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  #211  
Vieux 03/12/2007, 14h21
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Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néerlando-Polonais


Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter.

Le roi de Pologne a ironîsé, en qualifiant l'Empereur de "Pleutre" puisqu'il ne relevait pas l'outrage.

Eh bien, puisque l'Empereur est un "pleutre" et que le roi de Pologne est si "courageux", qu'il n'hésite surtout pas à nous faire valoir ses "légitimes" prétentions sur Lûbeck, en tête à tête.
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...

Dernière modification par vince ; 03/12/2007 à 18h49.
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  #212  
Vieux 03/12/2007, 17h27
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Reponse de Pays Bas.

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Envoyé par vince
Réponse Autrichienne à l'ultimatum Néelando-Polonais


Alors que l'Autriche traverse une grave crise économique et intérieure, des espions hollandais n'ont pas hésité à saboter notre stabilité, que nous avons grand mal à remonter.

Nous ne voyons pas de quoi vous voulez parlez, cessez vos calomnies!

Dernière modification par TCAO ; 03/12/2007 à 18h40.
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  #213  
Vieux 08/12/2007, 21h50
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1663 – 1669. L’Europe à feu et à sang



En 1664, le Conseil de Sa Majesté fut brutalement réveillé par les bruits violents qui retentissaient à l’extérieur : des brigands ? Des violeurs ? Impossible, nous n’avions aucun bien qui pouvait les intéresser et nos femmes et filles étaient bien à l’abris, protégées par les brumes que nous seuls pouvions traverser. Il se passait donc quelque chose au milieu de ce néant qu’on appèle Europe . Un volontaire désigné d’office fut envoyé ( celui qui, ne s’étant pas réveillé à temps, n’avait pas eu le temps de faire un pas en arrière lorsque Sa Majesté demanda un volontaire ) et il passa discrètement son nez par la fenêtre : 1664 déjà, comme le temps passait donc vite à l’extérieur ! Fort heureusement, l’Angleterre, elle, vivait en dehors du temps. Un sourire vient aux lèvres du volontaire : c’était ce bon vieux Von Choupinem qui faisait des siennes .



La Pologne et les Pays-Bas ( « Tiens, ce royaume n’existait pas la dernière fois que j’ai regardé par la fenêtre » constata le volontaire ) attaquaient l’Empereur, lui-même soutenu par le Doge sac à vent et, plus étonnant, par notre confrère de Suède. Qu’arrivait-il donc à notre collègue estimé ? Avait-il perdu la raison pour se plonger ainsi volontairement dans le néant ? Le volontaire ferma rapidement la fenêtre et s’en alla retrouver Sa Majesté et Son Conseil : « Rien d’important, c’est Von Choupinem et ses voisins qui se tapent dessus parce que… Eh bien, je ne sais pas, mais c’est sans importance pour nous, n’est-il pas ? ». Le conseil se rendormit aussitôt, on attendait l’heure du thé.




Messages diplomatiques



A l’Empereur. Toutes nos félicitations pour votre victoire mais la prochaine fois, de grâce, faites un peu moins de bruit : nous avons le sommeil si léger !


Aux Pays-Bas et à la Pologne. Toutes nos félicitations pour votre combat intrépide. A défaut de victoire, vous avez donné une leçon d’Honneur à certains . Nous vous invitons à régler pacifiquement vos différents avec l’Empereur, qui est un homme juste et bon.


A la Russie. Nous applaudissons votre succès diplomatique, qui n’est pas passé inaperçu à Londres, preuve que certes nous dormons, mais d’un œil seulement.


A la France. Mon pauvre ami, quelle horrible tragédie vous a donc frappé ! Nous compatissons et vous assurons que si vous veniez à déchoir complètement, nous vous donnerons toujours une soupe riche par jour afin de subsister.


A Venise. Vous faites honneur à vos ancêtres, grands constructeurs de moulins à vents. Continuez donc à brasser du vent, puisqu’il s’agit là d’une tradition familiale.


A la Suède. Prenez garde quand même ! N’oubliez pas que l’action mène au néant et que seul l’immobilisme permet d’évoluer. Reprenez-vous et venez roupiller avec nous.


Au Portugal. Le temps qui ne passe pas efface tout dit-on. A Londres, l’on a finit par oublier vos crimes passés. De toute façon, votre Empire, comme tous les autres, n’est que néant et poussière : poussière tu étais, poussière tu redeviendras .


A l’Espagne. Vous voilà soudainement bien silencieux, auriez-vous enfin à votre tour découvert les subtils délices de la sieste, du repos et de l’inactivité ? Venez donc nous rejoindre et nous pourrions deviser aimablement des vertus de l’inaction.
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  #214  
Vieux 09/12/2007, 22h43
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Chronique des Pays Bas :1663-1669 La victoire qui nous échappe.



Depuis les 2 derniers siècles, notre peuple n’avait jamais été aussi préparé à la guerre, les réserves avaient été augmentées de 50 pourcent, et le moral augmenter, par une propagande savamment dosée et par les victoires en extrême orient.

Le militarisme avait forgé une nouvelle nation, à partir du duché de Frise, le royaume des Pays Bas, toute les provinces du royaume n’avait qu’un seul but, la gloire sur-le-champ de bataille, l’honneur est ce qui importe ! Tous les regards étaient porté à l’Est vers l’Autriche, celle-ci nous avait traité trop longtemps comme des faibles, il fallait leur faire payer !

C’est ainsi qu’en 1664, après leur avoir laissé un an pour s’aider à nos exigences nous partîmes avec notre cousin le roi de Pologne à l’attaque de l’Autriche, celui ci avait attiré le Doge a son aide, le rapport de forces nous était défavorable nous le savions mais qu’importe, nous nous avons un honneur et ne jetons pas l’éponge comme des lâches…

La première phase de la guerre commença bien mais un fauteur de trouble rentra dans le conflit pour protéger l’empereur de la perte de Lubeck, la Suède. La moitié de notre cavalerie fut donc dépêcher sur place et tenta de protéger en vain les troupes de siège polonais, perdant la moitié du corps de batailles dans cette simple bataille, avant d’apprendre que les Suédois ne ferrait rien qu’empêcher un siège de la province, ne pouvait-il pas le dire avant que nous envoyâmes nos troupes ? Nous laissâmes donc la province et nous préparèrent à défendre nos sièges des forces vénitiennes face à nous.

Pendant ce temps dans les colonies, nos minuscules forces étaient détruites par la vague vénitienne 10 fois plus nombreuses.

Sur le front principal, la province de Hesse était devenue le centre des combats sur le front Ouest, l’armée du Doge nous bombardait de ses assauts soutenus quelque fois par l’empereur en personne, c’est ainsi que celui-ci tomba dans une ce ses batailles, en l’année 1665. Notre général Jongstra, le meilleur officier tous camps confondu, l’étoile de nos innombrables généraux était arriver à temps pour soutenir nos 12 milles fantassins et 5000 artilleurs assiégeant, avec ses 20 milles cavaliers, face à lui 40 milles fantassins et la fine fleur de l’armé autrichienne, la garde impérial, 4000 cavaliers commandaient par Karl I.

Les combats furent terribles, en 10 jours l’armé du Doge se débanda face à Jongstra manœuvrant admirablement face à l’empereur, celui-ci fut surpris en pleine charge sur le centre de l’armé néerlandaise par la fuite des Italiens. Jongstra qui chargeait sur les flancs ne poursuivit pas ceci ; il fallait couper la retraite à l’empereur et l’arrêter ! Malheureusement celui-ci s’écroula, frapper par un boulet de canon en pleine poitrine, il fut ramener au camp, mais il mourra de ses blessures, un grand empereur était mort, mais la guerre continuait….

Les combats continuèrent ainsi nos cavaliers repoussant les charges du Doge sur Hesse avec ses 50 milles fantassins, les envoyant vers une mort certaine, à l’Est la Pologne faiblissait et la Saxe commençait à être reprise, nous tentâmes alors de l’aidait envoyant notre cavalerie pour repousser les troupes impériales, ceci fut l’erreur de trop, le Doge en profita pour relancer l’offensive sur Hesse, notre cavalerie arriva trop tard et la retraite devint la seul possibilité, nos troupes furent massacrer, poursuivit par une cavalerie italienne qui n’avait souffert aucune bataille, juste quelque millier de cavalier arrivèrent à partir et à rejoindre la Pologne pour se refaire, l’infanterie quant à elle s’installa en Flandres pour attendre.

La dernière phase de la guerre fut une guérilla sur notre territoire et des charges sur les troupes disperser de par notre cavalerie commandait par Jongstra écrasant plusieurs 15 milles autrichiens avant la paix.

Notre coalition avait perdu certes mais dans l’honneur, le roi de Pologne fut obliger de céder l’Altmark à l’empereur. Première guerre et défaite de l’alliance Néerlando-Polonaise. Nos généraux n’étaient malgré tout pas abattu, aucun de nos cadres n’avait péris, et un très grands nombres de soldat était prêt à sortir des rangs.



Missive diplomatique :

A la Suède : Nous n’oublierons pas cet acte de traitrise, vous avez attiré une rancœur profonde sur vous… J’espère que vous savez à quoi vous vous exposer.


A l’Empereur : Cette guerre a encore démontrait votre domination sur le Saint Empire Romain Germanique. Ne vous inquiété pas nous reviendrons.



A notre cousin le roi de Pologne : Très cher, nos deux peuples sont unis dans la défaite, nous essayerons de vous envoyer toute l’aide nécessaire à votre reconstruction.



A l’Angleterre : Avec quels dédains traitait vous les affaires continentales !
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  #215  
Vieux 11/12/2007, 19h05
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Chroniques Autrichiennes 1664-1669

L'empereur Karl ayant rejeté l'utimatum néerlando-polonais, ceux-ci passèrent à l'attaque rapidement.
Le corridor de Dant....Lübeck était indéfendable, car il est pris en étau entre la Hollande et la Pologne. Si bien qu'Autrichiens et Vénitiens attendent patiemment les attaquants en basse saxe, en hesse et le long du Rhin. Ceux-ci ne tardent pas à montrer le bout de leur nez, et entament plusieurs sièges aux f'rontières directes (Hannovre, Anhalt, Meissen).
Mais à notre grande surprise, le roi de Suède déclara la guerre aux assaillants, car il lui déplaisait que Lubeck ne passe en de si vilaines mains. Grâce lui soit rendue.

Au coeur de l'Empire, à Vienne et en bohème, Autrichiens et Polonais se tiennent en respect. Aucun des deux camps n'ose prendre l'initiative, de peur de perdre ces précieux cavaliers dont l'usage est désormais restreint.

Au nord ouest, les armées du Doge ne ménagent pas leurs efforts et harcèlent littéralement les hollandais. Quand cela est possible, un contigent autrichien se porte en renfort. Cela vaudra d'ailleurs la perte de l'empereur Karl, lui-même, emporté par un boulet hollandais.

En Saxe, les premiers affrontements avec les troupes Polonaises sont effroyables. Les pertes sont grandes... Visblement, les généraux polonais, aguérris los de la campagne des Ming, n'ont rien à envier à leurs homologues hollandais. La guerre sera dure...

L'empereur MAthias, frère de Karl IV, assène des discours de motivations aux troupes : il faut tenir! coûte que coûte !! De très nombreuses batailles firent rage, les pertes furent difficilement compensées, mais elles le furent. Les renforts vinrent et les sièges ennemis mis à mal. L'élite des cavaliers hollandais et Polonais eut finalement du mal à se démultiplier, et la tenacité du Doge et de l'Empereur finit par payer. A hannovre le siège fut levé, et l'armée hollandaise mise en déroute fut inlassablement poursuivie par les Vénitiens.

Les Polonais ne pouvaient plus compter sur le soutien de leur allié, et ils durent à leur tour abandonner les sièges, et finalement reculer. Le front se disloquait :





Véntiens et Autrichiens lancaient donc l'offensive et se permettaient des incursions en territoire ennemi. La victoire semblait subitement possible, car ni hollandais, ni Polonais ne semblaient en mesure de renverser la vapeur.

L'Empereur fut sollicité par le Stadhouder de Hollande. Ce dernier, visiblement de son propre chef et sans consulter le roi de Pologne, lui demanda quelles étaient les demandes Autrichiennes pour la paix. L'empereur prit le temps de lui répondre...
Mais pendant ce temps, la Pologne jouait son "va-tout" et lancait ses dernières forces à l'assaut de Vienne .
L'empereur apprenant la nouvelle, furieux, cessa immédiatement les pourparlers, et retourna sur le champ de bataille constater les dégats...et ils étaient graves. Vienne était assiégée et l'armée exsangue et démoralisée ne put la délivrer avant qu'elle ne tombe.
Après une réorganisation de plusieurs mois, et l'arrivée de frais renforts Vénitiens, l'attauqe de libération de Vienne fut lancée, et fut couronnée de succès, mettant fin aux derniers espoirs de victoire des Néerlando-Polonais.

CEs derniers acceptèrent la paix clémente de l'Empereur qui ne réclama que la province saxonne de Magdebourg (Altmark), et des indemnités de guerre à Venise et à la courageuse Suède.


Missives diplomatiques :
Hollande-Pologne : L'empereur sait reconnaître ceux qui se battent bravement et avec honneur. Assurément, vous faites partie de ces gens.

Venise : cher allié, nous espérons très sincèrement pouvoir un jour vous être aussi précieux que vous nous le fûtes, en cette occasion.

Suède : assurément votre intervention était une grande surprise. Elle n'en reste pas moins gage d'un grand courage. L'empereur est aujourd'hui votre débiteur.
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  #216  
Vieux 10/12/2010, 02h53
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Une GPO épique avec un nombre de participant conséquent !

On voit d'ailleurs toute la différence entre EU3 de l'époque et la dernière monture sur HTTT !

Voilà un autre monument des GPO qui ressurgit d'outre-tombe !
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EU2 : GPO Molo, l'AAR.
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  #217  
Vieux 14/12/2010, 19h03
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Oui une bien belle GPO, ma première... nostalgie quand tu nous tiens... Vive la Frise au passage!!! ^^
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
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