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Vieux 25/08/2007, 20h59
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Venise 1515-1549


C'est en 1515 que sera signé le célèbre traité de Dusseldorf entre l'Autriche et Frise, ce traité fut accueilli avec beaucoup de soulagement à Venise, en effet cette nouvelle permetait à Venise d'éloigner l'idée d'une guerre contre le voisin Autrichien et ainsi de se concentrer sur son nouvel objectif qui est celui de la collonisation.

Mais la collonisation se voit freinée par d'étranges rébellions d'indigènes, en effet c es indigènes avec qui nous entretenions d'amicales relations semblaient du jour au lendemain nous hair, Venise ne put jamais prouver par A + B qui fut le coupable mais nos soupcons se posèrent sur le Portugal, en effet, l'angleterre nous avait déja avertit que le portugal tentatait d'exiter les indigènes locaux.

Nous ne pouvions nous laissé faire et nous nous préparions donc à la Guerre conjointement avec l'Angleterre.

Cependant, la guerre explosa entre la France et l'Espagne, la France avec qui nous avions toujours entretenu de bonnes relations nous demanda notre aide et comme le Portugal était allié à l'Espagne, nous acceptâmes. Mais le Portugal réussi à échapper aux griffes de l'Anglais et de Venise en refusant d'aider son allié espagnol lorsque nous lui déclarâmes la guerre.

Au bout de quelques années et de nombreuses négociations, un accord fut trouvé entre les différentes Nations: L'espagne assumait sa défaite et c'est ainsi que nous recûmes les collonies espagnoles du nord de l'amérique du sud ainsi que Gran Para (du portugal).
Le portugal ayant réparé ces faits vis a vis de l'Angleterre et de nous meme l'histoire des collonies brulées était donc règlée.




Après cette guerre, Venise en sortit grandie et la collonisation repris de manière intensive, mais un grand malheur touc ha notre nation, en effet les meilleurs conseillers de Notre cours et le Doge en place moururent tous d'une mystèrieuse maladie, c'est ainsi que toute la cours fut remaniée et la collonisation ralentie par le manque de talent admministratif de la nouvelle équipe.
mais Venise ne comptait pas se laissée abattre pour autant et cobntinua a collonisé les terres ou nous étions déja implantés afin d'en faire des villes.

Cepandant une sombre nouvelle nous arriva de Pologne, l'Autriche lui avait déclarée la Guerre, deux solutions s'offraient à nous, soit rentrer en guerre une fois pour toute ou refuser d'aider notre allié et ainsi nous permettre de relancer notre croissance...

Le choix fut rapidement fait, nous ne pouvions laissé tombé notre allié et nous suivîmes notre allié. La guerre fut tout d'abord difficile car l'Autriche réussit à percer notre territoire et a menée un siège.

Ensuite, après avoir réussi à repousser l'offensive Autrichienne et brisé le siège, nous suivimes les troupes autrichienne en déroute et fimes la jonction avec les troupes Polonaises ce qui nous permit de détruire les divisions Autrichienne.
L'Autriche était abttue et l'admit, c'est ainsi que Trentin et la Croatie devinrent terres Venitienne.


Après cette guerre, venise aspirait a la Paix et lanca immédiatement des pourparlers avec l'Autriche afin de signer enfin, un traité de non -agression et de reconaissance territoriale, pour prouver sa Bonne foie, Venise remit meme Trentin à l'Autriche, qui après mure réflexion se rendit compte que là était le salut de nos deux peuples.

Vers la Fin des années 40 l'économie Venitienne déclibna, en effet le manque de Prestige faiblissait notre commerce et le peu de talent administratif de notre Doge n'arranga rien, de plus nosu fumes obligé d'emprunter deux cents ducats suite aux erreurs d'un comptable (emrpunt automatique). Le Défit pour Venise est de redorée son blason Commercial et relancer son économie en stoppant définitivement l'inflation.
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Vieux 26/08/2007, 14h26
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1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre






L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France , mais l’alliance refusa après réflexion et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol.


L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature , le Roi de France refusa et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques.
















Henry VII décéda trois années plus tard, l’histoire retiendra de lui qu’il fut un grand Roi pour l’Angleterre : il avait vengé l’honneur de la nation, bafoué par de vils saboteurs, et renforcé durablement, par la guerre, nos positions en Asie. Ses successeurs se montrèrent plus ternes, l’Angleterre pansait ses plaies et tentait laborieusement de rattraper l’immense retard technologique qui s’était accumulé face aux autres nations occidentales ( l’absence de tout centre de commerce bien à nous pesait lourd en ce domaine et nous maudissons ce destin contraire qui fit apparaître un centre de commerce en Appalache, chez ce Roi de France avide et déjà bien assez riche, plutôt que chez nous ).


Les choses commencèrent enfin à changer avec l’arrivée d’Edgar III, monarque compétent et très dynamique. Sa fougue gagna le pays tout entier et, en l’espace de quelques années seulement, le pays était métamorphosé : la stabilité était au sommet, comme elle ne l’avait jamais été depuis un siècle (première fois depuis le début de la GPO que je dépasse +1 en stabilité ), le commerce se développa grandement, des édifices religieux et des forts furent construit un peu partout, les revenus mensuels doublèrent presque ! C’était l’euphorie et nous prions le Seigneur pour que cela se poursuive encore très longtemps.
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Vieux 26/08/2007, 16h43
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lemarseillais lemarseillais est déconnecté
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Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre



Préambule nécessaire : le royaume de France entre 1515 et 1526

Les préparatifs de guerre
A cette époque le royaume de France prospérait dans la paix. Depuis sa dernière guerre contre l'Espagne qui lui avait coûté la Californie, Français et Espagnols n'étaient pas parvenus à s'entendre sur une reconnaissance mutuelle de zone coloniale en Amérique du Nord. Cupides et avides de richesses, les ibères demandaient que la France reconnaisse la souveraineté espagnole sur la Californie et n'entretienne pas un espoir de reconquête. La France, en contre-partie d'un tel sacrifice, demandait la reconnaissance du quart sud-est de l'Amérique du nord par l'Espagne, ce qui impliquait un désengagement espagnol du centre de commerce de Pensacola, de 4 villes coloniales, de 5 colonies et l'abandon de son vassal indien Creek.
Evidemment, la France proposait de dédommager l'Espagne à un prix équitable. Le roi espagnol d'alors, Cupide III, refusa s'estimant probablement en position de force. La nouvelle parvint à notre bon roi Henri III le 27 janvier 1515 alors que celui-ci se trouvait au château de Plessis-lès-Tours. Il fit réunir ses proches conseillers et là, nous tint exposa son opinion : "puisque mon cousin d'Espagne ne juge pas nécessaire de trouver un arrangement diplomatique avec moi, nous allons lui faire prendre conscience qu'il faut aimer la diplomatie, surtout quand on traite avec nous !".
Conscient des lacunes qu'avait révélé la dernière guerre, notre roi promulga un certain nombre d'édits touchant à l'organisation de l'armée. Pendant 5 ans, une bonne part de la recette des impôts servis à recruter, former et équiper les armées royales. Tous ces efforts coûteux ne furent pas infructueux. La qualité et la quantité des troupes augmenta significativement (moral en hausse), l'instauration d'un contrôleur des approvisionnements permis au royaume de gerer à moindre cout l'approvisionnement auprès des marchands de guerre toujours prompt à faire des bénéfices espagnoliques* (*terme entré dans le langage courant en France dont le sens est synonyme de cupide mais en plus fort).

Une active diplomatie française
Parallèlement à cette préparation des hommes et du matériel, notre roi ne ménagea pas sa peine sur la scène diplomatique. Cet art n'est pas né en France par hasard. L'Empereur fut contacté pour lui renouveler nos bonnes dispositions à son égard ; démarche à laquelle il répondit avec une courtoisie et une félicité identique. Nos ambassadeurs avaient assuré le roi que le duc de Frise ne serait pas un ennemi de la France en cas d'intervention contre l'Espagne. Ils avaient raison. Par contre, ils se fourvoyèrent complètement avec le roi de Pologne comme nous le verrons plus tard. Vis à vis du Portugal, la situation était dans le fou. Depuis toujours Français et Portugais avaient pris soin de ne pas se gèner et n'avaient jamais pris les armes les uns contre les autres, même quand la folle espagne agressa la France. De fait, les conseillers du roi étaient partagés entre une intervention portugaise aux côtés de l'Espagne ou la poursuite d'une relative neutralité à notre égard.
Les brillants succès diplomatiques furent obtenus auprès des cours vénitiennes et anglaises. Le roi de France envoya discrètement ses meilleurs diplomates auprès de ces deux princes avec pour mission de remporter la neutralité, à défaut d'adhésion, de ces deux royaumes. Henri III n'était pas sans connaître les relations qu'entretenaient ces deux maisons avec les ibériques. Il savait y trouver des oreilles prêtes à écouter et des esprits prêts à rêver à un monde différent. Les diplomates ne dissimulèrent pas les intentions du roi. Il préparait la guerre à l'Espagne, mais à l'Espagne seule et il ne demandait l'aide de personne. Non sans ruse, notre roi faisait donc savoir à ces princes que l'Espagne serait occupée. Il n'avait pas besoin de leur rappeler que le Portugal avait pratiqué une politique coloniale extrémement agressive (coloriage de carte et achat de révoltes) au détriment, étonnement, de l'Angleterre et de Venise.

Ces deux maisons informèrent alors leur homologue française qu'ils allaient s'allier entre eux pour attaquer le Portugal d'ici quelques années. Par amitié, la France leur indiqua ses intentions d'entrer en guerre contre l'Espagne dès l'automne 1523. Eux-mêmes décidérent alors d'attaquer le Portugal en hiver 1525. Cela montre bien l'infondé de certains propos ibériques qui soutiennent que ces deux guerres furent concertées et organisées dans leurs tenants et aboutissants. On ne peut imaginer des "alliés" entrer en guerre 2 ans après le premier (car en fait anglais et vénitiens n'entrèrent en guerre qu'à l'été 1525). Néanmoins, l'attitude du roi du Portugal modifia les plans initiaux et transforma ces deux guerres imaginées en une guerre de fait, ce qui explique que la paix fut négocier après des concertations globales entre Français, Anglais et Vénitiens.

La guerre
La guerre éclata à l'automne 1523. Le roi disposait alors de 6 corps armées en France, 3 de sièges et 3 de combats. Précisément, les 3 corps de sièges étaient constitués de 7000 Lancastre pour encercler les places fortes, appuyés par 4000 artificiers, enfin 1000 cavaliers faisaient office d'éclaireurs et de troupes rapides pour colmater les brêches. Les 3 autres corps, ceux destinés aux batailles, comprenaient entre 12000 et 16000 cavaliers ; ils devaient soutenir et donc rester à proximité des troupes de sièges. Cette armée était commandée par les meilleurs généraux français de l'époque, supérieur en qualité à ceux de l'Espagne. L'objectif était simple : une conquête lente mais irréversible de l'Espagne du nord et du sud-est jusqu'à la capitale.
En Amérique, le roi avait fait massé 5000 Lancastres appuyés par 2000 artificiers et 15000 cavaliers dont l'objectif était de bousculer les 10000 espagnols stationnés à Pensacola pour assièger la ville. La cavalerie, elle, poursuivrait les troupes en déroute en redescendant sur le Mexique et en brulant ou capturant des colonies espagnoles au passage.
En Europe, la guerre évolua selon les plans des généraux français, les troupes espagnoles furent chassées des Pyrénées et les troupes français entamèrent alors de nombreux sièges jusqu'à Barcelone même. En Amérique, les 15000 cavaliers et les 5000 Lancastres réussirent l'exploit de perdre une bataille à 2 vs 1. Les renforts espagnols arrivèrent et prirent par surprise 4000 cavaliers français en déroute qui se débamdèrent complètement. Les choses ne tournaient pas vraiment comme il fallait. Maigre compensation, les petites unités débarquées un peu partout dans l'empire colonial espagnol réussirent en majorité à détruire plusieurs colonies.
sur le champ pyrénéen, l'arrivée du Portugais et un effort colossal de recrutement de la part de l'Espagne, leur permis de générer à nouveau suffisament une masse armée pour tenter de nous déloger. Les combats furent acharnés et particulièrement sanglants. Hélas, Dieu n'était pas avec nous à ce moment. Plusieurs armées furent vaincus dans des conditions particulièrement étranges. Comment des troupes françaises en position défensive, avec un moral éprouvé (meilleur que ceux ibériques), mieux commandé que ses ennemis, à égalité numérique voir même en supériorité au début du combat, pouvaient elles connaître autant de défaites successives. De facto, l'année 1525 fut une longue et lente période de reflue des troupes françaises.

Les troupes étaient complètement démoralisées. Non pas par peur de l'ennemi mais par incompréhension et fatigue. Dans maintes batailles, pour 1000 français tués plusieurs milliers d'ibériques étaient tombés. Quel était donc ce prodige qui permettait aux troupes ibériques mortes de remporter les batailles ? L'opposition près du petit village de Bueno Pella dans les Pyrénées est à ce titre éloquente : plus de 30000 ibériques, par vagues, furent concentrés dans cette bataille contre environ 25000 français. Un peu plus de 1000 de nos frères périrent alors que 10000 ibériques étaient tombés..........et pourtant c'était les troupes à la fleur de lys qui battaient en retraite.
Dans le même temps, le roi du Portugal, qui avait manifestement décidé que le temps de la neutralité vis à vis de la France était fini, débarqua un petit corps de troupes dans le nord de la France pour tenter de piller et semer le désorder dans nos régions nords mal défendues.

C'est à ce moment que nous primes conscience que le roi polonais avait envoyé 10000 cavaliers dans l'Est du royaume. Lorsqu'Henri III fut informé de cette nouvelle, il entra dans une extrème colère (que sentit passer le service en porcelaine de ma dame de Beauvoie, duchesse du Béarn, qui hébergeait en son château le roi. La pauvre fut toute effondrée par la perte d'un trésor familial présent depuis plus de 100 ans dans la famille. Si le roi avait mis la main à ce moment sur le grand vase de cristal au fond de la pièce, je crois que la duchesse se pamaît sur place). Comment le roi de Pologne pouvait prendre les armes contre le royaume de France ? Quels motifs conduisaient ses troupes ? Il n'était pas idiot au point de suivre son "allié" sans autres raisons ? La Pologne et la France, qui n'avait jusqu'alors eu que peu de contacts mais toujours en termes amicaux, devenaient ennemis par la force des promesses espagnoles. Il y a chez certains rois une facilité à se vendre quitte à se comporte avec le plus grand déshonneur et un manque flagrant de clairvoyance. Il était sur en effet que le roi d'Espagne aurait pris le partie de l'Autriche contre la Pologne plus tard si un conflit venait à éclater (ce qui est arrivé depuis et a donné raison à tous les conseillers français). Quoiqu'il en soit, avec un extrême courage, les 10000 cavaliers polonais attaquèrent les unités dispersées de cavalerie français, tout récemment armée pour partir à la guerre.
Le deuxième motif de la colère mémorable du roi fut l'Empereur. Car si la Pologne envoyait des troupes en France c'était par le biais des terres de la maison d'Autriche. Or, cette dernière entretenait depuis presque 100 ans de très bons rapports avec la maison de France. A maintes reprises, les princes de ces deux maisons avaient pu constater les nombreux points d'accord qu'ils avaient. Une diplomatie régulière et fréquente fut entretenue de tout temps depuis la fin de la guerre de Cent Ans. Chacun n'empiéta jamais sur les intérêts de l'autre. A peine quelques mois avant la guerre, l'Empereur nous assurait encore n'avoir aucun grief envers la France et ne pas prêtait oreille aux sirénes espagnoles. Alors pourquoi donnait il l'accès à notre ennemi ?

Le roi fit dépêcher aussitôt son meilleur diplomate à la cour de Vienne. Celui-ci chevaucha avec grande célérité pour atteindre la capitale autrichienne en moins de 2 semaines. Le roi lui avait donné des consignes claires : obtenir de l'Empereur la fin du passage des troupes polonaises sur ses terres. La France le demandait en tant que service et en vertu de l'amitié de nos deux maisons. Le roi faisait aussi savoir qu'il ne pouvait que s'étonner qu'indirectement l'Autriche prenne le parti de nos ennemis. Encore une fois la sagesse impériale s'illustra. L'Empereur ne pensant pas trahir sa neutralité en accordant cet accès nous assura qu'il était disposé à nous donner également un accès pour faire route vers la Pologne. Notre diplomate lui fit savoir que la France n'avait aucunement l'intention de faire la guerre au peuple polonais, car, contrairement au roi de Pologne, le royaume de France n'a pas cette faculté à transformer un Etat ami ou neutre en ennemi simplement sur agitation d'une carotte, quelque quelle soit. L'honneur et la parole valent plus que l'or aztèque de l'Espagne pour nous Français. Se retrouvant dans notre déclaration et ayant entendu la demande de geste à notre égard par amitié, l'Empereur, sans hésiter, fit envoyé un diplomate à la cour de Varsovie pour les informer de la fin de l'accès terrestre. Notre roi ne manqua pas de remercier l'Empereur par la suite.




Suite à venir....
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Vieux 26/08/2007, 18h26
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Traité de Gênes


L'Autriche et Venise sont arrivées à l'accord suivant:


-Signature d'un pacte de non-agression mutuelle
-Reconaissance de la souveraineté Venitienne sur l'Italie actuelle et du droit de vassalisé Rome.
-Restitution de Trentin à l'Autriche et cession de l'ile de Barbade
__________________

Par cet accord les deux parties entendent ne plus se chamailler et enfin offrir aux peuples Venitien et Autrichien la Paix entre ces deux nations.
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Vieux 27/08/2007, 11h03
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Vieux 27/08/2007, 11h36
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Vieux 27/08/2007, 21h38
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Chroniques d'Espagne : 1515-1549





La 3e guerre franco-espagnole (1523-1526)




Cela faisait longtemps que la France et son ambitieux souverain Henri III souhaitaient mettre la main sur nos possessions coloniales du quart sud-est du Nouveau continent. Consciente de sa force, suite à ses conquêtes sur la Bourgogne, la France, pays le plus peuplé d'Europe, et de loin, pouvait compter sur son incroyable gisement humain pour recruter des troupes en quantité. Le Roi de France souhaitait assuremment la guerre. Pour faire croire du contraire il envoya ses diplomates à Madrid pour y effecteur des simulacres de négociation.




En effet ceux ci proposaient de racheter le très riche centre de commerce de Pensacola pour une bouchée de pain, et ne souhaitait pas faire de compensations autres qu’en argent. Et les sommes proposées étaient franchement scandaleuses et insultantes,




La diplomatie française s’était assuré du soutien de l’Angleterre et de Venise, ce que nous ne savions. En effet, il semblerait que la France les ait monté contre nous en soutenant des révoltes indigènes dans les colonies de ces deux derniers pays, en se faisant habilement passer pour des portugais.




Nous pouvons soupçonner ceci car le roi du Portugal nous assura et nous donna les preuves qu’il n’était absolument pour rien dans ses rébellions. Et donc les soupçons se portent évidemment sur la nation qui avait tout intérêt à ainsi former une lâche coalition contre nous, à savoir la France.

Inquiète de la montée en puissance de la France, nation plus que belliqueuse qui n’avait pas hésité à dépouiller la Bourgogne, déclarer deux fois la guerre à l’Espagne, et dont la vantardise, les prétentions et le ton supérieur était plus qu’insupportable, la reine Isabel II, unificatrice de l’Espagne, ne pouvait ainsi céder aux exigences françaises, sous peine de donner le leadership à ce pays qui comme on l’a vu était loin de souhaiter un monde en paix et en équilibre.

Les intentions de l’Espagne ont en effet toujours été l’équilibre en Europe, ainsi que dans les colonies, n’en déplaise à la France qui fut la seule nation à se plaindre.

On ne peut mesurer la puissance d’une nation à ses seuls revenus mensuels qui en effet étaient très important pour l’Espagne, et les évènements qui vont suivre donneront raison à ceci.




Ainsi, après avoir préparé la guerre depuis longtemps en grand secret, la France nous déclare la guerre sans aucun ultimatum, d’une façon à la fois barbare et complètement lâche, en automne 1523. Disposant de plus de 45 000 cavaliers, et de 35 000 hommes à pieds, les français culbutent nos premières armées dans les pyrennées, en infériorité numérique écrasante et mal équipées.

La situation devient rapidement préoccupante quand les trois provinces frontalières avec la France sont assiégées par les troupes françaises. Le souvenir de la première guerre franco-castillane refait surface : si les pyrénnées sont prises, la France pourra facilement avancer au cœur de l’Espagne et dévaster les très riches terres d’Aragon, en profitant du terrain favorable.

Il est donc décidé de reprendre les pyrénnées à tout prix, quelqu’en soit le prix, afin d’y installer des positions défensives, bloquer les vallées et les passages. Appuyées par nos amis portugais, les troupes espagnoles vont alors reprendre les montagnes après des combat absolument terribles et meurtriers. Des victoires à la Pyrus dans les deux camps, ainsi que de lourdes défaites. La boucherie de Gérone en est un exemple flagrant : 13 000 espagnols tomberont pour reprendre la province, alors que la France n’en perdra que 2 000.

Dès l’hiver 1523, partout dans l’Empire espagnol, colonies et métropole, le recrutement est massif. L’effort financier et humain à consentire pour reformer les 3 armées des pyrénnées est colossal. Mais il est fructeux puisque une à une les 3 provinces sont reprises, l’armées française sérieusement entamée doit se replier, et nos troupes peuvent même mettre le siège du Roussillon, pendant que la cavalerie portugaise fait des ravages.

Au même moment, nos fidèles alliés polonais (10 000), après un long périple à travers l’Autriche, arrivent en Champagne et commence à piller et prendre le nord-est de la France. Intelligemment, Isabel II avait noué des liens d’amitié avec ce lointain royaume, comprenant des accords secrets.




La reconquète des Pyrennées :









Cependant en hiver 1525, anglais et vénitiens nous tombent dessus dans l’espoir probable de récupérer quelques miettes de notre Empire de la part de leur suzerain français.

Venise profite de l’absence de notre flotte en méditerranée, mobilisée aux amériques, pour débarquer des troupes dans notre dos en Andalousie et à Gibraltar.

Le Portugal neutre dans le conflit entre nous et les anglo-vénitien ne peut rien faire.




Dans les colonies, la situation est plus grave : par deux fois De Cardona réussit à repousser les français et anglais à Pensacola, grâce à des maneuvres de défenses géniales. Il met même un pied en Floride, mais doit vite refluer vers Pensacola face aux masses anglo-françaises bien plus nombreuses.

Des corsaires anglais pendant ce temps brûlent et pillent nos colonies non-fortifiées des caraïbes, notamment Cuba. Notre flotte les fait fuir, et détruit une escadre vénitienne forte de plus de 20 navires au large de Maracaïbo. Plus au sud, la situation est stabilisée : en Colombie, les troupes de Venise et d’Angleterre sont contenues suite à l’arrivées de 4000 hommes en renforts. Mais ces renforts si ils sont au sud, ne sont plus au nord à défendre le verrou de Pensacola. Des forces colossales de plus de 30 000 hommes menacent en effet les 10 000 hommes qui défendent héroïquement cette zone. Si Pensacola venait à céder, alors les français prendraient facilement le Mexique puis la Californie.





De Cardona félicite son lieutenant Merera d'avoir tenu le flanc droit héroïquement

La défense de Pensacola :






Il fallait se rendre à l’évidence, les campagnes étaient vides et l’Espagne ne pouvait plus recruter.
Le Portugal nous informa qu’il ne pouvait envoyer ses troupes à la fois dans les pyrénnées et en Amérique. Or nos troupes en Espagne, fortemment entamées devaient faire face à Venise au sud, et aux troupes françaises en intense campagne de recrutement au nord. De plus, les mercenaires avaient déjà été tellement recrutés qu’on en trouvait plus aucun dans toute l’Europe, ou bien à des prix prohibitifs ( 120 000 Ducats pour 1000 cavaliers).

Si la guerre continuait, soit nous perdions nos colonies, soit nous perdions l’Espagne, mais nous ne pouvions défendre les deux face à une telle coalition.

Un léger espoir arriva à Madrid en hiver 1524, quand un émissairs de la lointaine Novgorod, Aedanovski, offrit les services de ses féroces mercenaires à la couronne d’Espagne. En effet l’Espagne avait récemment aidé financièrement la cité du Nord pour l’aider à poursuivre l’expulsion des musulmans des plaines de l’est.

Un premier contrat amena 10 000 cavaliers russes à ravager l’Italie, avant d’être stoppé par des troupes vénitiennes.

Un second contrat bien plus imposant de 1 000 000 de ducats d’or devait amener plus de 30 000 cavaliers russes à traverser le Baltique pour débarquer dans le nord de la France.

Mais devant la situation dramatique dans les colonies, dont la défense pouvait d’un moment à l’autre craquer, nous fûmes amené à négocier.




Après 3 semaines d’intenses négociations dans le château de Beynac en France, la paix de Beynac fut signée. L’Espagne cédait Pensacola, ainsi que 3 colonies de 100 colons à la France.

L’Angleterre recevait Cuba ( du moins ce qu’il en restait après les pillages) ainsi que deux colonies de 100 habitants en Asie du Sud-est. Venise reçut également 4 colonies en Amérique du Sud. Le Portugal du aussi céder quelques colonies ainsi que de l’or.


La paix était enfin signée. Afin de mettre un terme aux disputes depuis 50 ans entre la France et l’Espagne, le traité de Carthagène fut signée pour se partager le sud-est de l’Amérique.




Les mercenaires russes ravagent le nord de l'Italie.
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Vieux 27/08/2007, 21h56
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Chroniques Ottomanes 1526-1549

L’An 1529 vit la seconde régence Ottomane prendre fin avec la Majorité
d’Alam premier. Ce dernier de santé fragile comme un bonne partie de ses
frères fut sous la complète influence du Vizir Bobakum qui avait
précédemment dirigé la régence.
Ce dernier dirigea le Sultan vers la Perse alors durement éprouvée par
une longue guerre avec le Mamelouk accomplir l’unification de la
péninsule Anatolienne sous l’étendard Ottoman. La Karamanie fut annexée
à la Perse après une courte guerre qui montra la supériorité dans tous les
domaine des Janissaires Ottomans.

Alam eut à peine le temps de se marier avant de décéder d’une infection
oculaire en 1532 cédant ainsi le trône à son frère Selim II lui aussi très
jeune. Ce dernier subit à son tour l’influence du puissant Vizir et lui laissa
pratiquement le contrôle de l’Empire. Ce furent donc sans surprise que
voisins de l’Empire virent les ambitions territoriales de l’Ottoman
perdurer.

Le grand Vizir Bobakum avait le projet de faire de l’Ottoman la tête de
file des Royaumes Musulmans, il avait donc besoins pour cela de mettre à
bas le principal concurrent Sunnite de L’Ottoman : Le puissant Mamelouk et ses 65000 Hommes en armes.

Le Vizir n’était pas dupe quant à la difficulté de l’affaire, les déserts de
Syrie d’Egypte et de Palestine étaient de redoutables mangeurs d’hommes
pour une armée conséquente et les Mamelouk nombreux. Il lui fallait donc
s’assurer de ses arrières et si possible trouver un soutien extérieur lui
permettant de ne pas laisser le conflit s’embourber.

La préparation

Il mit donc sur pied un plan afin de mettre un terme aux menaces larvaire
qui pesaient sur le Nord et l’ouest de L’empire et de trouver l’appui d’un
autre ambitieux seigneur. Pour résoudre les problèmes posés
par l’agitation Albanaise, le Vizir annexa par la force l’Albanie et la
riche province Athénienne à l’Hongrois et fonda un nouvel Etat Albanais à
qui il fit don de Janina. Cet acte plein de générosité attira la sympathie
des Chrétiens de l’Empire qui voyaient là un signe de la fin des conversions
forcée de citoyens de l’Empire.

Une fois cette formalité réalisée, le Vizir négocia avec le Russe qui
Cherchait à fixer des frontières stables dans le grand Nord, un échange
de terre fut convenu ainsi qu’un accord de non agression jusqu’en 1555.
Cet échange de terre vit l’Empire renoncer au terre Tartars les plus aux
nord et récupérer la riche Crimée ainsi que les Terres Russe enclavée a l’Est de l’Oural.

L’accord de non agression permit au Vizir d’avoir les main libre au Sud de
façon a ne pas avoir à se battre sur 2 fronts importants.

L’affaire de Jérusalem

Le Vizir finit par trouver un allié qu’il ne soupçonnait pas, le très
chrétiens Roi de France s’inquiétait des nombreux massacres de chrétiens
sur la Route de Jerusalem. Malgré ses nombreux missives au Sultan
Mamelouk, ce dernier ne fit jamais signe de prendre en compte les demandes
Françaises.

Le Vizir eut vent de ce désaccord et proposa au Roi de France de lui faire
don de la Palestine lui permettant d’assurer lui-même la sécurité des
pélerins, il demandait en échange une petite aide militaire contre le
Mamelouk afin d’en finir le plus vite possible.

Les Roi de France fut enthousiasmé par ce glorieux projet et, en 1537, les
armée Ottomanes et Française entraient en Syrie en force.
Les combats pour la Palestine et l’entrée en Egypte furent sanglants
mais tournèrent rapidement au profit des Coallisés, même la mort du
Sultan en 1537 ne put permettre au Mamelouk de se redresser. IL finit
par céder aux exigences du Nouveau Sultan Amhet II et du Roi de
France, cédant ainsi les provinces de Judée, Alep, Damas, Harwan et
Badyiat Ash Sham. Le Mamelouk était blessé mais pas encore à terre.

Enfin la paix

En attendant d’avoir l’occasion d’en finir avec le Mamelouk, le nouveau
Sultan mit un terme au contrôle quasi-total du Vizir sur l’Empire.
Il reprit en main les affaires attenantes à la politique laissant le Vizir
gérer l’Armée. Il mit ainsi fin à la campagne de conversion nationale des
Ortodox, Il reconnu leur foi et décida d’utiliser les précieux deniers
jusqu’alors utilisés à la conversion des infidèles pour mettre en place une
instruction militaire efficace des Janissaire. D’autre part, il décida de la
création d’une banque d’état afin de contrer les effets de l’inflation
dans l’Empire. Ces mesures bien que peu populaires au sein de la population
Musulmanes, permirent de renforcer efficacement l’empire sur ses
fondations.

Tout comme ses frères Amhet II ne vécu pas assez longtemps pour influer
durablement sur l’Empire, il décéda en 1543 laissant le pouvoir à son
fils et au Vizir bien décidé de regagner l’influence perdue. Il parvint sans
trop de peine à prendre l’ascendant sur le médiocre souverain qu’était
Abdulhamhid Ier.

La chute de la puissance Egyptienne

L’Empire retrouva donc rapidement ses habitudes expansionniste et
n’hésita pas longtemps à achevé le Mamelouk sortant d’un long conflit
avec la Perse, lui arrachant de force 4 nouvelles provinces : Gaza,
Alexandrie, Sinai et Al Karak.

Le Mamelouk était désormais cantonné à l’Afrique et le Vizir avait réussit
son grand projet, L’Empire Ottoman prédominait désormais sur les autres


puissances Musulmane un nouvel âge allait commencer.



La Situation au Nord de l'Empire en 1549, la Russie y est notre principale voisin.


La Situation au Sud de l'Empire en 1549, Le Mamelouk est cantonné à l'Afrique



Un aperçu démographique et economique de L'empire Ottoman en 1459
__________________
J'acheterai tout dit l'or...
Je prendrai tout dit l'épée...

Dernière modification par jimbo ; 28/08/2007 à 11h32.
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Vieux 27/08/2007, 21h56
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Un développement en paix ( 1526-1549)




Après la mort de la reine Isabel II en 1527, un conseil de régence prit temporairement les affaires en main jusqu’en 1533 où Carlos Ier, petit fils d’Isabel atteignit sa majorité pour gouverner.

Jusqu’à sa mort à la suite d’un accident malheureux avec une courtisane en 1539, il développa le commerce et les colonies. Vis à vis des colonies, il décida de cesser de coloniser de plus en plus de terres, tant que des bases solides, à savoir des villes fortifiées n’étaient pas mis en chantier.




Mais c’est sous le règne de son oncle Carlos II, que l’Espagne connut, parallèlement au Portugal, une explosion des revenus, notamment grâce au commerce. Les monopoles dans les centres de commerce du monde nous rapportent en effet des sommes considérables. Ceci d’autant plus que quasiment tout ces centres sont connus de l’institut de cartographie de Madrid.




Du point du vue militaire, l’Espagne prit de l’avance vis à vis des autres nations d’Europe, suite à la mise en place des Tercios par De Cardona à son retour d’Amérique. Formés d’un complexe assemblage de piquiers, de mousquetaires et d’arquebusiers, ces formations solides sont capables de terribles dommage à l’ennemi.




Diplomatie :

A la France :
-suite à l’accord de Mexico, nous espérons gagner votre amitié et l’alliance des deux sangs pourrait être envisagé. Néanmoins, pour gagner notre confiance et celle de toute l’Europe, plus de transparence dans vos actions seraient souhaitables:Nous vous félicitons pour la prise de Jérusalem. Toute la chrétienté est derrière vous et applaudis le Roi de France pour cet acte de Foi. Mais toute l’Europe souhaiterait sans doute connaître le contenu des tractations secrètes entre vous et le Sultan pour aboutir à cet accord.
-De même, suite aux conversions massives à l’hérésie protestante en France, notamment à l’Est et surtout à Paris, quelle sera la politique religieuse de la France ? On parle d’une conversion à l’hérésie mais il s’agit probablement de rumeurs car nous ne saurions croire à une telle infamie de la part d’un si grand royaume. Comme l’a montré l’Empereur, seule l’envoie de missionnaires, mais aussi et surtout d’inquisiteurs permettra d’extirper de vos provinces ce culte infâme.



A l’Empereur: l’alliance signée entre nos deux pays est un gage de paix et d’équilibre en Europe.
Nous sommes prêt à servir de médiateur entre vous et notre ami polonais suite aux divergences qui vous ont opposées et qui pourraient toujours vous opposer.




La stabilisation de l'inflation grâce à un système moderne de banque (3e valeur)

Dernière modification par comeon ; 27/08/2007 à 22h02.
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Commentaire français de ce simulacre de travail historique intitulé 1526-1549. Timide montée en puissance de l’Angleterre

2e partie





*Les rectifications françaises sont en bleu*

L'historien anglais écrit :" L’hiver avait temporairement gelé les opérations militaires et l’Espagne en profita pour faire feux de tout bois au niveau diplomatique, sa confiance dans la victoire étant des plus minces. Elle tenta tout d’abord de signer la paix avec l’alliance Veneto-Anglaise, lui proposant quelques maigres biens et espérant se payer ensuite sur la France , mais l’alliance refusa après réflexion (c'est avec un certain étonnement que nous apprenons que vous avez hésité) et non sans hésitation les propositions de Madrid car celles-ci étaient non seulement insuffisantes mais, surtout, ne dédommageait pas les pertes subies à cause des saboteurs Portugais, qui avaient si prestement abandonné leur allié Espagnol (il est marrant de voir que vous avez pu hésité un instant pour une proposition aussi nulle visiblement. Ca en dit long sur le concept de fidélité qui habite le roi anglais).
L’Espagne tenta alors de signer une paix séparée avec la France, selon le même principe : elle cédait des biens à la France et entendait se payer sur l’alliance Vénéto-Anglaise. Bien que déloyal de nature , le Roi de France refusa (vous noterez, cher lecteur, que le roi de France n'a, lui, pas hésité. On peut donc s'interroger sur qui est le plus déloyal entre un roi de France sur de lui et un roi anglais qui hésite) et le Roi d’Espagne dut enfin se résigner à signer une paix globale, sans possibilité de récupérer à droite ce qu’il allait perdre à gauche. De cette façon, et c’était très important pour la coalition Vénéto-Anglaise, le Portugal fut directement inclus dans les négociations globales. L’Angleterre obtient Guantanamo et Demak de l’Espagne, Bourbon et Sunda du Portugal, ainsi que 300 ducats pour nous dédommager des pertes subies à cause des saboteurs Ibériques."



La négociation de la paix (1526):

Pour une fois, la vérité ne diffère guère de ce qu'un anglais écrit. Effectivement le perfide roi espagnol, Cupide III, tenta une politique sournoise (comme Gollum) de division de ces ennemis. Devant l'échec de sa fourberie qui ne pouvait dominer la force de la volonté et de la conviction de ces ennemis, l'Espagne, certainement après avoir sondé les forces et les alliés qu'il lui restait, émit le souhait d'ouvrir des négociations avec ses adversaires.
C'est le doge qui en informa le roi de France. Alors aux commandes de ses troupes dans le sud de l'Espagne, un plénipotentiaire ibérique vint lui soumettre la demande de son maitre. Le doge, Impatient V, envoya aussitôt deux de ses plus rapides messagers vers les rois d'Angleterre et de France.

Lorsque la nouvelle parvint à la cour de France, la première réaction du roi fut de rire de ce qu'il pensait être une pitoyable manoeuvre espagnole pour gagner du temps. Il faut dire que nous n'avions pas l'habitude, en France, à ce qu'un Espagnol mène sincèrement une négociation. Néanmoins, consciencieux, notre roi ordonna au sieur de Gonville de participer à ces pourparler mais de ne pas céder sur les renvedications françaises. A la table des négociations se trouvait un envoyé du doge, un d'Avide III et le sieur de Gonville. L'Espagne représenta les intérêts de son allié en attendant l'arrivée de l'envoyé portugais. L'Angleterre n'estima pas nécessaire d'envoyer un diplomate. Encore une fois, ils se reposaient sur les talents diplomatiques français.

Les négociations furent tendus. Au départ, l'Espagne s'opposait à nos exigences pour l'ensemble de nos Etats. A plusieurs reprises l'envoyé français tapa du poing sur la table pour rappeler que son roi n'avait rien demandé et qu'il ne perdrait pas son temps à de veines discussions dont est friand la cour espagnole. La France réclamait la reconnaissance de sa souveraineté sur le sud-est de l'amérique et pas moins ni plus. Cela n'était nullement négociable et notre roi était parfaitement prêt à poursuivre la guerre pour l'obtenir.

Finalement, après moults chipotages et tapages du poing et une ultime renégociations sur les demandes vénitiennes, les ibériques acceptèrent la plupart des demandes de l'Angleterre, de Venise et de la France. La paix fut signée en vainqueur par le roi de France pourtant la réalité du terrain était beaucoup plus nuancée.


Les années de paix, de gloire et de développement (1526-1549):

La disparition du duché de Bourgogne
Après 1526, s'ouvre une nouvelle période de prospérité et de paix pour le royaume. Du moins, une paix dans le sens où le royaume ne fut pas menacée. Il fut en effet décidé de la déchéance finale du duc de Bourgogne dont le duché se résumait aux terres de Bourgogne. Le roi somma le duc de renoncer à ses terres et son titre et celles-ci furent rattacher au royaume de France par les armes (le duc avait osé refuser après toutes les trahisons dont sa famille s'était rendue coupable).

Le developpement du contrôle de la zone colonial
Le roi lança une active politique de colonisation et de développement de la zone française d'Amérique. Ainsi, en à peine 10 ans, les 3 colonies capturées sur l'Espagne devinrent de belles et solides villes françaises. Le roi ordonna de vérouiller les colonies frontalières avec celles espagnoles. Parallélement à cela, en vertu d'accord passé aux temps des négociations de paix, l'Espagne vendit 3 villes coloniales, anciennement terres indiennes, qu'il possèdait encore dans le quart nord-est de l'Amérique. A la demande de la France, qui dù tout de même encore expliquer au roi d'Espagne que lorsqu'on reconnait la souveraineté d'une pays sur une zone on doit arrêter d'entretenir des vassaux dans la zone, les indiens de Creek furent abandonner par Cupide III. Dans leur immense folie, ils s'attaquèrent aussitôt à nos colonies.


Notre roi pris une décision pour le moins étrange. Il ordonna de ne pas attaquer les villages indiens et de seulement défendre nos colonies et il ordonna à ses diplomates de proposer la paix à Creek contre les 3 villes espagnoles récemment achetées. En fait notre roi avait un plan en tête. Il voulait faire accepter son autorité au peuple de Creek mais ne souhaitait nullement sa disparition. En faisant ce "cadeau", il pensait gagner la reconnaissance indienne. Malheureusement, le coeur des hérétiques est trop imprévisible. Nos troupes durent se résoudrent à faire sentir aux chefs creeks l'intérêt qu'ils auraient à se placer sous notre autorité, ce qu'ils acceptèrent finalement.

La France en quête de gloire et de pardon
C'est que la France préparait un autre projet beaucoup plus ambitieux, beaucoup plus prestigieux et beaucoup plus chrétien (si je peux m'exprimer ainsi) : la libération du tombeau du Christ. Face à l'ampleur et au succès dans le bas peuple, mais aussi chez certains aristocrates, de la nouvelle hérésie, les catholiques du royaume, et en premier lieu le roi, étaient très inquiets et tentaient de trouver des remèdes à ce fleau. En 1535, déjà un quart du royaume était touché dont l'oppulente capitale royale. Les conseillers du roi rappelèrent alors au roi que cela faisait bien longtemps qu'aucun chrétien ne s'était intéressé au sort de Jerusalem aux mains des Infidèles. Dieu en était peut-être fort mécontent et frappait le peuple élu, celui qu'il considérait comme le guide de ce monde.

Aussi pieux qu'il était, notre roi ne manquait pas de pragmatisme et de bon sens, il savait que Jerusalem ne pouvait être reprise mais surtout conservé sans une aide locale et un accord avec une force locale. L'Empire Ottoman semblait être le candidat idéal. Avant la France, aucune cours d'Europe n'avait jamais tenté de négocier un tel accord avec le Sultan, simplement parce que tout le monde croyait cela impossible. Pourtant, la diplomatie française y est parvenue (c'est d'ailleurs suite à cet épisode que l'adage "Impossible n'est pas Français" s'est développé). Il n'y aurait aucun intérêt à expliquer comment se déroulèrent ces pourparlers, seul le résultat compte : le Sultan reconnaissait que Jerusalem devait être placé sous l'autorité d'un Etat chrétien.

Cet Etat serait la France qui partit alors en guerre contre le Mamelouks avec l'aide du Sultan. De 1539 à 1543, des Français se battirent en Asie contre des musulmans, parfois même aux côtes de musulmans, mais dans un but authentiquement chrétien et qui devrait animer tout homme de foi : rendre à la communauté chrétienne les sources de son essence même.

Et le 25 décembre 1543, la France offrit au monde chrétien la ville sainte de Jerusalem. Alors que de par le monde on fêtait la naissance du Sauveur, le royaume de France se plaçait en sauveur et protecteur du tombeau du Seigneur. Qui mieux que la fille de l'Eglise et le peuple élu pour accomplir cette tâche ?
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )

Dernière modification par lemarseillais ; 28/08/2007 à 00h57.
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