans les terres ottomanes.



En mars 1525, après avoir essuyé défaites sur défaites, débarquements foireux, batailles sanglantes cavalerie contre cavalerie, déroutes et poursuites successives, le Russe réussit à percer en Bessarabie, tandis qu’il tient solidement le nord, et assiège tout le sud de la Crimée, et Kaffa.

En été, il visite les Carpates, mais ce sera là sa dernière avancée.

L’automne arrive, il n’a pas réussit à tenir le siège en Bessarabie, et malgré mon moral désastreux, je continue de lui envoyer des vagues de mon armée usée.

Il semble avoir subit trop de pertes et doit reculer.

C’est le début d’une contre-attaque, il est bousculé à Kherson, puis en Crimée, j’en profite pour libérer Kaffa, continuant mon effort jusqu’à Zaporozhia, tandis qu’une audacieuse armée de 7 mille janissaires tente de débarquer à Kouban, mais il aura prévu de bien me recevoir…



Au printemps, les combats continuent en Crimée. Mon armée a encore été défaite au moral, et se réfugie à Kaffa. Malgré l’avantage, il ne poursuit pas, au contraire il recule. C’est qu’à présent son armée semble exsangue. Le Russe manquerait-il de troupes ? Où sont ses renforts ?

Ou est l’armée qui doit assiéger Thrace ?

Je sens à présent qu’une paix blanche est possible, mais si j’ai résisté à ce premier conflit, combien de temps le pourrais-je encore ?

Résumé de la guerre en images :


Suleyman vient de mourir au combat, ça commence mal


Presque un an plus tard, j'ai beaucoup de mal à contenir le Russe, qui tient ses positions sans forcer


3 mois plus tard, il me poursuit jusqu'en Bessarabie, et commence à assièger


Après une tentative ratée sur les Carpates, la promenade de santé est terminée : il a perdu trop d'hommes et doit se replier pour assurer ses objectifs


J'en profite à mon tour pour le poursuivre jusqu'en crimée, même si son moral supérieur limite mon avantage


Dernière bataille avant le traité de paix, le Russe s'en sortira avec 3 territoires pris à la Crimée, et son armée de cavalerie décimée

[Seten]

Russie
Guerre et paix et guerre

La russie c'etait etendu de toute part , tissant sa toile , son grand espace , seigneur des steppes.

La totalité des khanates avaient été mis a terre , khazan et astrakhan annexer. Nogai reduit a une peau de chagrin que seul un territoire perdu au milieu du royaume perse empechait la russie de l'annexer.Sibir ne pouvait plus compter que sur sa capital suite a la grande guerre qui avait vu la russie ouvrir la voie vers l'est , la voie de la colonisation.


Fidel a son engagement avec la suede la Russie vint au secour de son allié quand la Pologne lui declara la guerre , la quasi totaliter des troupes etaient occupé a se moment la a conquerir sibir pour ouvrir la voie a l'est.
Il fallaut du temps et de nombreuse strategie pour parvenir a reverser la situation et repousser la pologne.
Finallement une fois que les mouvement de troupe furent fait la contre attaque repoussa et permit de lancer de nombreux siege qui amenait la russie vers la victoire total.

Helas le syndrome de l'ia prit soudain la pologne , son lion avait disparu et la suede et la russie ne voulant qu'une victoire reconnu par le monde entier deciderent d'attendre le retour du lion.


Les années qui suivirent furent consacrer a l'etablissement de nombreux temple pour propager la foix a travers le pays et le developement de l'economie.

Seule restait la crimée a conquerir pour terminer avec les revendications russes sur les territoires musulmans. La guerre furent declaré les armées dans un premier temprs victorieuses mais l'atrition ne cessait d'affaiblir les troupes russes jusqu'a ce quu'une contre attaqsue ottomane soit victorieuse et parviennen a les repousser de la route vers la thrace pour finallement remettre les troupes en crimée.

Presentement les troupes se sont retranché sur des positions facilement defendable , attendant les renforts qui arracheraient soit la victoire , soit un traité de partition pour que les territoires de crimée au nord soient enfin au main de l'empire Russe.

[comeon]

Déclaration française.

Nous annonçons à tout les royaumes d'Europe et au delà, que la France et l'Espagne viennent de signer l'Alliance de Toulouse.
Les deux couronnes, qui seront unies par un mariage royal entre la fille du Roi d'Espagne, et le dauphin de France, déclarent qu'elles se protégeront mutuellement, collaboreront dans leur diplomatie, et assureront un soutien miliaire sans faille si un des membres est attaqué.
Ainsi la france prend sous son aile protectrice le fier royaume d'Espagne, et cette dernière lui cède le Béarn en gage de dot.

Que tous se réjouissent de cette bonne Nouvelle.

[Dandy]

Déclaration Britannique


La Sage Grande Bretagne prend acte de cette alliance et n'y voit aucun inconvénient pourvu que cette alliance ne soit que défensive et soit pas destinée à menacer les interêts britanniques, notamment dans le nouveau monde et ailleurs.

Par ailleurs, nous réaffirmons notre attachement à l'indépendance de Frise et notre amitié à l'Autriche et à Venise.

D'autre part, nous aimerions que la France clarifie sa position sur la situation du Portugal.

Sur ce, bons monarques, rendez vous ce soir !

[ciirse]

Empire Ottoman, partie 2


Chilangir I (3/4/3), 1524- 1535



1526, comme souvent en début de session, une paix est trouvée avec le Russe, une paix bizarre car j’avais repris l’avantage, et détruit la quasi-totalité de ses unités de cavalerie (qui repliaient en masse dans les plaines du nord pour se reconstituer j’imagine).

La Crimée étant mon vassal et également le chef d’alliance (n’importe quoi !), elle ne pouvait pas proposer de paix ni en recevoir, et en même temps si moi je faisais la paix, elle se retrouvait toute seule.

Je n’insiste pas, mais déçu quand même, qu’une affaire technique vienne perturber l’issue de la guerre. Le Russe qui décidément marchande encore et toujours, prend 3 territoires à la Crimée, ce qui me fait croire que la vraie capitale de ce pays est plus Novgorod que Moscou…

C’est le début d’un longue période de guerres incessantes, ma réputation est devenue trop mauvaise, ce qui finira, au fil des années, par sérieusement me gêner.

Entre 1527 et 1533, j’entame une série de guerres contre Tripolitaine, la Tunisie, Algers et le Maroc, puis à nouveau les Mamelouks. Au nord-ouest du royaume, la Valachie (27) et la Hongrie (34) sont annexées.



Mes vacances au Caire


Mes vacances à Oran

J’encaisse pendant cette période de 6 ans 2 déclins nationaux, plombant ma recherche en production pendant de nombreuses années.

1533, c’est aussi la naissance de la Perse, une nouvelle que nous accueillons avec grande joie dans le palais du Sultan.
2 années plus tard, Chilangir I meurt en réprimant des révoltés à Bagdad, mais peu le regretterons…



Murad III (5/6/4), 1535- ?


En 1536, Damiette et le delta sont pris aux Mamelouks, les terres de l’Egypte sont à présent reliées au reste de l’Empire, ce qui est bon pour les coffres, mais un nouveau problème très préoccupant est en train de monter en puissance : trop de guerre, le peuple s’en lasse, et les taux de révoltes sont dans le rouge ! Effet immédiat, -30% dans le budget !


Aie, j'ai toujours les yeux qui piquent quand je regarde cette image...

Mais je suis maintenant rentré dans une spirale dont il va être difficile de sortir, et quoi qu’il arrive la route va être longue avant que la situation se stabilise.

En attendant, les révoltes se multiplient en Hongrie, accompagnées par des events à révolte ; la Bohème en 1538 entre dans une grave crise qui fait apparaître la Transylvanie, qui a la bonne idée de me déclarer la guerre illico, annexée presto.


Voilà, c'est déjà plus propre en Hongrie, du vert, du vert, et une pincée de Crimée

En 1540, une brève période de paix fait son apparition, comme une éclaircie dans le ciel de juin, assez longue pour voir à quel point les finances ont souffert de ces années de guerre sans fin.

1541, une guerre éclate entre le Russe et le Perse, qui s’emparera de la zone au nord de l’Arménie, malgré le fait que Seten n’en soit pas aux commandes…



L'armée perse est en train de faire sa prière ou quoi là ?!

L’accalmie se termine en 1442, on remet le couvert en Egypte tandis qu’un premier cas de peste se déclare en Valachie, puis j’en profite avec une nouvelle période de calme, en 1445, pour libérer Najd en vassal, et pour commencer sérieusement à convertir des provinces hongroises et grecques, ainsi que Beyrouth (en 53).


En 1449, une nouvelle guerre éclate contre Algers, et en 1551, Tripolitaine est annexée, enfin je devrais dire, car j’en avais besoin pour relier l’Empire, qui ne cesse de s’agrandir.

Au final, entre 1526 et 1555, l’Empire Ottoman n’aura eu aucun répit, et même si je n’ai eu aucun problème d’ordre militaire, l’économie du pays à travers les guerres incessantes, les révoltes, et le Déclin National (event très pénalisant pour les pays qui n’on pas « grandes découvertes ») aura énormément souffert.


L'élastique perse a laché... et les Akkocouillus renaissent de leurs cendres


Petit bilan religieux en 1555

[comeon]

• Déclaration de la Couronne de France (Gaston Ier Roy de france)

En ce mois de janvier 1555, le royaume de France annonce qu'il garanti l'indépendance du portugal, et souhaite construire avec lui une alliance durable. Nous entrerons donc en guerre contre toute nation voulant dépouiller ce pays, et nous nous adressons donc tout particulièrement à l'Espagne.

Tout à commencer en 1544, lors de l'alliance entre la France et l'Espagne, scellée par la cession du Béarn, après le mariage entre le dauphin de France et la fille du Roi d'Espagne.
Nul part dans l'histoire récente on ne connu de mariage plus somptueux : en l'eglise Langeais,avec la présence de Notre Saint Père des draperies d'or et de soie, des vêtements les plus raffinés, et une foule incroyablement nombreuse pour fêter comme il se doit l'union des deux royaumes.
Du point de vue plus diplomatique, il est décider avec l'Espagne de mener une courte action militaire contre le portugal afin de reprendre les terres dont la france fut dépossédée il y'a 30 ans (la Nouvelle Bretagne). L'Espagne devant pour sa part élargir modérement ses possession au Brésil.
La victoire française fut brève, la Floride fut reprise, et une paix séparée vite signée. En effet, dans l'esprit du Roy gaston ier, il était évident que l'Espagne pourrait facilement prendre les colonies portugaises au brésil après avoir vaincu le Portugal en Lusitanie. Cette dernière fut facilement occupée, mais l'Espagne fut taillée en pièce au Brésil par des troupes Portugaises d'une incroyable fougue et d'un courage prodigieux. Le Portugal pouvait en outre compter sur le vivier humain considérable de l'ex-empire Inca pour recruter, alors que sa flotte imposante bloquait toute arrivée de renforts espagnols.
L'Espagne se voyant mis en échec décida sagement d'une paix blanche.
La France dut ravi sur le moment d'une telle modération et tenta de négocier avec l'Espagne le retour des 3 provinces continentales du portugal capturées il y'a 10 ans lors d'une brève guerre portugo-espagnole (sous IA)
Mais malgré toutes les propositions généreuses de la France qui alla même jusqu'à proposer des ducats de son propre trésor, ou bien l'échange de colonies au brésil contre les terres portugaises, l'Espagne ne voulut rien savoir et décida se s'entêter d'une part en nous annonçont clairement qu'elle envahirait le Portugal dès 1557 soit dans deux ans une fois la trève terminée.
Mais l'insulte la plus grande fut la mobilisation de troupes espagnoles en masse à notre frontière des pyrénnées.

La france ne souhaitant pas que :

1- l'Espagne décide ainsi de dévorer un pays voisin et redevenu Ami de la france une fois la Floride récupérée, et lui subtilise ainsi des colonies alors qu'elle occupe déjà sans aucune justification possible la moitié du portugal continental.
2- que le Portugal soit ainsi dépouillée, et ne puisse plus participer à l'équilibre européen qui est la première préoccupation de la diplomatie française.

Ainsi la france annonce à l'Espagne un message très claire : nous entrerons en guerre contre toute nation souhaitent dépouiller le Portugal de ses terres.
Le traité d'Alliance étant désormais rendue complètement caduque par vore attitude guerrière et vos provocations.
Cet avertissemnt compte égalemnt pour tout pays autre que l'Epsagne.

Néanmoins, nous ne souhaitons aps cette guerre, et si nous nous y engageosn, c'est uniquemnt de l'initiative de l'Espagne. ainsi, si celle ci décide de revenir avec un message de paix auprès de la France et du portugal, qui contiendrait le rétrocession des terres portugaises occupée, alors nous pourrions fort bien, et nous serions très heureux et soulagée de redonner notre amitié à l'Espagne.

Rappelons seulement un fait : la france a su résister il y'a 30 ans avec des revenus deux fois plus faibles qu'actuellement à une coalition de 6 royaumes européens contre elle, et elle a remportée la victoire.

[joe11111]

Ravit d'apprendre par ce biais l'érosion si rapide de notre alliance avec la FRANCE qui apparement se prend pour le maître du monde. Ravît de voir qu'une fois la France a obtenue ce quelle désirait (la floride) se range bien vite dans les clous. Bien sûr que la France a rapidement obtenue ce qu'elle souhaitait puisque le portugal se concentrait sur l'Espagne. de plus le portugal n'a pas signé une paix blanche puisqu'il nous a rétrocédé Madère. Enfin le portugal grâce à son vivier au brésil ainsi que sa flotte impressionnante avait évidement de grande chance de nous repousser en Amérique(nous ne sommes pas des lâches), comme nous, nous étions certains de pouvoir envahir rapidement le portugal sur le continent. Je ne pense pas d'ailleur que le portugal sorte gagnant de son conflit (le scorewar me donnant raison, ainsi que les faits, le Portugal accepte de rétrocéder la floride, et madere.)
Un dernier message pour la France, notre présence militaire dans les pyrénées était là bien avant et pendant notre si courte alliance et cela ne vous dérangait pas avant de prendre possession de la floride et de notre cadeau le Béarn, d'ailleurs notre fille rentré en Espagne, semble laissé entendre que le dauphin s'intéresse plus aux hommes qu'à elle...
Enfin je n'ai jamais attaqué le portugal, c'est lui qui a porté le premier coup!!!!
(pas de ma faute si certainS permanentS confondENT présence régulière=respect des autres joueurs avec je viens quand je peux...Je n'englobes pas les raisons de santé bien évidement dans cette conclusion)
Donc ce message diplomatique est le dernier de l'Espagne, jusqu'à ce que nous trouvions un, voir plusieurs interlocuteurs ce que je commence à douter digne de notre amitié. En ce qui concerne le portugal, nous lui garantissons l'indépendance de ses trois dernières provinces sur le continent. Par contre nous ne pouvons lui garantir que ses colonies ne seront pas sujet à discorde dans le futur.
(je ne le prends pas pour un idiot il se doute qu'il y aura des guerres coloniales.)
Maintenant quicqonque me déclare la guerre, au risque de me répéter; ne sera pas pris en traitre guerre à mort quelque soit le score war...
Plus de commentaires.

[Dandy]

La Sage Grande Bretagne


1526 – 1569 : Le Grand Développement.


Il fallait faire de l’Angleterre une grande puissance, sa sécurité en dépendait. Nous devions d’abord nous occuper de la menace écossaise. L’armée anglaise, forte de 20 000 hommes fut envoyée en Ecosse en 1525. Cette guerre se déroula en deux phases : une première qui voyait l’Angleterre prendre l’ensemble des terres écossaise excepté la capitale puis une seconde phase qui voyait l’annexion de l’Ecosse par la couronne d’Angleterre, avec la bénédiction française.
La Grande Bretagne était enfin unifiée sous une même couronne ! Un grand pays était né.

Mais il restait encore à pacifier l’Irlande, qui était tombée sous l’hérésie protestante. Une fois de plus, la belle armée britannique fut remarquablement efficace et l’Irlande fut rapidement sous notre contrôle (1550). Nous étions enfin parvenu à unifier l’ensemble des îles britanniques sous une même couronne !

Le nouveau monde connaissait aussi de profonds bouleversements : dans ce que nous appelions maintenant l’Amérique du Nord, 3 pays étaient en compétition : la France, l’Espagne et la Grande Bretagne. Les dernières tribus indiennes indépendantes avaient disparues et des tensions naissaient entre ces 3 puissances. Fort heureusement, aucune guerre n’éclata avec la Grande Bretagne qui pu poursuivre le développement de ses colonies. Des villes furent fondées toujours plus à l’ouest jusqu’à ce que nous atteignîmes une chaîne de montagne infranchissable : les Rocheuses.

Voici une carte datant de 1569 montrant les territoires britanniques en Amérique du Nord, appelés : Conglomérat d’Amérique du Nord Anglais pour le Développement des Affaires (CANADA).






D’autres part, la Grande Bretagne ne pouvait mettre tous ses œufs dans le même panier et nous n’étions pas à l’abri d’une traîtrise française ou espagnole. C’est pourquoi de riches ports furent fondés dans plusieurs îles des caraïbes, chargés d’exporter le sucre produit dans les terres. Ainsi, en 1569, la Martinique comptait 3500 habitants, Antigua en comptait 3000 et l’Archipel des Turcs près de 1500. Une escadre anglaise y était basée, chargé de lutter contre les pirates et de surveiller les îles britanniques.

D’autres îles furent colonisées et devait servir de base de ravitaillement pour les escadres britanniques : Bermudes, Diego Garcia, Falkland…

En 1569, alors que l’Europe était déchirée par une nouvelle guerre, nous commencions enfin à avoir un peu de soleil : le Royaume était bien administré et les provinces dotées d’infrastructures modernes, la Royal Navy continuait de se développer et nos relations avec les princes européens étaient bonnes. Nous parvenions à placer nos premiers marchands, qui jouissaient enfin d’une bonne réputation. Même notre vassal, Friesland, faisait de bonnes affaires en fondant des comptoirs dans les Caraïbes et en Amérique du Sud. Mais alors que de nouveau, le destin souriait à la Grande Bretagne, un terrible drame survint : notre Roi, George III, mourut une nuit, sans laisser d’héritier capable. Un conseil de régence, composé des grands du Royaume se réunit pour diriger le pays, le temps que l’on trouve un héritier.