AAR Byzance (par Missi)

[Dandy]

En fouillant un peu dans les ruines de benzo, j'ai trouve quelques vieux aar qui trainaient et qui n'allait pas tarder a disparaitre du cache de benzo.
Cet AAR a ete fait par Missi, sur le forum Benzo durant l'ete 2003.
J'ai n'ai aucun droit sur cette oeuvre donc si Missi venait a se manifester pour recuperer cet aar ou le retirer, il peut.
Je vous soumet donc la premiere partie de l'AAR Byzance !






Bon, vu que j'ai été un peu déçu par le précédent AAR sur Byzance(car en veille depuis un moment), je me suis dit que je devrais en faire un. Bon, je suis pas un pro, ca sera peut être chiant et sûrement plein de fautes, donc si vous avez des conseils à me donner, je suis preneur.
Sinon, vu que j'ai l'intention d'aller assez loin, j'ai choisi l'EEP pour avoir des events après 1453 date de la chute de Constantinople. Je suis en difficulté Hard et en IA agressive. Voila je crois avoir tout dis.




Fin ou Renaissance??

En effet, notre empire est pauvre, possède sa capitale, et quelques terres en Morée et est entouré par des voisins soit sanguinaires, soit mécréant, soit les deux...il nous faut donc tout d'abord survivre et attendre une fin qui paraît inéluctable sous les coups de butoir ottomans

Tout d’abord, nous considérons que pour nous protéger de futures attaques ottomanes nous avons besoins de 2 choses.
Un territoire plus vaste pour augmenter nos ressources. L’Empire Ottoman étant trop fort, nous ne pouvons nous étendre à ses dépends, les 3 victimes supposées sont donc l’Albanie, Trébizonde et le duché d’Athènes. Le premier est allié à l’Empire ottoman, impossible donc à attaquer, le second est dirigé par un membre de la famille, et comme on a pas beaucoup d’ami…pas touche à la famille !!!
Reste donc le duché d’Athènes, plus faible encore que nous (si si, ça existe !!) et catholique de surcroît, un infidèle en moins si nous l’écrasons. Nous nous mettons donc en marche pour Athènes, en levant 2000 cavaliers en plus en Morée. Notre armée viens rapidement à bout du duché et pendant ce temps notre cousin gouvernant Trébizonde nous propose une alliance, sympa de sa part, mais son alliance est composé de musulmans (Ak Koyunlu) et de catholiques (Les Chevaliers de Saint-Jean), ces deux là sont donc peu fiables, seuls la Géorgie orthodoxe et notre cousins sont sûrs.

En tout cas une chose est sûre, notre Empire à la poisse, car une fois Athènes prise(28 février 1421), Constantinople se révolte…25000 révoltés c’est beaucoup pour note armée, mieux vaut attendre une attaque ottomane pour tuer ces révoltés sachant que nos murs sont résistant…et ça ne rate pas, 9 mois plus tard, les hordes barbares déferlent sur nous, il faut dirent que notre bon empereur fait parti d’une secte où l’on cherche les coups…il viens de libérer un candidat au trône ottoman qui avais trouvé refuge chez nous et que nous devions normalement livrer.
Reste que la guerre est déclarée et que seuls la Géorgie et Trébizonde nous aident. Pour couronner le tout, Candar déclare la guerre à Trébizonde 1 mois plus tard… on risque d’être très seuls…
Cependant, le plan est simple : arracher une paix blanche à l’Ottoman et profiter de cette guerre pour annexer l’Albanie. Et surtout nous ne devons jamais affronter l’armée ottomane en rase campagne sauf supériorité écrasante.
Rapidement les hordes barbares mettent le siège devant Constantinople et la prennent anormalement vite du fait que les révoltés avaient déjà affaibli nos défenses. Le 19 octobre 1421 notre capitale tombe, l’histoire nous montrera que nous n’en reprendrons possession que dans de très longues années. Après la chute de la ville il nous faut mettre notre plan à exécution au plus vite, sans attendre les renforts nous marchons sur l’Albanie nous arriverons à y mettre enfin le siège 12 décembre 1421, Tirana tombera 2 ans plus tard après un siège très éprouvant, qui aura vu l’occupation (mais pas l’annexion) de notre cousin, et la paix humiliante signé par la Géorgie. Heureusement que les chevaliers de Saint-Jean nous viennent en aide en re-rejoignant notre alliance et en débarquant en Asie mineure.

Mais au moment où l’Albanie tombe et est annexé à notre Empire, l’ottoman met le siège devant Athènes récemment prise, ce sont 25000 ottomans qui vont affronter 20000 byzantins, en effet, le combat est forcé nous ne pouvons laisser Athènes tomber, ou bien tout notre empire s’effondrera car le chemin vers l’Albanie et la Morée sera ouvert, le destin de l’Empire byzantin se jouera donc devant l’Acropole…



Une situation confuse 1423-1427
Après plusieurs jours de combats acharnés, l’armée de Jean VIII Paléologue est victorieuse grâce à sa cavalerie…en effet pour compenser notre faiblesse numérique, notre armée n’aligne presque que des cavaliers. Athènes est sauvée, l’Empire lui aussi pour quelques temps au moins. Notre armée repoussera encore 3 offensives mais finira par céder aux coups ottomans de plus en plus violents, nous nous replions donc en grande hâte en Morée, d’où nous préparons une contre-offensive qui nous l’espérons nous permettra d’arracher la paix.
Mais avant cela, il convient en cette année 1424, faire un faire un bilan sur la situation dans laquelle est notre empire. Cette dernière est plutôt mauvaise mais pas désespéré, en effet Constantinople est tombée, Athènes à nouveau assiégée, mais l’Albanie est à nouveau sous notre domination. Sur la scène politique nos alliés ont tous été vaincus, et notre cousin régnant sur Trébizonde pensant qu’il allais se faire décapiter par le sultan a du être pris d’une crise de folie et a comparé tous les état musulmans à de la matière fécale ce qui nous a entraîné dans des guerres contre tous les pays musulmans.

Après cela, notre bon empereur décide donc de confier notre seule armée au futur Constantin XI qui lève de nouveaux cavaliers et qui aussitôt attaque les ottomans en Morée, nous sommes repoussé mais l’armée ottomane est épuisée. Malgré la chute d’Athènes, celle-ci est sans grande importance puisque l’armée ottomane se monte à 3000 hommes et la notre à près de 20000. Une nouvelle attaque vient facilement à bout de leur armée et Athènes repris 1 an plus tard inaugurant ainsi le règne de Ioannes VIII. A cet instant nous avons plusieurs choix, soit marcher sur Trébizonde pour secourir notre cousin, ou bien écraser l’armée valaque qui se profile, une offre de paix de 4 ducats nous dissuade et nous concluons la paix avec la Valachie. Malheureusement l’Ottoman refuse toujours une paix blanche nous décidons donc de marcher sur l’Anatolie pour défaire le sultan sur ses terres et dans sa capitale.
Là sur les terres de nos aïeux et de l’autre côté du Bosphore où nous n’avions pas mis les pieds depuis près de 100 ans nous défaisons 10000 turques et prenons la capitale turque le 9 août 1426. Durant 1 semaine la capitale ottomane est mise à sac, la moitié de la population passée au fil de l’épée. Nos soldats épuisés, finirent pleurant de joie dans des rues où le sang et les cadavres s’étendaient à perte de vue, malgré tout la guerre devait se poursuivre le sultan refusant la paix blanche proposée et nous devions marcher sur Smyrne. Mais une grande déception devait à nouveau nous emplir le cœur, 1 an plus tard au moment où tombait Smyrne, la capitale ottomane était reprise, de nombreuses années de guerre se profilaient encore, et il fallais se dépêcher, les emprunts était nécessaire pour simplement entretenir la seule armée dont nous disposions, la banqueroute se profilait…

Une victoire inattendue 1427-1431
Nos forces restait malgré tout trop faibles et nous devions attendre la déferlante barbare à Smyrne et là les ottomans, sûrs de leur victoire, scindèrent en 3 parties leur armée de 25000 hommes et les envoyèrent séparément, elles furent défaites sans problème et nous pûmes reprendre la capitale ottomane.
A ce moment l’armée ottomane est inexistante et nous décidons donc de précipiter une banqueroute inévitable en levant une armée en Grèce et en occupant les Balkans afin d’empêcher la création de nouvelles armées ottomanes pendant que nous libérerons Trébizonde. Celle-ci une fois libéré, et notre capitale possédant des murailles trop puissantes, (ce qui nous empêchent de la reprendre) nous prenons conscience qu’une victoire est possible et après une banqueroute, il ne nous faudra que 1 an pour occuper tout les Balkans et grâce, il faut bien le dire, à l’armée hongroise qui en attaquant l’Ottoman nous a rendu un fier service. Le 13 octobre 1431, 2 jours après la chute de la Roumélie, la paix de Constantinople est signée. La Macédoine, La Bulgarie et la Roumélie sont annexées à l’Empire byzantin. Mais cette victoire magistrale et inattendue ne doit pas cacher les problèmes engendrés par une guerre totale de 10 ans…



1431-1438 L’Empire souffle un peu
En effet, après 10 ans de guerre les soucis sont légions. Nos multiples annexions n’ont pas plu à nos voisins et nos relations sont catastrophiques, même avec notre cousin de Trébizonde qui voulait nous entraîner dans de nouvelles guerres et que nous avons dû quitter. De plus les puissances orthodoxes sont peu nombreuses, la Serbie est vassale du royaume de Saint Etienne (Hongrie, mais Royaume de Saint Etienne, ça fait mieux), la Géorgie est allié a notre cousin, la Valachie alliée au sultan ottoman. Seul la Moldavie peut nous venir en aide, les principautés russes étant trop lointaines, nous créons donc une nouvelle alliance avec eux.

Autre ennui de taille notre banqueroute a entraîné une inflation de près de 30% ce qui rends la cavalerie encore plus chère, cette dernière nous permettait parfois de compenser notre faiblesse numérique. Encore plus grave, nos caisses sont vides, si l’Empire Ottoman et ses alliés nous attaquent, la situation risque d’être périlleuse surtout que notre retard technologique est inquiétant face à la chrétienté romaine et même face à l’Empire ottoman. Nous voulons donc consacrer les prochaines années à rembourser nos 2 derniers emprunts et à augmenter nos effectifs militaires. Cependant il nous faut trouver de nouvelles victimes, toutes les provinces autour de la mer Egée doivent être reprises, seul ennui, Venise est très puissante et Rhodes a comme protecteur la puissante Hongrie de Mathias Corvin. La paix s’impose donc et nous devons attendre, mais le répit sera de courte durée, en effet au moi d’août 1438 la Valachie orthodoxe nous déclare la guerre avec l’infidèle ottoman. Il va falloir en finir avec ces traîtres et avec l’Empire ottoman qui même affaibli, reste menaçant.

1438-1443 la Seconde guerre balkanique

Ces 5 ans de guerre peuvent paraître long mais ils auront été une promenade militaire à notre grand étonnement. En effet, notre tactique consistait à battre séparément nos adversaires, la Valachie et l’Empire ottoman. Tout d’abord, nous décidons d’en finir avec ce dernier. Smyrne (ou nous possédons un casus belli shield) doit être annexé. Rapidement nous occupons tout les territoires ottomans et nous laissons les valaques occuper les Balkans…nous les reprendrons plus tard et nous vassaliserons cette principauté rebelle, ce qui nous le verrons sera impossible. Toute l’Asie Mineure tombe assez vite sous notre joug mais la paix ne peut être conclus du fait que les valaques donne toujours un espoir aux ottomans. Une longue reconquête des Balkan (ou Byzance est quand même tombé…petit coup de sueur) s’en suivra mais qui s’arrêtera du fait de la chute du gouvernement valaque peut après que nous ayons conclus la paix avec l’Empire ottoman qui n’a d’ailleurs d’Empire plus que le nom. Il sera donc désormais appelé la principauté ottomane.
Au début de l’année 1444, la Seconde guerre balkanique s’achève donc, sur une nouvelle victoire. D’ailleurs quelques années plus tard, les valaques payeront leur félonie en étant annexé au royaume de Saint Etienne

1443-1466 Reconstruction et renaissance

En effet durant ces longues années nous allons nous employer à reconstruire notre empire et à rattraper notre retard technologique. Tout d’abord après avoir remplis nos caisses, un grand système de collecte des taxes est installé dans tout le pays affin d’augmenter nos revenus, cela ne va pas sans créer quelques tensions avec les paysans, mais ils finiront par comprendre cela.
De plus l’envoi de marchands est décidé, ce qui accroît sensiblement nos revenus.
Ensuite nous nous obligeons à rattraper notre retard technologique, en effet nos armées sont obsolètes (tech 1) alors que la principauté ottomane se développe très vite (tech 3) certains pays d’Allemagne ont même des armées qui dépassent l’imagination la plus fertile de nos conteurs (tech 5). Cependant au cours de l’année 1453 toute la noblesse byzantine, toutes les nations orthodoxes plus quelques amis catholiques sont invité à Constantinople. Notre grand empereur Constantin XI proclame la renaissance de l’Empire byzantin et sa volonté de fédérer tous les peuples orthodoxes et toute l’Asie Mineure (acquisitions de casus belli shield). 1 semaine de fête grandiose impressionnera nos invités, en tout cas, plus que la ville qui est détruite par 2 capture successives…l’idée germe en nous de restaurer le Hagia Sophia. Mais Constantin XI comme le fondateur de le l’Empire : Constantin Ier viens de redonner un nouvel élan à l’Empire et nos armes sont prêtes a se tourner vers la principauté ottomane avec laquelle il faut en finir, surtout qu’elle semble reprendre des forces…en effet son armée aligne 75000 hommes (3 fois la notre). Malheureusement ce projet guerrier va vite être oublier du fait du coût exorbitant de la restauration du Hagia Sophia (500 ducas soit tout notre budget, mais on récupère une manufacture !!!).
Cependant, environ 10 après, le 1er novembre 1466, nous nous sentons prêt a en finir avec les ottomans et cette menace constante à nos frontières…



Voyez par vous même, l'Empire en 1465 :






(Note : entre temps j’ai rajouté qq events (30 quand même) qui seront intégré dans le prochain EEP, afin d’avoir plus de guerres, de casus belli shield, etc.…)

1466-1475 Pauvre principauté ottomane
En effet pour la première fois, nous allons déclencher une guerre et non pas la subir. De toutes façons nous y sommes tout de même contraints car année après année, l’armée ottomane se renforce du fait qu’elle est en guerre contre la Hongrie (c’est marrant d’ailleurs, parce que j’avais pas vu depuis longtemps un pays qui fait des troupes comme un fou quand il ne peux pas attaquer son adversaire….enfin bon)
Donc comme d’hab, notre cher Basileus va employer la tactique du « on laisse venir les grosses armées pour les éclater plus tard ».
Pour cette guerre, nous pourrons compter sur notre allié Moldave alors que l’allié de l’ottoman, Karaman, s’enfuis comme un couard à l’annonce de la guerre. Tout d’abord nous laissons la principauté ottomane attaquer les territoires qu’elle veut tant que ses armées seront trop importantes, c’est ainsi que notre récente conquête, la ville de Smyrne est abandonnée. Mais lorsque l’Ottoman assiège Constantinople, nous décidons que cela est trop. Lorsque notre Empire était faible, la chute de note capitale était acceptée, mais aujourd’hui, cela ne peut être toléré. A trois reprises nous tenterons de briser le siège de notre éternelle capitale, la quatrième serra la bonne. Ensuite une reconquête assez rapide semble s’amorcer, mais seulement, Karaman dans un sursaut d’honneur (de stupidité ???) décide de rejoindre son ami ottoman qu’elle avais laissé tomber quelques années auparavant…c’est décidé, Karaman sera écrasé et vassalisé. Nos troupes vont donc se battre vaillamment durant 9 ans dans les montagnes enneigées de l’Anatolie et la Cilicie. Mais le résultat est à la hauteur de nos espérances. La principauté ottomane nous cède la Dobroudja et l’Antalya, l’Ottoman est donc réduit à sa seule capitale. Karaman nous cède Konya et est vassalisé. L’Asie Mineure est donc en passe d’être pacifié, mais avant cela il faut en finir avec la grande alliance formée par le Calife Mamelouk qui regroupe ce dernier, Candar, Dulkatir, le Hedjaz et Aden.

1475-1481 L’Empire se prépare au grand combat
De grandes réformes vont donc se succéder (events) tout d’abord, l’économie est réformée et un grand COT est créé à Constantinople. Ensuite une frange de la noblesse voulant recréer l’Empire, une manufacture d’armes est crée en Bulgarie, ce qui nous permet d’accélérer nos recherches dans le domaine militaire, il faut dire que notre cavalerie n’est plus a la point de la modernité…notre grand rêve est de pouvoir posséder des lances de types XP-40…malheureusement ces armes sont trop modernes pour nos soldats, qui ne savent maîtriser leur puissance et tue plus souvent leurs camarades de combats que leurs ennemis. De plus ces combats dans les montagnes ont mis en évidence la fébrilité de notre cavalerie. Nous décidons donc de recréer les légions. Pour l’instant 2 légions de 10 000 hommes seront installées dans les Balkans et dans l’Asie Mineure en plus de notre détachement de cavalerie, voulant montrer notre attachement à l’Empire romain, nous reprendrons le nom d’anciennes légions.
En Asie Mineure : Legio Fulminata
Dans les Balkans : Legio Rapax
De plus notre cousin régnant à Trébizonde décide de réunifier l’Empire (event) : Ses terres sont donc rattachées aux nôtres. Sinon en vue de la grande guerre contre les mameluks nous décidons d’éliminer quelques adversaires, c’est ainsi qu’en 1479 et 1480, Chypre et la principauté ottomane sont définitivement intégrées dans nos terres, cela cree une grande euphorie parmis nos sujets, mais est vu d’un très mauvais œil par les autres états musulmans, mais nul doute qu’ils seront écrasés eux aussi. Autre bonne nouvelle le Royaume de Géorgie sans alliance, décide d’intégrer la notre, nous pourrons donc bientôt annexer toute l’Asie Mineure.


Sinon je voulais avoir votre avis, j'ai un peu regardé les events à venir et je vais avoir le choix entre ajouter la culture arabic ou ajouter la culture italian...je penche pour la seconde, mais bon...

[Dandy]

La suite, toujours retrouvée sur le cache de google.





1481-1487 Nous continuons notre préparation

En vue de la conquête totale de l’Asie Mineure, nous décidons tout d’abord d’assurer nos positions, c’est ainsi que la vassalisation de notre allié géorgien est décidée. Cependant, alors que nous cherchions a nous rapprocher de la Nubie orthodoxe (plutôt copte en fait…mais bon), celle-ci est annexée par le Califat Mamelouk sans que nous pouvions agir, en effet, nos armées était trop peu nombreuses. Dommage, ils devaient normalement permettre de prendre à revers les Mamelouks, nous cherchons donc à nous rapprocher de l’Ethiopie. Cela ne nous empêche pas d’augmenter nos effectifs et de les porter le 28 mars 1487 à plus de 80 000 hommes.

1487-1502 L’Empire proche de la rupture

Certains de nos généraux avais vu nos précédentes victoires comme le début d’une reconquête inexorable et facile…peut être avais t-il raison sur « inexorable », en tout cas, il est sûr que le facile était faux, car malgré des effectifs gigantesque, l’Empire va vivre près de 15 ans de difficulté plus ou moins marquée. Tout d’abord, notre combat en Asie Mineure contre les Mamelouks et leurs alliés a failli virer au cauchemar… Au début tout se déroule selon nos plans, Candar est en passe s’être écrasé, et Dulkatir devrais suivre, mais alors que nous nous apprêtons à mettre le siège devant Dulkatir, notre armée de 45 000 hommes tombe sur une armée du Hedjaz que nous n’avions pas aperçu. En tout ce sont 75 000 hommes qui vont s’affronter.

La Bataille du lac de Van
Le combat se déroule bien, nos légionnaires avancent bien, et l’ennemi affaiblis par nos flèches, vacille. Et alors que nos armées font mines de se replier (pour faciliter le travail de notre cavalerie et faire quitter la position surélevée de l’armée des infidèles), elles glissent sur le sol boueux du lac à sec, tombent, se gênent, paniquent et ce qui devait passer pour une feinte, deviens une véritable retraite, notre cavalerie gênée par les montagnes environnantes n’arrive qu’au compte-goutte et se fait massacrer en même temps que nos légionnaires trop lourd. Près de 30 000 des nôtres vont mourir cette après midi là et 30 étendard de la Vierge Marie sont pris…Dulkatir ne sera pris que 3 ans.
Cependant l’ennemi cherche a profiter de notre faiblesse et veux pousser son avantage…Trébizonde tombe, Smyrne assiégée, toute l’Asie Mineure risque de tomber aussi…cependant au pris d’un grand effort financier de nombreux mercenaires se joindront a nous et repousseront l’armée infidèle. La contre offensive peut donc s’enclencher, Trébizonde, Alexandrette, Malatya, Alep sont prises et la paix est signée avec Candar qui nous cède l’Antalya. Dulkatir est purement annexée, une belle revanche.
Cependant notre position reste précaire avec 1000 ducats engloutis, et malheureusement, c’est l’année 1495 que le peuple choisis pour se révolter (events) c’est tout les Balkans et la plupart de l’Asie Mineure que se soulève…il nous faudra 6 ans pour mater toute les révoltes, le Basileus est furieux et décide pour se venger de rétablir le servage, en effet de nombreux territoires ont acquis leur indépendance et leur ré annexion nous aura coûter cher sur la scène européenne. De plus nos alliés choisissent ce moment pour être en guerre contre Ak Koyunlu et la Crimée…après l’échec de débarquement en Mer Noire, nous décidons de faire la paix.

1502-1519 Il faut en finir !!

Le 8 avril 1502, le règne de Manuel III s’ouvre, il veut en finir avec les menaces infidèles à nos frontières. Karaman avais profiter de notre passage a vide pour briser son lien de vassalité, la punition sera immédiate, l’annexion pure et simple. Notre Basileus veux réserver le même sort aux Chevaliers de Rhodes, ils sont malheureusement trop puissant pour nous (ils sont level 11 et nous…3 ça commence a être chaud). Mais bonne nouvelle, en 1509, la Valachie se sépare de la Hongrie(et le Kosovo qui décide de nous rejoindre!!!), nous l’aidons donc financièrement dans sa guerre contre la Hongrie, qu’elle gagne, nous avons donc un nouvel allié et un nouveau vassal.
Le successeur de Manuel II sera Andreas II qui prend le pouvoir en 1512. Avec un règne aussi énergique, et après une guerre éclair contre le Mamelouk (étonnement faible sans ses alliés) qui nous cède Adana, et une alliance avec l’Ethiopie, il meurt, et laisse place en 1519 à Ioannes IX qui décide d’écraser Candar momentanément sans alliance. Ainsi en 1519, toute l’Asie Mineure est sous notre domination, mais notre réputation est des plus mauvaise, va falloir un peu se calmer…


1519-1533 Le temps des réformes

Notre nouveau Basileus, Ioannes IX est l’un des meilleurs empereurs que nous ayons jamais eu comme nous le verront plus tard. L’année 1520 va marquer de grand changement, tout d’abord un prêtre allemand du nom de Luther, déclare un nouveau schisme avec l’Eglise romaine, espérons que cela nous apportera des amis au sein de l’Europe, car il faut bien dire que l’orthodoxie n’est pas la religion la plus répandue malgré nos efforts.
Cette même année, la Hongrie déclare la guerre à notre fidèle allié ; la Moldavie, nous décidons de l’aider avec l’espoir d’annexer à terme la région de Belgrade, le verrou vers l’Europe Centrale…peine perdue, notre allié signe rapidement une paix blanche, dommage.
L’année 1526 est un tournant dans l’histoire du monde, les puissances changent, l’Autriche petit état jusqu'à présent acquiert une stature mondiale en vassalisant la Bohème et en attaquant brillamment la Hongrie, le Saint Empereur devient une grande puissance comme la Perse et l’Empire de Russie qui écrase la Lituanie. Autre grand changement, Ioannes IX décide le nettoyage de l’Anatolie, tous les turcs seront hellénisés de gré ou de force…cette politique très violente portera ses fruits 30 ans plus tard, toute l’Anatolie sera peuplée de grecs orthodoxes, mais le prix aura été lourd, les morts se compte en centaines de milliers, peut être en millions, Ioannes obtiendra là son surnom de « Ioannes le Boucher », mais d’autres le surnommerons : « Ioannes le Magnifique » tout dépends du côté choisi…
A la fin de l’année 1532, des tensions se produisent entre 2 très anciens amis : Le Califat Mamelouk et l’Empire Byzantin. Auparavant unis contre l’ennemi turc aujourd’hui nous sommes ennemis, les Mamelouks veulent nous chasser de l’Anatolie et prennent peur face à nos victoires. Rapidement la branche dure de l’Empire l’emporte et la guerre contre le Califat Mamelouk se prépare…

1533-1537 Le Basileus, ou l’ombre de Dieu sur Terre

Depuis longtemps nous savions que les Mamelouks entretenais un état de révolte à l’intérieur de l’Anatolie dans les populations turques mécontentes de l’hellénisation. Cette révolte menée par un certain Soliman va aboutir à un soulèvement général de la population en 1533 et d’une déclaration de guerre mamelouk au même moment. Il nous faudra donc pacifier le pays et combattre la menace infidèle en même temps…la tâche s’annonce rude.
Heureusement, et étonnamment, nos troupes progressent de manière efficace et la réduction du nombre de rebelles dans notre empire nous permet d’aligner de plus en plus d’hommes, rapidement les pauvres mamelouks sont submergées par nos légions, dont les effectifs ont doublé, et par notre avance technologique !! nos armes sont plus modernes que jamais…enfin, la comparaison reste dure face aux roitelets de l’Occident, qui possèdent tous des armes dites « à flamme »…étrange !!
Notre offensive progresse donc bien, toutes la Syrie est soumise, puis les régions comprises entre cette dernière et le Sinaï… seul le Liban et la Sainte ville de Jérusalem résiste encore
Mais le 10 août 1537, Jérusalem tombe !!!! Nous décidons sans attendre la paix avec le Mamelouk de l’annexer à notre empire et immédiatement des négociations sont menées avec le Pape Paul III. Ce dernier se propose de financer notre croisade à une seule condition…d’exclure les musulmans de Jérusalem. Ioannes IX, qui ne fut pas le plus tolérant de nos Basileus, accepte avec joie cette proposition et la ville est vidée des ¾ de ses habitants. Mais ceci n’est pas du goût de tout le monde car, aussitôt, toutes les nations du monde musulman, chiites et sunnites réunis pour la seule fois de leur histoire, décident de déclarer la guerre sainte. C’est le Djihad contre l’Empire Byzantin, et Ioannes est bien décidé à garder sa tête…

1537-1565 L’Empire Romain d’Orient

Bon, là c’est un peu tendu quand même, et dans l’Etat Major, on commence à baliser sérieusement, parce que quand on regarde les frontières, il y a quand même du monde, nous décidons donc de faire une paix au rabais face aux Mamelouk, nous auront notre revanche plus tard…la paix est donc conclue avec le Mamelouk contre Samaria, la Syrie, et Aleppo. Ensuite nous écrasons quelques armées musulmanes et offrons des sommes énormes pour faire la paix…diviser pour régner…A la fin de l’année 1537 tout est fini, mais nous avons perdu une bonne occasion d’en finir avec un puissant voisin. Nous attendons donc la fin de la trêve pour remettre ça.
En 1539, notre voisin hongrois un peu trop sûr de lui attaque notre allié Valaque, il sera rapidement ramené à la raison et cédera la Transylvanie à notre allié, qui la convertira aussitôt, le monde orthodoxe s’étend de plus en plus. Cependant, une nouvelle nous inquiète, en 1541, la Bohème est intégré à part entière dans l’Empire d’Autriche, notre voisin autrichien devient de plus en plus inquiétant surtout qu’il réduira bientôt à sa capitale la Hongrie. Nous surveillons de plus en plus notre frontière à l’Ouest alors que se prépare la grande offensive contre le Mamelouk. Cette deuxième guerre a 2 objectifs, tout d’abord en finir avec le Mamelouk et ensuite humilier les musulmans en vassalisant le Hedjaz qui possède Médine et La Mecque. Nous avançons bien face aux mamelouks qui n’opposent guerre de résistance car trop occupé par notre allié éthiopien, mais une crise politique nous oblige à arrêter cette guerre. En effet quelques révoltes secouent notre pays et nous ne voulons prendre de risques. La paix est donc signé contre le Liban, Alexandrie, la région du Nil, le Sinaï et le Delta.
Après cette guerre nous décidons de reconstruire le limes à l’Est afin de montrer à nos voisins que l’extension dans cette direction est finie, et en 1556, alors que Charles Quint meurt et laisse place comme empereur à… Zymund II Auguste de Pologne, nous déclarons la guerre pour la 3ème fois au Mamelouk…4 ans plus tard, la guerre, qui n’a de guerre que le nom (presque pas un mort) est fini, nous obtenons, la Jordanie (qui sera rendue avec grâce au Hedjaz), la Cyrénaïque, Quattara et Cataract.
2 ans plus tard, Ioannes meurt laissant place à son fils ; Michel X qui aura l’honneur d’en finir avec le Mamelouk en 1565, et de ainsi reconstruire l’Empire Romain d’Orient. Nos orientations changent tout de même, l’Ethiopie est abandonnée, car elle ne sert plus à rien (mais elle recevra toujours beaucoup d’or pour « services rendus » et pour poursuivre l’extension de l’orthodoxie en Afrique). Elle est remplacée dans notre alliance par le Tsar de Russie qui aura pour charge de nous protéger contre l’Autriche.
Cependant les questions sont nombreuses…où va s’étendre désormais l’Empire et cette fin de siècle sera-t-elle marquée par le duel des 2 jeunes empereurs : Michel X contre Maximilien II ???

1565-1588

L’Empire Romain d’Orient restauré, il nous faut désormais consolider notre empire avant de songer à poursuivre notre expansion. L’année 1567 sera sans aucun doute l’une des plus grande de l’Histoire du Monde. En effet, nous soutenons une révolte copte en Egypte, le résultat est terrible pour les chiens galeux, puants et mécréant qui peuplent cette région, les morts se compte par centaines de milliers mais notre but est atteint, la cohésion de l’Empire au nord, comme au sud est faite. Bon, il y aura tout de même quelques anicroches…7ans de révoltes, 2 crises politiques, plusieurs assassinats au sein de la noblesse grecque, enfin, presque rienn même temps, nous réclamons Rome, c’est notre capitale historique, elle doit nous revenir !!
Il nous reste avant notre conquête à mater les Perses qui pousse sur notre frontière ouest…2 ans de campagnes en viendront a bout.
Cependant, pendant ces troubles, Michel X, qui passera à la postérité sous le nom de Michel le Conquérant, réclame immédiatement Rome l’éternelle !! le retentissement au sein des impies catholique est très fort, le duc d’Autriche, rédige une nouvelle Bulle d’Or au sein du Saint Empire qui déclare l’Empire Byzantin comme « L’Etat à abattre », partout on parle de croisade, la France se convertis à la Contre Réforme, la Pologne se proclame seul défenseur de la foi catholique, et alors que les nations catholiques s’arment, la rivalité entre l’Autriche et la Pologne bat sont plein pour savoir qui dirigera la croisade, et en 1581, alors que l’Autriche a déclare la guerre au Royaume de Pologne, nous en profitons pour discrètement amener nos galères a l’embouchure du Tibre…
Le 2 Février 50 000 byzantins écrasent les 7 000 hommes des forces du pape (bah vi, j’ai voulu assurer) et au mois de Novembre 1581, le Pape se rends à nos généraux. Les catholiques se rendent bien compte de leur erreur, devant l’impossibilité de contre attaquer, ils cherchent à acheter notre départ…peine perdu, nos 2 000 ducats sont suffisants. Le Pape et ses cardinaux seront empalés en place publique…
Désormais c’est toute l’Italie qu’il nous faut conquérir, notre nouvelle Capitale ; Rome est bien isolé du reste de l’Empire et notre voisin autrichien honteux que nous ayons réussi à prendre Rome dans son dos rêve de revanche. Mais avant d’unifier l’Italie, il nous faut sécuriser la mer Méditerranée et pour cela, enlever les différentes îles aux mains des vénitiens… l’heure du choc des titans n’est pas encore arrivé, mais arrivera t’il un jour ??? Près de 30 ans que le monde attend une guerre entre l’Empereur germanique et le Basileus, désormais Empereur Romain…

1588-1604 La marche vers l’Italie

Désormais, le but de la politique byzantine, est la protection de Rome et pour cela, tenter de la rattacher par voie terrestre à l’Empire. Nous décidons donc de venir à bout de Venise, principal obstacle vers la réunion de Rome à notre Empire.
En 1588 une déclaration de guerre en donc envoyé au Doge. Les combats sont âpres dans les montagnes illyriennes mais les marchants vénitiens sont rapidement submergé par nos troupes, et 5 ans plus tard, le Doge accepte de négocier. Il nous offre Raguse, la Dalmatie, l’Istrie et Corfou. Cependant cette guerre modifie complètement nos plans. En effet, auparavant, une possible guerre contre l’Autriche était simplement d’ordre religieux et de prestige. Désormais elle est vitale. Le flanc de notre Empire est très étiré et nous pourrions être coupe de Rome à chaque instant pour peu que nous la rejoignions un jour. De plus nous avons pus constater la faiblesse de notre flotte. La prise de la Crète fut impossible à réaliser.
Mais la paix à peine signée, Michel X s’éteint laissant son fils Ioannes X aux commandes, ce dernier s’éteindra blessé lors d’une partie de chasse. Sa politique serra celle de son père : Consolidation de l’Empire, guerre contre Venise.
En 1599 commence donc la seconde guerre vénitienne elle s’achève en 1603, le Doge accepte de nous rétrocéder la Crète sur laquelle pas un seul soldat de l’Empire n’a réussi à poser le pied.

1604-1615 Les temps troubles

En 1604, Ioannes s’éteint et laisse l’Empire dans une situation intérieure catastrophique malgré des réussites extérieures. Son fils et successeur : Constantin XIII est un faible d’esprit. Cependant il est soutenu pour plusieurs raisons : les nobles peuvent le contrôler et la seule autre personne qui peut prétendre au trône est l’Impératrice Zoé, une femme, donc rejetée par les conservateurs. Mais mariée au général Makrienos, elle est soutenue par l’armée.
L’armée et Zoé décident donc un coup de force, faire abdiquer Constantin et prendre le pouvoir.
Mais Zoé, surnommée plus tard ; Zoé l’Implacable, sait que l’armée ne la soutient que grâce à son mari. Pour interdire tout retour en arrière, elle fait assassiner son frère dans son sommeil. C’est ainsi que l’Empire va vivre 10 ans de troubles. En effet, les nobles n’accepte pas cette décision et plusieurs révoltes vont se succéder : en 1607, 1609, 1611. Pendant ce temps, nos alliés nous entraînent dans de nombreuses guerres. A plusieurs reprises ; l’Empire est sur le point de céder, les particularismes prennent de l’ampleur au sein de nos terres. Notre élan est brisé pour de nombreuses décennies, les caisses sont vides. Et comble du malheur, certains nobles en 1614 tentent une dernière révolte avec l’appui financier et logistique de l’Autriche. Finalement nous sommes vainqueurs et Zoé soucieuse de régler la crise, pardonne à tous les nobles !!
Nous pouvons donc entreprendre de grandes réformes qui bouleverseront la vie sociale de l’Empire, mais cela est nécessaire à la consolidation de notre puissance. Le commerce est désormais un monopole d’Etat, la guerre offensive définie comme doctrine d’Etat et les arts subventionnés à plein afin de faire de l’Empire le centre du monde culturel, nous pourrons ainsi peut être utiliser les méthodes de recherches latines…

1615-1627 Et le Doge ???

L’année 1615 voit le début d’une nouvelle guerre contre l’ex Sérénissime et ses principaux alliés : l’Angleterre et l’Irak. L’Angleterre sera, malgré son éloignement, plutôt agaçante au cours de cette guerre, car elle harcèlera nos arrières de manière assez constante. Mais près de 40 000 corps anglais doivent désormais pourrir sur nos terres !!
Au mois de juin donc, nos troupes massées à la frontière irakienne et vénitienne se ruent sur nos ennemies. 1 mois plus tard, le calife de Bagdad reconnaît l’Empereur comme son légitime suzerain alors que les anglais sont repousse non loin de Rome. En gage de bonne volonté, l’Empereur, offre la région de Kirkuk au calife de Bagdad (on laisse les révoltés partir…)
Cependant une nouvelle assez inquiétante nous viens des capitales européennes : l’Autriche viens de s’allier avec l’Espagne et Gênes… on vise clairement à nous encercler, il nous faut donc achever Venise au plus vite et au mois d’octobre 1616, Venise nous offre les îles ioniennes.
L’année 1617 voit le début des grandes guerres balkaniques. Au mois de septembre 1617 l’Autriche attaque notre allié valaque, et naturellement nous entrons en guerre afin de protéger notre frère et allié orthodoxe.
Alors que nous nous organisons en vue de la grande confrontation, 1 an après sa déclaration de guerre, l’Autriche prends la Transylvanie à la Valachie et signe la paix avec l’ensemble de notre alliance. Visiblement, nos 2 nations n’étaient pas encore prêtes à la grande confrontation, gageons que ce n’est que partie remise.
L’année 1619 voit la mort de Ferdinand I Habsbourg et l’arrivée sur le trône d’Autriche de Ferdinand II, l’Espagne elle, voit arriver Felipe IV et en 1625, c’est Andronicus V qui devient nouvel Empereur Romain d’Orient et d’Occident. Ainsi, l’ordre politique viens de se bouleverser…Mais les ambitions restent les mêmes, en 1627, Venise est écrasée en 6 mois et définitivement annexée ; s’en est fini de la grande république marchande !!!
Après les premières escarmouches, le monde attend encore et toujours le grand conflit entre les Habsbourgs et l’Empire Romain, conflit que les protagonistes semblent refuser…

[Dandy]

Suite, je rappelle que cet aar est la proprieté de Missi.



1627-1637 Opérations périphériques

Il est clair qu’il faudra combattre un jour l’Autriche, sa présence nous retient dans toutes nos actions, mais nous n’osons l’affronter. Son armée est nombreuse et très bien équipée, les Habsbourgs sont riches et ont de nombreux alliés. D’ailleurs, durant l’année 1630, l’Autriche signe une alliance avec la Toscane, la panique gagne nos rangs, l’Empereur quitte Rome jugée peu sûre. Il nous faut donc nous renforcer en vue du choc contre l’Autriche. Andronicus, qui n’est pas un homme impétueux, mais sage et mesuré considère que, contrairement à nos anciens ennemis, l’Autriche ne peut être écrasée pour l’instant. Il faudra donc se contenter d’actions périphériques en attendant une occasion.
C’est dans cet état d’esprit que en mai 1630 la région de Tripoli est attaquée. Elle est annexée à la fin de l’année après un siège assez dur. Mais ce ne sont pas de telles prises qui renforceront notre puissance, surtout que la Pologne viens de perdre la couronne de Saint Empereur. En 1632, c’est Felipe IV d’Espagne qui est couronné. Les croisés habsbourgeois sont, eux contrairement à nous, prêt à en découdre.
Cependant, Felipe IV est un « empereur » faible, car 2 ans auparavant, une grande révolte a eu lieu dans l’Empire espagnol. Catalans, Italiens, Basques, tous veulent leur indépendance et en juillet 1633 Naples retrouve son indépendance. Felipe prends peur et appelle ses alliés à l’aide, et là miracle, la Toscane refuse de combattre !!! L’occasion est trop belle, la Toscane ne nous menace plus, nous attaquons donc aussitôt Naples. 3 mois plus tard, notre Empire est un peu plus grand et au dépends des Habsbourg !!! On rie à Rome et on mobilise en Autriche.
En avril 34, la Sardaigne prends sont indépendance et s’allie aussitôt avec l’Ordre des chevaliers. Par chance nous avons de bonnes raisons d’attaquer les chevaliers. La guerre est déclarée mais la vraie cible est la Sardaigne. Septembre 1636, l’annexion de la Sardaigne est réalisée. Alors que nos ambitions se tournent désormais vers la Catalogne et que tout le monde rie de plus belle à Rome (d’ailleurs notre état major a été décimé…on appelle ça mourir de rire…), une nouvelle inattendue arrive. Au moi de mai 1637, Ferdinand II a perdu patience, la deuxième guerre balkanique commence, et c’est la première véritable opposition entre Habsbourg et Paléologues.

1638-1653 Guerre et paix

L’Autriche décide de nous mettre tout de suite sous pression, en effet, c’est toutes nos terres italiennes, hormis Rome qui sont assiégée, ces terrains montagneux sont inaccessibles désormais, et donc laissés à l’ennemi. Pour l’instant il nous faut mobiliser des hommes, mais nos 3 légions postée à la frontière austro byzantine foncent sur 3 objectifs : Belgrade, le verrou de toute la plaine bulgare, la Transylvanie, et la Croatie. En avril 1638, miracle !! Belgrade tombe, la Transylvanie devrais faire de même et seule l’armée de Croatie a été repoussée.
Mais au moi d’octobre, le sort des armes se renverse, notre armée victorieuse à Belgrade est écrasée en tentant de marcher sur Pest et notre armée en Transylvanie est repoussée. Alors que Belgrade est assiégée, une contre attaque sur tous les fronts réunissant au total près de 150 000 hommes est écrasée, on voit déjà Byzance prise. C’est donc avec joie que nous apprenons que l’Autriche accepte notre proposition de paix blanche.
Cependant nos caisses sont vides, le peuple gronde, et notre armée est en lambeaux. Ce que nous craignons tous est arrivé, notre adversaire nous encercle grâce à ses alliés et nous ne sommes pas en état de le vaincre. Il va falloir près de 15 ans à notre empire pour se remettre d’un tel échec, cela doit suffire pour décrire notre découragement et les dépenses magistrales qu’il a fallu engloutir afin d’éviter la défaite. Mais au cours de l’année, 1653, les troupes de l’Empereur sont prêtes à prendre leur revanche, et à briser l’encerclement de Rome l’éternelle. Pour cela il nous faut écraser la Toscane et ses alliés franco milanais

1653-1661 Le feu se déchaîne sur la terre

En effet, il nous faut réunir Rome à l’ensemble de nos possessions continentales. Pour cela, le premier obstacle, en attendant une grande offensive vers l’Empire d’Autriche, est la Toscane. Imprudemment, elle a quitté l’alliance autrichienne il y a quelques décennies. Elle est donc une proie facile. Nos troupes marchent donc immédiatement sur Ancône dans la région de la Marche. La ville est bien protégée par 40 000 toscans et français, mais 100 000 de nos hommes parviennent rapidement à les écraser. Alors que la campagne s’annonce des plus simples, une grave nouvelle tombe.
L’Autriche et ses alliés nous voyant occupé et sachant que la balance peut pencher très facilement d’un coté ou d’un autre, se jettent sur l’occasion et nous attaquent. La 3ème guerre balkanique commence…
Nous n’arrêtons pas pour autant nos actions en Italie, en février 1654, nous attaquons la région de Sienne, défendu par quelques armées françaises. Cependant, en parallèle, nos troupes sont enfin prêtes à se jeter sur l’Autriche et une armée s’en va attaquer la Croatie alors que la Grèce, et la Tripolitaine sont sous le feu espagnol. Au mois de juillet 1654, Ancône tombe et nous en profitons pour faire aussitôt la paix avec la Toscane, ceci afin de retourner nos forces contre notre principal ennemi : l’Autriche. Seul, la Marche est prise…dommage, mais ceci un moindre mal.
Les combats sont donc très âpres dans les Balkans qui restent comme d’habitude le principal front et au mois d’août 1655, notre allié valaque en difficulté doit être secouru, il risque l’annexion. Une grande offensive est lancée, en vain, nous sommes vaincus et nous nous retirons, fort heureusement, notre allié ne payera que de petites indemnités.
Cependant, notre incapacité à gagner la guerre a entraîné de nombreux changements au sein de l’état major et une nouvelle méthode combats en mise en place. Ruiner les autrichien. Pour cela, contrairement au passé, les grands affrontements seront évités, ils sont trop coûteux en hommes. De plus, nous attaqueront toutes les villes dont les forteresses ne sont pas trop importantes, afin de « saper » l » l’économie autrichienne. Alors que nous perdons la Tripolitaine, le nombre de villes prises en Autriche, nous permet d’obtenir une paix blanche. Ils semblerais que cette 3eme guerre balkanique se finissent sur un nouveau match nul, mais nous reprenons espoir. Nos pertes sont acceptables, et nous avons réussi à porter la guerre au cœur de l’Autriche, dommage que les places trop fortifiées ne nous soient pas accessibles.
Notre principale faiblesse est notre recherche technologique, très inférieure à celle des latins. Heureusement, grâce au règne énergique de Zoé et de ses successeurs, un dernier effort nous est demandés afin de remettre nos technologies au niveau de celle des chrétiens. Cet effort entraîne encore de nombreuses révoltes au rythme effréné de 3 par mois ( !). Mais nos multiples guerres contre l’Autriche ont eu un avantage, notre armée est nombreuse et prête à mater ces révoltes, tout du moins si la situation ne se poursuit pas trop longtemps…
Notre nouvel empereur : Constantin XII prends ses fonctions lors de l’année 1661 et va avoir rapidement l’occasion de montrer si oui ou non il est digne de ses prédécesseurs. Au milieu des révoltes mettant à feu et à sang l’Empire, au mois d’octobre 1661, l’Autriche et ses alliés déclanchent la 4ème guerre balkanique. Certes notre armée doit être en effectifs 4 fois celle de l’Autriche, mais la situation intérieure de notre pays est catastrophique…le taux de révolte minimal est de 12%...

Voila la suite, bonne lecture!!

1661-1667 Une paix armée

L’état major fut dans une panique la plus complète, les dirigeants du service de renseignement furent passés au fil de l’épée pour n’avoir su prévenir l’attaque. Constantin XII, qui portait le même prénom que le fondateur de l’Empire allait devoir tout faire pour en empêcher la fin de l’Empire. C’est alors qu’il fait preuve de ses talents de diplomate, il fait croire aux autrichiens que des milliers d’hommes en armes marchent sur Vienne. L’archiduc prit de panique et pensant avoir été dupé par ses services de renseignement signe une paix contre quelques ducats byzantins. (Vous avez eu peur hein ?? moi aussi lol). A Rome, on commence à retrouver ses esprits et donc à réformer l’armée. Tout d’abord il faut mater les révoltes, ceci sera fait dans la difficulté, mais au bout de quelques années l’Empire retrouve son calme.
Au cours de l’année 1665, des seigneurs byzantins dans les Balkans poussent l’Empereur à l’offensive afin de trouver de nouvelles terres en Hongrie. Ce dernier refuse, il semble très marqué par la dernière guerre qui a failli tourner au carnage. Cependant, les victoires de l’archiduc d’Autriche commencent à nous faire ombrage. Ce dernier, Léopold Ier, deviens Saint Empereur…l’Autriche retrouve sa couronne et ses ambitions, et rentre aussitôt en guerre contre la Suède et la Pologne afin d’étendre ses terres. Au cours de l’année 1667, la nouvelle tombe, l’Autriche nous déclare la guerre, il est impossible de faire marche arrière, désormais, c’est la victoire ou la mort, la 5ème guerre balkanique viens de commencer.

1667-1683 L’équilibre des forces vacille.

Une fois de plus, l’offensive doit se concentrer sur l’Espagne et l’Autriche. Nos forces marchent donc sur l’Apulie et la Serbie, cependant le Basileus reste dans son palais, il ne sait que faire, ses responsabilités semblent trop lourdes. L’Empire n’a pas été vaincu de puis 250 ans, tout comme l’Autriche. Chacune des guerres s’est soldée par un match nul et celui qui perdra le premier ne sera plus jamais en mesure de reprendre l’ascendant sur l’autre.
Bonne nouvelle !! Au mois de février 1668, Belgrade tombe une nouvelle fois, cependant un mois plus tard, notre allié valaque est annexé, Belgrade est à nouveau assiégé par les autrichiens et Venise semble sur le point de tomber….
C’est à cet instant que notre Empereur semble se réveiller, voir les frontières de l’orthodoxie reculer l’a troublé. Il ordonne qu’au mois de juin 1668, nos troupes ravagent les campagnes autrichiennes, la Carniole (Krain) et les régions alentours tombent alors sous nos assauts, Messine subis le même sort. Nos forteresses en Albanie tiennent le choc face aux assauts espagnols, et nos troupes volent de victoires en victoires !! Au mois de janvier 1669, c’est toute la Sicile qui est sous notre contrôle. Même la nouvelle de la capitulation de la Moldavie qui cède après nous avoir aidé à prendre la Transylvanie ne tempère pas notre enthousiasme. Peu de temps après, l’Etat moldave déclare la banqueroute…son sacrifice ne sera pas oublié !!! Au mois d’octobre, Belgrade est de nouveau prise. Aussitôt, l’archiduc propose la paix, nous annexons la Serbie et 275 ducats nous sont offerts en tribut. Désormais on peut exulter, la 5ème guerre balkanique a tourné à notre avantage, et le Basileus est certainement le souverain le plus puissant du monde !!
Ceci crée quelques émois à travers le monde. Le Shah d’Iran pense nous soutirer un tribut en 1672, mais impressionné par nos légions, il recule. Constantin XII n’a plus peur et va se révéler être notre plus grand souverain. Au mois de septembre 1674 la Toscane subis à nouveau nos assauts, l’Italie doit être notre !!! Toute la noblesse byzantine est grisée par ces succès, et au mois de février 1675, des seigneurs de guerre byzantins rentrent en guerre contre l’Autriche. Rapidement une trêve est négociée entre le Basileus et l’archiduc. Personne ne songe à reprendre les armes dès maintenant et au mois de juin 1676, la Toscane nous cède l’Emilie et la Romagne. 4 ans plus tard, c’est la ville de Milan qui est annexée. Les quelques terres qui nous manquent pour relier les 2 parties de l’Empire sont désormais sous le joug autrichien. Ce sont les régions de Mantoue et du Tyrol.

1683-1699 Qui emportera la décision ??

L’archiduc d’Autriche sait bien que son principal ennemi reste le Basileus et poursuis sa tactique habituelle, c'est-à-dire nous mettre constamment sous pression. C’est ainsi qu’en avril 1683 l’Autriche nous déclare la guerre, déclanchant la 6ème guerre balkanique, l’une des plus acharnée.
Aussitôt nos troupes partent à l’assaut de la Valachie et de Mantoue. Malgré tous nos efforts, notre armée en Valachie est repoussée. Le nouvel allié de l’Autriche, l’Etat de Baden prends rapidement la ville de Milan et nous devons payer tribut afin d’isoler les autrichiens et libérer notre ville. Pendant ce temps et comme à son habitude, l’Espagne porte ses efforts sur la Cyrénaïque, la Grèce et l’Albanie. En novembre 1683 notre nouvelle armée d’Italie attaque l’Apulie et notre nouvelle armée dans les Balkans vient au secours de Belgrade qui subit les assauts autrichiens, ces derniers sont repoussés. Mais les généraux autrichiens ne désespèrent pas, en janvier 1684, c’est la Romagne qui est attaquée alors que la ville de Mantoue tombe entre nos mains.
Nos armées tentent alors une nouvelle poussée en Valachie, mais cela est vain, les forces autrichiennes sont trop importantes. Nos efforts se portent donc vers le Tyrol, l’armée victorieuse à Mantoue marche sur cette région au mois de mars 1684 pendant que le Basileus décrète l’embargo sur les produits autrichiens et espagnols. Malheureusement pour nous, nos forces sont repoussées dans le Tyrol où les autrichiens sont très bien fortifiés. Tout autant que les autrichiens, nous savons que le Tyrol est le verrou vers le reste de l’Empire habsbourgeois, il est donc capital de prendre cette région, les batailles se succèdent donc dans les montagnes.
Pendant ce temps, les forces stationnées à Venise sont repoussées alors que les révoltes se succèdent en Italie, la région risque de nous échapper, une paix blanche est donc conclue, et l’équilibre est de nouveau de mise entre le Basileus et le Saint Empereur au mois d’octobre 1684. Dommage, sans ces révoltes, la victoire nous était promise…
Le conflit est de toute façons inévitable, une fois les révoltes qui secouent l’Italie matées, nous marchons sur l’Etat de Sicile qui a pris sont indépendance vis-à-vis de l’Espagne durant cette guerre et ce au mois de septembre 1689, 1 an après, la région de Sicile est prise et il ne reste plus que la région de Messine à l’Etat de Sicile.
Nos opérations périphériques se poursuivent, au mois de juillet 1692, la Toscane subis à nouveau nos assauts et une fois de plus, l’Autriche nous attaque à ce moment. Nous étions préparé cette fois, mais l’attaque est très violente…il semblerais que l’Autriche commence elle aussi à prendre ses habitudes. C’est donc ainsi que la 7ème guerre balkanique commence.
Nous décidons tout de même d’en finir avec la Toscane alors que l’Autriche nous attaque. Les forces autrichiennes se montrent comme à leur habitude en Romagne au mois de juillet 1693. Personne n’a osé bouger avant. Mais pour une fois, bonne nouvelle, les espagnols, lassés par des combats qui ne les concernent plus, depuis la perte de leurs possessions italiennes, signent au mois de septembre une paix blanche avec nous. Il semblerait que les bonnes nouvelles ne viennent jamais seules car au mois d’octobre, c’est la Toscane qui fait la paix avec nous contre la région de Sienne.
Au mois de janvier 1694, les combats sont de plus en plus acharnés, la Serbie est attaquée, nous prenons le Tyrol et nous marchons sur Mantoue. Les combats sont de plus en plus durs, au mois de novembre, c’est la Lombardie qui tombe aux mains autrichiennes alors que nous prenons la Carniole. Ces guerres sont épuisantes, personne n’arrive à prendre un avantage décisif, heureusement que Constantin est toujours aussi énergique. Au mois de janvier 1695, la situation commence à se dégrader, Venise et la Romagne sont assiégé, les murailles de Venise cèdent très vite et c’est la Serbie qui se trouve envahie, seule touche positive, nous reprenons la Lombardie. Nous croyons emporter la décision lorsque l’Odenbourg et Mantoue tombe entre nos mains, mais peine perdue, aussitôt nous perdons Belgrade et la Dobroudja. Nous lançons alors une vive contre attaque en Serbie début 96 alors que l’Italie se révolte encore. Au mois d’août, c’est le Tyrol et la Serbie que nous reprenons. En janvier 1697, c’est Vienne qui est mise à sac et la Dobroudja qui est reprise !!! Mais nos efforts sont vains, car 3 mois plus tard, nous perdons le Tyrol et l’Odenbourg. Epuisés, en Septembre 1697, une paix blanche est signée, pourrons nous jamais vaincre les autrichiens ??? L’annexion de Belgrade n’aurais t elle été qu’un mirage ??? Nous décidons donc de nous venger sur la Sicile que nous annexons en juillet 1699…

[Dandy]

Je suis désolé, l'aar s'arrete la, voici le dernier message de Missi :

"PS: l'AAR reviens bientot, mais je sens que ca va etre très dur pour reformer l'Empire romain au complet, je suis presque a la fin et il manque des trucs, du coup je suis passe a la vitesse supérieure et j'attaque comme un bourrin."

[Coelio]

Missi est sur le forum para

Je lui ai envoyé un mp pour le prevenir

[Missi]

Merci Coelio pour le PM
Sinon aucun problème, c'est même un très grand plaisir que mon vieil AAR soit ici.
D'ailleurs, comme je l'ai dit a Coelio, si ça interesse du monde, il doit être possible de retrouver des screens sur mon PC, faudra que je jete un oeil.

[Coelio]

bienvenue Missi

Oui oui bien sur que des screens supplémentaires seraient interessants, si tu peux les retrouver
Toujours un plaisir de relire un AAR byzantin

[Dandy]

Merci Missi d'etre venu, et content d'avoir retrouve ton aar. Tu ne dois pas te sentir trop perdu parmis tout ces anciens benzonautes..
Si jamais tu retrouve des screens, ca serait genial, on pourrait les inclure dans l'aar.

[Missi]

Bon, j'ai fait des recherches, j'arrive pas à les retrouver...pourtant je suis sur, c'est bizarre.
Navré

[Griffon]

ah j'adore !

1567 la prise de Rome et son retour dans le sein de l'empire

avec en prime l'empalement du pape et de ses cardinaux

pour feter l'évenement

c'est du grand art !